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Le séminaire (ou Jenna, l'allumeuse en bottes) – Chapitre 2

Le séminaire (ou Jenna, l'allumeuse en bottes) - Chapitre 2



Il m’ordonna de venir avec lui. Nous sortîmes de la boîte. Une fois mon sac repris et il me guida vers un taxi. Je commençai plusieurs fois à vouloir résister mais son regard et le ton de sa voix firent que pour une fois je fis ce que l’on me dit. 

Je suis d’habitude si autoritaire… là je me retrouvai en terrain inconnu. Il regarda mes hanches valser sous ma robe de soie et mes bottes à talons hauts claquer sur les dalles. 

Où va-t-il m’emmener ? Je savais ce qu’il avait en tête et si cela ne me tentait pas je pouvais refuser, mais je le suivis, aussi docile qu’inquiète.

 

° ° °

 

Je vis son regard troublé. Nous montâmes à l’arrière du taxi. Tandis que je posai ma main droite sur sa cuisse je donnai une adresse au chauffeur, puis je tournai ma tête vers elle, avec un sourire :

 

« – Ouf ! Enfin au calme, et enfin tous les deux, seuls.

J’ai un ami qui a un studio pas loin, il m’a passé ses clés. Il est en voyage, il n’y vient que quelques fois dans l’année. On sera tranquilles.

Et si tu remontais un peu ta robe pour me montrer tes jolies jarretelles – ne nie pas, j’ai senti que tu avais un porte-jarretelle, c’est plutôt rare de nos jours, ça me plait ! Il n’y a que des femmes qui ont du cran et du chien qui osent encore ça ! Et puis tu as de jolies cuisses, j’ai eu bien eu le loisir de les mater… »

 

° ° °

 

Ayant un peu trop bu je n’étais pas aussi résistante que je le suis d’habitude. Ses flatteries allaient loin. Un peu intimidée et ayant peur que le taxi me vit, je remontai un peu ma robe. Jeff m’aida avec sa main. Je lui fis un signe désignant le chauffeur.

 

Il comprit très bien mais il s’en moquait. Il monta plus loin en caressant mon bas. Lorsqu’il arriva en haut, ce fut comme un électrochoc lorsqu’il toucha ma peau.

Je tremblai un peu mais me laissai caresser le haut de ma cuisse. Une trémulation lui montra que j’étais excitée par cette sensation.

 

° ° °

Je caressai la chair nue et renflée de la cuisse au-dessus du bas, tandis que mon autre main attrapa sa nuque, la serra un peu, puis la ploya vers moi : je pris sa bouche, ma langue l’envahit, j’aspirai sa menteuse, la suçai. Je vis qu’elle avait les yeux brillants (était-ce l’effet des deux verres avalés très vite dans la boîte, ou l’excitation sexuelle ?)

 

Mes doigts remontèrent et s’approchèrent du petit renflement qui ornait son entrecuisse. Elle était inquiète mais il faisait sombre. Le chauffeur ne pouvait voir les détails, le plafonnier était éteint, et puis ce type avait dû en voir d’autres… surtout la nuit, des couples, légitimes ou non, des exhibitionnistes, des échangistes, des dingues du sexe qui filent s’adonner à la débauche dans des établissements spécialisés.

 

Sa timidité nouvelle – ou était-ce de l’appréhension – m’excitait encore plus. Pour un peu, j’aurais eu envie de l’exhiber à ce type ! Mais je sentais qu’elle n’était pas prête.

Et puis comment l’exhiber à un autre alors que moi-même, je ne connaissais pas encore son corps ? En bon égoïste je n’avais pas envie de partager cette primeur ! 

 

° ° °

 

Je me sens comme faible, comme une proie. Moi qui suis d’habitude si ferme et si froide, je me laisse peloter par un collègue. Sa main remonte plus loin en suivant la jarretelle qui retient le bas. Il a vite fait d’atteindre ma motte qu’il se met à caresser de façon experte et dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.  Je gémis et me cambre. Mes yeux sont fermés et ma bouche entrouverte. Je pose la main sur son poignet pour le  freiner mais je le laisse faire. Mes jambes s’écartent lentement.  Mes longues cuisses gainées de bas lui sont ouvertes.

 

° ° °

 

Mes doigts se posent délicatement sur le petit renflement que je commence doucement à masser.

 

Elle a les yeux fermés, elle gémit, elle est conquise !

 

Je sens que sa petite culotte se mouille, je sens l’humidité sur mes doigts, qui traverse le fin tissu. Elle est à moi, elle va s’offrir.

 

Je me penche et lui murmure dans le creux de son cou : « enlève-moi cette petite culotte, ma toute belle, offre-moi l’accès total à ton bijou. »

 

Elle halète, elle a l’air éperdu. Je la sens se contorsionner : elle était en train de s’exécuter.

Elle m’offre sa culotte, la posant dans ma main. Je la glisse dans ma poche, comme un trophée.

J’adore qu’une femme fasse ça pour moi, c’est un geste tellement fort, tellement symbolique : elle me remet ainsi les clefs de son corps, disponible, ses orifices.

 

J’ajoutai, histoire de donner le coup de grâce :

 

« – Tu m’excites vraiment avec tes bottes. Il me tarde de te regarder en pleine lumière, uniquement vêtue de tes bas, de ton porte-jarretelle et de tes jolies bottes sexy… »

 

° ° °

 

Je le regarde avec les yeux grands ouverts comme si j’étais surprise, mais c’est en fait ce que je recherche.

Ses mains fortes et décidées explorent mon corps à travers ma robe. Sans me demander l’autorisation il défait la fermeture à l’arrière.

Blottie entre ses bras je le sens baisser ma robe sur une épaule puis sur l’autre. Il dévoile mes seins fermes et hautains. Mes tétons sont déjà durs et pointent au travers de la fine dentelle.

Sa main gauche empoigne un de mes seins alors que la droite repart caresser mon mont.

 

° ° °

 

Hummmm… Elle a des seins encore bien fermes, cette chienne…

 

Mais le taxi freina et le chauffeur nous avertit que nous étions arrivés. Tout excité et concentré sur ses appas, je n’avais vraiment pas fait attention à la route.

 

Je la laissai refermer sa robe à la hâte, remballer ses seins, tandis que le chauffeur avait allumé la veilleuse. Vu son œil égrillard et allumé aussi, je suis sûr qu’il avait aperçu des choses qui l’avaient émoustillé !

 

Je payai et nous descendîmes. Je la pris par la taille et l’entraînai. Je fis le code de l’immeuble, la porte cochère s’ouvrit ; il faisait sombre, nous nous engouffrâmes dans l’obscurité du porche.

 

Je la plaquai contre le mur, là, dans le hall obscur. Je lui roulai à nouveau une pelle, me pressai contre elle, puis je lâchai sa bouche et lui ordonnai :

 

« – Avance ! »

 

Je la poussai pour lui faire monter le premier étage ; ma main soulevant légèrement et avec habilité le bas de sa robe légère s’offrit un passage : elle se posa sur sa fesse nue, et c’est ainsi que nous montâmes les marches jusqu’au premier pallier. L’escalier était heureusement désert.

 

J’ouvris la porte, et la fis passer devant. J’allumai la lumière. L’appartement est moderne, propre et cossu, décoré avec goût. Il est chaleureux et sophistiqué. 

La voilà enfin devant moi en pleine clarté. Je n’ai qu’une seule envie : c’est de la voir dans cette lumière uniquement vêtue de ses bas et de ses bottes !

 

° ° °

 

Nous voici donc dans l’appartement de son ami et je vois la baie vitrée qui offre une belle vue sur la ville. Je m’y dirige et sens son regard comme brûler mon fessier alors que je marche en me déhanchant. Mes talons claquent sur le sol.

Il vient derrière moi et me prend dans ses bras. Je suis nerveuse car je me rends compte qu’après l’avoir allumé je suis maintenant à sa merci.

Il ignore mes faibles protestations arguant du fait que je suis mariée, et autres.

Il ouvre la fermeture éclair du dos de ma robe d’un coup et la fait tomber au sol.

Je me retrouve en lingerie et bottes devant la baie vitrée, les fesses à l’air.

 

° ° °

 

Elle veut se retourner mais je lui intime :

 

« – Reste comme ça, regarde la vue… pendant que moi je regarde aussi… la vue ! »

 

Je fais un pas en arrière. Elle est vraiment bandante ainsi, sa robe à ses pieds, ses jolies jambes dans ses bottes, ses cuisses de nylon sombre, et ses fesses… et mon Dieu, quelles fesses !

Je ne peux que m’exclamer :

 

« – Tu as un cul magnifique, un cul de reine, de déesse ! Il me fait de l’effet et me donne des envies de profanation ! »

 

Je caresse ses fesses sublimes, elles sont douces, souples, élastiques. Je les palpe un long moment, elle se laisse faire sans rien dire, haletante.

Soudain, je lui lâche :

 

« – Tu as déjà été fessée ?! »

° ° °

Je suis contre la baie vitrée quasiment nue avec mes bottes et ma lingerie. Comme je ne réponds pas à sa question qu’on ne m’a jamais posée avant, je reçois une petite claque sur la fesse droite. Je pousse un petit cri. Un cri de douleur, de surprise, de choc face à cette audace.

Je veux me retourner mais il dégrafe mon soutien-gorge rapidement. Il se colle contre moi me faisant sentir à quel point il est dur et fort. Chacune de ses mains prend un de mes seins et le masse. Il joue avec mes tétons. Mes talons hauts font remonter mes fesses et je suis juste à la bonne hauteur pour sentir son sexe dur dans la raie de mes fesses. Il me semble particulièrement épais et long mais je peux faire erreur.

° ° °

Collé contre elle, bien serré, je lui murmure à l’oreille, d’une voix sourde et affirmée :

« Nous y voilà. Voilà le moment où le gibier est à la merci du prédateur. Tu sens l’effet que tu me fais, là, entre tes belles fesses ?

Tu sens la femelle affolée et en chaleur… Et tes mamelons durcis que je suis en train de te tordre ne diront pas le contraire… »

Là-dessus, ma main droite descend et empoigne son mont de Vénus, et commence à le malaxer. J’ai des grandes mains puissantes, j’ai toute sa vulve dans ma paume, je tiens dans ma pogne l’endroit où se concentre tout son désir, je la possède déjà !

« – Ta tête est vide, tu ne penses plus, ton être n’est plus réduit qu’à un désir, un désir inavouable, un besoin vital, douloureux, tyrannique d’être au mâle, d’être à lui, de n’être plus qu’un sexe avide d’être pénétré, fouaillé, possédé par le mâle… »

Et ce disant, mes deux doigts glissent entre ses fines lèvres sexuelles pour trouver une douceur humide, soyeuse, qui devient vite trempée et finit par couler entre ses cuisses.

De l’autre main, je me suis déboutonné avec une habilité et une rapidité qui la surprennent (ça, c’est le savoir-faire du séducteur et du dominateur conquérant et expérimenté), et maintenant elle sent mon gros bâton nu et chaud bien calé entre ses fesses, mon phallus tout raide et durci à me faire mal (c’est l’effet qu’elle me fait, cette chienne sensuelle qui cachait bien son jeu), et comme il bave aussi d’envie, il glisse de haut en bas dans son sillon fessier, je suis en train de me branler entre ses hémisphères élastiques et si féminins.

Je continue à lui débiter mes obscénités à l’oreille (et je sens que ça l’excite) :

« – Je suis en train de baiser tes fesses, ma chérie. Et elles sont très douces. C’est juste un début. Il y a plein d’autres choses que je vais baiser chez toi… Hum, tu vas être comblée… »

° ° °

Outrée que l’on me parle ainsi je tremble. Normalement je me révolterais mais ce soir je ne suis pas moi-même. Il me domine et me contrôle. Je sens son gros sexe glisser entre mes fesses alors qu’il pelote en alternance mes seins et mon mont. 

A ma grande surprise lorsqu’il pénètre ma chatte avec son doigt je suis trempée. Il glisse un deuxième doigt et son pouce masse gentiment mon clito. Je couine puis ronronne, tremblant sur mes bottes aux talons hauts. 

Je sais que je ne demandais que ça, être la proie d’un vrai homme, mais maintenant j’ai peur. La taille de son membre me rend hésitante. Il semble si épais que je sais que je vais souffrir mais aussi que j’ai envie de sentir ce que cela fait.

(A suivre…)

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