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Impulsions comateuses – Chapitre 2

Impulsions comateuses - Chapitre 2



Au matin, Théo se leva avec une fatigue marquée, cela inquiéta sérieusement Karine, qui demanda à Roger, de faire une séance calme.

— Je vais très bien docteur, je vous l’assure.

— Non Théo, ce matin l’infirmière a mis un temps fou à te réveiller, alors aujourd’hui calme.

Théo leva les yeux au ciel.

— De plus ta mère vient cet après-midi pour passer un peu de temps avec toi, dit Karine pendant qu’elle lui faisant des tests de réflexe moteur. Tu ne veux pas être fatigué comme hier.

— Bon, d’accord.

— De toute façon, tu as fait trop d’exercice, tu dois te reposer pour que ton corps réagisse en se renforçant.

— Oui je sais. J’en ai discuté avec Roger, il m’a donné un de ses livres sur la rééducation.

Karine opina du chef. Elle ausculta les yeux de Théo, et celui-ci en profita pour lui caresser les seins.

— Eh ! Théo, tu arrêtes.

Il n’arrêta pas et dit :

— Votre lingerie est trop dure, j’ai une préférence pour la lingerie aux tissus fins, on ressent mieux les tétons.

Elle secoua la tête et serra les mâchoires.

— Théo, souviens-toi des consignes du… Ouh !

— Vous voyez, j’ai voulu faire rouler votre téton et dans le coup, ça l’a pincé. Les soutiens-gorge d’Annette, sont toujours parfaits depuis que je lui ai fait la réflexion.

Elle ferma les yeux, exaspérer.

— Théo, assez !

Théo parut désolé.

— Je vous ai fait mal ? J’en suis désolé. Je peux vous le délasser avec ma bouche, je serai très doux.

Elle fut surprise de la proposition et ne sut quoi répondre. Elle lui prit les mains et les écarta de sa poitrine.

— Ça va très bien ! Ne t’en fait pas.

— Ouf ! J’ai eu peur, dit-il en se rallongeant.

Karine remit la couverture sur lui, il en profita pour lui caresser les fesses. Surprise, elle tomba légèrement en avant. Elle posa ses mains devant elle, une atterrit sur le buste de Théo et l’autre sur son entrejambe. Elle y sentit la verge qui durcit rapidement sous ses doigts. Elle retira vivement sa main et s’écarta celle de Théo.

— Je suis désolé, dit-elle rouge comme une pivoine.

— De quoi ? demanda Théo.

— De t’avoir…touché en bas.

Elle désigna l’entrejambe de Théo où se dressaient maintenant les draps. Elle déglutit difficilement.

— Oh, ça ? Il n’y a pas de mal, vous pouvez y aller.

Elle le regarda en haussant les sourcils et dit :

— Pardon ?

— Oui, si vous voulez toucher, vous pouvez y aller.

Et là, elle comprit une chose. Il fallait qu’il commence rapidement les séances avec la psychiatre.

— Non, non, c’est bon pour moi, répliqua-t-elle.

— Ah bon ? Vu que vous mouillez rapidement j’imaginais que vous en auriez besoin.

Elle tomba des nues.

— Et pour…pourquoi ça ?

— C’est une marque flagrante de manque d’orgasme.

Pour le coup elle ouvrit grand la bouche sur "ah" muet.

Après quelques secondes, elle dit :

— Faut…faut que je sorte.

— Au revoir docteur, dit-il avec un grand sourire

— Oui oui, au revoir.

Karine se massait les tempes lorsquarriva son amie venue pour chauffer son propre fils. Le docteur se demanda si c’était vraiment une bonne idée.

— Salut Doc.

— Salut Isa.

Elles se firent la bise et le docteur ausculta la mère de son patient, qui ouvrit son manteau pour montrer ses vêtements. Avec un il averti, elle dit :

— S’il ne cherche pas à te sauter dessus habiller comme ça, moi je le ferais.

Isabelle rougit. Elle portait un débardeur noir avec un beau décolleté, un gilet en "V" très moulant qui prenait sous les seins et rehaussait sa poitrine. En bas, une jupe anthracite bien taillée, qui s’arrêtait au-dessus du genou et mettait en valeur ses cuisses musclées. Des porte-jarretelles aux bas fins terminèrent la touche sexy.

— J’ai mis le tout de couleur sobre, je ne voulais pas non plus faire la prostituée du coin.

Karine fit un rond avec son pouce et son index.

— Tu es parfaite.

— Tu remercieras ma fille pour ça.

— Tu lui as dit ?

— Oui, elle m’a fagotée ainsi, pour démontrer que son frère est apte à rentrer à la maison.

Elle eut un trémolo dans la voix. Son amie lui caressa l’épaule et elle reprit :

— Elle veut le voir à la maison ! Comme je lui interdis de venir tout le temps pour qu’elle bosse son bac, cela devient une obsession.

Elles hochèrent la tête.

— Alors allons tester ton petit pervers.

Isabelle la pinça et lança un "Méchante". Mais en elle, une seule pensée l’habitait "il faut que ça aille, il le faut, il le faut…". Un grand stress monta en elle.

Elles arrivèrent dans la chambre de Théo. Elles le trouvèrent en plein dans ses livres de rattrapage.

— Salut m’man !

— Bonjour mon chéri.

Avant qu’elles ne fassent quoi que ce soit, une infirmière entra dans la chambre.

— Excusez-moi docteur, mais on a vite besoin de vous à la 402.

Elle regarda Isabelle en faisant la moue.

— Je viens.

Elle fit signe à son amie, de faire le test et sortit.

— Alors mon chéri, tu es fatigué.

Théo hocha la tête. Sa mère quitta sa veste, et lui ne la quitta plus des yeux. Isabelle n’y fit pas attention.

— Oui et en plus ma nuit n’a pas été de tout repos.

Il ajouta :

— Tu es magnifique aujourd’hui.

Elle mit sa veste sur un cintre avec un grand sourire crispé et la rangea dans le placard les mains tremblantes.

— Merci, mon cur. Et pourquoi ta nuit n’a pas été de tout repos. ?

— J’ai…discuté tard avec l’infirmière de nuit, elle est vraiment très sympa.

Elle s’approcha pour lui faire la bise.

— Il faut que tu dormes la nuit, mon chéri.

Elle se pencha et l’embrassa sur les joues. Quand elle se releva, elle ne remarqua pas qu’il avait crocheté son décolleté de son index. Un de ses seins s’échappa.

— Mon dieu! Qu’est-ce…

— Ouh ! La coupa-t-il. Il est superbe ce sein.

Théo attrapa le téton entre ses lèvres avant qu’elle ne puisse dire quelque chose. Il le suça fort avec de multiples bruits de bouche. Il ceintura sa mère de son bras libre la forçant à rester contre lui. Elle tenta de se libérer, mais ne voulant pas faire de mal à son fils, elle ne put se résoudre à le frapper. Elle força, mais il resserra sa prise.

— Ouh, Théo ! Fit-elle surprise de la force de son fils. Ne fais pas ça ce n’est pas… bien !

Il fit sortir l’autre sein, dont le téton subit le même traitement que le premier. Il roula avec vigueur entre les doigts de sa main gauche celui, humide et turgescent, qui venait de quitter sa bouche.

— Oooh non, Théo, non !

Elle voulut se dégager, mais son fils qui avait retrouvé de la force et ne se laissa pas faire.

— Maman ta peau est vraiment très belle, dit-il avec plaisir.

— Théo, lâche-moi ! chuchota-t-elle.

Pendant deux minutes, ils chahutèrent, mais rien n’y faisait. Il continua inlassablement son travail sur les seins. Isabelle chercha à se dégager plus fort et finit par monter à moitié sur le lit.

Son fils ralentit le rythme et suça plus doucement faisant glisser sa langue d’un sein à l’autre. Il souleva le sein gauche sa mère et lécha avec avidité la peau tendre et sensible du dessous.

— Non, ne fais pas ça !

Isabelle avait maintenant un genou contre son fils et une jambe dans le vide, ce qui remonta sa jupe serrée jusqu’au-dessus des cuisses. Théo en profita et glissa sa main du dos jusqu’en dessous de la jupe et mit un doigt à sa mère. Son majeur rentra comme dans du beurre, le sexe humide ne lui opposa aucune résistance.

— Non non non !

Isabelle haletait, les va-et-vient du doigt de son fils l’engourdissaient.

— Pourquoi non ! Tu es toute trempée et je sais parfaitement bien ce que ça veut dire, dit-il avec le sourire.

— Je suis ta mère, tu ne dois pas ! Arrête ou je vais crier ! Et si tu continues, tu ne rentreras…

Il enfonça son annulaire en plus.

— Ouhoh ! …pas…tu ne rentreras pas à la maison, finit-elle sur une petite voix.

Elle se perdit dans ses pensées.

(Hier soir sa fille et elles s’étaient dit que, quoi qu’il arrive, elles feraient rentrer Théo chez elles, même si elles devaient mentir pour cela. Sa fille lui avait dit :

— S’il ne le fait exprès, on fera attention et c’est tout. On s’habillera avec des vêtements neutres le temps que sa psychanalyse fonctionne.

Elle lui avait expliqué que c’était plus compliqué que ça, Laura n’en avait pas démordu.

— Je suis sûr qu’une fois à la maison, il ira mieux. On est sa famille il ne nous fera jamais de mal.)

Mais là, Isabelle se rendit compte que cela allait quand même loin. Elle n’osa pas crier, de peur qu’il ait des ennuis qu’il ne méritait pas.

Pendant ses réflexions Théo ne chôma pas et ses doigts s’activèrent comme jamais. Elle sentit quelque chose monter en elle. Non, se dit-elle inlassablement, mais elle le sentit, en à peine cinq minutes son fils l’avait chauffé au rouge.

Les bruits de succion l’avait toujours excitée, comment son fils pouvait faire de tels bruits avec ses seins. Et les doigts qui la ramonaient, pensa-t-elle, car s’était bien le terme qui convenait, ne lui laissèrent aucun doute que d’autres y avaient succombé.

Elle essaya de se concentrer pour se dégager, mais c’était peine perdue. Son fils lui faisait des choses tellement bonnes qu’elle ne pouvait plus résister.

— Oh non ! Oh non !

Théo accéléra le mouvement de ses doigts.

— Oooooh non !

Il accéléra encore un peu et encore juste un peu plus.

– Oh non ! Ho ! Ho ! Ooooh non ! Oui…

Un long soupir de plaisir sortit de sa bouche. Du liquide coula sur son bas le long de la jambe qui allait au sol. Elle eut un instant fugace de bien-être et d’aise, puis elle fut prise d’une telle honte qu’elle voulut se dégager même en donnant des coups.

— Voilà, dit Théo en la libérant.

Il s’essuya les mains sur un mouchoir et sourit à sa mère. Elle fut tellement surprise de sa libération qu’elle ne bougea pas. Il lui remit les seins dans leur balconnet avec une grande douceur et ajusta le top. Il la repoussa du lit et remit sa jupe correctement.

— Tu vas mieux maintenant, s’enquit-il.

— Que…com…Comment ça ? Demanda-t-elle l’esprit dans un nuage d’endorphine et de dopamine.

Il lui prit la main et lui embrassa la paume. Elle sursauta, car il lui avait toujours fait ça.

— Tu étais tellement nerveuse en entrant, cela ne t’a pas détendu ?

Elle ouvrit grand les yeux.

— Euh, je ne sais pas !

— Mince, pourtant d’expérience je sais qu’un bon orgasme détend toujours, dit-il avec conviction. Et vu à la vitesse où tu as mouillé, je suis dit que ça irait !

Elle rougit encore plus, même si cela paraissait difficile. Il réfléchit.

(Merde, pourtant j’ai mis tout ce que j’avais ! Enfin pas tout ! Il me reste une carte à jouer et là si elle n’est pas détendue je ne peux plus rien faire. Carline paraissait extatique et je suis plus en forme encore.)

— Peut-être que ce n’était pas assez, dit-il en souriant. Mais j’ai un truc qui va marcher, je sais de source sûre que tu vas adorer.

Isabelle le regarda lever les couvertures et dégager sa verge en érection.

Elle ouvrit grand la bouche devant le membre veineux suintant légèrement, elle bondit.

— Non, mon chéri ! C’est bon je t’assure je suissuper détendue.

Elle rabattit les draps sur la verge de Théo.

— Tu es sûr ?

— Oh ça oui ! Je suis bien détendue, finit-elle sur un sourire sincère, son orgasme bien présent dans son esprit.

— Ça fait bien longtemps que je n’ai pas eu un orgasme comme ça, le félicita-t-elle.

— Bien ! sexclama-t-il rassuré. Je suis content, après tout le stress que je t’ai donné, je peux bien faire ça pour toi. Un bon orgasme ! Et hop ! Rien de meilleur.

Isabelle ressentit un élan d’affection pour son fils. Elle lui fit un gros bisou sur la joue.

— Bien et moi qu’est-ce que je fais de ça ?

Il désigna la bosse sous ses draps. Sa mère vit une image qu’il la foudroya ; quelqu’un rentrait avec elle à côté de son fils avec une trique énorme. Elle réfléchit à toute vitesse.

— Tu peux attendre ou…te…

Elle ferma les yeux.

-…te masturber, dit-elle en les rouvrant.

— Oui c’est-certain, mais t’es sûr ne pas avoir envie ? Dit-il d’un ton commercial en retirant le drap.

La mère observa la verge avec une horrible honte et se dit qu’être pénétrée par ça, devait donner des sensations intéressantes.

— Elle n’est pas longue, mais je suis en super forme, tu le regretteras pas.

Elle hoqueta puis se reprit.

— Euh ! Oui, oui c’est bon pour moi, mon chéri.

— OK, il va falloir que tu m’aides pour aller jusqu’à la salle de bain.

Elle l’aida à se relever, il s’aida de ses béquilles. Elle vit pourquoi elle n’avait pas pu bouger une fois enlacée, ses bras étaient musclés, avec la rééducation c’est la première chose qui se renforce. Puis en regardant les béquilles bouger, Isabelle faillit être prise d’une crise de fou rire, en pensant que son fils avait en ce moment même, trois béquilles.

Elle le regarda marcher, luttant contre les difficultés et fut fière de voir ses avancées. Il y a huit mois il pouvait à peine lever la tête et parler. Elle se mit derrière lui pour ne pas avoir de vue dérangeante. Ils entrèrent dans la salle de bain.

— Tu peux me tenir m’man, je ne pense pas en avoir pour très longtemps.

Isabelle commença à glousser et elle faillit le lâcher, mais le rattrapa à temps. Ses nerfs étaient soumis à rude épreuve.

— Tu aurais fait un effort, dit-il devant ses gloussements. On n’en serait pas là et je suis sûr que ça t’aurait mis en forme pour une semaine.

Son rire nerveux monta dans les aigus. Théo attrapa les poignées de forces lui servant à s’agripper au meuble de la salle de bain.

— Au lieu de raconter des bêtises, fais ton affaire, dit sa mère.

— OK, c’est parti !

Il commença à se masturber. Les va-et-vient de sa main, sa mère les ressentit jusqu’au plus profond de son être. Sa tête collée au dos de son fils, elle entendit les battements de cur accélérer, elle ne voulut surtout pas regarder. Rien que de l’imaginer, son chibre luisant à la main, elle se sentit malade.

Théo commença à souffler fort. Ses mouvements se firent plus vifs, plus brutaux et sa mère eut du mal à le tenir en position. Elle jeta un coup d’il au visage de son fils, reflété par le miroir, pour voir s’il en avait pour encore longtemps et se retrouva à le regarder dans les yeux. Elle se figea le regard hypnotisé par l’excitation dans le regard de son fils. Elle y lut un plaisir simple et doux.

Elle détourna et ferma les yeux. Après quelques secondes elle se mit à percevoir plus clairement les sons émient par leur activité incestueuse. Le bruit humide que faisait le pré-sperme entre les doigts qui coulissaient sur la peau tendue de la verge. Le frottement de leurs vêtements et puis enfin leurs respirations qui, discordantes au départ, finirent par se mélanger pour n’en faire qu’une.

— Oh oui ça fait du bien, dit Théo.

Elle ouvrit quelques instants ses yeux. Ce qu’elle vit lui fit prendre conscience de l’étrange sensation entre les lèvres de sa fente. À chacun de ses mouvements, elle sentit ses lèvres glisser l’une contre l’autre, l’excitation de son fils la gagna par empathie. Son souffle devint rauque autant que celui de son fils.

— Oooh…oui ! Oh oh oh ouh ! fit Théo dans un dernier effort.

Il éjacula, sa mère, dont les yeux n’avaient pu quitter l’organe de son fils depuis qu’elle les avait rouverts, eut un orgasme en réponse. Il ne fut pas extraordinaire, mais la surprit assez pur qu’elle colle sa tête contre le dos de son fils et respire bruyamment.

— C’est une bonne chose de faite. Merci de m’avoir tenu m’man, ça m’a bien facilité les choses, dit-il.

Remarquant que sa mère ne répondait pas, il se tourna. Isabelle s’écarta vivement de son fils pour ne pas tacher son t-shirt de la gangue gluante de sperme recouvrant le sexe de celui-ci.

— Tu vas bien ? demanda-t-il inquiet.

— Oui, oui.

Elle inspira profondément.

— Tout…va…bien, dit-elle avec circonspection en le regardant dans les yeux. Et toi mon chéri ?

— Bien mieux et si tu pouvais me donner un coup de main pour me nettoyer.

— Oui bien sûr.

Sans rendre compte elle prit une serviette en papier et essuya la verge de son fils.

— L’odeur est entêtante, dit-il avec un sourire timide.

Elle hocha la tête. Elle passa la serviette sur les testicules puis de nouveau sur la verge puis de nouveau sur les testicules puis sur la verge puis sur…

— Oh ! Maman si tu continues, je vais…

Son érection reprit de plus belle. Elle jeta la serviette dans la poubelle.

— Désolé je ne voulais pas, dit-elle le souffle court.

Elle regarda de nouveau l’érection et déglutit.

— Lave-toi les mains que je te ramène à ton lit après je viendrais nettoyer le lavabo, dit-elle avec un sourire crispé.

Il se tourna, sa verge se balançant de gauche à droite en continu d’un mouvement hypnotique.

— Laisse-moi faire, je peux nettoyer tout seul.

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Karine entra dans la chambre, au moment où Théo retournait dans son lit.

— Tout va bien ?

Isabelle se retourna et sourit timidement.

— Oui, ça va.

Elle demanda à son fils :

— On va boire un café, tu veux que je te ramène quelque chose ?

— Une barre chocolatée quelconque, merci.

Il reprit un livre au hasard dans la pile des non-lus.

Elles marchèrent en silence. Karine devina que quelque chose clochait.

— Ça ne s’est pas bien passé en fait ?

Isabelle réfléchit soigneusement.

— Combien de temps au minimum avant qu’il ne puisse rentrer à la maison ?

— Moins d’un mois, peut être deux semaines, dit-elle. Qu’est-ce qui s’est passé ?

— Je parle à qui en ce moment, le médecin de mon fils ou mon amie ?

Karine la regarda en fronçant les sourcils et dit :

— Ton amie, mais si tu ne me dis pas la vérité, je redeviendrais son médecin et nous changerons notre relation définitivement.

Isabelle hocha la tête, se rapprocha et parla à voix très basse :

— Donc si je te raconte ces quinze dernières minutes dans les moindres détails, tu ne t’emballeras pas ?

Karine, l’amie, hocha sombrement la tête.

Elle lui raconta tout dans le moindre détail, la seule chose qu’elle omit fut son dernier orgasme.

— Tu l’as…commença à voix haute Karine.

Sous le regard de son amie, elle reprit à voix basse :

— Tu l’as aidé à se masturber ?

Elle la regarda les yeux fous.

— Mais pourquoi ?

Isabelle blanchit en pensant à la sensation qu’elle avait ressentie.

— Je ne voulais pas que quelqu’un rentre et le voie comme ça ! Imagine un peu ce qu’ils auraient pu penser.

Karine hocha la tête.

— Oh oui je sais ! Ils penseraient comme moi que tu as…

Elle s’approcha et dit :

— Que tu as pris ton pied avec les doigts de ton fils dans la chatte et sa bouche sur tes nichons.

Isabelle frissonna à son seul souvenir et dit :

— Justement, pourquoi il a fait ça ? Il m’a dit des choses bizarres, comment l’expliquer ?

— Quand il t’a dit que tu lui semblais nerveuse et c’est pour ça qu’il t’a sauté dessus.

Karine passa ses mains sur son visage. Isabelle attendit qu’elle finisse.

— Donc, dit-elle avec un sourire qui n’avait rien de joyeux, tu penses qu’il a fait ça pour toi. Pour que tu te sentes mieux ?

La mère de Théo hocha la tête.

— Et vu que tu ne semblais pas mieux, bien sûr il a proposé de…

Elle eut du mal à respirer et ferma les paupières pour reprendre son souffle.

— Il a proposé de baiser, finit par dire le docteur.

Puis elle réfléchit et soudain se calma. Elle dit :

— Il m’a fait la même proposition.

Elle pinça du bec.

— Et pourquoi ? demanda Isabelle.

— Il trouve que j’ai un manque "flagrant" d’orgasme.

— Pardon ?

Karine lui expliqua sa conversation avec Théo. Isabelle la regarda avec un petit peu de pitié, mais demanda quand même :

— Et est-ce que c’est vrai ?

Karine la regarda méchamment :

— Tu sais bien…que oui.

— Et comment il l’a su ?

Karine se caressa les lèvres et répondit d’une petite voix :

— Il a dit que je mouillais vite.

— Je le savais, tu l’as laissé te lutiner, dit Isabelle.

— Oui, je voulais qu’il arrête de lui-même ! Et alors ! Tu veux comparer nos notes ?

Isabelle leva les mains en signe de soumission et dit :

— De toute façon, il y a quelqu’un qui a eu droit au paquet complet ?

Karine la regarda avec interrogation.

— Il m’a dit qu’il savait de source sûre que j’allais ado

Elle rougit et ne voulut pas continuer. Le docteur lui fit signe de continuer.

— Il m’a dit qu’il savait de source sûre que j’allais adorer sa queue.

Karine hocha la tête et réfléchit :

— Je vois que les infirmières de nuit, se sont-elles ou personne.

Karine s’engagea à venir voir son patient la nuit par surprise auprès de son amie.

Carline arriva au travail avec un grand sourire, cela n’était pas arrivé depuis son stage.

— Tu parais bien joyeuse ce soir, lui dit l’infirmière en chef des urgences, Caroline, lorsqu’elle passa devant elle.

— Euh ! Je…oui ça va bien aujourd’hui, dit Carline.

— Cool parce que tu es à moi jusqu’à minuit.

— Pardon ?

— Oui une infirmière de mon équipe sera en retard, Noémie m’a dit que je pouvais t’avoir.

— Mais j’ai du boulot au ser…

— Eh, pas de ça avec moi. Le service des comateux mérite peut être deux infirmières, mais avec une, il peut quand même tourner.

Carline eut un mauvais pressentiment. Elle entama son service avec une boule au ventre. Elle vit passer dix heures puis onze, la tournée des portes. Une demi-heure plus tard, Caroline vint la voir.

— Bon c’est plus calme que prévu, tu vas pouvoir y aller.

— OK merci ! Dit-elle en filant comme un éclair.

La chef la regarda partir et dit :

— Elle doit vraiment avoir quelque chose de prévu ? On dirait qu’elle a le feu aux fesses.

Carline arriva dans le long couloir. Noémie n’était nulle part en vue et la seule porte où filtra de la lumière était celle de Théo. Elle fonça, ouvrit la porte et découvrit sa collègue avec ses lèvres noires et pulpeuses autour du gland de son patient. Elle avait les yeux fermés, l’esprit concentré sur son office.

Théo la regarda avec un sourire timide. Carline ouvrit la bouche pour lancer un avertissent, mais se ravisa. Elle ferma la porte en faisant un signe de main à Théo.

L’infirmière stoppa sa fellation pour le regarder.

— Ça te plaît ? demanda-t-elle.

— Oh oui ! Et en plus c’est ma première fois avec une noire.

L’infirmière le regarda avec perplexité ne sachant si la remarque était raciste ou non.

— Ça te dérange ?

— Non, bien sûr que non, dit-il. Vous êtes toutes superbes et vos fesses…elles donnent juste envie de les malaxer.

Sa sincérité fit sourire Noémie, elle tendit ses fesses vers lui.

— Votre sourire est enfin vrai, lui confia Théo.

— Pourquoi tu dis ça mon chéri ?

— Vous êtes toujours un peu triste depuis quelques semaines.

— Je ne suis pas…triste, dit-elle avec étonnement.

Théo lui attrapa le menton et l’embrassa. Le baiser fut doux. Noémie se colla au buste de son patient. Celui-ci glissa sa main dans le pantalon d’uniforme et palpa les fesses.

Théo relâcha enfin la bouche de Noémie. Des doigts titillant son anus, celle-ci poussa un soupir d’aise.

Elle se pencha pour approcher son visage de l’entrejambe de Théo.

Noémie secoua la tête et attrapa les testicules. Elle goba un des testicules et le fit tournoyer dans sa bouche.

— Je vais faire un max d’effort pour vous. Vous garderez le sourire pendant au moins une semaine, dit Théo avec sincérité.

Noémie sentit l’index de Théo rentrer dans son anus. Il commença des va-et-vient cherchant doucement à aller de plus en plus loin.

— Attends si tu me fais ça je ne vais pas tenir, dit-elle essoufflée en le regardant dans les yeux.

Elle continua à le sucer, mais sans rompre le contact visuel. Elle se demanda comment il avait su qu’elle adorait la sodomie.

Il poussa d’un coup sec son index jusqu’à l’articulation.

— Ho ! cria de plaisir Noémie. Toi, tu sais vraiment ce qui est bon.

Elle reprit la verge en bouche et sentit du liquide sortir de l’urètre de Théo. Elle augmenta le rythme.

— Noémie, je vais éjaculer vous pouvez vous retirer.

Celle-ci ne voulut aucunement se retirer et accéléra encore.

— Humrrrr !

Théo éjacula, mais rien de comparable à la veille à la grande déception de Noémie. Elle avala les jets de sperme qui heurtèrent sa langue.

— Il n’y avait pas grand-chose à se mettre sous la dent, dit-elle.

— Oui je me suis masturbé cet après-midi, répondit-il. C’est pour ça que j’ai peu éjaculé.

(Merde pourtant je savais que je n’aurais pas dû. Au moins si ma mère avait voulu, j’aurais une meilleure excuse.)

— Dommage, j’espère qu’il t’en reste encore un peu ?

— Je sais, je sais, désolé. Maintenant c’est sûr je ne vais plus le faire. Vous pouvez me croire.

— Oh mon cur s’il te plaît ! Tutoie-moi…

Pendant qu’ils discutèrent, il avait accéléré son va-et-vient dans l’anus de Noémie.

— Oh zut, dit-elle. Je ne vais plus tenir longtemps.

Elle s’aperçut que malgré son éjaculation, Théo n’avait pas débandé. Sa verge toujours aussi tendue était recouverte de salive mélangée au sperme. Elle baissa son pantalon et son string dans un même temps et repoussa le bras Théo.

Elle sauta sur le lit prenant par surprise son patient. Elle attrapa la verge et la dirigea directement vers son anus.

— Pas besoin de te presser Noémie, je suis tout à toi, lui dit Théo.

Il attrapa une lingette nettoyante et s’essuya la main. Noémie le regarda et à ses paroles un désir la dévora.

— Oh oui et ce soir, c’est à mon tour, dit-elle.

Noémie commença à descendre sur le membre turgescent de Théo. Elle grogna lorsque le gland repoussa le bord de son sphincter. Elle poussa un peu plus fort faisant entrer le gland entièrement dans son anus.

Théo posa son pouce droit sur son clitoris. Il effectua des petits cercles avec le bout de son doigt. L’infirmière frissonna de plaisir.

— C’est magique comment tu trouves le bon point pour me faire jouir, dit-elle.

Noémie se concentra les yeux fermés. Elle sentit la verge se frayer un chemin en elle. Le plus difficile passa, le sphincter et quelques secondes plus tard elle toucha au but en sentant le contact des poils, lui indiquant qu’elle était presque à la garde.

— Ouuuuh ! C’est bon, je l’ai en moi.

L’infirmière de quarante ans ressentit chaque vibration de la tige plantée en elle. Elle en apprécia l’épaisseur et la chaleur.

Toujours de son pouce, Théo titilla le clitoris de son amante un peu plus fort. Elle tressaillit et sut qu’il était temps. Elle remonta doucement de quelques centimètres et redescendit. Elle effectua cette action plusieurs fois. Une nouvelle main la toucha lui caressant la cuisse droite, elle ouvrit les yeux.

— Tu vas bien ? demanda-t-il.

— Non mon chéri, pas juste bien ! C’est divin.

Théo décida lui aussi de s’activer. Il enfonça son majeur dans le sexe, un liquide coula au creux de sa main. Elle tira son visage jusqu’à elle.

— Oh Théo !

Elle l’embrassa, le baiser fut long et langoureux. Ils se séparèrent.

— Oh mon dieu ! fit Noémie en réponse à ses mouvements plus ample et plus rapide.

Elle finit de se déshabiller et se caressa les seins.

— J’en ai déjà connu des plus grosses, mais pas d’aussi agréable. Elle me touche juste là où il faut, je me sens en chaleur…

Théo lui attrapa les hanches et fit comme la nuit précédente.

— Je ne suis pas sûr que tu l’aies fait entrer entièrement tout à l’heure.

Il bloqua Noémie au point le plus bas et contracta ses fessiers gagnant juste ce qu’il fallait pour enfoncer le dernier centimètre et demi.

— Oh, ooooh ! C’est trop ! fit-elle.

Le visage figé dans une expression de douleur croisant le fer au plaisir. Théo la força ensuite à reprendre ses va-et-vient en la poussant sous ses cuisses.

Les lèvres de Noémie se tendirent dans un sourire, sa langue caressa sa lèvre inférieure pour éviter de crier. Mais lorsque Théo décida d’aller fort, elle céda.

— OH OUI ! Vas-y ! Défonce-moi, j’adore ta queue !

La porte de la chambre étouffa les bruits, mais ils atteignirent quand même en partie Carline. Celle-ci se leva de sa chaise avec mauvaise humeur. Elle ouvrit lentement la porte de la chambre en évitant de faire du bruit et vit une scène à laquelle elle ne s’attendait pas.

Noémie était accroupie au-dessus de Théo, la verge de celui-ci la sodomisait profondément. Carline haleta, elle ne s’attendait pas à avoir cette tige épaisse finir dans l’anus de sa collègue.

— OH MON DIEU ! Je vais jouir, je le sens ça vient ! Oooh ho ho !

De larmes coulèrent des yeux de Noémie, mais elle paraissait tellement sereine, Carline se reconnut à travers les expressions de sa collègue. Elle sentit une envie pressante lui chatouiller entre les jambes. Elle partit.

En arrivant à son bureau elle entendit un bruit de porte d’ascenseur s’ouvrir. Elle se pencha au-dessus du comptoir et le Docteur Renaud arriva avec le sourire.

— Bonsoir Carline, cela fait un bout que nous nous sommes vu.

— Avant mes vacances Docteur, après j’ai pris directement le service de nuit.

— Ma pauvre, juste après les vacances, c’est dur.

— Je ne me plains pas, je suis en forme donc tout va bien.

— C’est vrai que vous paraissez avoir fait le plein d’énergie.

— Vous ne savez pas à quel point, dit-elle avec un regard rêveur.

— C’est bien pour vous, je vous demanderai des détails lorsque vous reviendrez en journée.

Carline gloussa en rougissant. Karine reprit :

— Je viens voir un patient.

— Je n’étais pas au courant qu’il y avait de l’avancement dans l’état de quelqu’un, dit-elle en cherchant dans ses papiers.

— Non, non, ne vous inquiétez pas je viens juste voir mon patient préférer, Théo.

Une sueur froide coula le long de la nuque de l’infirmière. Noémie allait avoir une visite imprévue.

— Vous voulez le réveiller ?

— Je vais passer en coup de vent, ne vous inquiétez pas.

— C’est qu’il a le sommeil léger.

— Ah bon ? Comment le savez-vous ?

Carline se sentit piégée et dit d’un ton dégagé :

— Rien que le fait d’ouvrir sa porte pour les tournées, le réveil pour bien une heure.

Karine leva un sourcil interrogateur. Elle se demanda si elle ne s’était pas emballée, Théo était fatigué et il y avait un risque, mais après tout puisqu’elle était là autant y aller.

— Ce n’est pas grave, c’est juste une visite pour préparer son retour chez lui.

Carline y vit une opportunité.

— C’est vrai, je suis très contente pour lui. Comment sa famille se prépare-t-elle ? demanda-t-elle espérant faire durer la conversation.

— Oh… dit Karine en cherchant ses mots. Elles sont heureuses, si tout se passe bien d’ici deux semaines ils se retrouveront.

Une porte se ferma au loin.

— Je suis contente pour lui, dit Noémie en arrivant à son bureau. Il est tellement gentil, il mérite de se retrouver avec sa famille. Tu n’es pas d’accord Carline ?

— Tout à fait.

— Salut Noémie.

Noémie la salua et voulut s’asseoir, mais se ravisa au dernier moment. Elle porta une main à ses fesses et afficha une mine douloureuse.

Carline faillit être prise d’un fou rire, et quand le Docteur Renaud s’éloigna, elle chuchota à l’oreille de Noémie :

— Au moins dans la chatte, c’est douloureux, mais on peut encore s’asseoir.

Sa collègue la regarda avec appréhension. Elle ne sut comment réagir, puis décida de prendre ça sur le même ton et chuchota à son tour :

— Ça fait longtemps et je la voyais moins épaisse

Elle secoua la tête en y repensant et continua :

— Tu nous as vus ?

— Je t’ai entendue crier et je suis venue voir, répondit-elle.

Carline se lécha les lèvres et demanda :

— Comment ça s’est terminé ?

Noémie la regarda et dit :

— Je te raconte si tu me racontes.

Carline fit un signe de tète en direction du Docteur qui revenait vers elle.

— Il dort comme un loir, à croire qu’il a eu une activité intense aujourd’hui.

— Sûrement la rééducation.

Karine haussa les sourcils sachant qu’il n’en avait pas eu.

— Et quand il se réveille pendant les tournées rien de dérangeant ?

— Comme je vous ai dit, un patient modèle, répondit Noémie toujours debout.

Une fois le docteur Renaud parti, elles préparèrent un café et commencèrent à se raconter leur histoire. Carline commença et l’excitation se lut sur le visage de sa collègue. Celle-ci se trémoussait et finit par dire :

— Ouh ! Tu me donnes trop envie de me la prendre dans la chatte la prochaine fois.

Elles rirent puis Noémie démarra la sienne de la façon dont Théo, ne voyant pas arriver Carline, lui avait demandé une fellation.

— Tu es trop méchante, moi aussi je voulais le sucer aujourd’hui ! Dis Carline.

— Chacune à son tour.

Elle continua et arriva au cri. Carline l’interrompit :

— Oui c’est là où je t’ai vu, le doc est arrivé quelques secondes plus tard.

— Tu m’as vu à ce moment-là ! sexclama Noémie.

— Oh oui ! Et tu prenais ton pied, accroupie au-dessus de lui, je n’aurais pas cru voir rentrer cette queue dans un cul.

Noémie se sentit bizarre de savoir que quelqu’un avait observé sa sodomie. Elle continua tout de même son histoire.

— J’ai joui une fois puis une deuxième parce que monsieur n’avait pas fini et puis il a enfin éjaculé en moi.

Elles se regardèrent quelques secondes dans les yeux et une chaleur transita entre elles.

— Demain il est à moi, dit Carline.

— Je te le laisse de toute façon je ne vais rien pouvoir faire pendant quelques jours.

— Et ton mec ? Il ne va pas apprécier.

Elle secoua les épaules.

— Il est parti avec une plus jeune.

Carline la regarda et dit :

— Le salaud…et c’est pour ça que tu as dit que ça faisait longtemps !

— Oui, au chômage il restait à la maison et a fini par rencontrer la factrice et est parti avec.

— Le gros salaud ! Et pourquoi ne pas me l’avoir dit plutôt ?

Noémie fit un signe de dénégation de la main.

— Je ne sais pas trop, je ne voulais pas t’inquiéter pour des vétilles.

Elles passèrent la fin de la nuit à discuter de choses très personnelles. Elles n’avaient jamais parlé ainsi à cur ouvert, et se retrouvèrent avec une belle amitié sur les bras.

Leurs paroles les amenèrent à discuter de Théo et de son empathie.

— Tu sais, il a tout de suite compris que je n’allais pas bien, dit Noémie. Depuis que j’ai rompu, il n’a cessé de me caresser et de me complimenter si bien que je l’ai laissée me tripoter les fesses à plusieurs reprises.

Elle regarda Carline dont le rouge monta aux joues.

— Mais toi ! Toi, tu l’as laissé jouer avec tous le matos dès le premier coup.

Elle secoua la tête avec un sourire goguenard. Carline prit la parole pour se défendre.

— Il m’a surprise et je n’ai pas su quoi faire, dit-elle les sourcils arqués. J’ai à peine eu le temps de réfléchir que ses mains étaient sur mes seins à me titiller les tétons.

Noémie rit franchement et dit d’un ton dégagé :

— Et puisqu’il y était, autant le laisser te faire la totale.

Carline hocha vigoureusement de la tête.

La nuit passa, quelques alertes coupant de temps à autre leurs confidences.

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