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Les Origines de la Saga des esclaves du Marquis d'Evans (Année 1784) – Chapitre 19

Les Origines de la Saga des esclaves du Marquis d'Evans (Année 1784) - Chapitre 19



— Année 1784 – Un mariage et une installation (2) –

Eléonore et "manon" se tiennent devant l’autel… Depuis une heure, le curé du village officie pour cette cérémonie inhabituelle… Mais Le Marquis d’Evans a insisté pour que soit célébrée l’union des deux jeunes esclaves, pour que ce couple illégitime, constitué lors d’une fugue des tourtereaux soit officialisé et leur statut d’appartenance annoncé devant tous.

— "Vous avez souffert pour Votre Seigneur, car tel est votre destin. La souffrance était nécessaire pour parvenir au destin qui vous était promis. L’amour de Jésus-Christ fait aimer les souffrances et à travers elles, c’est aussi envers Votre Seigneur et Maître temporel que Vous avez fait voeu de soumission, d’obéissance et d’appartenance", lance de sa voix profonde le curé, sa litanie résonnant dans l’église et se faisant entendre jusqu’au parvis sur lequel se pressent tous ceux qui n’ont pu accéder à l’intérieur. Et le curé poursuit son sermon digne des plus grands orateurs…

— "Car, (tonne-t-il en levant le doigt haut au ciel) c’est dans l’acceptation de la souffrance que s’accomplit la vraie foi ! Et la récompense attachée à ces souffrances est l’ultime satisfaction de pouvoir pleinement vivre dans l’accomplissement de votre profonde nature ! Esclaves vous êtes ! La vraie paix ne se trouve que dans l’acceptation de ce que l’on est, de ce que Dieu a voulu que nous soyons. Esclaves vous êtes ! La soumission est pour vous nécessité, l’humilité votre voie ! Esclaves vous êtes ! La soumission de vos corps, de vos âmes, c’est ainsi que vous atteindrez la plénitude et, pour cela, c’est à Votre Maître Le Marquis d’Evans, Seigneur du Duché des Evans, au sang Royal, Terres sur lesquelles nous sommes, qu’il vous faut déclarer la plus absolue des allégeances ! Il est juste et avantageux de vous soumettre aux ordres de la providence qui vous a guidés jusqu’à Lui ! Esclaves vous êtes et vous serez, à jamais !"

… un silence succède au long diatribe du prêtre, sous le regard satisfait Du Noble Marquis. Nul n’ose élever la voix, nul n’ose lever les yeux… tous méditent les mots de lecclésiastique qui s’ils s’adressaient au jeune couple, concernait tant les esclaves que le peuple libre placé sous l’autorité Du Maître de ces terres. Sur un signe du curé, les deux jeunes gens s’agenouillent. Leurs accompagnateurs les libèrent des colliers qui jusque là enserraient leurs cous. C’est alors le Marquis d’Evans qui s’avance vers l’autel. Il tient en mains deux nouveaux colliers d’acier brillant… Il s’approche des deux esclaves et s’arrête juste derrière eux… Le curé reprend solennellement …

— "Vous, Notre Noble et Bon Marquis d’Evans, Seigneur et Maître des ces terres et de ces êtres, consentez-Vous à prendre pour esclave éléonore, ici présente… à disposer d’elle corps et âme, autant et aussi longtemps qu’il Vous plaira ?"

— "J’y consens", prononce Le Marquis, tout en refermant autour du cou de la frêle et blonde créature, l’acier du collier et d’y fixer un cadenas dont il glisse ensuite l’unique clef dans une poche de sa longue veste de brocart.

— "Vous, Notre Noble et Bon Marquis d’Evans, Seigneur et Maître des ces terres et de ces êtres, consentez-Vous à prendre pour esclave "manon", ici présent… à en disposer corps et âme, autant et aussi longtemps qu’il vous plaira ?"

— "J’y consens"… et le collier d’acier se referme sur le cou de "manon"…

Enfin la foule se libère et applaudit, tandis que le curé lance :

— "éléonore et "manon" je vous déclare esclaves Du Marquis d’Evans, pour Lui appartenir corps et âme. Il vous accorde d’être unis et de demeurer entre les mêmes murs, aussi longtemps qu’il Lui plaira !"…

Fixant une double laisse aux anneaux de chaque collier, Le Marquis d’Evans sort de l’église en traînant derrière lui le couple désormais officiel… Sur la place, un brasero crépite et l’exécuteur des basses oeuvres du Château est présent, dans sa grande tenue de velours rouge, sa haute cagoule pointue sur la tête. La foule qui se pressait dans l’église rejoint ceux qui se pressaient à l’extérieur et tous entourent l’espace délimité autour du brasero par des gardes en grande tenue, où deux portiques ont également été installés…

Le Marquis d’Evans entraîne Ses deux nouveaux esclaves au coeur même de ce cercle… Le bourreau se saisit d’éléonore et l’enchaîne nue à l’un des portiques, les bras étirés vers le haut, les chevilles entravées au bas des poteaux… la foule frémit et les mâles ne peuvent s’empêcher d’apprécier ce joli corps pâle, seulement marqué par les traces de quelque ancienne flagellation… certains ont déjà pu user de ses orifices, mais ainsi exposée, les cuisses largement ouvertes, les chairs humides de son intimité exposées aux yeux de tous hors de toute pudeur, ses seins tremblants légèrement… la jeune femme apparaît dans toute la splendeur de son abandon…

Quant à "manon", il est également enchaîné et exposé tout comme sa compagne… et cette fois ce sont les femmes d’alentour qui apprécient la nudité sans fards du jeune homme… Tous n’ont d’yeux que pour ces nudités ainsi exposées, lorsque le bourreau s’approche du brasero et y saisit une tige dont le bout était plongé dans des braises rougeoyantes… il s’approche de "manon" et applique l’extrémité rougie, aux armoiries des Evans, en haut de la fesse droite… Un hurlement strident échappe à l’esclave, tandis que s’inscrit dans sa chair la marque des Evans… le-la voici marqué au plus profond de ses chairs par les armes de son Maître… Le cri d’éléonore est plus strident encore… puis les jeunes gens sont laissés là, exposés dans leur nudité à la vue de tous. Seules des femelles esclaves sont autorisées à venir passer sur les peaux marquées des pommades antalgiques afin de soulager grandement la douleur.

Les esclaves exposés demeurent ainsi quelques heures, tandis qu’autour d’eux, sur la place, la fête de noces bat son plein. Le Marquis d’Evans est généreux. Pour l’occasion, Il a fait mettre en perce des tonneaux de ses meilleurs vins rouges (quon appellera plus tard le Beaujolais) et distribué avec prodigalité force victuailles (quont appellera plus tard les fameux poulets de Bresse)… Le peuple rend grâce à Ce Seigneur et ce sont les esclaves, mâles et femelles, qui assurent le service de cette fête qui bien vite se métamorphose en une véritable saturnales… exceptionnellement les esclaves peuvent profiter des plaisirs accordés à la population libre de la contrée. Ils profitent de ces libations et peu habitués au vin, se livrent promptement à des exhibitions d’un extrême libertinage. Une orgie publique se profile dans livresse et la perversion la plus dépravée qui soit.

Ces femelles et mâles, nus, s’offrent aux premiers venus, offrant sans retenue leurs corps, leurs orifices… Peu à peu, autour des portiques où sont attachés les deux jeunes époux, les corps s’emmêlent et s’offrent, s’ouvrent et se pénètrent… Pendant des heures, cette orgie gagne toute la place, sous le regard amusé du Marquis d’Evans et de Son ami le Marquis de Sade, qui savourent une coupe de champagne tout en se faisant sucer par les deux délicieuses esclaves, Kilima et Njaro, dont les lèvres de velours et la langue veloutée font merveille … Cette méga orgie durera jusquà laube dans la débauche la plus totale. On ne compte plus les multiples partouzes, les femmes et même les hommes sodomisés. Les jouissances perverses. Les femelles baisées à même les pavés, sur les charrettes de foins, sur les tables, on suce, on pénètre tous les orifices se trouvant à portée de verge. On ne voit que jambes écartées, on nentend que cris de jouissances fusant dans tout le quartier. Des hommes et des femmes sont pris en levrette à 4 pattes sur le pavé en plein milieu de la place Le vin coule à flot, on mange le gibier avec les mains grasses, on baise tout en se sustentant Oui la débauche est à son paroxysme. Le Marquis de Sade savourant le spectacle avec perversité et délice pense déjà à relater tout cela, très bientôt dans une de ses prochaines uvres littéraires.

Ce n’est que bien plus tard, alors que s’avance le crépuscule que les deux nouveaux esclaves sont enfin détachés… Tout autour, sur la place, les corps emmêlés se sont effondrés… Des amas de chairs nues se reposent, dorment ici et là … et rares sont ceux encore en état de suivre le petit cortège mené par Les deux Marquis jusqu’à une minuscule masure, dans un recoin du village. La demeure est humble, composée seulement d’une pièce carrée, où sont installés, un châlit de bois, une table et deux chaises…

— "Voici votre demeure", commente le Marquis, "c’est ici que désormais vous vivrez, en vrai couple, dévoués au service de votre Maître et de tous ceux auxquels Il vous confiera… Comme vous le voyez, il n’y a nulle serrure à votre porte. C’est que vous n’avez nul droit à vouloir quelque intimité qui fut ! Chacun, à toute heure, peut entrer ici et exiger votre service. Par ailleurs, il a été décidé que toi (il désigne éléonore) tu te rendras tous les vendredi, samedi et dimanche, du coucher de soleil jusqu’à l’aube, à l’auberge, afin d’y poursuivre ton activité de puterelle. Par ailleurs, chaque jour, tu devras te rendre pour mâtines et vêpres en l’église, afin d’y poursuivre ta rédemption… et toi "manon", tu seras à la disposition des paysans, afin de les aider dans leurs tâches… s’il prend à l’un d’eux, l’envie de te foutre, naturellement tu devras lui donner pleine satisfaction, car il n’est point dit que mes esclaves soient bégueules ! Ainsi, votre quotidien d’esclaves sera réglé, à moins, bine sur, que vous ne soyez mandés à Mon Service, ce qui d’évidence est votre plus absolue priorité ! Je vous accorde trois jours et trois nuits pour vous reposer et savourer votre nouvelle vie… pendant ce temps, nul ne viendra vous importuner. Ensuite, vous commencerez vraiment votre nouvelle vie"…

Ayant ainsi décidé, le Marquis s’éloigna, laissant les deux esclaves enlacés l’un à l’autre. Et le plus insolite, était le fait que le couple fatigué mais souriant avait lair heureux de cette nouvelle vie. En effet, la perversité les ayant gagné, ils étaient tous excités à être devenus les putains des villageois et des paysans …

(à suivre …)

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