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La femme dominante – Chapitre 1

La femme dominante - Chapitre 1



Un bruit de déplacement d’objet se fit entendre. Je passai la tête hors de ma chambre et vis avec surprise que les responsables du tournoi avaient enlevé les buts et étaient en train d’aménager le terrain en ring de boxe. Je courus annoncer la nouvelle à mes trois entraîneurs et amis. Ils furent tout aussi décontenancés que moi. Robert fut le premier à prendre la parole:

« Écoute, on ne va pas reculer maintenant. Je vais aller voir les responsables et leur demander ce qui se passe. En attendant, reste ici avec Bob et Karim. Je reviens tout de suite.»

Il s’en alla en me déposant un rapide baiser sur les lèvres et je l’attendis avec mes amis Bob et Karim. Mon petit ami revint quelques minutes plus tard et nous fit un briefing de ce qu’il avait appris:

« Ils ont décidé de changer de discipline. Le public n’a pas trouvé le foot assez excitant. Ils ont donc décidé d’organiser des combats à mains nues entre les filles qualifiées pour la suite de la compétition.»

Je fus choquée d’apprendre cette nouvelle. Apprendre à bien shooter dans un ballon, passait encore. Mais apprendre à me battre… Je n’avais jamais frappé qui que ce soit de ma vie. De plus, j’avais peur d’être humiliée par mes adversaires car la suite de la compétition se déroulait dans un système à élimination directe. Si je perdais, je risquais d’être soumise aux caprices de mes rivales et ça, je ne le voulais pas. Bob posa sa main sur mon épaule et, d’un ton rassurant, me dit:

« Ne t’en fais pas, Rosalie. Nous allons t’apprendre quelques bases pour que tu puisses te défendre. Premièrement, ne laisse jamais ton adversaire venir vers toi. Deuxièmement, vise plutôt le ventre que la tête lors de ta première attaque. Troisièmement, ne baisse jamais ta garde.»

Je répétai pour moi les conseils de Bob. "Ne laisse pas ton adversaire venir vers toi, vise le ventre et ne baisse jamais ta garde" À force de me répéter ces mots, je me sentis plus forte et plus confiante. Quelqu’un frappa contre la cloison. L’arbitre nous demanda d’aller rejoindre les autres dans la salle pour écouter une annonce importante. Le responsable du tournoi commença son discours:

« À la demande de beaucoup d’entre vous, nous avons décidé de changer la discipline de la compétition. Nous avons décidé de remplacer le foot par le combat.»

Des cris et des applaudissements montèrent du public. Le responsable laissa passer l’orage et poursuivit son discours:

« Mais qui dit changement de compétition dit nouvelles règles. Les règles des combats sont les suivantes: les filles combattront nues. Le style de combat sera antique. C’est-à-dire que vous serez les juges. Il vous suffira de lever le pouce vers le haut pour rendre grâce à la perdante ou, au contraire, de l’incliner vers le bas si vous estimez que la gagnante doit baiser son adversaire.»

Une clameur monta du public. Le responsable laissa à nouveau passer l’orage et conclut son discours:

« En constatant votre plaisir, nous allons débuter les combats sans plus tarder. Le premier combat de la soirée va opposer Rosalie et Pauline. Veuillez les accueillir!»

Des applaudissements se firent entendre dans la salle tandis que je montais sur le ring armée des encouragements et conseils de mes amis et de mon copain. Pauline monta sur le ring. En la voyant, je fus tout de suite prise d’un inexplicable sentiment de supériorité. Pauline était une petite brune d’environ 1,55m coiffée négligemment avec une étoile de mer en polyester. Je portai ensuite mon regard plus bas sur son anatomie. Ses seins me semblaient des piqûres de moustique(je les estimais à 75A) Quant à sa chatte, elle était épilée très grossièrement. Les touffes de poils n’étaient pas de la même densité partout. Visiblement, mon adversaire ne se respectait pas elle-même. Alors, pourquoi le ferais-je. Bien que j’aie été élevée dans le respect d’autrui, on m’a également toujours affirmé que si je ne me respectais pas moi-même, les autres ne me respecteraient pas non plus. À ce moment-là, je compris à quel point ces mots s’appliquaient à la réalité. En voyant Pauline, j’eus déjà une petite idée en tête en cas de victoire. L’arbitre nous fit venir au centre du ring et nous expliqua brièvement les interdits (étranglements, coups dangereux, etc…) puis il porta le sifflet à ses lèvres, nous donnant ainsi le signal du début du combat. Dès les premières secondes, je pus étaler ma domination (bien que je ne me sois jamais battue de ma vie) Je donnai une rapide série de coups de poing sur le ventre de Pauline qui se courba en deux. Mon adversaire se reprit et essaya de me porter un coup au visage. Je parvins à bloquer puis à le plaquer derrière son dos, ce qui lui arracha un cri de douleur. Je lui donnai ensuite un coup de pied dans le dos puis la plaquai au sol. Je m’assis de tout mon poids sur son ventre et lui immobilisai les bras afin qu’elle ne puisse plus tenter aucune sortie. Le compteur des trois secondes s’activa et le laps de temps s’écoulait. Pauline tentait en vain de se débattre sous la pression de mon corps. Les trois furent écoulées et je me tournai vers le public pour connaître son verdict. Tous les pouces étaient inclinés vers le sol. Pauline était à moi, à présent. Je me relevai tandis que ma rivale se prosternait à mes pieds en signe de soumission. Je lui ordonnai de m’embrasser les pieds et de sucer les orteils un par un. Pauline s’exécuta et un torrent d’applaudissements retentit dans la salle. Lorsque Pauline eut fini de me sucer les orteils, je demandai à ce que l’on me passe des menottes. Un responsable me les tendit à travers les bandes du ring. J’attachai ensuite une des mains de Pauline et entraînai cette dernière vers un poteau où j’attachai l’autre menotte. Pauline essaya de tirer sur la menotte mais rien n’y faisait. Je demandai ensuite que l’on me prête une chaise. Un responsable la donna à l’arbitre qui la posa juste devant le poteau. Je fis ensuite assoir Pauline et la giflai. Ce qui ne manqua pas de faire entendre le public.

« Bon, tu vas gentiment répondre à mes questions ou sinon je te gifle comme je viens de le faire, voire plus fort. Vu?

— Oui.

— Bien. Première question: As-tu encore ton entraîneur?

— Oui.

— Qui est-ce?

— Mon petit ami Michaël.

— Ton petit ami? Intéressant…»

Ma voix s’était faite libidineuse en prononçant ce dernier mot.

« Qu’il vienne!» dis-je tout excitée. Mon plan allait pouvoir fonctionner. Le responsable fit venir un garçon aux cheveux noirs et aux yeux bruns sur le ring. Michaël était un garçon "pas trop mal" comme je les appelle. Il semblait un peu mieux soigné que sa copine et avait une certaine carrure masculine qui me plaisait beaucoup. Visiblement, j’avais de la chance. Michaël me regarda d’un air curieux emprunt d’une certaine crainte. Comme il m’était lui aussi soumis grâce à ma victoire sur Pauline, je pouvais lui demander de faire ce que je voulais. Je décidai d’y aller à fond.

« Montre-moi ta queue.» lui ordonnai-je.

Michaël ouvrit la fermeture éclair de son pantalon et baissa son boxer jusqu’au niveau des genoux.

« Hummm. Jolie queue! C’est du combien?

— Du 18, 3cm.

— Du 18, 3cm? Ce serait bête de passer à côté. Voilà ta punition, Pauline. Tu vas regarder ton mec me faire l’amour.»

Des éclats de rire et des applaudissements montèrent du public. Michaël se déshabilla et je lui glissai à l’oreille:

« Sois viril et baise-moi. N’hésite pas. Défonce-moi. Que ta copine comprenne qui tu es vraiment!»

Je sentis le corps de Michaël s’embraser en entendant mes mots. Je sentis que j’allais en avoir pour mon compte. Je m’agenouillai devant Michaël et saisis son sexe. J’entamai une masturbation lente et puissante afin de mettre mon partenaire en appétit. Je sortis ensuite doucement ma langue de ma bouche et me mis à lécher les bourses pleines et le manche bien raide de Michaël avant de le mettre en bouche. Je fis d’abord de lents mouvements de va et vient sur la bite de mon partenaire puis j’accélérai le mouvement pour lui tailler une pipe magistrale dont le bruit résonna dans toute la salle. Le public applaudit un court instant et reprit le fil de notre baise. Michaël me fit basculer en arrière et me plaqua au sol. Je sentis le souffle rauque de sa respiration sur mon visage. Ses lèvres n’étaient qu’à quelques centimètres des miennes. Michaël passa à l’action et me roula une pelle. Je lui rendis son baiser et nouai mes bras derrière son dos tandis qu’il promenait ses mains baladeuses sur mes hanches et mes cuisses pour les arrêter sur mes seins et me les pétrir doucement sans interrompre notre baiser. Michaël cessa de m’embrasser et descendit sa tête jusqu’au niveau de ma poitrine et commença à me sucer les seins. Je sentis ses doigts se rapprocher de ma chatte pour ensuite la caresser et la pénétrer. Michaël fit une série de va et vient avec trois doigts dans mon antre chaude et humide qui me fit pousser de grands cris de jouissance (bien sûr, j’en avais un peu rajouté afin de faire bander le public et d’humilier davantage Pauline bien que Michaël s’y prenait très bien) Mon partenaire quitta mes seins et sortit ses doigts de mon sexe. Il fourra ensuite sa tête entre mes cuisses et se mit à me bouffer la chatte comme un mort de faim. Sa queue prit le relais de sa langue et il me pénétra. Ses va et vient se firent amples et puissants. Je hurlai à nouveau mon plaisir. Michaël poursuivit ses va et vient de plus belle. Sentant ce que mon partenaire désirait plus que tout sur le moment, je fis sortir son sexe de mon antre et me mis à quatre pattes, le cul tourné vers lui. Michaël n’eut pas besoin de dessin pour comprendre ce que je voulais. Mon partenaire prit sa bite dans sa main et la guida jusqu’à mon anus. Il me caressa ensuite le petit trou de son gland violet avant de me sodomiser violemment. Les va et vient de sa queue me firent hurler de plaisir. Mon partenaire poursuivit de plus belle en me malaxant les seins. Michaël commençait à grogner de plaisir. Sa jouissance était proche. Il se retira de mon anus et, devinant instinctivement où il voulait jouir, je me retournai face à lui et compressai mes seins pour les lui présenter. Michaël se branlait à quelques centimètres de mes seins. Il ne fallut que deux petites secondes pour m’arroser les seins de sa semence. J’étalai le sperme de Michaël sur mes seins non sans regarder Pauline d’un air provocateur. Michaël se pencha à mon oreille et me dit:

« Merci, salope. Grâce à toi, je vais enfin pouvoir la plaquer.

— De rien, mon mignon. Mais pour le moment, fais-lui sucer ton gland.»

Michaël obéit à mon ordre et le public applaudit cet acte. Je détachai ensuite Pauline qui quitta le club sans demander son reste. Michaël resta à mes côtés et nous rejoignîmes ma chambre où m’attendaient Bob et Karim ainsi que mon petit ami Robert. Et de trois. J’avais à présence quatre mecs pour m’entraîner et me baiser par la même occasion. Ce tournoi me plaisait de plus en plus. Je présentai Michaël aux trois autres et nous attendîmes tous les cinq mon prochain combat.

La suite dans le prochain épisode

Rosalie

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