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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà – Chapitre 10

Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà - Chapitre 10



Une fois la porte d’entrée refermée, Eva se dirige vers la cuisine, où se trouve sa tante, pour lui demander si la salle de bain est libre. La réponse est positive et Eva s’y enferme avec ses affaires. Mais juste avant, elle m’annonce que sa tante va s’absenter pour rendre visite à une voisine.

Dix minutes plus tard, la tante sort, en annonçant à Eva, à travers la porte de la salle de bain, qu’elle reviendra dans une heure environ.

« Bob ! Tu peux entrer ? Je n’ai pas fermé à clef ! »

L’invite est claire. Aussitôt, j’entre dans la salle de bain. Eva est dans la baignoire, debout en train de se rincer avec une douchette.

« Tu te sens mieux, maintenant ? » lui dis-je, tout en admirant ses appâts.

« Oui ! Mais nous avons eu une chaude journée, n’est-ce pas ? »  Répond-t-elle, avec un air malicieux.

Je m’assois sur un tabouret près de la baignoire :

« Tu as un joli corps. J’avoue que, de te voir ainsi exhiber tes jambes-et même plus- m’a excité ! »

« Et même plus ? Et quoi donc ? » Elle feint l’étonnement.

« Sur le pont Charles, tu t’es penchée sur le parapet et j’ai pu voir une partie de tes fesses ! C’était très joli Peut-être n’ai-je pas été le seul à les voir ! »

« Petit coquin ! » Eva, tout en se savonnant, me lance un regard noir. Mais il est évident qu’elle joue la comédie.

« Et quand tu t’es assise sur le banc de pierre, j’ai pu voir ton sexeTu n’avais pas serré les genoux ! »

« Bien sûr, et peut-être que tu n’as pas été le seul à le voir ! » répond-t-elle ironiquement.

« En tout cas l’endroit où  tu nous a amenés n’était pas trop mal ! » dis-je, cherchant à aborder le sujet délicat :

« Tu en avais envie, n’est-ce-pas ? Et moi aussi, pour tout dire ! » Mes propos la gêne un peu, alors qu’elle se rince.

« Sauf ce qu’il y a eu avec lechien » J’avance prudemment, ignorant sa réaction.

« De cela, je ne veux pas en parler maintenant  »

Je retiens qu’elle a dit « je ne veux pas » et non « je ne veux plus ».

Je regarde Eva en train de manipuler le pommeau de la douchette :

« Tu sais que tu peux t’exciter joliment avec ça ? »

« Je vois ce que tu veux dire, mais il faut plus de pression » Elle s’amuse de ma remarque :

« Tu n’es pas en manque d’imagination pour mon plaisir personnel ! »

« Regardes !- dis-je, en lui prenant la douchette des mains- le pommeau se dévisse, et après ça, il suffit de réduire l’ouverture, pour augmenter la pression »

« Oui, Bob, mais nous ne sommes pas à la maison, et ma tante peut revenir avant »

Pourtant Eva me laisse faire et bientôt, je brandis l’embout du tuyau :

« Ouvres le robinet ! » Elle s’exécute et un jet d’eau tiède jaillit. Je pose le pouce sur l’embout du  le tuyau, obtenant un jet plus fin et plus dru :

« Voilà ! » Je  dirige le jet sur le bas ventre d’Eva, puis sur son sexe. Pendant un instant elle ne réagit pas, jusqu’à ce que d’elle-même, elle écarte les lèvres de sa chatte avec ses doigts. Le jet d’eau « attaque » directement son clitoris. Elle écarte ses jambes. Les yeux mi-clos, son visage qui exprime la félicité. Sa respiration devient saccadée :

« C’est bon, hein, chérie ? Tu aimes ça ! »

« OuiHum C’est bon ! C’est bon ! »

Maintenant l’embout est presque posé sur sa chatte. Eva ondule, son postérieur se trémousse. Je commence moi-même à être excité, à force de l’entendre exprimer son contentement :

« Hmmm ! Oui ! Ouiii ! C’est bon ! J’aime ça ! Oui j’aime ça ! »

A un moment, Eva détourne elle-même le jet :

« Tu as joui, mon amour ? »

« A vrai dire, je n’en suis  pas sûre mais ça ressemblait beaucoup à cela ! C’est joli de toi de m’avoir proposé ça »

« Maintenant, sors de la baignoire, je veux voir ton petit trou ! »

Eva ne semble pas surprise de ma demande :

« Je m’attendais à ça ! » dit-elle, en se mettant à quatre pattes sur le tapis de bain, tandis que je remonte le pommeau de la douche. Je me mets à genoux derrière elle et lui ouvre les fesses :

« Tu as vraiment un joli cul ! Des fesses comme çadeux beaux melons je me répète mais je ne trouve pas d’autres mots ! Et ton adorable petit trou »

Eva a un frémissement quand elle sent mon index s’enfoncer dans son anus. Puis je tourne mon doigt dans son trou. Quand mon majeur accompagne l’index, Eva commence à gémir doucement et plus fort quand mes deux doigts font des aller – retour :

« Tu aimes ça aussi, hein ?  Tu aimes sentir des doigts dans ton joli cul ! »

« Je Oui ! Oui ! J’aime ça ! Hummm ! » Répond- t- elle après une brève hésitation.

J’essaie d’exciter la curiosité d’Eva :

« Tu veux la fessée ? »

« Euh Ca  doit faire mal, non ? Encore une de tes idées originales ! »

« Tu veux qu’on essaie ? Juste pour voir comment c’est une expérience, quoi ! »

« Bob. Si ma tante revient  » Je la sens fléchir, elle aimerait bien tenter, mais toujours cette crainte de se faire surprendre.

Je décide de brusquer, un peu, les choses :

« Mets-toi debout et appuies tes main contre le mur ! »

Elle s’y place, non sans prévenir : « Bob. Pas trop fort, quand même ! »

Ces fesses rondes, cette peau laiteuse La première claque s’abat.  Eva pousse un petit cri de surprise, n’ayant jamais connu ça. Puis une deuxième, une troisième :

« Ca va ? Pas trop fort ? » Ma main reste en suspens, en l’air.

« Oui, oui, mais je n’ai pas l’habitude, tu comprends  »

La quatrième claque arrive et aussi les premières marques rougeâtres sur ses fesses. Je devine Eva serrant les lèvres. Je frappe assez fort pour que ça soit sensible, mais pas trop pour ne pas que ça devienne douloureux.

Les claques glissent parfois sur le haut des cuisses. Au bout d’une quinzaine, je décide d’arrêter. Son postérieur est maintenant plein de zébrures.  Eva se redresse et se masse les fesses :

« J’ai les fesses très chaudes maintenantmais j’avoue que ça m’a fait quelque chose d’excitant, mais je ne peux pas dire quoi ! »

Pour apaiser la sensation de brûlure qu’elle ressent, je ne vois rien d’autre à faire que de lui lécher les fesses. Acte qu’elle me laisse faire, l’appréciant visiblement :

« Hum ! C’est agréable, comme cela ! C’est apaisant ! »

Au bout de quelques minutes, elle s’habille, sous -vêtements compris, avec une blouse pas trop courte, puis sort de la salle de bain, me laissant la place. Et c’est une fois ma douche prise, alors que je suis en train de m’habiller, que j’entends la voix de la tante, qui vient de rentrer.

Le reste de la soirée se passe tranquillement, puis chacun va se coucher. En début de nuit, se produit un orage avec pas mal de pluie.

Lever vers 8h. Ce vendredi nous retournons chez ses parents. Le ciel est encore nuageux et l’orage a rafraîchi le temps. Eva a mis la robe orange de la veille et porte, en plus, des bas  fins et transparents, du plus bel effet.

« Il fait plus frais ce matin ! J’ai donc mis ces bas Cela ne te dérange pas, j’espère ? » Dit-elle avec un petit sourire.

« Mais pas du tout, ma chère ! Je te trouve même sexy ! »

Il est un peu plus de 9h et demie, quand nous montons en voiture.

« Pour déjeuner, nous verrons bien sans doute au restaurant ! Je n’ai pas voulu que ma tante prépare quelque chose, et puis, avec ce temps humide, manger dehors »

Elle me regarde avec un petit air complice : souvenirs du  voyage aller

Puis, nous démarrons, salués par la tante.

Nous roulons d’abord sous un ciel assez nuageux, puis peu à peu le soleil s’installe. Vers midi et demie, alors que nous avons parcouru plus de la moitié du trajet, nous décidons de nous arrêter pour déjeuner.

Quelques kilomètres plus loin, à l’entrée d’une petite ville, nous avisons une auberge. En entrant nous constatons qu’il n’y a quasiment personne. La responsable de l’auberge, se fait attendre un peu, avant de nous servir. Après avoir déjeuné d’une goulache, d’une bière (sans alcool) et d’un café, Eva se lève, m’annonçant qu’elle va aux toilettes.

Elle en revient, un moment après, ayant retiré ses bas :

« Il commençait  à faire chaud ! C’est plus agréable ainsi ! » Dit-elle.

Il est 13h30, lorsque nous reprenons la route. Et c’est sous un grand soleil que nous arrivons, deux bonnes heures plus tard. Personne à la maison, mais nous savons que ses parents et sa sur travaillent l’après- midi, et ne rentreront qu’à 22heures. De toute façon, Eva a emporté une clé et nous entrons donc avec les bagages.

Une fois tout rangé, elle se met à l’aise, ne gardant que sa culotte et  le vieux t-shirt blanc. Elle s’assoit sur une chaise à la cuisine et, ayant ouvert la fenêtre, allume une cigarette :

« Mon père n’aime pas que je fume devant lui. Alors, j’en profite ! »

Nous bavardons un moment, en buvant une limonade, puis Eva se lève :

« Je vais au jardin (celui qui entoure la maison), il fait très beau dehors ! Autant en profiter ! »,

Je la regarde s’éloigner, son postérieur ondulant à chaque pas :

« Je te rejoins dans un moment, j’ai quelques affaires à ranger ! » et je monte dans ma chambre, à l’étage. Je redescends un quart d’heure plus tard et passe aux toilettes. C’est là que j’entends la voix d’Eva :

« A qui peut-elle bien parler ? Nous ne sommes que tous les deux » Me dis-je. Puis, très vite, je pense au chien, Rex, un boxer de quatre ans. Il était déjà là  l’année dernière, mais on ne le remarquait pas plus qu’un banal animal de compagnie.

Quand j’arrive dans le jardin, je vois Eva, assise sur la balançoire. Rex est bien là, lui faisant des fêtes, léchant ses genoux. Je remarque qu’Eva ne cherche pas à l’écarter pour autant.

« Rex est venu me voir ! Il se reposait au fond du jardin et il m’a entendu ! » Dit-elle avec entrain.

Cependant je la devine très gênée, quand le chien place son museau entre les genoux d’Eva. Elle tente de le gronder, mais visiblement, il insiste.

J’ai un flash- back : Eva assise sur le sol des toilettes, nue, les jambes écartées, offrant sa chatte à lécher à un chien inconnu.

Pour se défaire de l’insistance de Rex, elle se lève, dévoilant du même coup, son état : sa culotte s’orne d’une belle auréole, juste à l’endroit de son sexe. Eva rougit en comprenant que j’ai là, la preuve de son émoi, que l’attitude de Rex la trouble beaucoup plus qu’elle ne le laisse paraître.

« Bah ! Ce n’est pas grave ! » Dit-elle, avec un sourire embarrassé.

« Sans doute à cause d’hier » Je reste prudent, mais Eva pique à nouveau un fard. Cependant, elle reste figée, comme si elle attendait quelque chose.

« Tu as envie de faire comme hier ? » Comme elle ne répond pas, je reprends :

« Je vois bien que ça te plairait  Je me trompe ? » Je guette  sa réponse :

« Je ne sais pas peut-être que Oui ! » Lâche-t-elle, devenant  écarlate.

« Dans le garage ? Il fait plus chaud et il y a de la place plus discret aussi » dis-je pour la décider.

Eva hésite encore puis me suis dans le garage, Rex sur ses talons.

« Enlèves ta culotte ! »

Elle se sent honteuse quand, la retirant, elle voit Rex approcher son museau de sa motte poilue. Elle a un mouvement de recul :

« Laisses-le faire, voyons ! C’est bien ce que tu veux ? Remontes un peu ton t-shirt et adosses-toi à la calandre de la voiture ! » (Celle de son père, une spacieuse Volga).

Elle a à peine le temps de s’installer que Rex fourre littéralement son museau sur sa chatte, et se met à laper avec ardeur. Eva pousse un petit cri quand la langue du chien passe pour la première fois sur son sexe. Elle se sent à la fois humiliée et excitée d’accepter un tel contact.

Très vite, les barrières tombent. Impossible de résister au plaisir que lui procure Rex. Elle commence par haleter en cadence, puis écarte ses jambes un peu plus, pour mieux accueillir la langue de son chien.

Puis, succèdent les gémissements. Eva se tient comme elle peut à l’avant de la voiture :

« Viens t’assoir sur le tabouret, près de l’établi ! » lui dis-je, la voyant en difficulté.

 Elle vient s’y assoir, Rex restant fourré entre ses jambes, gênant ses mouvements. Elle a le dos appuyé contre l’établi :

« Enlèves ton t-shirt ! Il gêne ! »

Cette fois Eva le retire sans hésiter, s’offrant nue, dévoilant tous ses appâts. Rex, reprend activement son léchage, son museau encastré entre les cuisses ouvertes d’Eva. Dans la pénombre du garage, gémissements de plaisir et bruits de léchage se mélangent.

A un moment, Eva en vient à écarter les lèvres de sa chatte avec ses doigts. Le résultat ne se fait pas attendre : la langue de Rex astiquant directement son clitoris, elle sent une intense excitation lui vriller son bas ventre. Elle se lâche :

« Hmmm ! Hmmm ! J’adore ! J’adoooore ! Que c’est bon ! Que c’est booon ! »

Son sexe, dégage une mouille abondante que le chien lèche au fur et à mesure.

Jusque- là, je regardais. Mais si sa chatte est occupée, ces jolis pamplemousses laiteux que sont ses mamelles, sont libres. Je viens donc sur son côté, pour les lui palper avidement.

« J’adore tes nichons ! J’en suis fou ! » Dis-je, tout excité, en les malaxant avec ma main droite.

Les sens d’Eva sont en fusion, étant sollicités de partout. A un moment, elle jouit en émettant un gloussement Rex en profite pour lécher le jet de cyprine, signe de la jouissance  de sa maîtresse.

Le chien se détache d’Eva, se mettant à lui lécher les cuisses et les genoux.

« Je ne t’ai pas encore vue jouir comme ça ! C’était fabuleux ! » Eva reçoit le compliment en rougissant de plus belle.

« Essaies de lui faire lécher tes seinspour voir ! » L’envie de la mener plus loin, me saisit.

« Bob le temps passe.. » Elle tente de se convaincre de trouver un argument qui l’obligerait à arrêter.

« Nous avons le temps, il est à peine cinq heures et demie ! »

Eva regarde son chien. Elle se sent coupable d’avoir pris du plaisir avec lui, tout en ayant envie d’en connaître d’autres. Elle s’agenouille sur un morceau de sac posé sur le sol, et tenant ses seins en coupe dans ses mains, les expose à Rex. Celui-ci s’approche et passe quelques coups de langue sur les tétons, provoquant chez elle un frisson de plaisir. Cependant il n’insiste pas.

« Il faudrait mettre quelque chose dessus quelque chose qu’il aime ! »

Ma proposition laisse Eva interloquée, avant de se raviser :

« Du sucré de la confiture de groseille ! je sais où il y en a ! »

A mon grand étonnement, elle se lève, complétement nue, et se dirige vers la cave de la maison, suivi de Rex. Elle revient cinq minutes plus tard, avec un petit bocal de  confiture de groseille :

« On peut utiliser celui-ci Mon père l’a mis à part, parce qu’il n’était pas rempli et je suis sûre qu’il n’y pense plus ! »

J’ouvre le bocal. La texture de la confiture est celle d’un sirop épais.

Eva se remet à genoux, et avec mes doigts j’enduis ses seins de confiture, avec délectation :

« Bob Tu vois les sottises que tu me fais faire ! » Elle dit cela, un sourire énigmatique aux lèvres, tout en regardant Rex s’agiter devant cette exposition de seins tartinés de confiture.

« En tout cas, tu aimes ce genre de sottise, à ce que je vois ! »

Elle ne répond pas et tend ses seins à Rex, qui ne tarde pas à trouver la confiture à son goût, lapant avec ardeur, tandis qu’elle a des bouffées d’excitation lorsque la langue du chien astique les tétons, les faisant durcir et dresser.

« On en remet une couche ? Je vois que sa langue sur tes seins ça te plait ! »

Rex se remet aussitôt à lécher les nichons laiteux d’Eva, les faisant bouger avec ses coups de langue, rendant la scène encore plus bandante. Quand il a fini, je propose :

« Tu n’as pas envie qu’il lècheton petit trou ? Il reste encore largement assez de confiture. »

« Décidément, tu ne penses qu’à mon plaisir ! plaisante -t-elle- mais là je ne sais pas si »

« Ou même une chose plus osée encore, et tu serais un amour de l’accepter »

Eva me regarde : elle a le sentiment d’avoir été assez loin, mais elle demande :

« Dis-moi ça, pour voir ? »  la curiosité est la plus forte !

« Pour dire les choses clairement, je t’encule ici, devant Rex, et tout de suite après tu lui montres ton anus élargi pour qu’il le lèche ! »

« Beurk ! Tu peux dire que c’est vraiment osé çà, et même sale, non ? »

« De sentir la langue de Rex dans ton petit trou, ça va t’exciter un peu comme hier, non ? »

Eva rougit. Le souvenir de l’épagneul lui léchant la raie des fesses, lui revient. Tout cela n’avait duré qu’un instant, suffisamment pour ressentir les prémices d’un plaisir prometteur :

« Tu es un petit cochon ! » elle ne veut pas l’admettre, mais le désir de connaître cela est le plus fort.

« Tu es terriblement excitante, et je vois que tu as terriblement envie d’être excitée ! »

Et devant elle, je me mets complétement nu. Elle voit ma queue se dresser :

« Hum ! Si tu l’enduisais de confiture ? » Dis-je.

Sans un mot, Eva se met à en étaler sur mon sexe. Je vois un sourire sur son visage :

« Ce que tu me fais faire, Bob !»

« Tournes-toi, Eva ! » et, à mon tour, j’enduis la raie de ses fesses et son anus, de confiture :

« Penches toi bien ! »  J’écarte ses fesses et pose le gland sur son orifice anal. Eva a une petite grimace quand je pousse en avant et que le gland s’encastre dans l’entrée de son petit trou.

« Tu es ma petite cochonne adorée ! » lui dis-je, en me mettant à pousser par à-coups.

Elle pousse des petits cris au fur et à mesure que ma queue s’enfonce dans son cul. De son côté, Rex n’a pas bougé et d’entendre les cris de sa maîtresse, de voir ses seins balloter, parait l’intriguer ou l’intéresser- beaucoup.

Une fois ma bite rentrée dans son cul, je commence des allers – retour. Je sens Eva qui mouille, et le mélange mouille-confiture se révèle un bon lubrifiant.  Elle commence à réagir, cris et gémissement mêlés. Je m’applique à la ramoner à fond, pour offrir à Rex son anus « convenablement élargi ».

Puis je commence à taper plus fort avec des allers – retour plus rapides. Les gémissements et les halètements d’Eva s’accélèrent ; son corps est secoué, ses mamelles se balancent.

« Salope ! » Je me sens près d’exploser. Eva doit sentir mon sperme tiède gicler au fond de son trou. Elle émet une sorte de couinement. Aussitôt je sors ma queue  et présente, Eva étant pliée en deux, le trou béant de son anus à Rex. Celui-ci ne semblait attendre que ça.

Il se met à laper l’étonnant mélange foutre/mouille/confiture qui dégouline de l’anus élargi de sa maîtresse. Et ses coups de langue à l’entrée et dans l’anus procurent à Eva un plaisir puissant, si bien qu’elle se remet à gémir. Pendant ce temps, tout en  tenant Eva courbée,  je joue avec ses belles mamelles laiteuses.

« Mmmm ! C’est bon ! Que c’est bon ! »  Elle ne mégotte pas son plaisir, jusqu’à ce que Rex ait tout lapé et que son anus soit redevenu « normal ».

J’aide Eva à se redresser. Je sens que le chien passerait bien à « autre chose » mais pour le moment, j’estime préférable d’en rester là.

Il est un peu plus de six heures et demie. Eva a eu sa « ration » de jouissance. Elle n’aspire qu’à une chose : se laver. Nous entrons dans la maison, laissant Rex dehors. Nous nous douchons ensemble, puis prenons un petit en-cas. Ensuite, nous nous installons devant la télé, en attendant le retour de la famille.

A suivre…

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