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Le club – Chapitre 10

Le club - Chapitre 10



Rappel des épisodes précédents.

Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, des hommes riches et sans pitié ont formé un club dont le but est de semparer du pouvoir dans la région tout en soumettant à leurs envies dinnocentes jeunes femmes. David Angel, lun dentre eux, a déjà avili Amandine Blenon, une ancienne bourgeoise et sa fille Laura ainsi que Christine Veron, la fille dun riche notable de la région récemment défunt et éducatrice dans un foyer social. Mais Angel nest pas le seul à agir pour le malheur des futures victimes du Club car le juge de Saint Servier, un vieillard de plus de 60 ans, manipule une jeune fille de 18 ans, nommée Madeleine Bonnet pour lobliger à venir vivre chez lui et accepter toutes ses perversités puis il contraint une antiquaire reconnue de 40 ans, Théodora Lupa quil mène aux porte dune très longue peine de prison à accepter de devenir elle aussi une esclave de ce club des enfers.

CHAPITRE 1

Amandine Blenon comprenait désormais la signification du mot solitude depuis ces derniers jours où elle avait été contrainte de faire le vide autour d’elle. Elle avait d’abord dû mettre la famille de sa sur à la porte et ce sans ménagement pour se conformer aux ordres d’Angel. La rupture avec Laurine, sa cadette, avait été terrible. Elle les chassait alors qu’ils lui avaient accordé un soutien sans faille dans les épreuves qu’elle avait dû subir à cause de l’avidité et de la lâcheté de son époux. Bien entendu, elle n’avait pas pu leur révéler qu’elle faisait tout ça pour les préserver ; Angel avait même menacé de soumettre Laurine au chantage si jamais elle rompait le silence. Elle avait donc dû se résoudre à les voir partir en sachant qu’ils ne lui pardonneraient jamais. Mais ce ne fut pas le pire : le pire était venu avec le départ de Maria. La plus jeune de ses filles avait pleuré puis hurlé, refusant totalement de se voir séparée de sa mère et de sa sur si tôt après avoir perdu son père. Le cur de mère d’Amandine s’était définitivement brisé quand elle avait abandonné sa fille dans la maison de ses parents. Ces derniers ne lui avaient fait aucun reproche mais elle avait senti le poids de leurs regards accusateurs alors qu’elle regagnait sa voiture, rassemblant toutes ses forces pour résister à l’envie de revenir serrer sa fille contre elle.

Durant ces jours affreux, le seul soutien sur lequel elle aurait pu s’appuyer était Laura mais elle ne s’était jamais sentie aussi éloignée de sa fille aînée depuis la soirée dépravante qu’Angel leur avaient fait subir. Amandine ne pouvait pas accepter la facilité avec laquelle cette dernière sétait soumise à leur tortionnaire ni le fait quelle ait accepté de laider à briser la résistance de sa mère.

Mais le plus terrible pour Amandine fut que ces journées douloureuses nétaient que le prélude de sa nouvelle vie.

CHAPITRE 2

Deux jours avant l’aménagement officiel d’Angel dans leur demeure, un homme étrange arriva en son nom. Efféminé et tiré à quatre épingle, il leur dit s’appeler Jasper et être chargé de diriger les changements voulus dans la maison qui n’était déjà plus la leur. Ainsi le premier étage de la villa fut totalement réaménagé en un temps record par plusieurs équipes d’ouvriers. Amandine et Laura durent dormir dans le salon et découvrirent avec horreur les changements effectués dans trois des quatre chambres.

Chacune se voyait dotée d’une porte de sécurité qui ne pouvait plus se verrouiller de l’intérieur mais qui possédait un système de fermeture à commande centralisée comme dans les prisons. Et c’était bien ce que cet endroit allait devenir pour elles. A lintérieur des chambres et contrairement au reste de la maison, on avait retiré toutes les tapisseries pour ne laisser que les murs peint d’une couleur gris terne. On y avait installé un seul grand lit deux places, des toilettes et, pire encore, une caméra grand angle dans le coin haut droit. L’impression d’emprisonnement se renforça encore.

— Bien sûr toutes les installations ne sont pas terminée, fit Jasper avec sa voix de fausset. Le réseau vidéo demandera des semaines pour être opérationnel mais monsieur Angel est très exigeant et il voulait que ces premiers travaux soient terminés avant ce soir.

Amandine aurait voulu lui arracher le sourire qu’il affichait en prononçant ces paroles mais elle se contenta de serrer les poings en se dirigeant vers la dernière chambre, celle qui avait été la sienne et celle de son époux ; le contraste était saisissant. Leur grand lit avait été remplacé par un autre à baldaquin tout aussi grand mais bien plus somptueux et orné de dorures. Sur le mur, on avait placé des tableaux signés de grands maîtres et en face du lit se trouvait une console regroupant plusieurs petits écrans et il ne fallait pas être un génie pour comprendre que c’était vers elle que les images des caméras de la maison convergeraient quand elles seraient en activité. Amandine sut immédiatement qu’elle se trouvait dans la chambre d’Angel.

Jasper semblait satisfait du travail des ouvriers et leur affirma qu’il reviendrait dans quelques jours pour superviser les travaux complémentaires. Avant de repartir en milieu d’après midi, il leur remit une grande boîte en carton avec pour consigne d’attendre l’arrivée d’Angel pour l’ouvrir.

CHAPITRE 3

Angel arriva alors que le soleil se couchait. Il n’eut pas besoin de sonner et elles comprirent qu’il avait déjà fait tout ce qu’il fallait pour que tout le monde sache qu’il était le nouveau propriétaire des lieux et que leur déchéance ne tarderait pas être connue dans toute la ville. Bien entendu, il possédait déjà la clé de la porte d’entrée et ce fut le bruit quelle fit en claquant qui les avertit de son arrivée.

En arrivant dans le grand salon en provenance de la cuisine pour l’une et de l’étage pour l’autre, elles le trouvèrent dans le salon prés de la cheminée. Il avait allumé un feu et les attendait, affichant cette arrogance qui le définissait aux yeux d’Amandine. Il s’assit sur l’un des divans une place placé au centre de la pièce, indiquant, s’il était besoin de le préciser son nouveau statut. De la tête, il leur ordonna de se placer en face de lui. Amandine voulut s’assoir mais le regard noir d’Angel le lui interdit.

— Je vois que vous avez apporté mon petit cadeau, dit-il en indiquant la boîte laissée par Jasper que Laura avait déposé sur la table basse. Amandine, ouvre-le !

Après un instant d’hésitation, elle se baissa pour déchirer le carton et l’ouvrir. Elle découvrit alors deux housses transparentes qui protégeaient des vêtements bien peu communs. Amandine discerna facilement un tablier léger, des chaussures cirées et un petit bonnet ; une tenue de servante on ne peut plus réduite.

— Voilà vos nouvelles tenues de travail, expliqua Angel. Puisque vous êtes devenues mes esclaves, il est normal que vous en portiez les atours. Allez mettez-les !

La gorge nouée, Amandine regarda sa fille, toujours aussi soumise à ce monstre, commencer à se déshabiller. Elle finit par en faire de même, retirant ses vêtements pour ne conserver que ses dessous mais la voix de son tourmenteur retentit aussitôt.

— Qu’avais-je dis ? Je ne voulais plus de sous-vêtements.

Étrangement, elle se sentit comme une enfant prise en faute en constatant que Laura était, elle, totalement nue mais elle refusait d’accepter l’idée qu’elle allait devoir revêtir cette tenue indécente sans le moindre vêtement pour protéger ses parties intimes. Elle sentait le regard d’Angel peser sur elle et elle se souvenait de la violence dont il était capable quand on lui résistait. Il esquissa le mouvement pour se relever et elle se hâta alors d’enlever son soutien-gorge. Il se rassit, visiblement satisfait de la peur qu’il avait instillée en elle. Quand elles se retrouvèrent nues toutes les deux, il tourna la tête vers les housses. Laura saisit celle qui portait son nom et en déchira le plastique pour sortir les vêtements. Comme toujours, Amandine marqua un temps d’hésitation mais finit par imiter sa fille.

Ainsi vêtue, elle se sentit horriblement exposée. L’arrière de son tablier se réduisait à la ceinture nécessaire pour le faire tenir en place, elle se retrouvait donc avec le dos et surtout le cul nus. Sur l’avant ce n’était guère mieux. Très court, il protégeait à peine son entrecuisse et sa poitrine pourtant peu développée était à peine dissimulée. Celle de Laura, par contre, se retrouvait oppressée et ressortait sur les côtés. Angel semblait apprécier ce spectacle. Il se leva alors et ramassa leurs vêtements puis il se dirigea vers la cheminée. Sous leurs regards médusés, il les jeta dans le feu auquel il ajouta petit accélérateur afin de s’assurer qu’ils brûlent bien.

— Vous n’en aurez plus besoin désormais. Ces tenues seront vos seuls vêtements. Comme vous avez dû vous en rendre compte, les ouvriers se sont débarrassés de tous les habits qui se trouvaient dans vos armoires.

Voilà la réponse à la question que se posait Amandine qui avait passé la moitié de l’après midi à fouiller les armoires de l’étage à la recherche de ses vêtements. Désormais, ses robes de marques allaient être portées par les épouses des ouvriers qui avaient pillé les penderies de sa maison.

Angel retourna à sa place, se rassit et tourna la tête en direction de Laura.

— Viens ici !

Toujours aussi obéissante, la jeune fille s’avança et s’agenouilla devant lui. Comme une semaine auparavant, il tâta son opulente poitrine avec délectation au travers de la dérisoire protection du tablier.

— Amandine, il y a autre chose dans la boîte, c’est un autre cadeau pour toi. Prends-le !

Anxieuse, elle fouilla dans la boîte et en sortit un petit gourdin en plastique noir qu’elle reconnut immédiatement. C’était un godemiché. Elle se rassura en constatant que son diamètre n’était pas immense mais elle réalisa également qu’il n’était pas classique car il était agrémenté de lanière. Elle comprit qu’il était destiné à être porté en permanence.

— Lors de notre première soirée, je suis resté frustré, rappela Angel. Je n’ai pas pu mener à bien une opération qui me tenait à cur… à cause de toi.

Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre de quoi il parlait : sa sodomie. Elle se crispa alors et lâcha le gode sous l’effet de la terreur.

— Je pense que tu as compris. Ce gode est prévu pour agrandir ton petit anneau afin que je n’ai aucune problème à t’enculer la prochaine fois. Son fond est plat, tu n’auras qu’à le poser sur la table et t’empaler dessus.

— JAMAIS ! Hurla-t-elle. PAS CA !

Angel se tourna alors vers Laura en lui souriant et, la seconde d’après, lui expédia un coup de poing dans le ventre qui lui coupa le souffle. La jeune fille se plia en deux, les yeux emplis de larmes. Angel se retourna vers Amandine, son sourire traître toujours sur le visage.

— A toi de choisir…

Et sans finir sa phrase, il asséna un second coup à la jeune fille qui venait tout juste de se redresser, la faisant s’affaler sur le sol. Sans pitié, Angel la força à se relever en la tirant par la queue de cheval. Elle haletait sous l’effet de la douleur et son regard encore adolescent n’affichait plus que de la terreur. Il referma le poing.

— STOP ! cria sa mère. Arrêtez, je vais le faire… je vais le faire.

Angel desserra le poing mais ne lâcha pas la queue de cheval de Laura. Lentement, à regret, Amandine se baissa pour ramasser le gode et le posa sur la table basse comme il le lui avait ordonné. En le touchant, elle constata qu’il glissait. Il avait été lubrifié et cela la rassura, un peu. Consciente que ce monstre qui prenait autant de plaisir à les violer qu’à les faire souffrir voudrait assister pleinement à son tourment, elle se tourna vers lui et commença à descendre sur le vit de plastique tendu. Le contact froid du plastique provoqua une réaction réflexe et les muscles de son sphincter anal se contactèrent pour résister à cette pénétration contre nature. Elle était incapable de se détendre mais elle se força à continuer son acte en dépit de tout et les premiers centimètres marquèrent le début de sa souffrance. Elle serra les dents pour ne pas donner à cet homme qu’elle haïssait le plaisir de l’entendre crier mais elle sentit des larmes de sueur perler sur ses tempes au fur et à mesure qu’elle enfonçait ce membre artificiel dans ses entrailles.

En face d’elle, Angel avait déboutonné son pantalon et conduit la tête de sa fille vers son membre. En dépit des sévices qu’il lui avait subir, Laura continuait à obéir servilement à ce monstre ; elle engloutit son membre dans sa bouche sans sourciller.

Cependant Amandine était loin de ces considérations tant la douleur que lui procurait l’objet rigide qu’elle était contrainte d’insinuer dans sa cavité anale lui faisait vivre un martyre. Il lui fallait toute sa volonté pour ne pas crier mais elle dut se rendre à l’évidence, elle n’aurait jamais la force de mener l’opération à bout et, alors qu’elle l’avait enfoncé presque à moitié, elle ne trouva plus les ressources nécessaire pour aller plus loin.

A ce moment, elle vit se dessiner sur le visage d’Angel ce sourire sadique qu’elle ne connaissait déjà que trop bien. Il repoussa la tête de Laura sans ménagement et se leva pour s’approcher d’elle. Il passa délicatement sa main dans ses cheveux en gardant ce sourire qui pour d’autres aurait pu paraître rassurant. Puis, soudainement, il posa ses mains à plat sur les épaules d’Amandine et appuya violemment de telle façon que le gode s’enfonça totalement en elle d’un coup sec. Le froid contact de la table sur ses fesses fut la moindre des sensations par rapport à la vague de douleur qui l’envahit comme une marée et, en dépit de toutes ses résolutions, elle ne put s’empêcher de hurler.

Sans sembler se soucier de ses hurlements, Angel serra les lanières du gode autour de son ventre afin de s’assurer qu’il reste parfaitement figé dans son anus même si elle devait bouger. Totalement sous le choc, Amandine se laissait faire comme une poupée.

A ce moment, une sonnerie retentit et il fallut de longues secondes à Amandine, dont lesprit était dominé par la douleur, pour reconnaître l’appel de l’interphone.

— L’un de nos invités vient d’arriver, expliqua simplement Angel. Laura va donc leur ouvrir !

Des invités ? Une véritable panique s’empara de la bourgeoise. Ce monstre n’avait pas seulement prévu de les humilier et de les faire souffrir, il avait fait venir des gens pour assister au pathétique spectacle de sa déchéance.

Cependant, elle oublia rapidement ses appréhensions car Angel l’attrapa par les cheveux, l’entraînant à sa suite. Une nouvelle vague de douleur émana de ses entrailles et elle abandonna totalement toute dignité pour laisser parler sa souffrance : elle cria à chaque pas. Il se rassit dans le divan qu’il occupait juste avant et l’obligea à s’agenouiller, fesses bien dressées, pour reprendre le rôle abandonné par sa fille.

A suivre…

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