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nadine – Chapitre 3

nadine - Chapitre 3



Nadine suite

Je partis donc de lappartement, il était minuit, en laissant ma femme et ma sur en pleurs, ne leurs pardonnant pas de mavoir trompé toutes ces années.

Ce nétait pas le fait quelles maient trompé que je prenais mal, mais le fait quelles ne maient rien dit. En plus je venais dapprendre que cétait avec le frère de ma femme avec qui je la pensais fâchée et que ma nièce Manon était de mon beau-frère et quelles avaient initiées mes deux filles et mes deux nièces à lamour entre filles et cela sans men dire un mot. Je me doutais en plus quelles navaient pas dû me tromper quavec mon beau-frère, jen appris bien plus, plus tard ce soir là et je vous raconterais dans une autre histoire, comment je me suis vengé.

Je savais où aller pour passer ma nuit, il me suffisait de rejoindre le studio de ma fille que je pensais libre vu quelle était en vacances avec une de ses copines en Espagne et ne devait revenir que dans 15 jours.

Jarrivais au studio à deux heures du matin, javais la clé donc pas de problème, jouvrais la porte entrais et allumais la lumière. Le studio est composé de deux pièces, une grande avec une cuisine à laméricaine et un grand salon qui sert aussi de séjour et une chambre où se trouve une grande salle de bain avec baignoire dangle.

Jallais directement à la chambre décidé à prendre une douche et à me coucher, jaurais tout le temps le lendemain pour réfléchir.

Jentrais dans la chambre et comme avec la lumière du séjour je voyais très bien allais dans la salle de bain où la je me déshabillais et prenais une douche.

Je ressortais de la salle de bain à poil, allais éteindre le séjour et toujours sans allumer car la lumière de la rue est suffisante pour y voir pour se coucher et dormir, je vis bien que le lit était défait mais je pensais que ma fille navait pas eu le temps de le faire avent de partir, en plus ce nest pas la reine du ménage.

Jeus la peur de ma vie en sentant bouger quelquun et lentendre hurler.

« Mais qui est là ? » dit une voix de femme, que jeus du mal à reconnaître, toute embrumée par le sommeil quelle était. Jallumais la lumière et quelle ne fut pas ma surprise de voir ma fille aînée, Mélissa.

« Que fait tu là toi ? »

« Javais une remise à niveau au CRESS, cette semaine maman le sait mais et toi, »

« Je viens de quitter ta mère »

« Tu es fâché avec maman, pourquoi grand dieu vous qui êtes inséparables et tatie elle est où ? »

« Jai appris cet après-midi que ces deux chiennes mavaient trompé, alors je me suis mis en colère »

« Ah tu as appris, oui, je savais mais elles mont fait jurer de ne rien te dire, je les ai vues un jour avec loncle Jean »

« Jean, mon frère ? Non Robert le frère de maman »

« Non papa, tu te trompes Jean ton frère et le frère de Nadine ta sur. »

« Ben merde alors et ils couchaient tous les trois ensemble? »

« Oui, ils étaient dans ta chambre, javais 16 ans à lépoque, il venait souvent les voir quand tu étais en poste à Beyrouth et cousin Marcel aussi. Et un jour je suis rentrée de lécole plus bonne heure que dhabitude et je les ai vus mais tu sais ce nétaient pas les seuls à venir car souvent jai vue partir des voitures de la maison quand jarrivais de lécole, je peux bien te le dire puisque tu le sais pour Jean »

« Non mon poussin, je le savais depuis cet après-midi, pour Robert le frère de maman qui est le père de Manon, pas pour mon frère et encore moins pour Marcel, ni les autres. Moi qui pensais quelles étaient fidèles et qu ne les ai jamais trompées. Tu me diras je me suis vengé cet après-midi, jai dépucelé Manon et jai fait lamour avec Elodie dans son magasin, jy ai défoncé son petit cul à celle là, comme ça, son âne de mari est cocu aussi, elles ont tellement gueulé, que toute la ville doit être au courant.»

« Tu as dépucelé Marion ? Super ça, elle est bonne au lit cette gamine une véritable bombe et si elle nest plus pucelle ça va être le pied. Pour le mari dElodie, je sais que maman a couché avec lui et elle, alors tu vois ce nest pas grave, cest Elodie qui me la dit»

« Ca elle ne me la pas dit cette petite salope mais elle ne perd rien pour attendre »

Jétais toujours à poil et assis sur le lit mon sexe pendait entre mes jambes en appui sur mes burnes et je vis le regard de ma fille se porter dessus.

« Excuse-moi, »

Je pris le drap et me couvrais.

« Dit donc papa, tu es monté comme un bourricot, je nai jamais réussi à te voir nu quand jétais gamine, heureusement jaurais eu la trouille, moi qui voulais que tu me dépucelles, jen rêve encore, tu sais. »

« Tu vas pas me dire que tu es encore vierge à trente ans, même si tu nes pas mariée tu as dû prendre quelques coups de chibre quand même »

« Je ne suis plus vierge, non mais des coups de chibre je nen ai pas pris beaucoup car je préfère les filles mais des mandrins comme le tien cest bien le premier que je vois et en plus il est au repos jaimerais le voir quand il est en forme»

« Ca ce nest pas dactualité ma fille, je veux dormir pour le moment et je nai nullement lintention de faire lamour à ma fille »

« Lamour non, mais laisse moi le voir »

Elle tira le drap.

« Ho la, la, quel engin, laisse moi le toucher sil te plait »

« Non, je dors »

Je mallongeais et me tournais sur le côté, je sentis sa petite main passer sur mes hanches et venir me prendre la bite, elle me chuchota à loreille,

« Laisse toi faire, je veux juste le branler, pour le voir en entier »

Je la laissais faire bien sûr, car moi aussi javais envie delle depuis longtemps et je ne fus pas long à avoir un mandrin énorme.

Je me tournais vers elle et lui dis.

« Tu le veux dans ta petite minette »

« Jen crève denvie oui, mets moi la papa »

Cest elle qui me prit la bouche dans un baiser brûlant, je caressais ses petits tétons et son petit cul bien musclé pour arriver à sa chatte toute rasée et son petit trou si doux sous les doigts.

« Vas doucement quand tu me le mettras, jai pas lhabitude de si gros et si tu mencules, élargis moi avant, jadore ça avec un gode mais je ne lai jamais fait avec une bite et surtout pas si grosse »

Elle se mit en 69 sur moi et je fus surpris, cétait la première femme à me faire une vraie pipe, elle arrivait à entrer mon sexe en entier dans sa bouche, je sentais sa gorge se déformer sous mon gland et elle ne fut pas longue à en prendre plein la bouche, quelle avala dun trait avec gourmandise.

« Cest super bon dit donc, cest la première fois que jen avale et aussi que je suce un mec »

« Toi tes la princesse des suceuses, tu es la première femme à pouvoir mavaler en entier. »

« Jadore ton gros chibre mon papa »

Elle se mit sur le dos et mit ses jambes sur sa poitrine et me dit « viens, me la fourrer »

Je navais pas débandé tellement lexcitation de prendre ma fille était forte et je mis mon gland sur sa vulve et menfonçais en elle. Elle était étroite mais comme elle mouillait énormément ce fut une pénétration idyllique, jentrais en elle jusquaux couilles et la pistonnais sans ménagement, de tout le long de ma grosse bite, elle avait lhabitude des godes qui sont bien plus durs que les bites, je pense que les voisins ont dû croire quune truie se faisait égorger tellement elle gueulait fort sa jouissance.

« Encule moi papa, encule moi vite, tu vas me faire mourir dans ma chatte » elle avait du mal à parler et des larmes lui coulaient, de la bave lui coulait sur le menton.

Alors je sortis mon pieu de son ventre pour le poser sur sa rondelle qui souvrit comme un bouton de rose au printemps.

« ha, oui, cest bon, oui vas-y rentre la toute, ho tu me défonces le cul papa, comme tu me défonces bien cest bon je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis »

Tout le long de lenculage elle jouit comme une folle jusqu’à ce que je lui déverse le peu de jus quil restait dans mes couilles au fond de son ventre.

« Papa, je navais jamais joui comme ça, ta queue est une merveille, ça vaut tous les godes de la terre »

Je mendormis dans ses bras et tout le lendemain nous baisâmes, ou dans la chambre ou dans la cuisine, je lenculais à tours de bras car elle adorait ça et toute la journée nous la passions à poil et à triquer comme des bêtes, nous prenions juste le temps de manger et daller aux courses pour remplir le frigo, nous restâmes seuls, jusquau retour de sa sur qui nous surprit au lit en rentrant avec sa copine.

Nous ne les avions pas entendues et jétais en train de la prendre dans la chatte quand elle sont entrées dans la chambre, attirées par les hurlements de ma fille.

« Que faites-vous là tous les deux ?»

« Ben tu le vois bien, je baise avec papa »

« Cest ton père et tu baise avec ? »

« Si tu voyais son chibre tu viendrais vite en prendre un coup ma pauvre Carine, toi qui adores les gros godes tu serais servie »

Jétais toujours dans le ventre de ma fille et le sortis pour que les deux arrivantes le voient.

« ha ça cest une queue monseigneur, jai jamais vu aussi gros, cest du calibre de grosse truie ça, jen veux un coup »

« Moi en premier, je suis pucelle et je la veux dans mon abricot tout de suite, en plus je suis encore toute mouillée car tu nas pas arrêté de me branler tout le long, elle va rentrer comme dans du beurre, il baise la grande alors la petite y a droit aussi. Depuis que je veux quil me dépucelle avec sa grosse trique, comme dit maman et elle est où cette grosse chienne » dit ma fille Sandra.

Ni une ni deux les deux filles furent à poil, trois femmes pour moi tout seul et un dépucelage qui allait venir ma trique grossit deux fois plus mais je dis à Sandra.

« Il faut dabord que ta sur te prépare ma puce car tu sais il est dur à entrer dans les petits minous comme le tien. En attendant je vais un peu ramoner Carine en levrette pour maintenir la pression, viens là Carine mets toi à genoux par terre, laissons leurs le lit. Ta mère est à la maison on texpliquera après »

Carine se mit en position de levrette le cul bien en lair et je lui dis

« Tu aimes vraiment le gros gamine, tu vas être servie »

et sans autre forme de procès je poussais mon gland dans sa fente, comme dans du beurre mais le premier coup la fit gueuler.

« Oui, ça cest une vraie bite à cochonne, putain que tu es gros salaud, cest mieux quun gode ça au moins cest du vivant, vas-y défonce moi gros con »

« Tu en veux de la queue du vieux, je vais te ramoner ta figue jusqu’à ce que tu nen veuilles plus merdeuse et je vais texploser le cul, grosse truie, quel âge tu as 20 ans il te restera toute ta vie pour ten rappeler de la queue du vieux, et du ramonage que tu vas prendre, je vais te remplir de foutre jusquau trognon de ta connasse petite poufiasse».

Je la montais comme une pute des rues sans prendre aucune précaution pour sa moule offerte, je lui défonçais sa matrice en allant bien au fond de son ventre, je ne sais pas combien de fois elle avait joui quand enfin elle seffondra sur le ventre nen pouvant plus den prendre, alors sans plus de ménagement je lui soulevais le cul et poussais dans sa rondelle, un cri énorme lui sortit des entrailles, jétais au fond de son cul et le lui défonçais proprement si on peut dire ça pour un cul.

« Tu veux être grossière merdeuse, je vais tapprendre la politesse moi, envers les vieux qui ont un gros chibre, tu vas voir si je suis un gros con, petite salope, cest pas demain que tu vas pouvoir te faire rebaiser».

Je lui pilonnais le cul bien 10 minutes mais je voulais en garder sous le pied pour ma fille Sandra. Comme celle-là ne bougeait plus le cul complètement explosé et quelle avait lair de nen plus pouvoir de jouir. Je montais sur le lit et prenais la place de Mélissa entre ses cuisses.

« Tu vas pas y aller comme ça avec Sandra papa ? »

« Non ma chérie mais jai horreur quon minsulte, elle la bien cherché, elle a dit quelle aimait le gros, là elle sait ce que cest du vraiment gros qui dure longtemps, vas la caresser ça la changera »

Je mangeais la figuette, de ma petite Sandra elle jouissait tendrement, je lui caressais ses seins, si petits et si durs, je vins lui prendre doucement sa bouche, elle avait encore le goût de sa sur, si particulier comme le jus dune huître.

« Tu veux vraiment que ce sois moi ma chérie, tu nas pas peur, tu es sûre mon amour ? »

« Oui papa, vas-y et ne te retire pas si tu jouis, promets le moi, je veux sentir ton sperme dans mon ventre, jai des pilules dans mon sac »

« Je te jouirais bien au fond mon amour »

Elle souleva ses genoux et moffrit le plus beau cadeau de ma vie, sa petite vulve bien huilée où je posais mon gland et le fis entrer lentement, quand je sentis son hymen je lui pris la bouche et mêlais ma langue à la sienne. Je poussais sur lhymen et le sentis se déchirer elle eut un petit soubresaut et un gémissement dans ma bouche mais continua notre baiser damour, je la laissais reprendre sa respiration et se décontracter et alors je lui fis lamour comme à une reine lentement. Je sentais son vagin palpiter au rythme de son cur, tout autour de ma verge, elle jouissait, me suppliant de continuer, daller au fond de son ventre.

« Je taime papa, si tu savais comme je taime mon amour »

« Je ne voulais pas que cela dure trop longtemps pour ne pas trop lui faire mal, alors je laissais monter mon foutre de mes couilles en ébullition. Je poussais bien au fond à sentir son utérus contre mon gland et je jouis en même temps quelle poussait un cri énorme de jouissance. Mon sperme monta par grandes saccades, très fortes, il devait taper contre le fond de sa matrice, tellement je le sentais monter fort, elle jouissait à chaque flot de sperme en elle. Bien plus tard quand je fus devenu mou je laissais sortir mon sexe, cest Mélissa qui vint le prendre en bouche pour le sucer avec douceur et me dire.

« Je nai jamais rien vu de plus beau que ce que vous venez de faire tous les deux, papa je taime, si tu savais comme jaurais aimé que tu me fasses pareil à son âge et comme je regrette de ne pas avoir été pucelle pour toi »

Le lendemain Sandra me réveilla vers dix heures et nous refîmes lamour, comme la première fois.

Carine dormait encore et Mélissa préparait le petit déj, puis elle vint nous rejoindre et nous fîmes lamour à trois, elle voulait absolument que je prenne sa sur par le petit trou mais je refusais.

« Je viens juste de lui en dépuceler un, elle peut encore garder celui-là quelques jours, laisse la en profiter » lui dis-je.

Carine se réveilla vers midi et la première chose quelle dit fut.

« Je vais prendre une douche, jai mal à ma chatte et à mon cul, tu mas défoncée mais jespère que quand jirais mieux tu men mettras autant, cest la première fois que je mévanouie en baisant, jai cru mourir tellement tu mas faite jouir merci, tu es un amour et jadore ta queue »

je vous écrirai la suite si vous aimez. [email protected]

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