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Henri, l'exposition de peintures – Chapitre 2

Henri, l'exposition de peintures - Chapitre 2



LES ANCETRES DE PATRICK

Henri, le modèle préféré des peintres, surtout des dames.

PIERRETTE

Je m’appelle Pierrette, artiste peintre, je suis en train de préparer l’exposition de mes toiles dans une galerie d’art. Mon exposition se fera sur deux salles.

La suite

Au bout de quelques minutes de ce traitement il retire sa queue de ma bouche, me retourne en position de levrette et pose son mandrin sur mes fesses.

 Il écarte ma culotte, frotte son gland le long de ma raie et le présente à ma chatte. Il pousse son gland dans mon ventre me faisant gémir tellement il est épais. Heureusement que l’ai la chatte trempée.

Sa bite semble ne plus s’arrêter de rentrer tellement elle est grande ! Il l’enfile par petits coups jusqu’à ce qu’il butte sur le col de l’utérus. Je n’ai jamais été aussi remplie.

Il commence des allers-retours en moi, alternant les mouvements rapides et lents pour mon plus grand plaisir, je ne tarde pas à jouir.

Lui parait infatigable et me besogne sans discontinuer.

 Il change de position et me mets au sol sur le dos pour un missionnaire très vif et intense, je crie en soulevant les jambes bien haut et serrant les fesses de mon amant en le poussant vers moi, comme pour sentir plus profondément encore cette queue hors-normes.

 Après plusieurs minutes de ce traitement me procurant un nouvel orgasme, il se retire et me retourne en position de levrette et m’ordonne :

— Ecarte tes fesses au maximum!

Je lui obéis. Il approche son gland de mon cul et pousse mais sa verge n’entre pas car elle est trop large !!!

 Il se retire, crache abondamment sur mon illet, se penche et met la langue dans mon cul puis ses doigts prennent la relève pour le dilater.

 J’apprécie la préparation vu son gabarit.

Il reprend alors sa pénétration. Cette fois-ci sa queue entre mais avec difficulté, je hurle de douleur quand le gland passe enfin l’obstacle.

 Il pousse lentement sur quelques centimètres, attend un instant que mon cul s’adapte à son calibre puis enfile d’un coup bref les centimètres suivants, je n’arrête plus de crier.

Il est enfin tout entier dans mon cul et reste un moment figé à l’intérieur. Après un instant il entreprend des va et vient rapides. Je suis comme une folle, la douleur fait place doucement au plaisir, je crie et lui dis de m’enculer comme une pute, je n’ai jamais été aussi excitée !

Je me titille le clitoris tout en recevant la bite de cet étalon au plus profond de mon cul.

Je jouis une troisième fois et après quelques minutes de ce traitement, il lâche son foutre dans mes intestins en poussant un râle de satisfaction.

 Nous restons emboités quelques instants en nous regardant, il m’embrasse avec un large sourire de satisfaction, comme quelqu’un ayant réussit son examen de passage mais me dit de regarder un peu plus bas.

Quand il se retire, un flot de foutre sort à chaque fois que je serre les fesses.

Il a déjà jouit 2 fois et n’a pratiquement pas débandé.

Je sens que la troisième fois est proche, je n’y tiens plus, je m’approche de lui et pose ma main sur la sienne qui entoure sa poutre, il la retire pour laisser seule ma main sur son mandrin.

Je croise son regard plein de tendresse.

D’une main je presse les couilles obèses et de l’autre j’astique la hampe veineuse, il glisse ses doigts dans ma chatte et demande.

— Je peux ?

D’un signe de tête je lui donne mon assentiment, à genoux, la langue sortie il avance vers la vulve suintante de mouille.

Le gland de sa lourde queue traine sur le sol.

Je gémis, mon amant explore le vagin de ses doigts et de sa langue, des bruits de clapotis et de sucions résonnent, une douce odeur de stupre monte.

Ainsi branlée je sais que je ne vais pas tarder à jouir à nouveau.

— Chériiiiiii, aaaahhh, je vais jouirrrrrrrrrrrrrrrrrrr haaaaa! Tu me fais trop de biennnnnnnnnnn !!!

Il retire son visage luisant de mouille, ses doigts toujours fichés dans mon sexe béant.

— Tu as une chatte délicieuse, j’aimerais bien la remplir à nouveau.

Si on m’avait dit il y a deux heures, que j’allais connaître des jouissances à répétitions avec un tel étalon !

— Je vais m’assoir sur le sol, vous allez venir vous empaler sur ma queue.

Sans rien ajouter je me penche la main refermée sur l’énorme bite, sa queue est toujours aussi raide.

 Je me hisse vers ce pic les jambes de chaque coté de l’homme, attrape à nouveau le membre et le dirige vers ma matrice prête à avaler l’énorme engin.

Les lèvres vaginales effleurent le gland, je râle dès les premiers centimètres entrés, la moitié de la hampe a disparue dans mon vagin déformé, mes doigts enserrent le membre qui coulisse lentement dans la gaine étroite.

Le visage écrasé sur le buste d’Henri pour ne pas hurler je m’empale avec force, je sais que je ne peux pas prendre en totalité la queue dans mon vagin.

L’homme donne de puissants coups de reins, je rebondis sur ses cuisses, on croirait que je fais du rodéo.

— Que c’est boooooooooonnnnnn, hoooooo ouiiiiiiiiiiiiiii je vais juoiiiiiiiiiiiirrrr !

Les contractions de mon vagin ne trompent pas ni le jus qui coule sur ses couilles, je n’ai jamais jouis aussi fort, je suis dilatée a outrance, ayant perdu toutes notions de la réalité.

 Je suis ballotée, les seins secoués, le corps en transe, mes orgasmes se succèdent à un rythme infernal.

Je suis pratiquement inconsciente lorsqu’il décharge dans mon vagin, je pousse un cri.

— Tu me remplis, ce n’est pas croyable, mon ventre va éclater ! Mon dieu!

Les sursauts de la queue se calment, je me retire de ce bouchon qui m’obstrue la moule, un torrent de crème blanchâtre s’échappe des lèvres distendues, mes poils ont disparus sous une couche de crème poisseuse.

Il lui a fallu quand même quatre éjaculations avant que je ne vois enfin sa verge se mettre à débander, je comprends pourquoi il tourne dans des films pornos.

Je peux enfin reprendre mon tableau.

Il m’a fallu deux jours de plus que prévu pour finir ma toile, il faut dire que j’étais plus souvent en train de faire des galipettes sur ce pinceau extraordinaire que de me servir de mes pinceaux.

Henri est devenu mon amant et son tableau est l’uvre la plus regardée de mon exposition, il faut dire que j’ai dérogée un peu à mes règles représentant ses attributs en semi-érection et je peux vous dire que même comme ça, c’est déjà impressionnant.

Avec le bouche à oreille, mon expo a été un succès monstre et le prix de ce tableau c’est envolé.

Et j’ai eu aussi beaucoup de demandes pour savoir le nom et l’adresse de mon modèle.

Bien sur, je ne les ai donnés à personne sauf à une femme, mais si vous voulez savoir pourquoi, il va falloir attendre la suite de l’histoire.

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