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Ma tendre soeur Lou et moi – Chapitre 1

Ma tendre soeur Lou et moi - Chapitre 1



Étant depuis quelques années inscrit comme membre sur le site de Xstory, j’ai toujours autant de plaisir à lire vos aventures et récits que vous avez vécus ou imaginés. J’ai longtemps hésité avant de vous raconter une de mes aventures à moi, avec ma tendre sur Lou. Mais en lisant vos histoires, j’ai eu tellement de plaisirs et de bonheur, que finalement, je me suis enfin décidé à vous en conter une au sujet des relations que j’ai eues avec ma tendre sur Lou.

Je me présente, je suis l’aîné d’une fratrie de trois enfants, je m’appelle Steve, je mesure 1m 75 pour 74 kilos, j’ai les cheveux châtains et courts. Viens ensuite ma sur Lou qui est une assez jolie jeune fille d’un mètre soixante-deux pour cinquante-deux kilos, elle a les cheveux marron qui lui tombaient sur les épaules, Lou a de grands yeux bleus, et elle a un visage rond avec une belle frimousse, on dirait celui d’un ange, comme sur certaines images qu’on voit par ci, et par là, elle a de très beaux seins, ils sont fermes et en forme de pommes, qui se tiennent fièrement à l’horizontale, ma sur porte de temps en temps un soutien-gorge, taille 100 B. Lou a un corps relativement assez bien proportionné avec des fesses bien rebondies et des jambes moyennement longues et bien faites, avec des mollets de montagnards. Et ensuite, il y a notre plus jeune frère Xavier qui ne nous intéresse pas dans cette histoire.

Nous habitons dans un petit village de 300 habitants et à quelques kilomètres d’une ville de 15 000 habitants, en Alsace.

Cette aventure qui s’est passée entre ma sur Lou et moi s’est déroulée à une époque où nous étions encore de jeunes adultes, j’avais trois ans de plus que ma sur. C’était le printemps dans notre campagne, il faisait beau, et les bourgeons des arbres commençaient à sortir et à bourgeonner, tout comme chez moi d’ailleurs aussi. Depuis quelque temps déjà, je ressentais en mon intérieur, comme un changement s’opérait en moi, comme si j’étais en train de me transformer, je ressentais comme mon corps se mettait à chauffer et à transpirer lorsque je voyais des filles, je ne peux pas le décrire, mais je commençais à être attiré sérieusement par celles-ci. Et il faut que je vous avoue que j’étais très timide à l’époque, et d’ailleurs je le suis toujours, surtout en présence des filles, ou des femmes, et je rougissais facilement.

Donc comme je le disais déjà, je commençais à être fortement attiré par la gent féminine, et vu ma timidité, je n’osais pas les approcher, de peur d’être ridiculisé ou qu’on se moque de moi.

Étant trop craintif de ce côté-là, et étant quand même attiré par les filles et dont je n’arrivais pas à les intéresser à moi, je dus me rabattre sur ma plus jeune sur Lou. Nous habitions une maison à trois étages, il y avait le rez-de-chaussée où dormaient nos parents, puis un premier étage, où nous, les enfants y dormions, dans trois chambres différentes, il y avait d’abord celle de ma sur Lou qui dormait juste au-dessus de la chambre des parents, ensuite il y avait la chambre de notre petit frère Xavier, et puis il y avait ma chambre à moi. Et au-dessus de nos chambres se trouvait le grenier où nous entreposions le foin pour les lapins et le cochon que nous élevions pour notre consommation personnelle.

Nous étions au printemps, et comme je n’avais pas de succès auprès des filles, vu ma timidité, je commençais à espionner ma sur Lou, lors de nos jeux entre frères et surs, lorsque nous jouions à nos jeux d’antan, je faisais semblant de toucher par inadvertance les seins de ma sur, que je trouvais à cette époque-là très beaux et bien fermes, de plus en plus souvent, il m’arrivait de toucher son corps par ci et par là, sans qu’elle ne remarque que je le faisais express.

Il m’arrivait souvent la nuit de fantasmer sur elle, sur ses seins, sur son corps et sur ce que je lui ferais subir, si j’arrivais à l’amadouer à mes dépens. Car je dois dire, Lou a un fort caractère et ne se laissait pas faire sans répondre, que ça soit oralement comme physiquement. Dès notre plus jeune âge, nos parents nous avaient appris et nous avaient fait travailler durement, ils nous prenaient toujours avec eux, lorsqu’il fallait couper le foin, le regain, lorsqu’il fallait faire du bois de chauffage en forêt, ou lorsqu’il fallait planter des patates dans les champs, etc. Nous étions à chaque fois de la partie, lorsqu’il s’agissait de travailler à l’extérieur dans les champs, les prés ou encore en forêts. Ce qui eut pour effet de bien muscler nos bras, nos cuisses et nos mollets. Nos parents n’avaient aucune retenue et nous faisaient gagner durement notre pain quotidien.

C’était normal pour nous de les aider, car ils travaillaient durement pour subvenir à nos besoins, à partir du moment où il fallait les aider, ils se fichaient pas mal que nous soyons un garçon ou une fille, nous étions tous logés à la même enseigne. A partir du moment où ils nous jugeaient aptes à faire certaines corvées, on devait être présents, et être à leurs côtés à ces moments-là et nous devions accomplir certaines tâches, à chacun les siens.

Nos parents étaient très croyants côté religion, ils aimaient leurs enfants, il faut dire que nous ne manquions de rien, et nous étions très heureux ainsi, car nous ne connaissions rien d’autre, et comme dans les familles que nous côtoyons à cette époque-là, c’était pareil chez eux aussi. Et en ce qui concerne la sexualité, c’était tabou, on ne nous disait rien, nous devions tout apprendre par nous-mêmes, nous comprenions certaines choses, qu’au fur et à mesure que nous écoutions les adultes, lors de soirées bien arrosées, c’est à ces moments-là que les langues se déliaient un peu, mais sinon, on ne parlait jamais de sexualité à la maison. Ma sur était même honteuse et choquée, lorsqu’elle eut ses premières règles, c’est seulement à ce moment-là que notre mère lui expliqua grossièrement le fonctionnement du corps féminin et ses inconvénients chez les femmes.

Bon, ceci étant dit, je reviens à ma tendre sur que j’aime beaucoup, et à ce fameux printemps-là. La nuit, lorsque nous étions tous couchés, et cela depuis peu de temps, je commençais à m’intéresser sérieusement aux corps des filles et à ce qu’on pouvait faire avec, n’ayant pas de fille à ma disposition, je me suis doucement tourné vers ma sur Lou, je l’observais avec une attention toute particulière, lorsqu’elle s’habillait, lorsqu’elle se changeait ou lorsqu’elle prenait son bain. Et de plus en plus souvent, je feignais de ne pas savoir qu’elle était là, je voulais chaque fois la surprendre et voir comment elle était en dessous de ses vêtements, donc comment elle était une fois toute nue. Je voulais absolument voir son corps entièrement dénudé, et qui sait par la suite je voulais même le toucher.

C’est ainsi que lorsque nous étions tous couchés, je décidais un soir de traverser la chambre de Xavier pour aller rejoindre celle de Lou, mais le problème c’est que, un, il fallait traverser la chambre de mon petit frère, et il ne fallait surtout pas le réveiller, parce que sinon je risquais d’être dénoncé aux parents ou sinon il aurait voulu participer à ce que je faisais, et il ne se gênait pas de nous menacer de tout raconter, lorsque nous le mettions à l’écart, ma sur et moi, lorsque nous jouions à trois et qu’on l’écartait de notre jeu. Donc en passant dans sa chambre, le parquet grinçait et si l’on ne faisait pas attention, ça réveillait les autres, et nos parents avec, car comme ils dormaient en dessous et entendaient chaque pas et craquement, et lorsqu’ils les entendaient, ils nous sommaient d’aller nous recoucher, ou quelquefois ils montaient voir ce qui se passait.

Deuxièmement, lorsqu’on marchait dans la chambre de Xavier de même que dans celle de Lou, le plancher craquait, là aussi incroyablement, et on risquait de réveiller nos parents ou Xavier. Et troisièmement, lorsqu’on était dans la chambre de Lou, on était également au-dessus de la chambre des parents, qui eux dormaient juste en dessous, et donc risque qu’ils entendent du bruit et qu’ils remarquent qu’il y a quelqu’un dans la chambre de leur unique fille. Je sais je me répète, mais cela a son importance.

Donc ce fameux premier soir où j’étais vraiment décidé à franchir le seuil de la chambre de Lou et ainsi à braver tous ces obstacles, j’attendais qu’il soit au minimum deux heures du matin avant de me déplacer, je devais être sûr que tout le monde dorme d’un profond sommeil, puis je pris mille précautions pour faire le moins de bruit possible, sans mentir pour arriver au lit de ma sur, il me fallait aux minimums trente-cinq minutes, pour que personne ne s’inquiète des bruits que je faisais. Maintenant que j’étais au bord de son lit, j’écoutais d’abord sa respiration pour voir si elle dormait profondément.

Lou était là devant moi et elle dormait sur le dos, j’ai remarqué cela à sa respiration. Puis tout doucement, je soulevais la couette puis le drap, pour arriver enfin à ce corps de jeune fille que je convoitais tant, et que je voulais absolument toucher. D’une main, je gardais le drap et la couette relevée en hauteur, mais pas trop haut, pour qu’elle ne ressente pas un courant froid sur son corps, car ça pouvait la réveiller. Et de l’autre main, je rentrais sous le drap pour venir toucher son anatomie au travers de sa chemise de nuit qu’elle portait ce jour-là. Je commençais par poser ma main sur sa poitrine que je sentais bien chaude et molle, il me semblait même qu’elle était moins grosse qu’en pleine journée.

Sentant quelque chose sur elle, Lou se tourna d’un quart de tour et continua à poursuivre sa nuit. Ce soir-là, c’est tout ce que je me risquais à faire, et je suis alors reparti dans ma chambre, et reprenant les mille précautions pour ne réveiller personne. Cette nuit-là, mon aventure avait duré près de deux heures. Le lendemain, je guettais chaque discussion entre elle et les parents, pour voir si quelqu’un avait remarqué quelque chose ou si tout était normal. Heureusement pour moi, personne n’avait rien remarqué. Je pouvais donc recommencer mon escapade de la nuit précédente, car il me fallait à tout prix arriver à mes fins, il fallait absolument que je touche son corps, et que j’explore celui-ci.

Ça devenait une obsession pour moi, et je ne pensais plus qu’à ça, il fallait que je touche le corps de Lou, que je me l’approprie par la suite ! Le lendemain, rebelote pour les moult précautions, une fois dans sa chambre et devant son lit, je refaisais exactement la même chose, mais un peu plus rapidement, une fois ma main posée sur ses seins chauds et mous, je me mis à pétrir un sein légèrement, puis je sentis comme une pointe se dresser et qui devenait un peu plus dur, à force de le toucher, c’était son téton qui se dressait sous mes attouchements, sentant cela, je pris celui-ci entre mon pouce et mon index, et je commençais à le faire tourner entre ceux-ci. Ce qui eut pour effet de faire gémir légèrement Lou, et je passais d’un sein à l’autre, en faisant pareil avec les deux, plus j’irritais ses tétons, et plus Lou gémissait, je sentais en même temps comme sa poitrine devenait plus ferme et sa respiration plus rapide.

Deuxième étape de franchise pour Lou et moi. Je m’arrêtais là et je repartis dans mon lit, là encore, je surveillais les discussions, toujours pour entendre si quelqu’un s’était aperçu de quelque chose. Mais là encore une fois, rien sur le sujet. La troisième nuit, je refis la même chose, une fois que j’avais bien irrité ses tétons, je me mis à descendre le long de son ventre, m’attardant un peu sur son nombril, j’y mettais un doigt et je le faisais tournoyer dedans, chose qu’elle aimait beaucoup, car là aussi, elle gémissait lorsque je le lui faisais.

Contrairement à la première fois, les fois d’après, Lou ne se retourna plus lorsqu’elle sentait ma main sur ses seins, et ses tétons, je trouvais même qu’elle se laissait faire, elle restait ainsi couchée sur le dos et succomba à mes attouchements. Je laissais ensuite passer quelques jours entre mes incursions nocturnes, car se lever ainsi durant plusieurs nuits d’affilée, c’était fatigant et j’avais accumulé un certain manque d’heures de sommeil que je devais rattraper par la suite.

Quelque temps après, lorsque je voulais y retourner, je surpris une conversation entre Lou et notre mère, j’appris que ma sur avait ses règles menstruelles, donc pas touche durant cette période. Moi de mon côté, j’étais très agacé, car je voulais poursuivre mes investigations si bien débutées jusqu’alors, et jusqu’ici, personne, pas même Lou, ne s’était aperçu de rien.

Huit jours plus tard, quatrième escapade, je me remis à aller dans la chambre de Lou pour continuer l’exploration de son anatomie, et cette fois-ci, après avoir bien trituré ses tétons, je décidais d’aller explorer son entrejambe. Lou qui heureusement pour moi, ne dormait qu’en chemise de nuit et sans petite culotte. Donc un rempart de moins pour moi, entre son intimité et ma main inquisitrice.

Arrivé à la hauteur de sa vulve, je remontais d’abord le tissu de la chemise de nuit, avant d’atteindre une touffe épaisse de poils pubiens. Au contact de celle-ci, je sentis des poils tout doux, ils n’étaient pas très longs et recouvraient une fente qui se trouvait en plein milieu de ceux-ci, puis touchant un peu plus, je remarquais que cette fente était humide, j’y trempais un doigt et le portais à mon nez pour humer l’odeur. Ça avait une odeur particulière, odeur que je n’avais jamais sentie auparavant, je me suis même mis à le goûter, ça avait un goût salé et âpre que j’aimais bien. Fin de cette nuit-là. Par contre, maintenant que je savais le goût que ma sur avait, et que j’aimais bien, je me suis mis à lui subtiliser de temps en temps ses petites culottes, afin de pouvoir sentir et afin d’avoir son odeur avec moi, lorsque j’avais des envies d’elle.

Il m’arrivait de lécher la substance que ma sur perdait dans sa petite culotte, et qui se trouvait dans le fond de celles-ci, cela me permettait d’espacer un peu mes aventures nocturnes et ainsi tenir un peu le coup.

À la cinquième escapade dans la chambre de Lou, je pris une lampe de poche avec moi, car je voulais maintenant voir à quoi pouvait bien ressembler le sexe d’une fille. Je remarquais alors que lorsque j’irritais et massais un peu les tétons et les seins de ma sur, celle-ci écartait automatiquement ses cuisses et elle descendait avec une main vers son entrejambe, puis elle commençait à se toucher sa fente, posant d’abord la paume de sa main sur sa vulve et elle la frottait, puis elle se rentrait un doigt entre ses lèvres vaginales, et elle le faisait rentrer et sortir, en même temps qu’elle se le faisait, elle gémissait, et je remarquais aussi que plus elle se doigtait, plus sa fente devenait humide, donc j’en déduisais qu’elle aimait ça, et que ça lui faisait du bien. Je m’arrêtais là pour cette nuit-là, j’étais super-excité par ce que je venais de découvrir et par ce que j’avais observé.

De retour dans mon lit, je bandais tellement fort que je dus me soulager manuellement. J’avais cette nuit-là du mal à m’endormir, je crois même que je n’ai pas dormi du tout.

Le jour suivant, sixième escapade dans la chambre de Lou, maintenant en ayant vu l’effet que je procurais à ma sur, en lui irritant ses tétons et ses seins, puis en ayant vu ce qu’elle faisait avec sa main qui descendait à son entrejambe lorsque je les lui touchais, je pris la décision qu’avec une main, je lui irrite les tétons puis je lui masse un sein, alors que de l’autre main, j’irais sur son entrejambe et je lui masserais sa chatte avec ma main à moi. Grossière erreur de ma part, car dès que je commençais à lui triturer son téton, sa main à elle descendit automatiquement pour aller se soulager elle-même, et c’est là que tout se compliqua. Arrivée avec sa main sur sa vulve, elle sentit qu’il y avait déjà une main en place et c’est là qu’elle se réveilla subitement.

Lou était surprise d’abord de me voir dans sa chambre, à côté de son lit, avec une lampe de poche ronde dans la bouche, en train d’éclairer et de regarder son entrejambe de près, puis de sentir que j’avais inséré un doigt entre ses lèvres vaginales. Je dus rapidement mettre ma main qui se trouvait sur son sein, pour aller la plaquer sur sa bouche, afin d’éviter qu’elle ne crie et qu’elle ne réveille la maisonnée. Puis, je lui demandais en chuchotant, de ne surtout pas crier, que je lui expliquerais tous ensuite. Lou me fit signe de la tête qu’elle était d’accord avec ce que je lui proposais.

J’enlevais donc ma main, et lui je demandais toujours en chuchotant de me laisser lui donner mes explications et cela sans m’interrompre, et puis qu’une fois que je lui aurais expliqué le pourquoi, elle pourrait me poser autant de questions qu’elle voulait. Elle était d’accord avec ça, dans un premier temps, puis je lui demandais de venir me rejoindre dans ma chambre, car comme les parents dormaient sous sa chambre, ils risquaient de nous entendre ou ils risquaient d’entendre les grincements lorsque nous bougions. J’expliquais alors à Lou comment faire pour ne réveiller personne dans la maison.

Quelques minutes plus tard, Lou et moi nous étions dans ma chambre. Et je pus calmement expliquer à Lou pourquoi j’en étais arrivé là, puis pourquoi elle m’a surprise à la regarder et à la toucher. Lou me dit alors qu’elle avait bien senti depuis quelque temps que quelque chose se produisait durant certaines nuits, elle pensait que ce qu’elle ressentait c’était normal, ou elle le mettait sur le dos d’un rêve érotique qu’elle faisait, et qu’à ces moments-là, elle y prenait beaucoup de plaisirs et de jouissances. Je lui fis promettre de ne rien dire à personne, et que si elle le désirait, nous pourrions poursuivre notre exploration mutuelle et ensemble, et je lui dis ensuite que j’étais prêt à mon tour à lui montrer mon anatomie à moi. D’ailleurs pour acheter son silence, et pour la faire adhérer à mon projet, je sortis de mon lit, et je me mis tout nu devant elle, car je savais qu’elle non plus, elle n’avait jusque-là pas encore vu de garçon tout nu.

Elle fut étonnée de voir mon entrejambe qui était différent de la sienne, et surtout le bout de chair qui dépassait et qui était tout droit, tout dur et qui pointait à l’horizontale. Lou me demanda si elle pouvait le toucher, chose que je lui accordais volontiers. Une fois qu’elle m’eut touché mon sexe en érection, nous décidâmes d’aller nous recoucher dans un premier temps et d’en rediscuter un peu plus tard dans la journée, mais entre nous, et seul à seul.

Le lendemain, nous n’avons hélas pas pu nous parler, vu qu’il y avait beaucoup de travail à accomplir avec nos parents, qui eux n’ont, heureusement pour moi, rien remarqué comme changement dans notre comportement, et le soir venu, nous étions éreintés et trop fatigués pour nous voir et pour en discuter. Je suis sûr qu’après avoir été découvert par Lou, et avec tout le bien que je lui avais fait connaître, nous allions vite nous retrouver seul à seul, et nous allions en reparler de la suite à venir, entre nous. Je me rappelle que lorsque j’étais nu devant elle, Lou avait un sourire aux coins de ses lèvres, et je me doute qu’elle est aussi curieuse et aussi intéressée que moi pour poursuivre cette relation incestueuse, et par la même occasion, voir comment nos corps réagissent l’un au contact de l’autre, et comment nos corps ressentent ce que nous leur présenterons comme tests.

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