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Le voisin est un pur-sang – Chapitre 6

Le voisin est un pur-sang - Chapitre 6



Nous lui présentâmes Germain puis, après le repas, nous nous installâmes lui et moi dans le canapé.

Comme convenu Anne-So me demanda si nous venions jouer avec elle et Germain. Je lui répondis que nous allions parler du bon vieux temps et les rejoindre. Ils se mirent à poil juste derrière nous en silence sans que nous puissions les voir puisque, sur le divan, nous leur tournions le dos. Puis, Anne-So s’installa sur la table, le cul au bord pour qu’il lui bouffe la chatte. Le tout ne dura pas trois minutes avant qu’elle se mît à gémir.

Vincent se retourna.

"Putain mais qu’est-ce qu’ils font"?

— je crois qu’il la baise.

— et tu ne dis rien?

— Si j’encourage et je rejoins, d’ailleurs je commence à bander, pas toi ?

Et aussitôt je me levai, descendis ma braguette et rejoignis le couple. Je baissai mon froc, montai sur la table et commençai à me faire sucer.

Vincent était resté à sa place, nous regardant, interdit.

"Alors tu viens" ?

— Euh… ouais… ouais" fit-il comme émergent d’un rêve.

Il se leva, s’approcha, la main à son pantalon.

"ça ne te gène pas que je baise avec vous, que je baise ta femme" ?

–  Si ça gênait on ne te le proposerait pas.

— Putain, ton pote, là, il est monté comme un âne. La vache! j’ai rarement vu une bite aussi grosse ! Ohlala ! Trois mecs sur une meuf… ça va être le panard ! Je le crois pas !

Alors il se mit à poil vite fait.

Sa bite était plus courte que la mienne, autour de 16 cm à peu près mais elle était épaisse, était terriblement tendue avec un énorme gland revêtu d’un épais prépuce, et de grosses boules qui pendaient.

Germain lui offrit aussitôt la place et Vincent, ayant caressé les seins, enfonça directement son pieu dans la chatte en position de l’équerre, elle allongée sur la table et lui debout. Il s’y mit frénétiquement, comme un fou. La lourde table sur laquelle j’étais toujours en train de me faire pomper le dard était secouée par ses coups de boutoirs. Germain, debout à côté, écartait la fente de ses mains pour mieux jouir du spectacle pendant que ma femme le branlait d’une main.

Après avoir bien bourré et tout en continuant, Vincent, tête penchée en arrière et yeux fermés nous fit ses commentaires :

"Putain que c’est bon… Il y a des semaines que je n’ai pas tiré un bon coup… A quelle chatte, quelle chatte.! A merci les copains, c’est trop bon… Putain que t’es bonne à baiser… Elle est bonne ta femme… Veinard…".

Nous le laissâmes faire pendant un moment puis Germain lui demanda de céder la place.

"Ah non pas déjà…"

— Tu vas y revenir bientôt.

Alors il se retira et nous nous dirigeâmes vers le canapé.

"Allez, les gars" dit Germain, "célébrez vos retrouvailles ! Vincent met toi sur le canapé. Anne-So, vient t’asseoir sur son chibre… non non, pas comme ça, tourne lui le dos… on part pour une double. Enduis -toi la rondelle."

Vincent était au comble de la félicité : "Une sodo, le pied, le pied… mon ex femme, cette pute, refusait de me laisser ce morceau…" et pendant qu’il s’égosillait de la sorte, le cul bien graissé, Anne -So faisait rentrer le mâle en rut dans son petit trou. Quand elle fut en position, il lui agrippa les mamelles en jurant : "Bordel à queue, quelle bombasse, je vais te l’embrocher moi" ! et il commençait à s’agiter, ses grosses couilles dansant sur ses cuisses.

Germain reprit les commandes : "Eric, vient sauter ta femme". J’obéis docilement. Je me plaçai de sorte à ne pas gêner William puis j’enfilais le con toujours avide.

"Bouffe -moi la queue salope" dit Germain en lui présentant son zob humide au bout.

On était en train de prendre notre éclate quand on sonna à la porte. Je me rappelai soudain que le jeune facteur remplaçant ayant fait une erreur de livraison au cabinet le matin, je lui avais dit de passer à la maison en fin d’après-midi; c’était un plis que je devais avoir rapidement.. Il était plus de 23 H00. Etait-ce lui ? Il finissait sa tournée un peu tard… Non ce ne devait pas être lui, un patient ? nous ne répondîmes pas et nous baissâmes nos voix pour qu’on ne nous entende pas depuis la porte. On sonna à nouveau… "Putain quel chieur" ! Et n’ayant toujours pas répondu nous nous remîmes dans notre partie à trois. Mon portable sonna. C’était effectivement le jeune facteur remplaçant qui s’excusait de m’avoir oublié en fin de tournée. Il venait de se rappeler que je l’attendais et malgré l’heure tardive il se présentait à la maison.

Germain prit mon portable en disant : " je m’en occupe". Il se leva, tapa quelques mots sur le clavier"quitta la pièce et prit le couloir pour aller vers l’entrée. Il revint remit sa bite dans la bouche salivante et tapa à nouveau sur le portable; Aussitôt j’entendis la porte s’ouvrir. "

Je chuchotais "T’es con, tu ne lui as quand même pas ouvert"!

— Si bien sûr

et haussant la voix : "On est ici, à gauche au bout du couloir. "Je m’étais aussitôt retiré  pour aller l’intercepter, mais avant que je me sois retourné, il était dans l’encadrement de la porte. C’était un mec de 19 ans en job d’été. Il était très athlétique et sympathique. Si je n’avais pas été aussi en colère contre Germain j’aurais sûrement éclaté de rire devant sa tête effarée. J’étais devant lui désormais, la queue qui commençait à dégonfler et Germain lui adressa la parole.

"Allez petit , mets toi à poil.. quand il y en a pour trois…"

— J’peux pas m’sieur".

— Pourquoi, t’es homo garçon…?

— Non, mais j’ai une copine.."

— Elle en saura rien. Allez monte. Ta copine est sûrement pas aussi bien foutue..Tu triques déjà. Ça se voit sous ton pantalon.

De fait, il y avait une belle bosse qui se dessinait vers la poche gauche.

"et puis elle te laisse partager avec ses potes ta copine? Fais pas le timide, on a des choses à t’apprendre".

Germain insista. Le petit facteur me regarda ne sachant évidemment pas quoi faire. Il était trop tard pour reculer. Je le fis sortir dans le couloir et lui dis que si jamais il ouvrait sa gueule je lui collais un procès, prévenait sa copine et lui faisait perdre pour toujours son emploi à la poste. Il me jura tout ce qu’il voulut. "Allez-viens".

Il entra. Le temps de notre petite conversation, Germain avait prit ma place. Il fit les présentations et conclut par : "Allez, à poil. Montre-nous ta bite"!

Nous vîmes un sexe circoncis de belle proportion. " Viens te frotter au maître étalon" et sortant à nouveau sa queue toute luisante de la chatte, Germain empoigna le zob du facteur pour le comparer au sien. "A peu près ta taille Eric, 19 cm".

— En fait c’est 18 monsieur.

— je t’ai déjà dit de m’appeler Germain Et maintenant on te regarde faire Broute le joli minou de la dame.

 Il ne se fit pas prier et commença à insinuer sa langue entre les lèvres, dans le trou. Vincent ne s’était jamais interrompu et continuant à s’agiter.

"A quatre les gars, il va falloir s’organiser".

— On change de position d’abord, je fatigue, messieurs!

— Les désirs de madame sont des ordres.

Germain qui avait donné ces instructions se mit sur le canapé et il donna un nouveau départ à notre plan Q.

A suivre

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