Histoires de non consentement Histoires gays Histoires tabous

L'abbé tisse sa toile – Chapitre 8

L'abbé tisse sa toile - Chapitre 8



Je léchais l’intimité de ma mère et Jackie m’encourageait toute en me caressant.

Ma bouche s’activait sur l’anus de ma mère dont le sperme s’écoulait sans discontinuer.

Ma mère se laissait faire, son excitation était retombée mais son corps qui s’était détendu accompagnait en cadence les mouvements de ma langue.

J’étais à quatre pattes et Jackie, derrière moi, s’occupait de mes testicules, puis, elle se concentra sur mon petit trou, un doigt, deux doigts qu’elle faisait coulisser avec une extrême douceur.

Je bandais à nouveau !

Regarde, ton fils est comme toi ma chèrie il aime qu’on s’occupe de son cul !

La mère est une salope, il semblerait que les chiens ne font pas des chats.

Regarde moi ça il bouge son cul mieux qu’une vraie cochonne !

Et tu n’es pas au bout de tes surprises tu vas voir à quel point il te ressemble

Jackie avait introduit trois doigts qu’elle agitait circulairement pour élargir ma rosette.

J’accompagnais ce mouvement avec mon cul et prenais beaucoup de plaisir, elle connaissait parfaitement mon penchant pour ces caresses.

Elle enlevait se doigts, crachait sur mon cul, recommençait à me doigter, et d’un seul coup j’ai senti passer une chose bien plus grosse que ses doigts.

Jackie poussait d’un coup sec le plug qu’elle avait préalablement mis à ma mère.

J’avais l’impression d’être empalée, la douleur était tout juste supportable mais je sentais mon sexe frétiller.

Tu vois, Sandrine, il aime ça, je suis sure qu’il a envie comme sa mère d’une bonne bite dans le cul !

Je commençais à protester mais immédiatement Jackie serra mes couilles, ce qui indiquait qu’il fallait me taire et obéir.

Elle m’avait dressé et j’obéissais.

Elle me caressait la croupe avec ses ongles et tournait autour du plug, je sentais monter en moi des bouffées de chaleur étranges.

Ma mère se mit à crier en disant que Jackie était une malade que ça suffisait, maintenant il fallait que je rentre et qu’elle arrête de profiter de moi ainsi !

Jackie me fit me relever, ce qui fut très compliqué avec ce gros bout de plastique dans le cul.

Bon , laisse nous seules je vais parler à ta mère, toi tu vas te changer, tu sais comme j’aime et prends le rouge .

A la manière dont je me suis immédiatement dirigé vers la chambre d’ami, je pense que ma mère avait compris que je connaissais les lieux et donc Jackie depuis plus longtemps qu’elle ne le pensait.

Comme j’aime, cela voulait dire en femme, le rouge signifiait que je devais prendre l’ensemble que j’avais dérobé à ma mère.

J’entendais les deux femmes s’engueuler et soudain plus de bruit.

Jackie avait sans doute pris le dessus !!!

Cette dernière me rejoint et me demande d’accentuer le rouge à lèvres .

Cela te va si bien ma petite pute !

Mon mari va pas tarder, je veux que tu t’occupes de lui !

Tu as bien compris ce que je te demande ?

Oui, Jackie ! Je savais que de toute manière j’allais obéir et qu’il ne servait à rien de contrarier ma maitresse en lui disant que je voulais pas.

Tu mets une jupe et un chemisier et tu l’attends dans le salon tu lui diras que je dois revenir plus tard !

Bon je retourne m’occuper de ta mère, elle en redemande….

Effectivement une dizaine de minutes plus tard Robert était rentré, la soixantaine bien portante, de taille moyenne il me regardait et ne semblait pas plus surpris que ça de me voir dans son canapé.

Il sentait l’alcool à plein nez et son allure négligée ne m’encourageait pas à suivre les ordres de sa femme.

Elle est ou la nympho? me dit il en décapsulant une bière.

Elle va revenir, elle m’a dit de l’attendre, Robert était chancelant il réussit tout de même à s’asseoir sur le canapé à mes côtés.

Il éructait plus qu’il ne parlait et ses propos n’avait guère de sens.

Il traitait Jackie de tous les noms.

Il puait la transpiration, il s’est mis à me caresser la joue avec ses gros doigts.

T’es mignonne toi, t’es mieux que ma salope de femme et puis t’es jeune.

Maintenant il avait sa main sur ma cuisse .

J’ai pris l’initiative de peur qu’il s’aperçoive en remontant sa main que je n’étais pas celle qu’il pensait.

A mon tout j’ai posé ma main sur le haut de sa cuisse , il a tout de suite ouvert sa braguette et pris ma main pour la guider sur son sexe .

la taille de sa queue semblait plus que respectable mais il ne bandait qu’a moitié.

Il s’est mis à m’embrasser, j’en avais horreur, son haleine fétide me révulsait alors j’ai me suis penché sur lui pour pouvoir prendre cette queue dans ma bouche.

Son entrejambe sentait la pisse, il devait pas se laver souvent mais j’ai commençé à têter doucement son gland, sans jamais devenir dur son érection a pourtant augmenté.

Robert poussait ma tête pour que je l’avale en totalité, je faisais de mon mieux mais d’un seul coup un petit jet de pisse me fit m’étouffer.

OUAIS , ca m’arrive de temps allez avale c’est la première gorgée la plus dure allez continue tu suces bien salope, tu vas voir, je suis sur que tu aimes le jus de vieux !!!

Il me pris par les cheveux et imprima et me força à reprendre son sexe en bouche, il imprimait un mouvement rapide et ses mains me tenaient fermement.

Il a joui dans un grognement sourd son jus sortait de ma bouche pour recouvrir ses couilles velues.

Putain ça fait du bien , tu sais y faire toi .

Garde le encore dans ta bouche, j’aime bien …

J’ai entendu tousser derrière moi je me suis relevé Jackie et ma mère me regardaient.

Ma mère semblait horrifiée par ce qu’elle voyait.

Son fils avec du rouge à lèvres et du sperme plein le visage dans ses propres sous vêtements venait de tailler une pipe à un vieux dégueulasse.

Jackie était aux anges …..

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire