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Kabir, maman et moi – Chapitre 5

Kabir, maman et moi - Chapitre 5



Résumé des quatre premiers chapitres :

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Je m’appelle Loïc, j’ai vingt-deux ans et je vis dans un petit appartement avec ma mère, divorcée depuis quelques années. Kabir m’appelle plutôt Lolo, voire Lola. Kabir, c’est le mec de ma mère. Il s’est installé chez nous depuis quelques semaines et sa présence se fait bien sentir. Il ne fait pas l’amour à maman, il la baise, dans la forme la plus vulgaire du terme. Jusqu’ici, s’il y a consentement, tout va bien me direz-vous. Sauf que Kabir est une bête qui n’aime pas se cloîtrer dans des espaces confinés : ses ébats avec ma mère ont habituellement lieu dans le salon, voire dans la cuisine, et le tout… sous mes yeux, accompagnés d’insultes, de gifles, de bifles, et d’éjaculations faciales. Maman, d’abord embarrassée par cette situation, a fini par s’y faire et l’accepter. J’ai fait de même, par amour pour ma maman, et aussi, je dois l’avouer, parce que les scènes qui s’offraient à ma vue m’excitaient bigrement.

Ainsi se déroulait notre quotidien et la joie de ma mère, qu’on pourrait certes qualifier de malsaine, me comblait également. C’était cependant trop beau pour durer indéfiniment. Kabir, dont l’appétit sexuel grandissait au fil des rapports, commença très vite à exiger de la sodomiser. Ma pauvre maman pouvait supporter un rapport anal avec un minimum de douceur et de délicatesse, mais ces qualificatifs étaient aux antipodes du caractère impétueux et agressif de Kabir. Elle n’eut d’autre choix que de refuser de subir la douleur atroce qu’il voulait lui infliger. Par conséquent, notre homme de la maison décida de délaisser ma mère en venant seulement se coucher très tard et en passant le reste du temps ailleurs. Maman sombrait petit à petit dans de graves états de dépression : la présence de Kabir lui était devenue indispensable, mais elle ne supportait pas les violentes pratiques sexuelles qu’il voulait lui faire subir.

Je ne pouvais pas laisser ma mère ainsi en gardant les bras croisés. Je me devais d’agir, et j’avais ma petite idée. Je commençai par me rendre à l’institut de beauté pour faire une épilation intégrale du corps. Désormais tout lisse, mon corps pouvait facilement être confondu avec celui d’une femme. Pour accentuer encore plus cet effet, j’enfilai des vêtements moulants et efféminés, puis me rendis dans le salon où Kabir était venu -comme rarement durant cette période- regarder un match de foot. Peut-être que si je donnais à Kabir ce qu’il voulait, en d’autres termes lui offrir ma virginité anale, il cesserait de l’exiger à maman et leur relation pourrait redevenir comme avant. Une fois dans le salon, Kabir ne manqua pas de remarquer mon petit numéro et agit en conséquence : j’eus droit à une baise d’une intensité et d’un niveau d’excitation encore inégalés, moi qui n’avais jusque-là jamais goûté au sexe d’un homme. Il avait fait de moi sa petite pute et j’adorais ça.

Pris dans l’extase de la situation, je poussais des cris de plaisir qui n’avaient pas manqué de perturber maman, dans l’autre pièce. Mais je n’avais rien vu venir dans l’exaltation du moment. Le mal était fait : maman se tenait devant moi alors que Kabir me pénétrait en missionnaire et que je jouissais de plaisir. Il surenchérit en me soulevant et en me balançant sur son chibre à quelques centimètres des yeux ébahis de maman, pour finir par éjaculer en moi et me déposer au sol comme un récipient jetable.

Fin du résumé.

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Maman, je peux t’expliquer…

Rien. Pas de réaction. Maman n’avait pas bougé d’un poil. Elle était figée sur place, ses mains recouvrant sa bouche comme pour s’empêcher de crier, ses yeux écarquillés d’horreur devant ce qui venait tout juste de se produire. À mon tour, je m’immobilisai sur place, en attendant une initiative, une réaction de quelque nature qu’elle soit. Pendant ce temps, le foutre de Kabir continuait de dégouliner du plus profond de mes intestins jusqu’au sol. Mon canal déférent évacuait à son tour quelques dernières gouttes de sperme, réminiscence du plaisir que je venais d’éprouver. Les yeux de maman se gorgeaient petit à petit de sang et de larmes. Je ne savais pas si c’était de la déception, de l’horreur, de la colère, ou tout ça à la fois. Je pris un élan de courage et me décidai enfin à briser la glace.

Maman, j’ai fait ça pour… pour toi, maman ! Tu sais, Kabir ne venait plus parce que… parce que tu ne voulais pas, tu sais… et maintenant j’ai f…

Une violente gifle interrompit mon monologue. C’était la première fois que je me souviens encore que maman m’avait giflé ainsi. Je posai ma main sur ma joue irritée par le choc, et n’osai pas affronter de nouveau le regard de ma mère.

Tu me dégoûtes ! me lança-t-elle sur un ton colérique et méprisant, le visage tordu de haine.

Elle se redressa immédiatement sur place, me jeta un dernier regard furieux, puis sortit de l’appartement en claquant la porte. Comment pourrais-je lui en vouloir ? Après tout, je ne pouvais blâmer personne d’autre que moi. Comment ai-je pu avoir l’insolence et l’hypocrisie de prétendre que j’avais couché avec Kabir pour rendre service à maman ? À vrai dire, j’essayais de me persuader moi-même que c’était le cas, mais je savais bien au fond que la vérité était tout autre. Je désirais la bite de Kabir, je voulais qu’il me baise, qu’il fasse de moi sa petite salope. Je n’avais que cette idée en tête depuis qu’il s’était installé chez nous. C’était la vérité, et je n’avais usé du conflit avec maman au sujet de la sodomie que comme prétexte pour parvenir à mes fins.

Pendant que toutes ces idées jaillissaient dans ma tête, je pouvais déceler le bruit de l’eau qui ruisselait dans la salle de bain. C’était Kabir qui se douchait. Instantanément et inconsciemment, je me mis à penser à son corps nu, à son sexe massif, et à la manière frénétique avec laquelle il me baisait quelques minutes auparavant… Je regardai mon entrejambe qui commençait à trahir mon excitation. Oui, je venais tout juste de jouir, mais mon petit pénis était mis à rude épreuve avec toutes les images cochonnes qui défilaient dans ma tête. Le bruit de l’eau qui coulait s’interrompit tout à coup, mon cur se mit à battre deux fois plus vite. Je devais le faire, du moins tenter… J’en mourrais d’envie…

Je me dirigeai donc discrètement vers la salle de bain, puis ouvris la porte en faisant mine de ne pas être au fait de la présence de Kabir.

Oh, excuse-moi Kabir, je ne savais pas que tu étais là…, dis-je la voix chancelante en apercevant mon homme dans son peignoir.

Mais mes impulsions nymphomanes n’avaient plus de secret pour Kabir, qui avait tout de suite compris pourquoi j’étais là.

Quelques secondes après, j’étais à quatre pattes devant l’énorme engin de Kabir qui débordait de son peignoir. La vue d’« en bas » était encore plus fascinante. Cet angle accentuait encore plus la taille impressionnante de son chibre. Je n’avais qu’une seule idée en tête : le prendre en bouche et ne plus le relâcher ! Mais c’était bien plus facile à dire qu’à faire. Les succions étaient certes savoureuses, mais aussi douloureuses pour ma pauvre mâchoire qui ne s’était jamais adonnée à ce type d’exercice. Heureusement, Kabir semblait apprécier grandement que j’alterne entre sucer sa bite et lécher ses belles couilles pendantes, ce que j’adorais faire et qui, par la même occasion, me permettait de ménager ma mâchoire.

Allez suce bien salope, me lança-t-il de sa voix rauque, en appuyant sur ma tête pour guider les va-et-vient de ma bouche.

Je me délectais de cette délicieuse bite et de ces succulents testicules. Je m’appliquais à faire mon travail de petite salope en regardant mon homme dans les yeux d’un air soumis et efféminé. Kabir, pris d’un spasme, repoussa ma tête d’un geste brusque. Il s’était retenu d’éjaculer de justesse. Je compris alors qu’on allait repartir pour un deuxième tour, pour mon plus grand bonheur… Cette fois-ci, c’est debout, en levrette, mes mains plaquées contre le carrelage de la douche, que Kabir me défonçait par-derrière. Ses mains s’agrippaient à mes hanches pendant que les violents bruits de ses coups de reins qui butaient contre mon cul résonnaient dans toute la pièce, et sûrement aussi dans le reste de l’appartement.

Dorénavant, t’es ma petite pute à la demande, t’entends pétasse ?! cria Kabir en se penchant vers mon oreille pendant qu’il continuait à me limer.

Oh… oui Kabir… je suis ta pétasse… baise-moi quand tu veux, dis-je en entrecoupant ma phrase de gémissements de plaisir.

Lorsque mon homme était arrivé au paroxysme de son plaisir, il m’ordonna de me mettre à genoux et d’ouvrir la bouche. Je m’exécutai. Kabir évacua plusieurs décharges de sperme qui s’écrasaient alternativement dans ma bouche, sur mes yeux, mon menton, mes cheveux, puis encore un peu ma bouche. Je me sentais sale, souillé comme jamais, et c’était le pied !

Kabir, après avoir pris sa douche, était sorti de l’appartement. J’aurais tant aimé qu’il reste avec moi… D’abord parce que j’aimais ce qu’il me faisait, et ensuite parce qu’en son absence, des idées noires me revenaient au sujet de ma mère et de sa réaction. Où était-elle ? Que faisait-elle ? Allait-elle rentrer ? Devais-je l’appeler pour voir si elle va bien ? Non, je n’avais pas le culot de me confronter de nouveau à elle en l’appelant, après ce que j’ai fait… Je me contentai alors de me confiner dans ma chambre et d’attendre… que mon homme revienne, ou à défaut que maman rentre à la maison.

Quelques minutes plus tard, le sommeil m’avait gagné, et je ne repris conscience que le lendemain matin, lorsque j’entendis toquer très fort dans la porte. On toqua une deuxième fois, encore plus fort, plus la porte s’ouvrit. Maman se tenait devant moi. Elle avait désormais une expression dure et impassible. Sa froideur me faisait peur, je ne savais pas à quoi m’attendre et je me contentai de la regarder en restant dans mon lit, en attendant la sentence.

Debout, m’ordonna-t-elle.

Je pris quelques instants de réflexion, puis me relevai et me mis face à maman, le regard toujours aussi glacial.

Écoute-moi bien, j’ai été idiote de penser que j’avais un fils suffisamment adulte et ouvert d’esprit pour mener MA vie sexuelle dans MON appartement comme je l’entends. Mais je vois que je me suis trompée, j’aurais dû t’envoyer vivre ailleurs, loin de moi et de MON homme. Tu comprends ça ?! C’est MON homme !

Maman dirigeait vers moi un doigt menaçant qui s’approchait de plus en plus de mon visage, son ton se haussait et ses yeux commençaient de nouveau à se gorger de sang. Embarrassé, je baissai les yeux vers le sol et m’immobilisai. Comment en étions-nous arrivés là ? J’étais devenu la maîtresse de Kabir, l’homme de ma propre mère, et maintenant elle me considérait comme… sa concurrente.

Si ça ne tenait qu’à moi, je t’aurais tout de suite viré, parce que je n’ai plus envie de te voir, TU ENTENDS ? Je ne veux plus te voir !

Je ne comprenais pas. Comment ça, « si ça ne tenait qu’à elle » ? À qui d’autre la décision de me virer de la maison pouvait-elle revenir ?

D’accord maman, mais… qu’est-ce qui t’empêche de me virer maintenant alors ? demandai-je, évasif.

Maman marqua un moment de silence et inspira une bouffée d’air.

Parce qu’il est hors de question que je te laisse gâcher mon bonheur et celui de mon homme.

Je ne comprenais toujours pas.

Tu vas bien m’écouter petit ingrat, et tu vas faire exactement comme je te dis !

D’accord maman, qu’est-ce que tu veux que je fasse ?

Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de Kabir. Tu le savais ?! Il te l’a dit ?!

Maman était furieuse. Elle me posait la question comme pour s’assurer que moi, la maîtresse de Kabir, n’avais pas noué des liens de complicité aussi forts avec lui, et qu’elle pouvait toujours prétendre à la première place dans ce nouveau rapport de concurrence qui s’était établi entre nous.

Non maman, je ne savais pas.

Eh bien, figure-toi que ton petit numéro éhonté d’hier lui a plu et qu’il a envie de faire voir ça à ses amis ce soir. Tu es fier de toi maintenant ?!

J’étais sidéré. Il est vrai que depuis quelques semaines, beaucoup d’événements aussi indécents les uns que les autres s’étaient enchaînés, mais ce que maman me disait-là donnait une toute nouvelle tournure à ce quotidien de débauche qui était désormais le nôtre. Je ne répondis pas à la question -rhétorique, ai-je supposé- de maman et me contentai de patienter pour la suite de ses directives.

Mais tu sais ce qu’il m’a dit aussi ?

Encore un moment de silence, encore une question qui n’avait d’autre objectif que d’exprimer le désarroi de maman, et de se venger en quelque sorte en me mettant dans l’embarras.

Non maman, qu’est-ce qu’il t’a dit ?

Qu’il est hors de question qu’un… qu’un « pédé » assiste à son anniversaire.

La voix de maman chancela et quelques larmes s’échappèrent de ses yeux lorsqu’elle prononça le mot « pédé ». Elle n’avait manifestement pas encore accepté que son fils soit une tapette, une pédale, un pédé.

Je ne comprends pas maman, tu viens de dire qu’il voulait que je sois là ce soir…

Mais pas en tant que « pédé » ! Tu m’écoutes ou pas ?!

J’écoutais, mais j’avais du mal à comprendre. Maman voulait que je comprenne sans qu’elle ait à expliquer. Mais je suppose qu’avec tout ce qui se produisait dans cette maison, mon esprit était beaucoup trop embrouillé pour jouer aux devinettes.

Maman s’en rendit compte. Elle prit une grande inspiration, ferma les yeux un instant, puis expira longuement. Elle semblait se forcer à calmer ses ardeurs. Elle avait désormais l’air plus calme, plus à même de contrôler ses émotions.

Bon, écoute, toi et moi, on va s’expliquer et régler notre différend plus tard, d’accord ? Aujourd’hui, je veux consacrer toute mon énergie à faire passer à Kabir un anniversaire inoubliable. Et toi, tu vas pas me mettre les bâtons dans les roues, tu vas faire tout ce que je te dis, d’accord ?!

D’accord maman, mais je ne comprends toujours pas ce qu’il faut faire… Je ne comprends même pas si tu veux que je sois là ce soir ou pas…

Tu vas être là ce soir puisque Kabir le veut. Mais pas en tant que « pédé ». Tu vas être une vraie fille.

Une… une vraie fille ? bégayai-je, fasciné par cette idée qui, je dois l’avouer, m’avait déjà traversé l’esprit sans que je n’ose vraiment l’envisager.

Je vois que tu t’es épilé le corps, c’est un bon début. Enfile des vêtements, on va sortir faire du shopping, ordonna-t-elle en sortant de ma chambre.

Du shopping avec maman ? Pour devenir une « vraie fille » ? J’en restais pantois. Était-ce un rêve ? J’ai dû me pincer plusieurs fois pour m’assurer que non. Les péripéties dans cette maison se succédaient à une vitesse vertigineuse, et j’étais complètement dépassé par les événements. D’abord Kabir me baise dans le salon, puis maman nous surprend, ensuite il me rebaise dans la bouche, et veut que je refasse « mon petit numéro » pour son anniversaire, et maintenant maman va m’aider à faire du shopping pour m’habiller en fille ? Dis donc, mon quotidien n’avait plus rien à voir avec la morne routine du train-train de la vie avant l’arrivée de Kabir. Je restai ainsi plongé dans mes pensées assez longuement, jusqu’à ce que j’entende une voix gronder de l’extérieur de ma chambre.

Alors ?! Tu viens ?!

C’était maman qui s’impatientait. Je m’empressai alors d’enfiler un t-shirt et un pantalon et me précipitai vers la porte de l’appartement qui était déjà ouverte.

Le trajet dans la voiture fut très silencieux. Pas un mot de par ou d’autre. Mais l’atmosphère semblait tout de même plus détendue qu’auparavant. Il n’y avait juste pas grand-chose à dire. Nous avions conclu un marché pour ce soir et c’était le plus important.

Nous nous arrêtâmes dans un parking près des galeries Lafayette, et nous y rendîmes à pied. Pour la première fois de ma vie, je me sentis concerné lorsque maman et moi arrivâmes à l’étage d’habillement pour femmes. Je me sentais renaître de nouveau. Le monde me paraissait différent. J’avais l’impression d’être dans un autre corps. Un corps plus fragile, plus doux, plus délicat. Dans la voiture déjà, je m’étais surpris à m’asseoir instinctivement les jambes collées l’une à l’autre, plutôt qu’écartées comme je le faisais généralement auparavant. Mais ça, eh bien c’était avant…

Les premières choses d’abord. Une vraie fille porte des dessous féminins et sexy. Maman prit donc le soin de me choisir une jolie culotte rose, taille haute, de la marque Love Stories. Puis une autre, taille basse, de la marque Princesse Tam Tam. J’eus également droit à un string noir en dentelle, avec de jolies fleurs rouges en motif, de la marque Aubade. Passage ensuite au rayon chaussures, où des dizaines de magnifiques escarpins et sandales à talons luisaient de toutes les couleurs. Après quelques minutes de butinage au milieu de tous ces articles, maman jeta son dévolu sur de resplendissantes sandales à talon bridé cuir de couleur dorée, de la marque La Fée Maraboutée.

Retour au rayon des vêtements, où maman me dégota une jupe noire courte, scandaleusement sexy, droite en dentelle ajourée de la marque Guess. Puis une très mignonne robe courte en col bijoux rouges de la marque Claudie Pierlot. Enfin, ma mère mit la main sur deux tops droits aux motifs colorés, l’un en rouge et en rose, et l’autre en turquoise et violet, les deux de la marque Caroll.

Nous passâmes ensuite aux cabines d’essayage du deuxième étage, pour homme, où maman fit mine de me faire essayer des vêtements pour homme qu’elle avait pris au hasard. Mais en réalité, j’essayais mes nouvelles petites tenues féminines devant maman, qui n’hésitait pas à m’aider à enfiler les robes, les jupes et ces toutes formes de vêtements qui étaient complètement nouvelles pour moi. Sans surprise, ce sont mes sandales à talon qui me firent l’effet le plus bizarre lorsque je les portais. Paradoxalement, la hauteur supplémentaire qu’elles me donnaient me faisait sentir plus frêle, plus faible. Je faiblis encore plus lorsque je me retournai pour me regarder dans le miroir. Je ne me reconnaissais pas. Maman avait un goût exquis ! Je me trouvais toute belle, et cette pensée suffisait à faire bander mon petit pénis dont la forme était perceptible à travers ma jupe moulante.

Maman me suspendit à mes pensées lorsqu’elle me tira la main pour me refiler mes vêtements d’homme avec lesquels j’étais venu. On devait y aller. Ces vêtements, que je portais quelques minutes plus tôt, me semblaient tout à coup moches, sales, et contre nature. Mais je n’allais évidemment pas m’afficher devant tout le monde avec mes robes et mes talons ! Je me résignai donc à les enfiler, en évitant de regarder mon reflet dans le miroir, puis je suivis ma mère vers le parking où nous reprîmes la voiture et nous redirigeâmes vers la maison.

Une fois de nouveau dans ma chambre, j’eus le loisir d’essayer mes nouveaux vêtements à tête reposée. De m’habituer à marcher dans mes nouvelles sandales à talons. De me voir à travers tous les angles dans le miroir. Et même de simuler les secousses que mon corps subirait dans ces vêtements lorsque Kabir me pénétrerait debout en baissant ma jupe…

Un peu plus tard dans l’après-midi, maman m’appela de nouveau. Cette fois-ci pour aller dans sa chambre. Séance maquillage !

Ne bouge pas, dit ma mère avec un ton ferme, mais très doux.

Elle commença par appliquer sur mon visage un primer, puis un fond de teint dont la couleur était similaire à celle de ma peau. Ensuite le correcteur, et un peu de blush sur mes joues. Place ensuite au remplissage de sourcils, au fard à paupières et au mascara. Sans oublier le vernis sur les ongles ! Pour finir, un rouge à lèvres bordeaux qui irait à merveille avec mon string noir aux fleurs rouges comme motifs. Maman me montra ensuite le résultat dans son petit miroir de poche. Ouah ! Le rendu était impressionnant, sacrément sexy, sans être vulgaire. J’étais devenue une jolie fille, pas une bimbo. Je n’étais plus du tout la même personne. À ce moment-là, le seul mot qui me venait en tête était « merci ». Je voulais remercier ma maman de m’avoir procuré ce sentiment nouveau, de m’avoir fait découvrir cette autre facette de ma personne. Mais les conditions ne s’y prêtaient pas pour l’instant, la soirée d’anniversaire de Kabir approchait à grands pas et nous devions nous dépêcher.

Il fallait en l’occurrence installer la table dans le salon, poser les couvercles, préparer les boissons, etc. Je m’appliquai à aider maman du mieux que je pouvais, un peu par reconnaissance et un peu parce que ça correspondait un peu à mon nouveau rôle de femme dans la maison.

Attention à tes ongles, signala maman en voyant que j’avais du mal à manipuler tout seul la table qu’il fallait déplacer.

Nous y arrivâmes finalement à deux. Tout était prêt. Maman était dans une robe noire très courte qui mettait en valeur ses formes généreuses et qui menaçait d’afficher son entrejambe chaque fois qu’elle enchaînait plus de deux pas. Ses cheveux étaient magnifiques et son parfum était exquis. Maman ne s’était jamais faite aussi belle…

Aux alentours de 21h, des rires se firent entendre derrière la porte de notre petit appartement. Ils s’approchaient de plus en plus. Mon cur battait la chamade. Une clé s’imbriqua dans la serrure de la porte. Les rires devenaient encore plus forts. Maman se mit debout et me fit un geste pour m’indiquer de faire de même.

Hé, Lola, souris un peu, me chuchota-t-elle en me tenant le menton et en me montrant l’exemple.

La porte s’entrouvrit et Kabir apparut, suivi de trois silhouettes d’hommes. La fête allait commencer…

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