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Le bestiaire. Lizzie cat-girl – Chapitre 4

Le bestiaire. Lizzie cat-girl - Chapitre 4



Pendant une semaine elle s’était pliée à mes règles.

Chaque fois que je lui faisait l’amour, je me faisait violence, ne pas la prendre en levrette pour ne pas être tenté de la caresser.

La position du missionnaire était devenue notre quotidien.

Je me couchais sur elle, je la baisais sans retenue, gavant son vagin de mon foutre, comme si intérieurement je savais qu’il faille que j’en profite encore un peu, car sûrement, plus tard, si elle acceptait, cela me serait probablement défendu.

Elle prenait beaucoup de plaisir malgré tout, mais ne lâchait rien de sa volonté, de ses vux futurs, du destin qu’elle choisirait.

Nous reprîmes nos habitudes, les costumes de théâtre en défilé dans mon bureau et les copulations qui en résultaient.

Les petites bouffes amoureuses devant la télévision, les ballades dans la campagne, bras dessus bras dessous.

J’avais fini par penser qu’elle avait renoncé.

La chatte affectueuse me manquait cruellement, à moi aussi.

J’étais accro, je venais de m’en rendre compte.

En désespoir de cause, j’avais préparé quelques règles de base, en prévision, au cas où il faudrait cadrer notre jeu…

Je n’ai jamais aimé les règlements, mais là, je trouvais que cela s’imposait.

Le brouillon au fil des jours s’affinait, pour devenir à présent un véritable contrat.

J’y énumérais tout les points qui me venait à l’esprit, certains importants, d’autres plus chimériques, presque obscènes parfois.

En voici quelques uns…

Les activités professionnelles ont la priorité.

Port des accessoires et de la tenue obligatoire.

Attitudes et comportement félin obligatoire.

La chatte mangera dans ses gamelles, et ne devra manquer de rien.

La nourriture doit être en adéquation avec la nature véritable de l’animal.

Une litière sera installée à lintérieur de la maison.

Pas de griffages ou de bêtises tolérés.

Pas de punition sans raison justifiée.

Soin et bon état physique et moral au soin exclusif du maître.

Obligation de bons traitements et d’attentions pour la chatte: soins, alimentations, caresses, attentions, etc..

Plus de relations sexuelles en période féline.

Le droit pour chacune des parties de suspendre le jeu pendant le temps qu’il jugera nécessaire, sans justification.

Le droit pour chacune des parties dinterrompre définitivement le jeu si cela s’avèrent nécessaire.

Possibilité de rajouter des clauses ou de modifier celles existantes.

Renouvellement obligatoire du contrat par les deux parties chaque mois.

Je pensais avoir fait le tour, restait à découvrir quelle serait la décision d’Aline.

Ce prêterait-elle à ce nouvel amusement, qui n’était là uniquement que pour la ravir, et exacerber ses pulsions libidineuses…

Le matin du huitième jour, Aline était partie travaillée dans son atelier.

Sur la table, un Post-it, «je t’aime bisous», rien de plus.

J’avais un peu traîné dans la cuisine.

Je buvais tasse sur tasse de café, avec le secret espoir qu’elle vienne me rejoindre, à quatre-pattes sur le carrelage, en chatte.

Mais non, rien de tout cela, juste ce drôle de sentiment de frustration, d’amère déception aussi…

En désespoir, je suis allé travailler, un peu triste, notre vie allant certainement reprendre son cours normal.

J’avais déniché sur le net un comix érotique des aventures de Catwoman et de Batman, j’étais en train de le lire quand j’entendis la porte de mon bureau s’ouvrir lentement.

Elle était là devant moi, debout, immobile.

Une tenue de chatte collait à son corps comme une seconde peau.

La fine fourrure bleutée et satinée luisait à la lumière du jour.

Tout n’étaient que détails soignés.

Les colliers à son cou, un rouge vif et un autre anti-puces.

Ses oreilles dressées fixées sur un serre-tête.

Les petites moustaches délicatement dessinées sous son nez.

Les faux cils longs et âpreté de mascara qu’elle avait fixé sur ses paupières.

Puis je découvris les ouvertures devant, d’où ressortait sa poitrine généreuse.

L’échancrure dans son entre-jambe qui laissait son ventre et son minou tout lisse, apparents et accessibles…

Il y avait également, les moufles en pattes de chat qu’elle portait aux mains avec de petits coussinets d’un rose délicat… à ses pieds, une petite paire de chaussons assortis à ses gants et tout aussi réussis.

Mon dieu qu’elle était belle…

Aline se tourna polissonne et me dévoila son dos, entièrement décolleté jusqu’à la naissance de ses fesses, puis son cul tout aussi effrontément dévoilé qui semblait n’attendre que le retour de mes mains.

Ce qui me troubla le plus, ce fut sa queue, légèrement courbée et dressée en l’air qui se courbait à son extrémité, comme le manche d’un vieux parapluie.

Elle fit rapidement volte face d’un mouvement félin, et j’entendis tinter un grelot.

Je ne l’avais pas remarqué de prime abords…

Une petite clochette dorée était fixé par un anneau à son clitoris.

Elle ne demandait plus qu’à retentir de nouveau.

Elle me fixa une dernière fois, puis se mit à quatre-pattes et s’avança vers moi, pas à pas, lascive.

Sa démarche était souple, racée, sensuelle et tellement féline.

Je me suis levé, puis accroupit près d’elle et j’ai commencé à la caresser.

Déjà elle répondait à ma cajolerie par un doux ronronnement.

Le son était doux, plaisant, une douce mélodie érotique à l’extrême.

Son dos se cambrait sous ma main, puis son cul se soulevait comme pour prolonger le plaisir de mes caresses.

Je suis resté comme cela, à ses pieds, à la câliner une demie heure, mais déjà mes obligations de maître s’imposaient.

Je me suis levé, j’ai posé par terre le contrat à signer que j’avais déjà parapher, et suis allé lui chercher une gamelle pleine de lait et ce panier molletonné que je m’étais procuré en prévision de ce jour, qui je l’ignorais alors, serait le premier d’une existence heureuse.

Lizzie était enfin revenue dans ma vie.

La chatte s’offrait aujourd’hui à moi, toute entière, sans réserve, sans tabou.

A mon retour le pacte portait sa signature.

Au bout de six semaines nous avions trouvé notre équilibre.

Le travail passait avant tout, certes, mais il était souvent ponctué par de longues pauses récréatives, pleines de douceur, de tendresse.

La chatte venait régulièrement sous le bureau pour se frotter sur mes jambes.

Il ne me restait plus qu’à reculer ma chaise pour qu’elle vienne sur moi.

Là elle se frottait, puis se recroquevillait sur mes jambes, dans l’expectative de chatouilles, de frôlements, de douceurs.

Dès que je commençais le ballet de mes mains sur son dos, mon adorable Lizzie immanquablement fermait les yeux et commençait à ronronner.

Son doux froufrou remplissait la pièce.

Je n’étais plus l’homme d’avant, ni même son compagnon.

Naturellement j’étais devenu son gentil maître attentionné, entièrement dévoué à son bien être, presque comme son propriétaire.

J’étais désormais le protecteur dévoué de son intégrité animale, le garant de sa totale domestication.

Une fois dans mes bras, elle restait collée de longues minutes à faire vrombir sa gorge, simplement pour me signifier le bonheur ordinaire d’être mon animal de compagnie.

Mes mains qui dévalaient minutieusement de sa colonne à son arrière-train, ensorcelaient son épiderme, la comblait jusqu’à l’euphorie, et infailliblement, la petite minette s’inondait et finissait par jouir outrageusement.

Je n’avais même pas besoin de flatter sa féminité, elle aimait simplement être choyée comme la chatte qu’elle était devenue.

Parfois mes doigts glissaient furtivement entre ses cuisses et je pouvais juger par moi même, de son l’état de surexcitation, son minou était invariablement détrempé, suintant d’émoi.

Lizzie fut rapidement propre, au début, la litière n’était pas un ustensile familier pour la fille qu’elle était, mais très vite, la minette s’était pliée avec motivation à faire ses besoins dans sa caisse.

De toute façon, moi je tenais à ce qu’elle se pli à cette demande un peu particulière, son apprivoisement devait être total, sans aucune défiance.

Après, je passais derrière elle, avec ma petite pelle en plastique, pour évacuer ses crottes et la sciure qui finirait sur le tas de composte au fond de notre jardin biologique.

Ensuite, je prenais la petite éponge rouge en forme de cur et je la nettoyais passionnément, à l’eau tiède, de la vulve à l’anus.

Elle mangeait et buvait dans ses gamelles sans aucun problème.

Il avait bien fallut que je me mette à la cuisine, internet fut d’un grand renfort pour moi, le gars incapable de cuire un uf.

J’avais trouvé quelques recettes facile à réaliser, comme celles des croquettes fait maison, qui imitaient parfaitement celles que l’on trouve en grande surface, mais avec une vraie qualité gustative.

Le soir venue, sur le canapé devant la TV, la minette venait sur mes genoux, avec son avidité de caresses, de grattouilles sur le ventre, sous le menton.

Là encore qu’elle était ronronnante, de toute façon, elle narrêtait jamais.

J’ai découvert un soir sa gourmandise chérie, le yaourt à boire.

Au début elle le léchait sur mes doigts, dans le creux de ma paume, mais très vite je rajoutais un peu d’érotisme à son régal.

Je me déshabillais puis faisait couler un peu de douceur lactée sur mon sexe, mes couilles, alors ma Minette d’amour se redressait et s’empressait de venir me laper.

Progressivement je me fis «intentionnellement» maladroit, en répandant un peu plus de crème dans ma raie, mais aussi sur mon anus….

La chatte insatiable se régalait quand même, peut-être même davantage.

Mon rectum présenté à sa gueule faisait sa goinfrerie, elle se délectait de chacun des méandres de mon cul, sa langue glissait, dégustait chaque repli, fouinait profondément comme pour s’immiscer dans mon colon.

C’était exquis, sauvage, bestial. Elle fouillait à la recherche de la moindre trace de yaourt qu’elle récoltait de sa pointe puis avalait.

Moi je me régalais, sachant pertinemment que sa boulimie dissolue venait aussi de bouquets plus musqués, qui n’était pas sans lui déplaire.

Inévitablement, je finissais par éjaculer sur mon ventre, et la chatte sans cesse affamée refaisait bombance.

Ce n’était que la seule fantaisie sexuelle que je nous avais octroyé, rien d’autre. Nous ne faisions plus l’amour, mais incroyablement, cela ne semblait pas nous manquer. Nous nous contentions de plaisirs simples, moi je la choyais et elle adorait l’être.

Contre toutes attentes, je ne me sentais pas frustré, quelque part j’étais même enorgueilli de la posséder toute entière.

La nuit venue, elle dormait avec moi, le dos et la croupe offerte au festin de mes menottes. Elle s’endormait avec au gosier, son doux ronron comme seule parole de remerciement, bienheureuse, débordante de plaisir.

J’avais perdu ma chérie, la jeune femme qui partageait mon existence, mais j’avais découvert tout l’amour qu’une simple chatte pouvait apporter à son maître.

Lizzie était la plus fidèle des bêtes, douce, chaleureuse, affectueuse et je me félicitait chaque jour qu’elle fut entrée dans ma vie.

Tout allait pour le mieux… Quand un jour, le téléphone retenti.

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