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L'autre sexe au naturel. – Chapitre 6

L'autre sexe au naturel. - Chapitre 6



À peine 8 jours après mon dépucelage, me voilà engagé comme initiatrice des deux filles de Gladys. Elle m’entraîne vers une chambre à porte coulissante. Elle n’est pas fermée. J’entre dans une pièce digne des contes des mille et une nuits. Un large matelas, des coussins à profusion et des draps de satin de couleurs flashies. Elle me fait allonger et me masturbe.

Pour qu’elles soient impressionnées, dit-elle, hummm.

Elle pose sa bouche sur mon sexe et agace mon méat avec sa langue. Je bande comme un taureau, si je puis dire. Elle passe entre mon prépuce et mon gland. Grande découverte pour moi, elle joue avec mon prince, je soupire d’aise.

Les filles viennent nous rejoindre en s’accroupissant de chaque côté, à la hauteur de mon bassin. Abou, la plus jeune des deux, aventure une main sur mon ventre avant de se saisir de ma colonne de chair.

C’est chaud, c’est vivant…

Sa mère la force à approcher sa bouche, aux lèvres pulpeuses, du sommet de ma verge. Abi, qui reste en arrière, se touche. Sa mère la force à rejoindre sa sur qui me lèche divinement bien. Partant du sommet, elle descend jusqu’aux couilles. C’est bientôt trois langues qui m’humidifient la bite. Je suis tendu comme un arc. Je soupire. Une fille de chaque côté et la mère entre mes cuisses. Ce spectacle dure un moment, puis elle les fait s’allonger de part et d’autre de mon corps.

À toi de jouer, Abi. Fais de mes filles de vraies femmes. Elles n’attendent que ça. Sans préliminaire, elles connaissent que trop bien. Ce qu’elles veulent c’est de sentir une verge palpiter au plus profond d’elles. Abi, l’aînée sera la première. Comme cela, tu auras l’impression de me baiser. Hihihi.

Je me place au-dessus d’Abi qui me regarde avec envie. Sa mère me saisit la queue et la place sur les lèvres de sa fille. Je descends lentement en regardant ma queue se frayer un chemin au travers de ses lèvres. Elle a dû avoir de l’entraînement avec ses godes, ça rentre tout seul.

Hummm, c’est chaud, dit Abi, ça vit en moi… OUIIIII !

Vas-y gaillardement, elle a l’habitude, elle n’est pas en sucre, me dit sa mère.

Je suis surprise, elle m’accepte jusqu’à la garde. Elle me regarde amoureusement, comme si j’étais la personne parfaite pour sa première fois. Je suis sortie de ma contemplation par une claque.

Vas-y, défonce-la !

J’accélère le rythme, laissant mon gland bien au chaud. Je le perfore et elle soupire à chaque fois. Sa sur vient les lécher les seins, lui mordille les tétons. Sa mère est en train de me lécher les fesses et introduit deux doigts dans mon anus. Je suis aux anges. À cette cadence, je ne vais pas tenir longtemps. Je la place en levrette. Elle écarte ses fesses et me regarde par-dessus son épaule.

Chaque chose en son temps, lui dis-je, pour l’instant, tu vas te cambrer et apprécier ma queue au fond de ta matrice.

J’y retourne, à califourchon, sa mère me guidant. Cette fois, c’est plus brutal, plus bestial. Elle mord dans un coussin, mais on peut entendre ses gémissements. Ses grosses fesses claquent sur mes couilles. Une onde de plaisir remonte le long de ma queue et j’explose au fond de son con. Elle exulte, je râle. Je me laisse retomber sur son corps. On s’embrasse comme des folles. Elle a ressenti mon sperme gicler en elle comme un geyser.

Je me retire et sa mère vient me nettoyer la verge et les couilles.

Merci Gaby, maman a raison, c’est bien meilleur avec une vraie, me dit-elle, puis en caressant les minuscules seins de sa sur, elle poursuit. Tu vas voir, c’est magique.

Elles me laissent récupérer et m’offrent un spectacle digne d’un "Jacky et Michel". Abou récupère mon jus, qui déborde, et le partage avec sa mère et sa sur. Je rebande. Je prends Abou et l’allonge entre les deux autres filles. Je me mets au-dessus d’elle, bras tendus, je veux voir mon énormité pénétrer cette petite chatte.

J’avance pendant qu’elle est occupée à embrasser sa sur et sa mère. C’est plus serré, mais accueillant. Une boule se forme sur son ventre. Est-ce mon sexe qui le déforme ? J’en ai la confirmation quand je me retire. Ça m’excite au plus haut point. Je pose ses jambes sur mes épaules. Je lime la petite Abou qui souffle à chaque pénétration. J’y vais à fond, elle jouit dans la bouche de sa sur, pendant que sa mère s’occupe de ses seins. Je suis plus endurante qu’avec Aby. On transpire. Mes couilles viennent buter contre son cul. Cul qu’elle a plus ouvert que sa sur, mais je m’en tiens à ma promesse, les inonder de mon foutre dans leur con. Elle se raidit, moi aussi et on explose. Elle, en éjectant une dose incroyable de cyprine. Moi, en injectant une bonne dose de semence. Elle a les yeux révulsés. Je m’allonge sur elle et la lèche. Sa sueur est animale, je m’en replets. Son odeur est bestiale. D’ailleurs, il flotte une odeur de sexe dans cette chambre.

Je me retire et les trois filles me font mettre à quatre pâtes pour mieux récupérer tous nos jus. Abi lèche la chatte de sa sur, leur mère me nettoie la queue qui débande lentement.

Je me soustrais à ces trois goulues et pars dans ma chambre, à la douche. Je me savonne quand mon téléphone sonne. Je ne peux pas répondre. Donc je me savonne. Je suis rejointe par Gladys. Elle m’annonce que ma sur ne rentre pas et que Juju et Emma rentreront tard.

Je me sèche et me maquille. Ce soir, j’ai une envie de m’amuser.

Je vais te sortir ta tenue. Monsieur Charles veut que tu ne bloques plus sur la taille de ton rostre. Il désire te voir te promener sans artifice pour le cacher. Je vais me préparer. Coiffe-toi, maquille-toi. Je reviens.

J’obéis à Gladys. Je me coiffe et me fais les yeux de chatte que Juju m’avait faits. Je suis contente du résultat. Quand la petite négresse revient, je suis en train de compulser mon téléphone. Ma mère a appelé.

Allo, ma chérie. Tu vas bien ?

Une longue conversation s’engage. Elle nous dit que ce soir, ils sont invités dans un restaurant de luxe de Palavas par Charles. Elle le trouve charmant. Elle me demande où est ma sur.

Elle est à la plage avec Justine, la copine de Charles.

La conversation s’interrompt, j’entends le carillon sonner.

Gladys est magnifique dans sa robe bleue bien trop courte pour être honnête. Elle m’a sorti ma micro jupe et un corsage noir filet de pêche. Elle m’habille comme si elle jouait avec une poupée. Satisfaite, on part dans le chemin sablonneux qui borde la propriété.

Ne stresse pas, ça va bien se passer. Il y a plus de transsexuelles que tu ne crois et là où je t’emmène, tu vas être servie.

Elle me fait asseoir à une table de terrasse et commande deux cocktails. Discrètement, elle m’écarte les cuisses.

Montre-la, n’aie pas peur.

Elle me saisit la queue et la met bien en évidence. Je commence à avoir une demi-mole. Elle me sourit quand la serveuse revient avec nos boissons. Je comprends vite que c’en est une. Elle reluque ma queue qui se met à bander. Elle me sourit et repart.

Tu vois, me dit Gladys, ce n’est pas si difficile que ça. Tu t’y feras vite.

Je me surprends à écarter les cuisses, mon sexe prend au milieu de celle-ci.

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