Histoires de tromper Histoires érotiques

Ma poupée russe – Chapitre 2

Ma coiffeuse: on passe du virtuel au réel - Chapitre 2



Episode 2 : Dans le parc

Je me retrouvais donc sur un banc dans le parc municipal, un peu isolé du sentier principal près dun vieux manège, comme mavait indiqué Svetlana. Il faisait chaud, très chaud, peut-être plus 35 degrés et je me suis habillé en conséquence : tout en blanc, bermuda et chemise manches remontées, Ray Ban. Jattendais depuis un bon moment face au soleil, avec ce ridicule bouquet de fleurs tellement commun. Puis, apparut derrière le manège, une silhouette gracieuse perchée sur des sandales à talons hauts. Ma princesse, par sa démarche chaloupée à lextrême portait un mini short blanc qui découvrait des jambes fines et élancées, dignes dun top modèle.

Plus haut, rompant radicalement sa silhouette, deux seins extraordinaires lourds et droits s’exhibaient sans pudeur dans un débardeur bleu ciel beaucoup trop petit. A chaque pas, tout sagitait de façon totalement obscène et ses mamelons pointaient au travers ; on voyait bien quelle ne portait pas de soutien-gorge. Chaussée dune paire de lunettes de soleil telle une starlette de cinéma, ces longs cheveux platines étaient attachés en chignon ; elle était également parée de grosses boucles doreilles style gitane. Une beauté incroyable.

A ma vue, elle releva ses lunettes et me fit un sourire denfer genre pub pour dentifrice. Je lembrassai et nous nous asseyons lun à côté de lautre. Nous cherchions à communiquer non sans peine. Nous nous plaignons de la chaleur puis en un regard, tout bascula. Un longue silence pesant sinstalla. Nous savions ce que nous voulions et pourquoi nous étions ici. Nous nous sommes encore regardés un bon moment puis jai avancé mon visage du sien. Je lui ai déposé un premier baiser sur les lèvres puis un second puis toute une série. Je crois que nos lèvres se sont ouvertes ensemble pour nous embrasser à pleine bouche. Ce premier baiser fut passionné. Sa langue me pénétra sans aucune retenue et s’enroula autour de la mienne, preuve quelle nétait pas si timide. Je posai une main sur le haut de sa cuisse puis je me reculai, elle qui voulait encore membrasser. Puis, en un geste rapide et sûr, je posai pour la première fois ma main gauche sur son seins droit. Elle ne réagit pas mais je la sentais brulante de désir. En la fixant, je pinçai son sein à travers son top léger qui me confirmait quelle navait rien dessous. Je poursuivis mon travail de sape pour lexciter davantage en faisant rouler son mamelon entre mon pouce et mon index. Elle savourait ce moment et respirait fort. Je passais dun sein à lautre que je malaxais maintenant à pleine main. Elle posa sa main gauche sur le haut de ma cuisse puis rapidement sur mon entrejambe quelle empoigna avec désir, simulant une masturbation.

Nous recommencions à nous embrasser jusquà ce quelle stoppe tout. Elle amenait ses mains au bas de son top et elle le remonta lentement jusquà son cou faisant sautiller ses seins au passage. Incroyable ! Je vis enfin ces merveilles devant moi ; ronds, lourds, denses avec des aréoles larges et très pâles sur lesquelles pointe un mamelon déjà hypertrophié. Je me suis précipité sur ses seins avec gourmandise et passion. Je les pressais l’un contre l’autre, les suçais, les léchais, jétais comme un gamin en train de découvrir un nouveau jouet. Après un long moment, je lui proposai de me suivre à mon hôtel. Nous partîmes comme deux tourtereaux, main dans la main.

Jen profitais largement pour bien la tripoter dans le taxi et le chauffeur nen perdait pas une miette mestimant bien chanceux de profiter de cette belle poupée. Une fois arrivés à lhôtel, nous avons regagné promptement mon étage car tout les clients étaient irrémédiablement attirés par les charmes de ma partenaire.

——————————-

Episode 3 : Dans lappartement

Une fois franchi le seuil de la porte, nous nous enlacions sauvagement tout en se roulant une inconvenante pelle baveuse, se léchant la bouche plutôt que de sembrasser. Dans le même mouvement, je la retournai pour lui soupeser ses monstrueuses mamelles que javais tant désiré mais dont jallai copieusement en profiter. Je suis allé vite fermer la porte de lappart à clé et en me retournant, je la vis ôter lentement son top me dévoilant à nouveau son incroyable paire de sein.

Elle plaça ses deux mains sous chacun dentre eux, les secoua de haut en bas, se faisant rouler les mamelons entre ces ongles, et elle en profita de loccasion pour furtivement lécher ses pointes qui étaient déjà anormalement tendues. Comme un signal, je me précipitai sur elle. Nous nous roulions encore une pelle et je lui saisi immédiatement un sein que je malaxais fermement. Elle par contre, chercha direct la ceinture de mon bermuda. Je regardais ses yeux, sa bouche, ses seins volumineux. Et cette poitrine plus quopulente pour son corps svelte. Je n’avais jamais connu de femme avec des seins comme les siens. Leurs volumes et leurs fermetés ; ils étaient lourds, magnifiques et avec des gros mamelons. Je n’avais jamais goûté à des seins aussi excitants. Puis mon regard sest porté sur ses mains qui déboutonnaient ma chemise. Elle saccroupit sans me quitter du regard, et me déboutonna ce qui me restait. Elle dégagea mon sexe du caleçon, satisfaite apparemment de ses proportions, et elle me saisi à peine la queue. Elle déposa un baiser sur le gland, puis dun seul coup, elle me la goba totalement jusquau fond de sa gorge avant de ressortir me lécher. Elle suça la bite un bon moment. Jétais au 7ème ciel.

Elle y mettait beaucoup de cur. La coquine en redemandait et je nétais pas au bout de mes surprises. Elle prenait mes couilles dans une de ses mains pour les titiller. Elle semblait beaucoup sexciter elle même avec son autre main entre ses cuisses. Elle me suçota juste le gland très lentement comme un bonbon. Pour reprendre les choses en main, je mis mes mains sur ses tempes. Elle sarrêta. Elle vint me saisir délicatement les fesses. Elle enleva docilement ses mains et cest moi qui dictait la cadence de la fellation. Au final, je baisais littéralement sa bouche et ly enfonçait régulièrement au plus profond, cherchant à multiplier les gorges profondes en faisant buter mon sexe au fond de sa gorge. Au risque de sétouffer, elle me recrachait. Ma poupée sassit sur les talons et je me plaçai quasiment sous sa tête pour masser sa poitrine à deux mains. Elle se réfugia sous mes testicules quelle gobait apparemment avec appétit.

Jen profite pour me pencher et malaxer alternativement chacune de mes merveilleuses mamelles. Je ne pu me retenir très longtemps car cela fait plusieurs jours que je métais pas vidé en pensant à elle. Je me masturba frénétiquement face à cette bouche grande ouverte qui déployait une langue tirée à lextrême. Je poussa une dernière fois au fond de sa gorge pour y décharger de longues et profondes saccades, signes de limmense plaisir éprouvé. De nombreux jets surement crémeux, épais et massifs envahis sa bouche que ma belle arriva difficilement à assimiler.

Après avoir repris nos esprits, elle se releva et se retourna. Tout en me fixant dans les yeux, elle séloigna en ondulant exagérément des hanches en direction du canapé pour y poser ses mains sur la banquette, mexposant ainsi son arrière train. Elle posa ses mains sur sa taille et baissa lentement son mini short doù apparut un minuscule string blanc à dentelles fines. Cette vision mexcitant au plus haut point, je suis venu masseoir près cette nouvelle offrande. A quatre pattes sur le canapé, je lui écarta son string. Ma belle russe fit mine de cacher sa petite chatte de sa main par fausse timidité. Pour me venger, je lui lécha la fesse de bas en haut, mordillant lautre, pour mattarder sur sa chatte et son illet. Je goûtai furtivement son anus, ce qui la surpris. Jattendis sa réaction, mais rien. Je lui donnai de petits coups de langue au même endroit. Je recommençais toute létape, cette fois-ci en lui introduisant un doigt. Je lentendis gémir fortement. Elle sallongea sur le canapé, jambes grandes ouvertes sur le côté, la jambe suspendue en lair, elle se masturbait doucement et écartant ses lèvres. Je vins lui lécher la chatte et ce traitement ne tarda pas à faire son effet : se penchant en arrière, sa main se posa sur ma chevelure pour mencourager.

Mes petits coups de langue en cercle devinrent progressivement de petites pénétrations. Bon sang, elle est tellement mouillée ! Jen profitais pour lui aspirer tout son jus, lui léchais la cuisse pour remonter vers sa poitrine. Dans le même mouvement, je remontais pour me glisser derrière elle. Je continuais à la caresser, à l’embrasser, elle était merveilleusement belle. Ma main se posa sur son sexe parfaitement imberbe. Je glissai mes doigts à l’intérieur de ses chairs. Instinctivement, elle écarta ses jambes pour faciliter mon exploration.

Je glissai une main sous son genou pour la soutenir, puis nos langues se sont mises à danser ensemble. Ma pénétration saccélérait jusquà devenir beaucoup plus animale, plus brutale. Surprise, elle mencourageait vivement à poursuivre dans cette direction. Je lui donnais un doigt à sucer quelle ne refusa pas. Mes pénétrations ralentirent mais elles furent plus profondes pour complètement sortir puis re-rentrer sans problème. Jintensifiais mon pilonnage et je vis ses grosses mamelles ballotter dans tous les sens. Nous étions dans un état second, comme possédés par le démon du sexe.

Anastasia ferma les yeux et elle recommençait à gémir sans retenu. Jalternais les séquences de pilonnages brutaux et les déhanchés lents et sensuels. Nous nous regardions les yeux dans les yeux pendant lacte, très concentrés sur notre plaisir manifestement mutuel, je pouvais constater quelle était rouge comme une tomate dexcitation. Sa respiration saccélérait progressivement pour, au bout dun moment, se bloquer. Je poursuivais mon uvre pour enfin la faire succomber. Elle manifesta un long râle profond. Elle venait probablement de connaître son premier orgasme de la soirée. Jen profitais pour lembrasser sensuellement et amoureusement dans le cou.

Après une pause, elle s’étendit sur moi, sa bouche au-dessus de la mienne, les seins posés sur mon torse, toujours les yeux dans les yeux. Je lui caressai et écartai largement les fesses et elle plia ses jambes pour mieux sempaler. Elle se releva donc un peu et frotta sa vulve sur mon pénis raide, faisant semblant desquiver mon engin. Mais elle nhésita pas trop longtemps. Elle descendit progressivement pour entamer à nouveau un coït si délicieux. Assise face à moi, elle me regardait, souriante et jétais terriblement envoûté par la situation.

Afin de me ressaisir, je lallongeai sur le canapé sur le dos, écartant ses jambes et les rabattant vers ses épaules pour une pénétration toujours plus endiablée. Elle se tenait les seins qui ondulaient vivement tout en se mordant les lèvres. Mon excitation était à son comble et je ne pus me contenir.

Rapidement, je me relevai. Elle sassis sur le canapé mais je restai debout. Elle me branla vigoureusement, tira la langue comme pour demander sa récompense. Elle lâcha même un long filet de salive sur sa poitrine pour mexciter davantage. Comme cela ne suffisait pas, elle a agité ses seins pendant que je me masturbais au dessus de ses merveilles. A la vue de cette scène jai lâché une série de jets de foutre puissants sur lensemble de son buste jusquà son menton. Une fois la source tarie, elle saisit ma bite afin détaler tout mon jus sur lensemble de sa poitrine. Poussée par la curiosité, elle saisit du doigt

une goutte pour le porter à sa bouche.

Nous faisons une pause. Je me suis levé le sexe encore hypertrophié et je lui ai demandé dun geste si elle avait soif. Je lui servis une bonne coupe de champagne. Nous nous regardions dans les yeux en buvant ce délicieux champagne puis après un moment de blanc, je me suis jeté sur elle. Je lai coincé contre la table en lembrassant sauvagement.

Puis je lai fait asseoir sur la table, jambes écartées à lextrême pour lui lécher son minou, prêt à souvrir outrageusement. Très lentement, je me suis efforcé de bien déguster toute son intimité du plus haut vers le plus bas en titillant son illet. Rapidement, jai introduis deux doigts pour faire piston. Mon léchage associé à laction de mes doigts la faisait follement miauler. Je la saisis par les chevilles, que je reposais sur mes épaules, et je la pilonnais de face, le bassin dans le vide. Je fis venir mon sexe violemment à la rencontre de son bassin. Elle me suçait le doigt que je lui donnais tout en me dévisageant comme une affamée de sexe. Nous étions tout les deux dans un autre monde et plus rien importait autour de nous. Jaccélérais la cadence puis je stoppai dun coup. Je venais me coucher sur la table et Anastasia bascula, dos à moi, en se tenant sur mes épaules ; elle sempalait, la tête à la renverse, savourant son plaisir.

Maccrochant fermement à ses hanches, je la fit monter et descendre sur ma queue durant un long moment. Par des mouvements amples et lents, puis succincts et rapides par alternance, elle grognait profondément la menant irrémédiablement pour une seconde fois à lorgasme. Je voyais ses seins déborder de sa silhouette et par une petite tape sur la fesse droite, je lui fit signe que je nen pouvais plus.

Elle ma gardé par la queue et ma amené à la chambre avec de drôles didées derrière la tête. Je lai pris par la taille, l’embrassa en lui pelotant encore sa poitrine fabuleuse et nous avançâmes vers le lit. Elle saccrochait à mon cou et elle membrassait comme une affamée. Je lui fis un croche patte et nous tombâmes ensemble sur le lit dans un éclat de rires. Je mimposais entre ses jambes pour me frotter contre sa chatte. Elle était tellement humide que je la pénétra d’un seul coup. Je bougeai en elle pendant quelle serrait ses jambes dans mon dos. Je la besogna pendant un long moment ignorant ses plaintes et ses gémissements. Allongée sur le dos, jambes écartées, je la possédais sauvagement, je voyais se balader ses grosses miches dans tous les sens.

Elle fermait les yeux et elle semblait jouir de nouveau. Je retirai ma queue pleine de mouille de son vagin et la retourna afin de la mettre à quatre pattes. Je lai saisie fermement par les hanches. Je fis semblant de la pénétrer en ne lui caressant chacune de ses ouvertures : un coup je rentre, un coup je ne rentre pas. Ma belle simpatientait et son bassin cherchait à aller à ma rencontre.

Anastasia miaulait un peu, impatiente puis je mintroduis en elle violemment, ce qui eu pour effet de lui arracher une gémissement puissant et libérateur. Cétait donc ce quelle voulait. La pénétration lente devint très vite animale. Ma belle russe saccrochait tant bien que mal au drap mais au bout dun moment, elle colla son doux visage contre loreiller pour se laisser aller. La pauvre fille était secouée comme un prunier. Au bout dun long moment, je me couchai sur son dos pour lembrasser. Je basculai alors sur le dos, et elle vint me gober pour entamer un 69 savoureux. Je mactivais généreusement sur toute la longueur de sa fente dégoulinante en la titillant de mes doigts. Réceptive, elle manifestait sa satisfaction et son désir den vouloir plus.

Je percevais sans mal quun nouvel orgasme lui venait. Dès que je fis enfin pistonner mon index et majeur dans son antre, elle soupirait fortement, marquant ainsi un plaisir avoué. Une fois revenue à elle, Anastasia vient vers moi me caresser seulement avec sa poitrine en sattardant sur mon sexe. Cette coquine grimpa sur moi, prit ma queue, se frotta la chatte avec et lintroduisit imperturbablement dans son antre. La baise était douce, lente et très sensuelle. Elle posa ses mains sur mes pectoraux saillants et ma beauté se redressa pour savourer cette pénétration faite de mouvements du bassin, tandis que je malaxais ses gros seins laiteux, quel régal !

Je suis remonté sur son corps pour venir installer ma queue au cur de sa merveilleuse poitrine, chose que je rêvais de faire depuis le début de la soirée. Bien comprimé entre ces deux magnifiques globes de désir, je ne me privais pas de les baiser avec un maximum de satisfaction. Serrant à la perfection sa poitrine pour facilité ma caresse, Anastasia samusait de me voir mexciter autant. Afin de mettre fin au spectacle, elle me pris la queue à deux mains et me suça fortement le gland. Je lui saisi ses énormes seins délicatement. Ma belle commençait à me branler doucement. Je lui tira les deux bras en arrière et la força à faire ballotter ses gros seins. Nous rions bêtement. Je lui soupesais à nouveaux ses merveilles puis je glissa une main vers sa chatte pour la masturber.

Elle comprima à nouveau ma bite entre ses seins et elle tendit sa langue vulgairement tout en fixant du regard comme une salope. Jaccélérai car cétait trop bon de la baiser maintenant sans réserve. Je savourais ce moment délicieux en me libérant totalement. Cest la troisième fois de la soirée que jéjaculais et pourtant, sous leffet de lexcitation, jétais encore surpris de déverser encore de belles traînées de sperme sur le haut de sa poitrine. Je pris ma bite et lui tapota la bouche et le visage avec, ce qui lamusait bien.

Repu et ravi, je me dirigeais vers la salle de bains en lui faisant signe de me suivre. Me pistant comme mon ombre jusque dans la douche, jattrapai le pommeau pour me rincer et je larrosais pour lamuser. Pour réponse, elle sest accroupie et ma bien savonné la queue à deux mains. A cause de sa dextérité, je ne pus mempêcher de reprendre encore de la vigueur, malgré les efforts précédents consentis. Avec application, elle observait les moindres intonations de ma queue. Je la relevai et la plaquai face à moi sur le mur.

Perdu dans son regard, je maccroupis et lui léchais la chatte en lui introduisant lindex. Je la fis pivoter contre la paroi de la douche. Là, je lui écartai le haut des fesses et lui donnais des coups de langue sur son petit anus. Je la penchai en avant et la pénétrais en lui tenant une fesse et le ventre par dessous. Ma princesse me regardait aux anges avec un grand sourire. Je la redressai et lui saisi ses seins avec tendresse. La pénétration ne dura pas trop longtemps car nous nétions pas très à notre aise dans cet endroit si exigu.

Nous nous essuyâmes chacun notre tour et je l’enlaçai pour l’embrasser encore. Sa langue et sa bouche me dévorait. Sans quitter ses lèvres, je la dirigea vers le lit et une fois de plus je me couchai sur elle. Je l’embrassais comme un vorace. Ma langue fit le tour de ses aréoles et ses tétons se durcirent instantanément. Cette fois, cest moi qui l’embrassai comme un vorace ; je jouais avec ses bouts de seins, je les suçais encore et encore. Brusquement, je la retournai sur le ventre. Jai soulevé son bassin pour la prendre à quatre pattes. Ma queue et mes testicules pendaient de façon insolente. Je ne me suis seulement branlé deux ou trois fois pour dégager mon gland. La vue de cette croupe offerte ne me fit pas réfléchir trop longtemps. Je pris ma queue et je suis monté sur le lit pour la prendre accroupi. Couché sur son dos, je voyais durant le coït sa silhouette sagiter et ses seins ballotter de chaque côté de son corps trahissant ses courbes parfaites.

Peu de temps après, elle se retourna, écartant ses jambes en lair, Anastasia me défiait du regard. Pour mieux mattirer, elle avait compris mon point faible : elle étira ses bras au dessus de sa tête pour bien me montrer sa poitrine. Je la pilonnais furieusement. Puis, lidée nous est venue simultanément que nous voulions changer les rôles. Cette belle plante sest mise sur moi en missionnaire pour mener cette danse folle. Jen profitais évidemment pour lui prendre ses grosses loches pendant quelle se déhanchais avec délectation. Après un bon quart dheure dans cette posture, elle décida de me finir.

Elle approcha ses lèvres de mon gland, me faisant des baisers puis elle a passé sa langue sur toute la longueur. Elle me branla doucement en me fixant dans les yeux. Ma queue était prête à exploser en moins de deux secondes. Ma belle l’enfourna dans sa bouche et la faisait coulisser avec plus davidité quau le début. Elle poussa le vice jusquà saliver en masse dessus. Les petits coups de langue alternaient avec les fellations profondes. Elle descendit me lécher puis gober chacune de mes boules pendant que je tenais du bout du gland ma queue vers le haut pour lui faciliter la tâche.

Revenu debout, je me masturbais comme un fou au dessus de cette bouche ouverte. A genou, langue tirée, Anastasia me parlait en russe. Je me croyais vraiment dans le meilleur des films pornos. Je jouis dans sa bouche bien que de faibles jets sortirent de mon sexe. Elle recracha le peu de sperme quil me restait puis elle se lécha les lèvres. Pour finir, ma princesse me reprit en bouche tendrement pour tout nettoyer et quand son travail fut terminé, elle me fit un large sourire.

Nous nous sommes câlinés un long moment avant de récupérer de toutes ces galipettes par un long sommeil réparateur.

Jai vécu les meilleures baises de ma vie en lespace de quelques heures avec la même femme ; et le pire, cest que nous nous en redemandions toujours plus.

Je savais à cet instant que javais trouvé la femme de ma vie.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire