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La voyeuse – Chapitre 11

La voyeuse - Chapitre 11



Résumé de la voyeuse 10

Qu’attendait-il pour se déboutonner, pour lui montrer ce qu’elle attendait? L’il aigu, les lèvres pincées, il la surveillait, immobile comme une statue.

-Déshabillez-vous, dit-il finalement.

-Vous le désirez vraiment ?

    La voyeuse 11

-oui, cela me plairait énormément parce que vous me plaisez parce que je vous devine autre, très différente des autres femmes. Je vous en prie, déshabillez-vous. Sans doute en avez-vous autant envie que moi et je me demande ce qui vous retient.

-Peut-être le plaisir de différer, de faire durer ce qui est plus que le plaisir.

Elle rectifia sa tenu mais une de ses mains disparut sous sa robe. Elle caressa lintérieur de ses cuisses, sursauta lorsquelle toucha les lèvres humides de son sexe. Que lui importait maintenant son ménage, Robert, toutes les histoires familiales qui nétaient que difficultés et ennuis ? Tout seffaçait en ce moment de plaisir, en ce laisser-aller qui la transportait en un monde dissemblable de tout ce quelle voyait et entendait.

-Cest bon, dit-elle.

-Quest-ce qui est bon ? demanda Alfred, légèrement penché vers elle, la verge pointée dans le pantalon.

-Lamour, le plaisir dy toucher, mon égoïsmeCe nest pas votre jouissance qui mimporte, mais uniquement la mienne. Mais, vous mapportez la liberté de faire ce qui me plaît le plus. Vous êtes le témoin de ce que je suis : une dévoyée, une dévergondée aux mauvaises habitudes Mais je ferai tous les gestes, je dirai toutes les paroles que vous désirez voir ou entendre parce que cela me portera vers la jouissance

Elle se mit debout, se plaça devant le miroir. Posément elle se débarrassa de sa robe, sexamina longuement. Les jambes étaient belles, charnues sans empâtement. Les bas soyeux, montant très haut, les mettaient merveilleusement en valeur. Malgré son soutien-gorge, elle se rendait compte de la fermeté de ses seins, de leur volume réel, de lagacement voluptueux de leurs bouts volumineux.

Elle frissonna, mit ses jambes en ciseaux, le regard attaché à son triangle sombre, gouffre toujours si attirant dont lémoi renaissait à la moindre pensée érotique. Et des pensées érotiques elle en avait dès le matin, même quand elle était encore à moitié ensommeillée

Elle défit les agrafes de son soutien gorge, les bras haut levés découvrant de belle aisselles, nids odorants des baisers quelle singéniait parfois à leur donnerParfois elle se disait quelle avait trois cons, que toutes les ouvertures de son corps étaient des cons

Elle joua de ses seins, les soutint de ses paumes bien quils neussent besoins daucun soutient. Les bouts saillirent, provocants, tentation de lil, des mains et des bouches voraces qui Puis ses bas coulèrent le long de ses cuisses, dénudèrent ses genoux et ses mollets. Elle sen débarrassa en levant un pied après lautre. Lestafilade ombrée de son sexe devint visible.

Dans le miroir, à côté de son image, quelque chose bougea dans le fond de la chambre. Alfred se levait. Son pantalon était ouvert et son sexe turgescent oscilla lorsquil vint se placer près delle. En la regardant dans les yeux, il se colla contre sa cuisse. Elle ne put sempêcher de sursauter à ce contact. Il était dur et long, très chaud.

-Non, pas ça, dit elle. Jaime mieux

-Je sais, répondit il. Moi aussivous êtes merveilleuse ainsi, maintenant que jai compris ce que vous aimez ou ce que vous préférez.

-Expliquez-vous, répéta Elsa. Je suis trop nueet je ne veux pas sentir ça contre ma peau.

Alfred se mit à rire. Il empoigna ses seins, lembrassa dans le cou, mordilla sa nuque, ses oreilles et ses épaules. Elsa laissa tomber le bras. Sa main rencontra la verge droite et dure. Ses doigts entourèrent le cylindre, le serrèrent avec une sorte de violence, lagitèrent ensuite. Lhomme eut un sursaut. Il se rapprocha dElsa, épousa la courbe généreuse de la croupe de son ventre tendu.

-Éloignez – vous, dit encore Elsa. Ce nest pas de jeu je naime pas vous sentir si près ce nest pas dans nos conventions.

-Et dans le bois ? Ce nétaient pas nos conventions non plus. Cependant vous avez accepté et même queEn tous cas vous navez pas caché votre plaisirVous avez très bien joui

-Et pourquoi restez-vous ainsi ? Cest tellement obscène, ce pantalon ouvert, cette queue sortieje vois vos couillescest trop indécent.

Alfred par derrière la saisit aux cuisses, les força à sécarter. Elsa fut obligée de pousser le ventre en avant, de montrer sa motte gonflée. Son regard sy attacha et la chose lexcita au point que son clitoris saillit dentre ses lèvres, tel un piment planté dans un bouquet de poils. Elle serra davantage entre ses doigts la verge dAlfred, passa sa paume sur le gland moite qui était dénudé. La tête lui tournait. Délicieux vertige quelle ne connaissait pas auprès de Robert qui était dénué de toute fantaisie. Cest sans doute à cause de cela quelle ne jouissait pas en sa compagnie. Ceci nétait plus une corvée. Alfred la comprenait, ne forçait pas. Il acceptait son vice, nessayait pas de cacher le sein.

Alfred sarracha tout à coup à sa main et séloigna.

-Faites lamour, dit-il. Faites-le

En quelques gestes rapides il se dépouilla de ses vêtements, alla sassoir sur le divan, les genoux écartés, la verge en obélisque. Elsa le voyait dans le miroir comme à travers une brume légère et mystérieuse.

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