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La Radingue – Chapitre 1

La Radingue - Chapitre 1



Non, elle n’avait pas la silhouette d’une camionneuse, malgré ses muscles partout, mais une démarche de canard, les cheveux en queue de rat, tirés en arrière, un embryon de moustache et des pieds du genre "écrase-merde" au large dans ses bottes courtes!

Pulpeuse,mais pas obèse, blondasse avec un visage un peu mou, des traits épais et de l’acné! Un gros nez, des lèvres-ventouses et mouillées qu’on avait envie de mordre et de lécher! Sa poitrine pouvait s’appeler"mamelles", ou nichons. Avec de larges tétons noirs et grumeleux, au centre d’aréoles roses! Et pourtant Marielle avait la réputation d’être une ravageuse à tel point que ses amis ou supposés tels, l’appelaient:"La Radingue!"

Elle n’avait pas vraiment de fesses, elle avait un gros cul taillé d’une seule pièce, dont on voyait, à peine la raie, noyée dans la graisse! Un pubis en large triangle embroussaillé et entretenu ainsi exprès, pour être toujours odorant et tenter les visiteuses avides!

Mais elle était tellement gouine, que çà se devinait à vingt mètres, surtout à cause de ses larges mains aux ongles ras, et rongés, qui faisaient merveille comme mains balladeuses! Et idéales pour claquer les paluches qui venaient s’agglutiner aux siennes! De nombreuses filles étaient fascinées par sa démarche molle de grosse vache aux cuisses toujours ouvertes sous sa grosse parka d’où s’échappaient des senteurs suggestives dès qu’on s’en approchait

Ses gros doigts épais, tremblaient d’émoi lorsqu’ils défaisaient la bride des chaussures de sa partenaire, une superbe brune, aux cuisses épaisses, mais musclées, qu’elle écarterait plus tard, après que Sylvie, sa chérie, une fois la bride des chaussures détachée, eut respiré ses orteils au travers de sa chaussette qu’elle prenait entre ses lèvres pour en exprimer tout le suc! Puis ses grandes mains se faisaient habiles pour retirer la chaussette en la roulant jusqu’au talon! Geste qui, à lui seul, mettait de la moiteur au coeur de sa moniche grasse, aux lèvres épaisses, emprisonnant,encore, les nymphes humides et fripées avant de se déployer en ailes de papillon! Et qui croyaient pouvoir, ainsi écarter, au moins pour un moment, une éventuelle visiteuse éperdue, de l’abri en forme de V renversé qui cachait son énorme bourgeon, toujours gorgé de désir et luisant!

Mais tout celà, c’était en hiver, et on était en plein mois de Juillet! Il faisait une chaleur de four dans la cabine du trente cinq tonnes que conduisait Marielle! Vêtue ce jour-là d’un tee-shirt taché sous les bras de grands cernes sombres et très parfumés et d’un short trop court qui moulait les lèvres épaisses de son abricot bombé et plus que joufflu ! A côté d’elle, Sylvie , sa chérie,, pratiquement nue, et les cuisses largement écartées, se caressait la chatte, se reniflait les doigts et faisait des tresses avec les poils de sa touffe toute engorgée de désir, à l’idée de plonger, bientôt, sa main voyageuse, entre les cuisses de Marielle qui s’écartelait et n’attendait que çà!

La conductrice appuya sur la pédale du frein dans un grand sifflement d’air comprimé, et alla garer son bahut dans un coin retiré de l’aire de repos, ombragée de grands arrbres feuillus !

Derrière les deux femmes, le grand espace de la couchette laissée grande ouverte depuis la fin de leur nuit d’ébats, répandait dans la cabine une odeur de sexe de femme et de tabac froid! Une fois le camion arrêté, Marielle ouvrit le mini-réfrigérateur, situé derrière le frein à main entre les deux sièges, en tira deux boîtes de bière glacées et les décapsula en salivant de plaisir, puis tendit l’une des deux à Sylvie qui la regarda avec tendresse et de grands cernes bistres sous les yeux, vestiges de leur nuit de caresses débridées, dont leurs deux corps gardaient les traces luisantes et odorantes!

A moitié allongée sur son large fauteuil de pilote, Marielle tendit la main vers l’entrecuise de Sylvie dont elle écarta les lèvres de l’abricot pour plonger dans un marécage clapotant et laissant échapper les remugles de leurs étreintes nocturnes!….. Qui n’avaient donc pas suffi à éteindre le feu qui embrasait sa cramouille! Elle en voulait encore  !!!!!!! Mais ce contact si troublant, provoqua chez Marielle, malgré la fatigue de la conduite et leurs élans passionnés, un fourmillement qui fit naître, presque aussitôt un début de coulée de cyprine entre ses cuisses épaisses et engendra une réflexion amusée de sa part !:-" Tu bandes et tu mouillles encore, ma salope! Tu n’en a jamais assez! Décidément tu es une affamée de ma jute! ! ….. On boit un coup et on se remet sur la couchette pour nous offrir une petite resucée de jouine commune qui nous fera encore du bien jusqu’à l’heure du rendez-vous! Ça te va?"

Sylvie secoua la tête pour répondre, sentant monter à l’avance,sur sa langue et dans sa bouche, la délicieuse saveur de la mouille de Marielle qui n’en était pas avare! et ce qui fit bander encore plus son clitoris qu’elle titillait d’une main en buvant de l’autre!

En réalité ce n’était pas vraiment un clitoris, mais cachée derrière les deux lèvres de son abri, c’était plutôt une longue tigelle en forme de bite avec l’esquisse d’un petit gland que Sylvie avait découverte la première fois qu’elles s’étaient gouinées ensemble et dont elle n’avait plus jamais pu se passer depuis lors! Pour Sylvie, c’était comme si elle avait une petite queue de garçon entre les lèvres, mais avec un chatte gluante juste en dessous, avec le seul regret qu’il ne puisse pas lui juter dans la bouche! !

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