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L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. – Chapitre 2

L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. - Chapitre 2



Cela fait maintenant 3 mois qu’elle est la maitresse de Marc. Elle est toujours dans sa tête, la femme de Franck et n’a nullement envie de le remplacer, mais son corps demande les mains de Marc, son sexe réclame celui de son amant jamais elle n’avait eu autant envie de faire l’amour et aussi souvent, pourtant  c’est Franck qu’elle aimait, elle l’aimait depuis toujours et toujours autant depuis qu’il était mort mais c’est bien de Marc qu’elle avait envie. Non, jamais elle s’imaginait être dans les bras de son mari quand elle « baiser » avec son amant.

Il faut dire qu’il était impossible de les confondre. Franck était beau, sportif, aimant, attentionnée et elle l’aimait comme une folle. Elle l’aimait, elle pourrait dire « elle l’aime » car son amour n’a pas faibli bien que cela fait maintenant plus de 9 mois qu’il soit mort.

Marc est tout son contraire, pas vraiment beau, sans pour autant être repoussant, il est en surpoids, à la limite obèse, un tour de taille impressionnant et une calvitie bien avancée. Il faut dire qu’il a 15 ans de plus que Franck, ce qui veut dire un peu moins de 17 ans d’écart avec Chantal.

Avec Franck, elle aimait faire l’amour, mais elle n’en avait jamais eu véritablement « envie ». Elle appréciait quand ils le faisaient, il savait la faire jouir aussi, mais elle n’était nullement demandeuse et de le faire que 2 ou 3 fois par moi lui suffisait amplement.

Avec Marc, dès qu’elle le voyait, elle avait « la chatte qui la démange » comme il lui disait souvent. Elle avait envie de lui et si elle le pouvait, elle l’aurait fait tous les jours.

Ce fameux samedi, où elle s’était donnée à lui, elle avait joui 2 fois puis, il avait voulu remettre cela, mais il n’avait pas réussi à bander assez pour recommencer. Il avait voulu qu’elle le suce, mais elle avait refusé.

Il était resté dormir chez elle et elle se surprit au petit matin à être blotti contre lui. Elle s’était réveillée avant lui, s’est levée doucement pour ne pas le réveiller et à prise une douche bien méritée.

En sortant de la salle de bain, il n’était plus dans le lit. Elle était un peu rassurée, car elle n’avait pas pris ses affaires et était sorti une serviette de bain utilise comme paréo. Elle avait eu peur qu’il soit réveillée, mais encore dans le lit.

Pudeur d’une femme qui ne se montrait que rarement nue devant son mari, elle n’aurait pas voulu que son amant la découvre ainsi bien que son corps n’avait plus de secret pour lui.

Elle s’était habillée, elle savait qu’il préparait le petit-déjeuner, car elle sentait l’odeur du café et du pain grillée. Elle se dirigea vers la cuisine et

–    Oh !!!

Elle laissa échapper un petit cri de surprise et dû se retenir pour cacher ses yeux voire fuir

 

Marc servait le café dans 2 bols qui était posés dans un plateau, mais ce n’était pas cela qui l’avait étonné.

Il était debout dans la cuisine, face à elle, complètement nu.

–    J’allais t’apporter le petit-dej dans la chambre.

Elle avait stoppé net et ne bougeait plus. Elle regardait ce « tas de graisse » qui se déplaçait dans sa cuisine, ce truc flasque, ni gros ni petit qui pendouillait entre les jambes de cet énergumène ventru. Elle le regardait et avait un réel sentiment de dégout en le voyant ainsi. Comment avait-elle pu faire l’amour avec ça ?

–    Mais pourquoi es-tu déjà habillée ?

Lui demanda en prenant un petit air déçu.

Elle était toujours dans ses pensées et ne répondit rien. Il s’approcha d’elle, l’attira vers lui et l’embrassa.

Elle le trouvait répugnant et pourtant, non seulement elle accepta son baiser, mais lui rendit avec la même vigueur. La main de Marc pressa le sein de Chantal si fortement que cela en devenait douloureux.  Finalement, c’est lui qui s’écarta d’elle.

–    Bon, tu veux déjeuner ici ou dans le lit ?

–    Ici, et toi habille-toi, je ne sais pas quand Charlotte va rentrer et je ne veux pas qu’elle te trouve ici

Il fit une petite moue jouant à l’excès l’enfant déçu de ne pas avoir ce qu’il voulait. Il lui adressa un petit sourire  et posa un baiser chaste sur ses lèvres en ajoutant.

–    Et encore moins dans cette tenue.

Il était à des années lumières de Franck. Moins beau, moins distinguée, mais le souvenir de ce qu’il venait de lui offrir cette nuit, était encore bien présent et elle était prise entre l’envie de retourner au lit avec lui et de ne plus jamais recommencer.

Quand il est revenu, habillé, elle avait fini son petit déjeuner. Il fut un peu déçu, car il aurait aimé le prendre avec elle, mais il ne lui en fit pas le reproche.

–    On se voit aujourd’hui ?

Demanda-t-il ?

–    Je ne sais pas.

Sa réponse se voulait être indifférente et froide, mais elle avait envie de lui dire qu’elle n’avait pas envie de le revoir plus tard non elle en était certaine, elle ne voulait pas le revoir plus tard non elle voulait simplement retourner maintenant au lit, elle voulait qu’il vienne l’écraser de tout son poids, elle voulait sentir son sexe en elle elle voulait qu’il la prenne et la fasse jouir comme il avait su le faire la veille.

–    Charlotte doit certainement revenir pour déjeuner.

–    OK et bien, demande lui ce qu’elle fait et si jamais elle reste chez sa copine, vient me rejoindre, nous déjeunerons ensemble.

Il s’approcha d’elle, posa un petit baiser sur ses lèvres et donna un tape sur son cul.

–    Bon, je vais y aller, envoie moi un texto pour me dire ce que tu fais.

–    D’accord.

Elle se retrouvait seule maintenant et il lui fallait réorganiser sa pensée. Que venait-elle de faire ?

Elle n’aurait certainement pas parié à cette époque que 3 mois plus tard, elle serait toujours la maitresse de Marc, elle n’aurait jamais imaginé qu’en 3 mois elle évoluerait autant dans son rapport avec le sexe et pourtant cela faisait maintenant 3 mois et elle ne regrettait rien de ce qu’elle avait fait jusqu’à maintenant.

Ce dimanche-là, elle avait finalement reçu un texto de sa fille disant qu’elle rentrait déjeuner. Elle n’avait plus qu’à prévenir Marc qu’elle ne pouvait venir le rejoindre. Elle aurait dû être heureuse de ce dénouement, elle avait un bon prétexte pour retarder une nouvelle rencontre et ainsi pouvoir réfléchir à ce qu’elle devait faire. Elle était persuadée que cela était une bonne chose et qu’elle lui dirait que finalement, c’était une erreur, un moment de faiblesse, mais que leur relation ne devait redevenir qu’amicale et professionnelle.

Elle prît son téléphone et tapa son texto pour Marc.

–    Charlotte mange à la maison, je ne pourrais donc pas venir avant 15h30/16h00

En appuyant sur envoi, elle se demandait encore pourquoi elle lui avait dit cela il lui avait parlé d’un déjeuner, pourquoi n’a-t-elle pas écrit ce qu’elle avait voulu écrire, c’est-à-dire qu’elle déjeunait avec sa fille et ne pouvait donc venir le rejoindre.

Pourquoi ?

Ses doigts avaient-ils trahi sa pensée ? Ou en avaient-ils été les messagers sans complexe ni tabou

–    Il était si moche

pensa-t-elle.

–    Enfin, pas si moche que cela, disons que « pas vraiment beau » serait plus réaliste.

Corrigea-t-elle.

–    Et il fait si bien l’amour

Finit-elle par admette en rougissant.

A 15h25, elle garait sa voiture devant chez lui.

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