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La jeune auto-stoppeuse – Chapitre 1

Une patiente voilée et la la visite médicale - Chapitre 1



J’habite à la campagne dans une ancienne ferme isolée et je travaille dans une administration du bourg voisin, à environ 30 Km de chez moi. Un soir, en rentrant du travail, presque à la sortie de la ville, j’aperçois une auto-stoppeuse. D’habitude je ne prends personne en stop, mais l’aspect de la demoiselle, fragile et si seule dans ces rues sordides, m’incite à m’arrêter. Je lui demande où elle va, et comme c’est sur ma route, je l’embarque. Dans la voiture nous échangeons quelques banalités et je suis surpris de sa vivacité d’esprit et d’une certaine maturité. La jeune fille, qui se prénomme Annie doit avoir 16 ans au maximum et je lui fais remarquer les risques quelle prend en pratiquant l’auto-stop.

— ’J’ai l’habitude’ me répond elle.

Du coin de l’?il, je la reluque et la trouve bien jolie, déjà formée presque comme une femme. En s’asseyant, sa petite jupe est remontée découvrant ses minces cuisses bronzées. Elle est charmante avec sa jeune poitrine qui pointe sous un chemisier blanc et son petit minois rieur. Sortis de la ville, nous avons parcouru environ 3 km lorsque :

— ’Excusez moi, pouvez vous vous arrêter, j’ai un petit besoin’ me dit elle en rigolant.

— ’Bon, on s’arrête dès que possible.’

Nous sommes déjà en pleine campagne, il est facile de trouver l’endroit propice à ce genre de besoin.

— ’Ici ! le coin semble tranquille’ me dit elle en pointant un bouquet d’arbres sous lequel je m’engage.

Je stoppe la voiture, la jeune fille descend fait quelques mètres dans le sentier, se retourne vers moi qui suis resté au volant, puis, en souriant se baisse pour faire pipi. Dans un premier mouvement, surpris je tourne la tête mais c’est plus fort que moi, je finis par la regarder faire. Elle a sans aucune pudeur soulevé sa jupe et abaissé sa culotte. Bientôt, devant cette vision une érection incontrôlée fait gonfler mon sexe. Voir cette gamine se soulager à quelques mètres à peine de moi est terriblement excitant. D’où je suis, il me semble deviner sa petite fente dans l’ombre entre ses cuisses et un trouble délicieux m’envahit. Elle sourit toujours en me regardant. Une fois terminé, elle rajuste sa culotte puis sa jupe et remonte dans la voiture. Je ne démarre pas tout de suite. Le silence qui suit me semble interminable, puis elle parle.

— ’Tu n’avais jamais vu une fille faire pipi ainsi?’

— ’Non, pas comme ça, et surtout pas de si près’ dis je d’une voix sourde.

Elle a un geste de sa main vers moi et me dit :

— ’On dirait que ça t’a plu’

— ’Comment ?’

— ’On dirait que ton pantalon est devenu trop étroit pour son contenu’ précise-t-elle en pointant son doigt vers ce que j’essaie de cacher depuis un moment. Je rougis violemment et fais mine de démarrer. Elle s’esclaffe :

— ’T’affole pas, ça ne me choque pas, bien au contraire’ et elle se rapproche de moi.

A cet instant je ne sais plus où j’en suis, j’ai chaud au visage, et soudain, la gamine se penche vers moi et pose sa menotte sur ma braguette. ’Que fais tu ?’ balbutie je. ’T’en fais pas, les vieux cochons ça me connaît’ répond elle, ayant déjà dégrafé quelques boutons. Je voudrais avoir le courage de résister mais son extrême jeunesse qui devrait me retenir est aussi un puissant excitant. Elle dégage ma queue dont le gland gonflé à éclater se tend vers elle.

Alors, elle se penche et pose sur lui sa délicieuse petite bouche. Je me suis rejeté en arrière et je savoure la caresse que bientôt la perverse gamine me prodigue. Sa bouche s’est ouverte toute grande pour engloutir ma queue et elle enserre ma tige entre ses lèvres. Je vois sa tête monter et descendre avec un rythme progressif. Je pose ma main dans ses beaux cheveux pour réguler son tempo. Elle me tète longuement avec ardeur et soudain je sens venir ma sève. J’ai un mouvement comme pour l’écarter mais elle s’accroche et avale en totalité les giclées de semence épaisse que je ne peux plus retenir.

Je gémis de bonheur, comblé, ma queue toujours dans sa bouche se rétractant peu à peu. Elle se relève, me sourit et me dit : ’A moi maintenant ! tu ne vas pas me laisser comme ça’ et soulevant ses fesses, elle fait glisser sa petite culotte. M’attrapant par les cheveux, elle m’attire en riant vers son petit ventre. Sa chatte mignonne, duvetée brille de sa mouille et d’un reste de pipi. Je la prends à pleine bouche et me met à la brouter. Au bout d’un moment, du bout de ma langue je débusque son petit bouton et je m’y attache, le titillant, le mordillant, le suçotant. Annie s’est renversée sur le siège et entame une mélopée de gémissements et de ronronnements entrecoupés de petits cris qui en disent long sur le plaisir que je lui procure. Enfin, avec un cri plus fort, comme un hululement, elle explose en une série d’orgasmes dont je sens les vagues dans son ventre accompagnés sur ma langue par le miel que sécrète sa chatte. Tout ceci m’a remis en forme et je bande à nouveau comme un cerf. Je me glisse à genoux entre ses cuisses et je présente mon dard à l’entrée de son petit con tout humide. Elle me retient une seconde et me souffle ’Fais attention, c’est la première fois pour moi’. J’en suis estomaqué, je pensais, vu son comportement que cette petite salope avait été sautée par au moins un régiment. Je me dis que ce n’est pas bien mais, j’en ai trop envie maintenant et, poussant ma queue dans sa fente, j’en écarte les lèvres avec le plus de délicatesse que je peux. D’abord facile grâce à sa mouille, la pénétration devient plus ardue, elle est si étroite que j’ai peur de lui faire mal.

J’observe une pause puis je reprends ma progression écartant peu à peu les chairs tendres et si chaudes. Elle gémit puis a soudain un petit cri lorsque, rompant son hymen, je suis enfin enfoncé complètement en elle. Elle me sourit avec malice. ’Ca y est vieux cochon, tu l’as eue ta pucelle’. Ce langage me rassure et m’excite et je commence à aller et venir dans son ventre qui peu à peu bien que toujours serré s’assouplit et se moule à mon membre. Cette petite est un coup du tonnerre, je suis si bien dans son petit con si tendre que je ne voudrais plus en sortir et je me retiens, prolongeant l’étreinte imprimant un rythme tour à tour lent et effréné.

Longtemps, je la lime ainsi au point qu’elle a plusieurs orgasmes avant qu’à mon tour, me retirant à temps, j’explose enfin inondant son ventre et ses cuisses d’un sperme épais.

’Eh bien, espèce de salaud, on peut dire que tu m’as fait jouir’ me murmure-t-elle à l’oreille après un long moment où nous sommes restés comme sans vie écrasés l’un sur l’autre. Me soulevant, encore un peu engourdi, je pose mes lèvres sur les siennes et elle répond à mon baiser. Nous restons ainsi embrassés quelques instants puis je me dégage et reprends ma place au volant. Nous rajustons nos vêtements et je lui demande si elle veut que je la raccompagne. Elle acquiesce et quelques minutes plus tard, je la dépose à l’entrée du hameau où elle habite avec ses parents. En me quittant, elle me dit : ’Qu’est ce que tu fais après dîner ?’ ’Rien de spécial, pourquoi ?’ ’Trouves toi ici vers 9 h, j’ai la permission de minuit, ce sera suffisant je pense pour reprendre notre conversation de tout à l’heure’. En me disant cela, elle a un air si coquin que ma queue frémit à nouveau dans mon pantalon. Et c’est ainsi que le soir même, la petite Annie venait chez moi pour une petite partie de jambes en l’air, mais c’est une autre histoire?

Cristobal

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