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Les fantasmes de Caroline – Chapitre 12

Les fantasmes de Caroline - Chapitre 12



Chapitre 12 : Patrick perd sa rondelle.

Ils disparaissent de ma vue et je me retrouve seule devant Serge, les mains attachées dans le dos, les jambes en l’air, cuisses écartées au maximum. Mes chevilles sont ligotées à des sangles venant de derrière le canapé et le Plug toujours dans mon anus. Serge jubile et savoure pleinement ce moment où je suis entièrement à sa merci. Il joue avec son sexe à l’entrée du mien si humide, son nud à peine entré entre mes lèvres ouvertes. Il le fait glisser de bas en haut en sattardant sur mon clito. Quand il arrive dessus il le presse, glisse un peu en dessous et recommence. Je comprends quil attend ma supplique.

— Vas-y ! BAISE-MOI ENCORE ! vitttteeeeee

— C’est qui ma salope soumise

— C’EST MOI ! MAIS PRENDS MOOOIIIII ! Remets-moi ta grosse bite ! Défonce-moi encore ! ANnnnnnnnghhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Il vient de senfoncer, dun coup sec, dans ma chatte qui dégouline de cyprine. Il va me baiser encore et encore. Il me défonce sans aucun ménagement. Il se déchaîne en moi comme sil voulait me transpercer le corps. A chaque poussée au fond de ma chatte, il vient frapper son pubis sur le bout du Plug qui obstrue mon anus et jai limpression dêtre pris en double.

Je hurle sous ses coups de queue et je crie.

— OUIIIII, OOOOUIIIIIIIIII ! ENCORE ! AAAAAHHHHH, SALAUD ! PLUS FORT !

Je vois quil se retient pour ne pas jouir mais je veux son sperme !

— AAaaaaaahhhh ! Ouiiiiiiiii, jouis en moi ! Souille ma chatte avec ton foutre de salaud ! Domme moi tout ton sperme !

Quand, arc bouté en moi, contre mon cul, il jouit en grognant et que je sens son foutre chaud gicler dans ma chatte contre mon utérus, je hurle de nouveau sous un autre orgasme encore plus fort que le précédent et je jouis comme une vraie salope que je suis devenue.

Quand il se retire, je suis exténuée, morte. Sa bite dégouline de cyprine et de sperme mélangé et il essuie son gland sur mes cuisses avant de se raviser et de monter sur moi après avoir délié mes chevilles.

— Tiens, salope, nettoie bien ma bite. Je ne vais pas aller dans la chambre dans cet état !

Sans même men rendre compte jouvre ma bouche et je suce sa bite encore bien ferme pour faire disparaître toute trace de nos jus respectifs.

Ensuite, il accroche la laisse à mon collier, et tirant dessus, il me force à me lever pour me traîner derrière lui dans leur chambre.

— Viens ma petite chienne. On va voir ce que fait Laure avec ton cher époux.

Mon mari, ses mains toujours attachées à sa taille, sa tête au pied du lit est sur le dos. Sous lui une sorte de coussin spécial, qui étant incliné, lui maintient les fesses surélevées et Laure le chevauche, empalée sur son sexe tout en lui tenant sa tête de ses mains. Elle lui roule une méga pelle tout en ondulant lascivement sur sa bite.

Nous apercevant, elle se redresse et je la trouve belle ainsi, toute droite, cambrée en faisant ressortir ses seins, sur mon mari qui la baise.

— Madame Delatour ! Waouuuhhh ! Quel organe vocal! Vous avez du réveiller tout l’immeuble.

Putain de garce elle se paie ma tête en prime.

— Mais venez ici. Huuummm, votre mari est un amour. Il me baise à merveille. Il a une belle bite. Pas aussi grosse que celle de Serge mais croyez-moi, il bande vachement bien.

Serge lui a donné la laisse et elle me tire vers eux. Je nai même pas la force de résister et je me retrouve au pied du lit avec mon mari qui me regarde la tête à l’envers.

Laure attrape à côté delle un bâillon en forme de boule prolongé d’un beau gode dune vingtaine de cm. Elle enfonce la boule dans la bouche de mon mari et maintien ce surprenant bâillon par une lanière en cuir derrière sa la tête. Cest la première fois que je vois un truc pareil et je me retiens pour ne pas pouffer de rire en voyant mon mari ainsi, avec une bite qui sort de sa bouche !

Laure tire de nouveau sur la laisse m’obligeant, avec laide de Serge, à venir sur le lit, à genoux, mes cuisses de chaque côté de la tête de mon mari. Dans cette position je sens ma chatte qui évacue le trop plein de sperme qui coule sur mes cuisses.

Elle mattrape derrière la nuque et m’embrasse en me malaxant les seins.

— Huuuuummmtu es toute chaude et ta bouche sent bon le sexe.

Elle se recule et ajoute.

— Madame Delatour, je ne veux pas être la seule salope à profiter de votre mari.

D’une main, elle saisit le gode sortant de la bouche de Patrick et le place à l’entrée de mon sexe encore grand ouvert et de l’autre main, elle appuie sur mon épaule, m’obligeant à m’empaler sur le gode.

Ma chatte est encore tellement sensible que je pousse un long gémissement pendant quil senfonce sur toute sa longueur.

— Aaaaaaahhhhhaaaaaarrghhhhhh

— WAaaouhhhh ! Il entre comme papa dans maman. Il faut dire que Serge à du bien vous ramoner la chatte à vous entendre gueuler comme une truie.

Sans être aussi gros que la bite de Serge, mais aussi long, je sens très bien ce gode au fond de mon vagin. Jessaie de ne pas trop appuyer mon cul sur le visage de mon mari pour quil puisse respirer.

— Je vais vous préparer un bon cocktail. J’ai déjà bien mouillé la bite de votre mari avec mon jus de chatte mais il reste à lassaisonner pour relever son goût.

Elle se soulève et saisie le sexe tendue de Patrick pour se l’enfoncer dans l’anus.

— Huuummm, ouiiiiii ! Cest ça Patrick raidis- toi bien OOOoohhhhouiiiiiibien à fond !

— Mais que faites-vous?!

— Ben vous voyez bien chère Madame. Patrick, votre mari m’encule. Huuuuuummmmm, j’adore ça moi aussi. Sa bite est parfaite pour mon petit cul. Et, ouivous n’êtes pas la seule salope à aimer la sodomie, madame. Allezen cur, toutes les deux.

Elle me prend la tête et écrase ses lèvres sur les miennes pour chercher ma langue tout en montant et descendant doucement sur la queue de mon mari enfiché dans son petit cul, mobligeant à suivre la même cadence avec le gode dans ma chatte.

Puis Laure se retire, se recule et s’agenouille entre les cuisses de Patrick. Elle tire sur la laisse me couchant ainsi sur mon mari. Tenant la bite raide de mon mari dune main, elle m’attrape derrière la nuque et me dit dune voix déformée par son plaisir.

— Voici votre cocktail est prêt. A vous de déguster. Vous m’en direz des nouvelles!

Elle m’enfonce la bite de Patrick dans ma bouche, saisit deux petites chaînes fixées au coussin sous Patrick et elle les accroche à mon collier.

Nous voilà, Patrick et moi, en position 69, bâillonnés, ligotés, lui avec un gode-boule quil maintient dans ma chatte et moi avec sa bite souillée dans ma bouche et enchaînée dessus !

Malgré lexcitation que me procure cette situation, jai un peu peur de cette salope de Laure. La bite de Patrick frémit dans ma bouche et instinctivement je passe ma langue dessus pour déguster le cocktail préparé par Laure. Je ne sais ce que Serge fait de son côté mais mon mari remue sa tête et fait bouger le gode enfoncé dans ma chatte. Tout naturellement je bouge mon cul pour mieux le sentir en moi. Les jambes de Patrick sagitent et relevant mes yeux, je vois Laure qui est en train de fixer au-dessus des genoux de mon mari une sorte de bracelets de cuir et qui lui demande.

— Relevez vos genoux, Patrick !

Mon mari ne bouge pas. Laure sourit et sans sénerver, glisse sa main entre les cuisses de Patrick pour lui attraper ses couilles gonflées avant de répéter.

— Vos genoux en lair ! vite !

Mon mari grommelle quelque chose à travers son bâillon boule mais nobéit pas tout de suite. Laure sert ses couilles dans sa main et lui dit.

— Obéissez, M. Delatour ! Sinon je vais être obligé denfoncer mes ongles dans ces boules bien pleines !

Elle doit sûrement commencer à le faire car jentends mon mari se plaindre en gémissant.

— UUmmmhoooohhhh.

Il relève ses genoux et Serge, qui est tout près, attrape des lanières en cuir fixées au coussin sous le cul de Patrick et sans rien dire, il les fixe aux bracelets que mon mari a aux genoux en les faisant passer par les bracelets qui bloquent ses poignets à sa taille..

Le voilà maintenant, toujours le cul relevé, mais les cuisses écartées repliées vers mes fesses.

Laure semble satisfaite et sadresse à moi.

— Parfait ! Très érotique cette position évoluée du 69. Bien, passons à la suite de nos ébats sexuels. Chère madame Delatour, je vais vous poser des questions et vous répondrez oui ou non en bougeant votre tête. OK ?

Comment veut-elle que je réponde avec la bite de mon mari dans la bouche, un gode dans ma chatte et un Plug dans le cul ! Comme je ne réagis pas assez vite elle se lève et madministre une dizaine de claques appuyées sur mes fesses. Je hurle sous cette douleur soudaine en bougeant comme je peux mon cul endolorit.

— Huuuummm ! Annghhhh

Douleur rapidement contrebalancée par les frottements du gode dans ma chatte.

— Alors, madame, vous comprenez mieux comme ça ! Je répètepour oui, faites bouger votre bouche de bas en haut sur la bite de votre mari, sinon faites non de la tête. Ce nest pas compliqué ! Allerfaite oui…

Je baisse ma tête pour m’enfoncer le sexe de Patrick au fond de ma gorge et je relève ma tête.

— Voilaelle a compris ! Et vous Patrick, interdit de jouir avant que je ne vous lautorise !

Laure revient à genoux entre les cuisses relevées de Patrick. Elle caresse mon visage dun doigt quelle fait courir autour de mes lèvres en frôlant la queue de mon mari et puis, soupesant ses couilles dans le creux de sa main, elle se met à les lécher et les aspirer une à une dans sa bouche. Jentends mon mari gémir derrière son bâillon faisant vibrer le gode dans ma chatte. Mon excitation monte dun cran et jondule des fesses pour mieux sentir le gode en moi.

— Madame Delatour dites-moi vous aimez être attachée et soumise.

Ne répondant pas assez vite elle ajoute en levant sa main.

— Répondez vite, sinon

Je suce la bite de mon mari pour lui signifier mon approbation et un oui.

— Cest bien ce que je pensais. Avec ce que ma raconté Serge et le fait que tu sois venu à notre rendez-vous, ça prouve bien que tu es une belle salope ! Et tu dois aimer ça. Répond-moi !

Ma bouche dans les poils du pubis de Patrick, je grommelle.

— Ummmmhhh

Et avant que je remonte ma tête pour faire signe que « oui », elle enfonce deux de ses doigts dans le cul de mon mari qui a un sursaut en grognant très fort.

Sa bite se raidit encore plus et son gland senfonce dans ma gorge. Sa tête doit aussi se relever sous cette intrusion car je prends un sacré coup de gode dans ma chatte.

— Mais dite doncchère madameVotre mari a lair d’aimer mes doigts dans son petit cul

— Huuummmm

C’est fou de voir comment mon mari réagit aux doigts de cette môme pervertie jusqu’à la moelle. Elle lui baise le cul et ça le fait bander encore plus, alors que jusquà présent il a toujours refusé que je touche simplement son anus pendant que je le suce.

— Et vous madame Delatour je crois savoir que vous aimez vous faire sodomiser, hein

Me dit-elle en me fixant dans les yeux.

Je me demande bien de quoi jai lair avec ma bouche ouverte sur la bite de mon mari et ma chatte empalée sur un gode planté sur la bouche de mon mari. Dune pute, probablement. Presque honteuse je baisse mes paupières.

— Ouvrez vos yeux, salope ! Je veux voir vos yeux brillant de plaisir. Vous êtes magnifique et votre sensualité se voit dans votre regard. Répondez ! Vous aimez quon vous lèche le cul et avoir une grosse bite dedans ?

— Uhmmmmm

Je m’enfonce sur le pieu de Patrick et je bave même dexcitation. Je fais 2-3 aller-retour comme si je disais, oui, oui, oui et je sens le Plug dans mon cul qui bouge et qui sort de mon anus. Et une langue le remplace !

Serge me fait une feuille de rose !

— AAAggggggrreeeee !

— Oui ! Elle aime ça ! Vous êtes une belle salope de bourgeoise qui adore se faire défoncer son cul. Surtout quand cest la grosse bite de Serge ! Hein ? Salope.

Je suis tellement excitée et obnubilée par la langue de Serge, qui essaye de pénétrer dans mon anus, que je la fixe en écarquillant mes yeux de plaisir et je ne réponds pas.

Vlan ! Je prends une sacrée claque sur mes fesses par Serge.

— AAAaaaagrreeee !

— Réponds ! Salope.

Humiliée et excitée en même temps, je suce la queue de Patrick trempée par ma salive mais…

OOOoohhhh, la langue de Serge revient sur mon trou du cul et pénètre dedans. Je me venge sur la bite de mon mari qui doit commencer à avoir du mal à se retenir car il narrête pas de bouger ses hanches et le gode quil maintient dans ma chatte avec sa bouche.

Jai chaud, je transpire, et je sens, moi aussi, que je ne vais pas tarder à jouir si ses deux pervers continuent de me traiter ainsi. Cest infernal mais jen veux encore !

-Alors, chère madame, vous voulez qu’il vous encule ?

Je noppose plus aucune résistance et je monte et descend très vite sur la bite de mon mari pour vouloir dire.

« OOOhhh, ouiiii, ouiiii, vite quil me sodomise mon salaud de stagiaire ! »

— Ça cest un oui franc et net !

Dit Laure avant dajouter.

— Je lui demande de vous défoncer votre cul de salope si vous restez les yeux ouverts en me regardant. Nous sommes daccord ?

Un sourire malicieux se dessine sur ses lèvres, puis se transforme en sourire pervers quand elle enfonce plus profondément ses doigts dans le cul de Patrick qui gémit dans ma chatte par lintermédiaire du gode. À chaque mouvement des doigts de Laure dans son cul, je sens sa bite réagir dans ma bouche et jadore ça.

Je fais le signe habituel pour dire oui à Laure et je reste les yeux ouverts en la regardant. Elle cligne des yeux et

— AnnnrggggH AAArgggghhhh Ukhhuuhhhhmmmm

Serge vient, sans prévenir, de m’enfoncer son énorme bite dans le cul jusqu’à la garde !

Mes cris sont étouffés par la bite de Patrick dans ma bouche mais je hurle de douleur sous cette queue qui me défonce le cul et explose mes entrailles. Je sens que je vais mévanouir en tournant de lil.

— Waouuhh ! Patricksi vous pouviez voir la tête de votre femme, elle a les yeux retournés je sens qu’elle va partir. Vous avez vu comment Serge vient de lui défoncer son cul ! Il la carrément explosé avec sa putain de bite ! Ressort un peu, goujat, laisse la reprendre son souffle elle a déjà le gode qui lui remplit la chatte.

Je reviens un peu à moi et je vois mieux Laure. Elle me sourit presque tendrement.

— Ça va mieux Caroline

Elle me caresse le visage, me fait une bise à la commissure de mes lèvres qui sent une fraction de seconde le bout de sa langue mais elle se lève. Où va-t-elle ?

La douleur dans mon cul sestompe et Serge commence à menculer avec de lents va et vient de sa grosse bite.

— OOOoohhhhh.AAAAaaahhhhh

A chaque fois quil senfonce à fond entre mes fesses, je gémis de plus en plus fort car il repousse le gode qui est dans ma chatte sur mon utérus. Mes deux trous à plaisir dilatés sont gavés comme des oies et je me sens pleine, remplie et comblée. Jimagine la tête de mon mari qui a sous son nez la queue de mon stagiaire qui rentre et qui sort de mon anus déformé avec le muscle de mon sphincter qui roule dessus. Je me demande combien de temps il va tenir avant de menvoyer son jus dans la bouche.

Laure réapparais devant moi et Putain ! Quelle salope ! Elle sest mise un gode ceinture et vient se positionner entre les cuisses de Patrick.

Non ! Je ny crois pas ! Elle va l’enculer.

— Uuuuuuuuuuhhmmm

Patrick couine comme un porc qui sent sa mort venir et me donne des coups de gode dans la chatte en gesticulant. Mais attaché comme il est, et moi sur lui qui le tient par sa bite, il ne peut se soustraire à Laure qui l’encule doucement, mais sûrement.

-Tu aimes çaheinvieux cochon. Tu es bien comme ta femme qui adore se faire démonter le cul. Hein, Caroline Pardon, madame Delatour

Jacquiesce en bougeant ma tête de haut en bas sur la bite de mon mari.

Elle lencule lentement et elle a dû bien lui préparer son cul avec ses doigts car mon mari commence à gémir mais pas de douleur. Il ronronne même comme un gros chat pendant que Serge me défonce brutalement, de plus en plus fort, et je sens que je vais tomber dans les pommes ou jouir comme une dingue !

Je suis au bord de l’évanouissement mais Laure intervient.

— Arrête Serge, elle va craquer.

Elle se retire du cul de Patrick et Serge s’extirpe de mon cul dévasté. Elle passe derrière moi et me caresse les fesses avant que je sente sa langue chaude me lécher l’anus. Elle tourne autour de mon sphincter avant dintroduire sa langue dans mon cul tout ouvert.

Huuummmm, que cest bon ! Et ça soulage la douleur résiduelle. Effarée, je vois Serge qui s’apprête à prendre mon mari par le cul !

Noooon ! Pas ça. Il ne me pardonnera jamais de lavoir entraîné ici !

Jentends Laure, qui a laissé mon anus, parler à Patrick.

— Alors monsieur Delatour, c’est bon dêtre dominécomme votre femmevous aimez la voir se soumettre et se faire baiser, hein,

Elle lui enlève le bâillon gode quil a dans sa bouche et retire le gode qui est dans ma chatte. Je me sens complétement vide et je grogne de dépit.

— Maintenant, monsieur Delatour, vous aller connaître le plaisir de votre femme quand elle a la bite de serge dans son cul. Et vous, madame, regardez!

Je vois le gland de serge senfoncer dans lanus de mon mari et Laure doit lembrasser car ses grognements sont étouffés. La grosse bite de Serge progresse dans son cul à la même vitesse que le gode de Laure quelle vient de mettre dans mon cul.

Puis quand la bite de Serge a entièrement disparue de ma vue et que je sens le gode ceinture de Laure au fond de mon cul, elle doit arrêter de lembrasser car elle murmure à mon mari.

— Cest bon, hein

Mon mari gémit mais ne répond pas.

— Vas-y Serge ! Défonce-lui un peu son petit cul.

Serge baise le cul de Patrick qui gémit de plus en plus et Laure repose sa question tout en baisant mon cul toujours au même rythme que Serge.

Cest incroyable comment cela mexcite de voir la bite de Serge faire de lents aller-retour dans le cul de mon mari.

Puis, dun grand coup sec, il senfonce jusqu’à la garde et Laure fait de même avec son gode.

Aux grognements de Patrick, je sens quil va craquer et sa bite dans ma bouche tressaute et prend encore plus de volume. Comme moi, lorsquil mencule, avec ce genre de rythme lent, suivit dun grand coup pour voir ce que ça fait, généralement je ne tiens pas longtemps.

— AAAHHHH, Ouiii ! Vas-y ! Plus fort ! Ouiiiiiiiii !

Putain de salaud ! Ses deux pervers sont arrivés à leur fin. Ils lont eu ! Il a craqué !

Laure en bonne salope lui susurre.

— ten veux plus ? Il suffit de le demander, lâches-toi si taime ça ! Ta femme elle adore ! Écoute-là !

Et elle menfonce son gode violemment dans mon cul.

— AAAhhhhhUhhhmmmouiiiiiiiiiii !

Et jentends mon mari.

— Argghhhh ouiiiii, moi aussiiiii ! Encule-moi plus fort ! Défonce-moi le cul, comme ma femme !

JE rêve ! Ce n’est pas mon mari qui cri cela!!! Lui qui ne supportait pas un doigt dans son cul !

Et si ! Serge, devant mes yeux, lencule sauvagement, tout comme Laure sous les yeux de mon mari. Patrick et moi hurlons de plaisir.

Pendant plusieurs minutes, ce nest que cris de plaisir sous les coups de bites, vraie ou fausse, qui nous prennent par le cul.

Puis Serge détache mes chaînes de mon collier et je peux soulager mes mâchoires quelques secondes avant quil ne m’attrape par les cheveux pour me planter sa bite en bouche et m’éjaculer dedans à grands jets de sperme chaud.

Une fois quil sest bien vidé dans ma gorge, ils me font basculer sur le côté en détachant aussi Patrick.

Laure écarte mes jambes et vient entre mes cuisses. Sa bouche parfumée se pose sur la mienne et sa langue de vipère lubrique fouille ma bouche avant de se poser sur mes seins quelle malaxait fermement. Elle passe la langue sur mes aréoles gonflées puis sur le bout de mes tétons tous tendus. Si elle continue comme ça je vais exploser !

Et dun seul coup, elle plante son gode quelle a conservé, dans ma chatte en feu.

— Patricktas pas envie de menculer pendant que je baise ta femme ? Moi jai envie ! Prends-moi par derrière.

Mon enculé de mari ne se fait pas prier et sans prendre de précaution il senfonce violemment dans le cul de cette petite salope de Laure qui hurle.

— AAAAhhhh ! Putain que cest bon ! Vas-y ! Venge-toi ! Défonce-moi aussi !

En geignant elle reprend ma bouche pour un baiser sauvage et à chaque coup de bite de mon mari dans son cul, le gode de Laure percute mon utérus.

Une queue vient se glisser entre nos deux bouches. Il na pas tardé à reprendre de la vigueur le Serge !

Enfin on me délit les mains. Dun bras, jenlace cette gamine pervertie et de lautre jattrape la belle bite de Serge, mon stagiaire préféré qui me dit.

— Ah! Si Éric te voyait dans cette situation, il serait fou excité comme jamais.

Patrick sarrête denculer Laure et grogne.

— Quoi!!! Qui c’est cet Éric.

Je sors la bite de Serge de ma bouche, en gardant 2 secondes son gland entre mes lèvres pour tourner ma langue autour et ensuite dire à mon mari.

— Patrick on t’en a parlé l’autre soir au pub, c’est l’autre stagiaire qui est avec cette vieille peau de la comptabilité et qui

Je ne peux continuer car Serge vient de menfoncer sa grosse bite dans ma bouche pour, avec un air narquois, dire à Patrick.

— C’est sûr quil est bien moins loti que moi question maîtresse de stage (Rire). La mère Brigitte elle est moins bien roulée que ta femme et bientôt elle ne sera plus coté à largus ! Mais il fantasme dur sur Caroline ! Surtout depuis que vous vous êtes crêpées le chignon dans son bureau l’autre jour.

Il prend ma tête dans ses mains pour se branler dans ma bouche et il ajoute.

— Il m’a dit qu’il t’as vu en mini-jupe, collant chair, les 2 mains sur le bureau de Brigitte entrain de l’engueuler pour des factures d’un client et comme tu étais penchée en avant il n’avait d’yeux que pour tes cuisses et tes belles fesses tendues, Caroline. Tu nas rien remarqué ?

Comme il sort sa queue de ma bouche je peux répondre.

— Euh oui, peut-être. Je n’ai pas fait attention à lui je devais être trop énervé après Brigitte, qu’elle connasse cette femme ! Cest sûrement une mal baisée.

Serge rigole franchement et dit.

— C’est sûr ! Comparée à toi, elle doit être beaucoup moins bien baisée.

On se met tous à rigoler et Laure me baise plus fort au rythme des coups de bite de mon mari dans son cul qui se penche sur le côté pour me dire.

— Mais est ce quil te drague lui aussi ?

— Non tu penses, il est mignon, mais si timide que lorsque je le croise il regarde ses pompes.

Serge caresse mes lèvres du bout de son sexe baveux, et le tenant dune main, je taquine son gland avec ma langue.

— Huuummm, Caro Il aimerait ça, Éric. En tous cas, dès que tu tournes le dos il mate tes fesses et tes cuisseset aussi tes nichons de salope.

— Serge!!! Voyons ! Sois poli !

Laure qui membrassait dans le cou en caressant mes seins intervient.

— Un peu de tenu, Serge ! Son mari est là ! Je le sens bien dailleurs ! Et même si cest une belle salope, ses seins sont super. Sluuurpp Huuuuummm, j’adore te les malaxer et les sucer.

Joignant le geste à la parole elle suce mes tétons en frottant le bout de sa langue sur mes aréoles et me fait gémir.

— Huuummm, LaureOOOoohhhh ! Ouiiiiii !

Laure viens de me donner un grand coup de gode dans ma chatte et ça continue car mon mari est en train de baiser son petit cul avec de sauvage coups de reins qui se répercute au fond de mon vagin.

— Doucement, Patrick, dit Serge. Prends ton temps ! Elle adore avoir une bite dans le cul ma petite Laure. Pour Lundi, si Patrick est d’accord, je pense que Caroline devrait venir en mini-jupe, la grise plissée est superbe, en collant chair, talon aiguille, et aller dans le bureau de Brigitte et Éric

Patrick sarrête presque de fouiller le cul de Laure et dit.

— Ouiet alors

— Elle devra lallumer, lexciter un max, comme une belle salope qu’elle est ! Elle devra le rendre fou de désir, lui laisser voir tout son cul jusqu’à ce quil éjacule dans son pantalon.

— Ça ne va pas ! Je ne vais pas faire ça devant cette conne de Brigitte, cette coincée du cul !

— OK, Caro. Je vois ce n’est pas de le faire qui te dérange c’est Brigitte. Mais tu le feras, justement à cause de la présence de Brigitte. Ça la décoincera peut-être !

— Tes complétement Malade !

— Oui, ma belle salope ! Mais cest toi le virus qui me rend comme ça. Ensuite tu reviens, on ira dans le bureau de mon oncle pour être tranquille et j’appellerai Éric pour qu’il nous raconte tout. Patrick, je t’appellerai du portable de Caroline et tu pourras tout entendre, OK ?

Mon mari ne dit pas non et encule plus vite Laure qui couine de plus en plus et il ajoute même.

— Cest bon pour moi. Caroline va obéir et faire ce que tu lui demandes.

Non de Dieu, voilà que mon mari est daccord pour que je joue la salope au bureau !

— Vous êtes tous les deux des pervers !

Mais je nen dirais pas plus car mon mari est en train déjaculer dans le cul de Laure qui a un orgasme qui se répercute dans ma chatte par lintermédiaire du gode. Du coup je jouis aussi et gémissante, la bouche ouverte, je reçois plusieurs jet de sperme sur ma langue avant que Serge nenfouisse sa bite dans ma bouche et se finisse au fond de ma gorge.

Repus de jouissance, tout le monde se retire des uns des autres et se rhabille. Je cherche ma petite culotte

— Ah, la vache ! Ma jupe est vraiment courte et je nai pas de slip ! Je navais que la ceinture de chasteté.

Et dune seule voix, Patrick et Serge.

— Et ça te dérange ?

Laure rit de bon cur et vient membrasser en enfilant un doigt dans ma chatte trempée pour la doigter quelques secondes.

— Cest pour le voyage ma chérie. Tu penseras à moi.

— .Huuuuuummmmm ouiiiiii, je ne suis pas prête de toublier !

Sur le chemin de retour Patrick est dans ses pensées ou encore dans le petit cul de Laure. Puis je le vois sourire et se tournant vers moi

— Ma chérie tu es vraiment devenue une salope, une grande et belle salope ! Et je te rappelle ta promesse. Ce week-end tu seras mon esclave sexuelle. Tu devras m’obéir sans discuter car je suis venu avec cette saloperie de cage à bite.

— Oui mon amour. Oui, ouiiii, je suis à toi, à ton entière disposition et je taime. Maistu veux vraiment que je fasse la salope devant Éric l’autre stagiaire ??

— Oui, comme une vraie pute ! Et en plus gouine ! Dis donctu as aimé faire ça avec Laure. Heinça tas plu.

— Daccord ! Javoue que cétait bon. Lundi je vais me lâcher il va avaler sa langue le pauvre petit. Je me demande sil est encore puceau ? Pour Laure, je reconnais que jai adoré sa chatte et elle ma bien fait jouir avec son gode. Mais toi alors ! Quand je pense que je ne pouvais pas te mettre un doigt dans le cul et làtu tes fait démonter le cul par Serge ! Et en plus tu en redemandais ! Maintenant que tu aimes ça comme moi, tu voudras bien que je mette un gode ceinture, ptit pervers !

— On verra grosse cochonne pour l’instant c’est moi qui vais t’enculer comme une chienne en chaleur.

Phantome sur un scénario de Toutencollant.

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