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les peintres – Chapitre 1

les peintres - Chapitre 1



Ce matin la Hélène se rend à son travail comme dhabitude vers 8 heures du matin.

Hélène est une femme de quarante ans qui malgré deux enfants a conservé un corps parfait, sa taille moyenne 1m61, ses seins 95 b, et ses hanches forment un ensemble plus quharmonieux qui font souvent se retourner les hommes sur son passage.

Hélène occupe un poste de secrétaire daccueil dans un bureau de conseil financier dans une petite ville de province.

Depuis quelques jours, une équipe de peintres est présente dans les bureaux de lentreprise ou elle travail car la direction a décidé de refaire la décoration des bureaux durant labsence du personnel parti suivre une formation.

Hélène occupe un poste de travail à lentrée des bureaux, et comme chaque matin les peintres qui se rendent dans les étages supérieurs passent devant elle.

Elle a bien remarqué les regards de ces hommes sur elle, mais occupée à son travail elle ne leur porte pas dimportance spéciale.

Léquipe de peintres est composée de trois hommes, André 25ans un grand blond, Marcel 45ans de taille moyenne un peu bedonnant et enfin yacin un jeune de 19 ans qui est apprenti.

Quelquefois leur patron vient sur le chantier pour suivre lavancement des travaux cest un homme de 50 ans de presque 2 mètres, une vraie armoire a glace.

Dailleurs le premier jour de chantier, il avait bien essayé de faire un peu de rentre dedans à Hélène, mais celle-ci lavait éconduit gentiment en lui expliquant quelle nétait pas intéressée par ce genre daventure.

Nous sommes au mois de mars et les journées se font de plus en plus chaude.

Ce matin Hélène s’était habillée, comme à son habitude de manière sobre mais sexy.

Elle avait donc passé un soutien gorge de dentelle noire, des bas noir avec porte jarretelles et un string de la même couleur, dailleurs en se regardant dans la glace elle avait trouvé cet ensemble très beau sur elle.

Enfin une jupe juste au-dessus des genoux et un chemisier blanc. Puis une paire de chaussure à talons.

Ainsi vêtue, comme à son habitude Hélène était arrivée à son travail de bonne heure, avant larrivée des peintres.

Le chantier tirait à sa fin et lorsquelle redescendit de lespace café, elle croisa lensemble de léquipe dans lescalier ainsi que leur patron.

Celui-ci la regarda avec insistance en passant à coté delle la déshabillant du regard, comme dailleurs lensemble des peintres.

Hélène rejoignit son poste de travail un peu troublée par ces regards sur elle.

Le reste de la matinée se déroula normalement

Les peintres sétaient mis au travail et leur patron était reparti sur dautres chantiers.

Afin de finir plutôt ce soir là, Hélène resta exceptionnellement sur son lieu de travail pour déjeuner.

Les peintres déjeunèrent également sur place le midi ignorant la présence de Hélène dans létablissement ce jour là.

A la fin de son repas Hélène décida de monter à létage afin de prendre un café, alors quelle montait lescalier elle entendit les peintres discuter entre eux.

Sapprochant du bureau ou ils se trouvaient, elle compris que leur sujet de conversation la concernait. Vu la tournure de la discussion ils ignoraient sa présence.

-« André, as tu vu la secrétaire ce matin comment elle est fringuée, moi jen mangerai bien un morceau»

-« Ça, je suis assez daccord avec toi, son mari doit bien samuser, vu comment elle est roulée, y a de quoi faire. »

-« et toi yacin, jai vu comment tu las regardée ce matin, je suis certain quelle te plaît aussi »

-« Oui, mais moi y pas quaujourdhui que je lai regardée et je peux vous dire quen dessous cest pas mal du tout, hier quand elle est montée dans lescalier, jétais juste en dessous et jai vu quelle porte des bas avec des porte-jarretelles, je suis sur quelle doit être chaude, cest pas compliqué, hier soir chez moi je me suis masturbé en pensant à ses jambes et à ses seins. »

Hélène qui écoutait cette conversation sentit un trouble sinstaller en elle à lidée dinspirer tant de désir chez un jeune homme de 19 ans, elle limaginait en train de ce masturber en pensant à elle, et à cette idée elle sentit une chaleur envahire son bas ventre.

La conversation continuait bon train , de plus en plus chaude.

« ben dit donc, le jeunot, tu t ennuies pas, lui répondit marcel, mais je dois bien vous dire que cest ses seins que jai regardé à chaque fois que je suis passé devant son bureau et je trouve que lon doit être bien entre les deux, tu vois pour une bonne branlette espagnole, je suis certain quelle doit sucer comme une reine, ça, cest le genre de truc que je lui ferai bien à la secrétaire «

« Oui, une bonne pipe moi je suis partant aussi, dit yacin, et toi André tu lui ferais quoi à la secrétaire ? »

Hélène nen croyait pas ses oreilles quelle puisse attiser autant les désirs des hommes, elle ne pouvait réfréner son envie de sexe, et instinctivement elle commença à remonter sa jupe et à caresser son sexe à travers la dentelle de son string, elle continua en même temps découter la conversation de ces hommes la concernant, conversation qui dégénère de plus en plus.

« Moi, lui répondit André, je pense que jaimerai aussi quelle me suce la bite pendant que je lui boufferai le sexe, après je la retournerai et je lui mettrai ma bite dans le vagin en levrette «

« Houai, bonne idée, André et pendant ce temps là je me ferai sucer aussi et toi marcel tu nauras qua te branler ; »

« petit con, va, moi je lui mettrai bien un doigt dans le cul et après je te la sodomiserai cette salope, je suis sur quelle doit aimer ça, se la prendre dans le cul »

Hélène continuait à se caresser et ses doigts avait écarté le tissu de son string et sétait introduit dans son vagin, faisant monter en elle une onde de plaisir intense

Ayant fermé les yeux elle imaginait ces hommes entrain de lui faire subir toutes ces choses quelle écoutait depuis tout à lheure. , Elle sentait le plaisir lenvahir avec de plus en plus de force.

Trop occupée à son plaisir elle nentendis pas que le patron des peintres était arrivé sans bruit afin de surprendre ses gars à lheure du déjeuner.

Quel ne fut pas sa surprise de découvrir cette femme en train de se caresser dans le couloir près du bureau ou se trouvait son équipe.

Il sapprocha delle sans bruit, puis quand il fut prés delle il approcha sa main de ses seins en la glissant dans léchancrure de son chemisier.

Lorsquelle sentit cette main sur ses seins, Hélène ouvrit les yeux affolée et découvrit cette armoire à glace au dessus delle.

Tout en lui attrapant la main quelle avait entre les cuisses le patron lui dit « alors comme ça on joue les timides avec moi et on se donne du plaisir toute seule, je pense que lon peu faire beaucoup mieux tous les deux. »

Hélène lui répondit en tentant de se dégager, " il ne faut pas y conter , espèce de cochon, laisser moi tranquille »

« Alors comme ça madame joue les vierges effarouchées, et bien on va samuser un peu tu vas voir ma salope, tu veux du sexe et bien tu vas être servie sur un plateau. »

Il poussa Hélène devant lui, tout en continuant à lui tenir le bras dans le dos.

Hélène le supplia de la lâcher, quelle sexcusait, mais il ne voulut rien entendre et lentraîna dans le bureau ou se trouvait les peintres.

« Salut les gars, tout va bien, regarder qui jai trouvé entrain de vous écouter dans le couloir, notre amie la secrétaire, je sais pas de quoi vous parliez, mais ça avait lair de lui plaire parce que cette salope était en train de se masturber en vous écoutant »

Les trois hommes furent surpris de la présence dHélène durant leur conversation et aussi un peu gêné.

Le patron repris de plus belle » puisque madame nous la joue femme du monde depuis le début de la semaine alors que cest une vraie salope, je propose que nous nous amusions tous un peu. »

Alors que le patron tenait fermement le bras de Hélène en arrière, il glissa sa deuxième main sous sa jupe et remonta jusqu’à son string.

-« les gars, je peux vous dire que votre conversation a fait mouiller la petite dame. »

-« es bien on parlait delle justement et de ce que lon aimerait bien lui faire, répondit Yacin , quelle nous suce ,que lon puissent lui peloter les nichons et se la prendre à tour de rôle. »

Hélène regarda les trois hommes qui se trouvait en face delle et elle compris que sa situation devenait difficile.

-« Lâchez moi tout de suite, il faut que je redescende à mon poste de travail maintenant, oublions tout ça, je ne savais pas que vous alliez arriver, sinon je ne serais pas restée dans le couloir. »

-« Et bien il fallait y penser auparavant, dailleurs dit le patron, jai refermé à clé derrière moi en arrivant, nous sommes tranquilles. Maintenant cest pas tout ça dexciter mes gars toute la journée et quils fantasment sur toi au lieu de bosser, il va falloir que tu fasses un effort pour que lon oublie tout ça, dailleurs pour commencer tu vas me sucer devant eux, ça va bien les exciter, vous les gars vous pouvez vous branler en la regardant faire. »

Hélène essaie de se dégager de son emprise en sécriant :

-« Vous êtes malade, je ne veux pas vous sucer ,vous nétes quun gros porc ,laisser moi par pitié »

-« Tu vas voir si je suis un gros porc madame la sainte nitouche, lui répondit le patron, à genoux et suce, sinon je te pète le bras. »

Le patron obligea Hélène à sagenouiller devant lui en lui tordant le bras et il sortit son sexe de son pantalon.

-« Je te préviens tu as intérêt à tappliquer sinon tu vas morfler, suce je te dit. »

Hélène navait pas le choix elle devait prendre en bouche ce sexe qui lui paraissait démesuré.

Elle sexécuta donc avec difficultés, effectuant le lent va et vient sur la verge du patron.

Pendant ce temps les trois peintres avaient ouvert leurs braguettes et avaient commencé à se masturber en regardant Hélène sucer leur patron.

-« Alors les gars le spectacle vous plait, je peux vous dire quelle est douée la salope. Je vais bien vous la préparer et après vous pourrez jouer avec.

Les paroles du patron et la situation dans laquelle elle se trouvait, savoir quelle serait offerte à ses trois hommes pour quils assouvissent les fantasmes quils avaient racontés tout à lheure, tout cela excitait malgré elle Hélène, elle sentit une chaleur envahir son bas ventre et commença à sucer plus fort le patron.

-« les gars, je crois quelle y prend goût à ma bite, je vais me la prendre, je suis sur quelle doit encore mouiller comme une folle. »

Le patron lâcha le bras dHélène et il la laissa le sucer encore quelques minutes en profitant pour lui ouvrir son chemisier.

A la vue de son soutien gorge, les trois peintres devinrent comme enragés, ils voulaient la voir sans ses vêtements.ils sapprochèrent donc du couple et enlevèrent son chemisier, puis sa jupe.

A la vision de cette femme en bas, talons et porte-jarretelles en train de sucer leur patron les hommes étaient exciter comme jamais.

Yacin dégrafa son soutien gorge, et commença à lui pétrir les seins.

André lui glissa un doigt sous son string et il dit : -« vous avez raison patron, elle mouille bien cette salope. »

-« ok les gars, je vais vous préparer le passage, tourne-toi petite pute je vais te prendre et pendant ce temps tu vas sucer mes gars.

Hélène fus retournée et mise en position de levrette, face aux trois peintres.

Alors que leur patron pénétrait Hélène Yacin attrapa la tête de la jeune femme et pénétra également sa bouche.

Hélène sentait ces deux sexes en elle et elle sentait également le plaisir monter.

-« Putain les gars comme elle est bonne, vous allez vous régaler, je vais passer par la porte de derrière pour finir. »

-« Non-pitié, sécria Hélène pas ça, je ne veux pas. »

-« Je te demande pas ton avis ma belle, mais si cest ta première fois je te promets daller doucement, allez les gars tenez moi la bien fermement on va samuser un peu. »

Hélène fut totalement bloquée par les trois hommes qui en profitèrent pour la caresser dans tous les sens.

Le patron commença par introduire un doigt, puis deux doigts dans son anus.

Hélène sentit monter en elle un nouveau plaisir, celui de la sodomie.

Le patron approcha son sexe de son anus et doucement commença à pénétrer Hélène. Celle-ci gémie de douleur le suppliant darrêter.

Pendant ce temps les trois peintres continuent à la maintenir fermement.

Le patron commence doucement ses va et vient dans lanus de Hélène.

Alors que le patron accélère la pénétration, yacin se glisse sous Hélène et commence à lui faire un cunnilingus.

La douleur de la pénétration anale laisse maintenant la place à une onde de plaisir dune intensité que Hélène navait jamais connut auparavant.

Le patron éjacule rapidement dans son anus, déclenchant chez Hélène un violent orgasme, elle sent son corps sabandonner totalement aux plaisirs de ces hommes qui la soumette à leurs désirs.

Le patron se retire et dit :

-« Ca y est les gars, je vous lai bien préparée par tous les trous, à vous de vous amuser avec elle. »

Alors que Marcel oblige la malheureuse femme à prendre sa verge dans sa bouche pour le sucer, le patron sort de sa poche un caméscope quil utilise habituellement pour filmer les chantiers en cours.

Cette fois ci il va pouvoir filmer le travail de son équipe en pleine action.

Hélène suce Marcel avec force, espérant le faire jouir rapidement.

Yacin après avoir bien léché le sexe dHélène décide de la pénétrer en se glissant entre ses jambes.

Voyant cela, André décide dutiliser le seul orifice encore libre dHélène, son anus.

Il se positionne derrière elle et dun coup lui pénètre lanus, alors que yacin imprime une forte pénétration à son vagin.

La voila soumise à la triple pénétration des ces hommes.

Hélène nest plus quun jouet sexuel sur lequel ces hommes son en train de sacharner.

Le premier à jouir est marcel, qui oblige Hélène à avaler son sperme.

Lorsque Yacin jouit à son tour, Hélène sent monter en elle un second orgasme, déclenchant léjaculation dandré.

La voila remplie par le sperme de ces trois hommes.

Le patron qui a filmé la totalité de la scène range discrètement son caméscope dans sa poche.

-« Bon, cest pas tout ça les gars, mais il va falloir reprendre le boulot maintenant, le chantier doit être fini pour ce soir. Quand a toi la belle, merci du plaisir que tu nous as donné et en plus je crois que tu as apprécié aussi notre petite séance, dailleurs, jai tout filmé, alors si jamais tu disais quelques chose, je transmets le film à ton patron et à ton mari.

Timagine le bordel, alors motus, ok »

-« ok, je ne dirai rien de tout cela. »

Hélène repris ses affaires au sol puis quitta la pièce rapidement.

Après sêtre habillée, elle décida de quitter le bureau, car elle ne voulait pas revoir ces hommes qui avaient abusé delle et qui lui avaient procuré autant de plaisir.

Elle se sentait honteuse delle et de son attitude.

Hélène ne souhaitait plus quune chose oublier tout cela rapidement.

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