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Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 2

Maman très chaude, enfants pervers. - Chapitre 2



Chapitre 2 : Mère nympho, fils pervers.

Pendant quelques jours j’évite mon fils. Je fais semblant d’être très occupée. Je ne suis pas en colère, j’essaie juste d’assimiler comment nos relation mère – fils ont évoluées, je devrais dire " dérapées" et je me demande si je dois continuer sur cette voie qui pourrait aboutir à ma destruction ou m’offrir la possibilité d’accomplir tous mes rêves et mes fantasmes.

Ce soir nous sommes tous dans le salon et regardons la télé. Bien que le film semble intéressant mon mari et ma fille ne suivent pas vraiment. Mon mari baille et;

— Chérie, je vais me coucher, j’ai eu une dure journée de travail, tu m’accompagne ?

— Heu non je veux voir la fin du film.

Il quitte le salon et peu après ma fille Aurélie monte également.

Eric vient s’assoir prés de moi et nous regardons le film. De temps en temps, je jette un il vers lui et involontairement mes pensées reviennent sur la relation très intime que nous avons eue. Je m’aperçois que lui aussi tourne la tête et me regarde et j’aimerais bien savoir à quoi il pense.

Le feu dans la cheminé est allumé et je me lève pour remettre une buche. Je sens les yeux de mon fils fixés sur mon dos sur mon cul, quand je me penche pour poser la buche.

Mes jambes sont légèrement écartées, une main sur mon genou, je pique le feu. Ainsi penché ma courte jupe, qui m’arrive à mi cuisse en position normale, remonte et dévoile le haut de mes cuisses. Et mon corps prend feu en pensant qu’Eric est en train de ma mâter.

Mon Dieu qu’est ce que je fais ! Je ne vais quand même pas commencer notre petit jeu… pas maintenant… pas quand mon mari et ma fille sont dans la maison.

— Maman, tu es superbe. Cette jupe te va à ravir et ton chemisier met bien en valeur tes seins.

Mon coquin de fils à l’air très sure de lui et ne se pose surement les mêmes questions !

– Eric ce n’est pas le moment de penser à mes seins.

— Peut-être, mais ta jupe t’irait mieux si tu la soulevais un peu plus.

— Eric ! Je ne peux pas ! Ton père

Bon dieu que j’ai chaud entre mes cuisses.

— Aller, maman… juste un peu…Je veux juste voir tes cuisses magnifiques c’est tout.

Je rougie. Je me sens comme une petite fille à qui l’on demande de soulever sa jupe pour que le garçon voit sa culotte, mais là, ce garçon c’est mon fils. En ce moment, je me souviens comment sa merveilleuse bite glissait dans ma bouche et que je me nourrissais de son sperme.

Lentement, j’attrape les bords de ma jupe. Oh mon bébé je vais te montrer juste un peu…

Par précaution, que je regarde vers l’escalier veillant à ce que personne ne nous voit. Le mon cur battant dans ma poitrine, je regarde en arrière mon fils et je remonte ma jupe jusqu’à ce que le bord s’arrête a la moitié de mes fesses..

— Oooh, maman écarte tes jambes un peu plus.

Je sais que maintenant il voit ma culotte transparente et ma chatte déjà chaude devient humide.

— C’est vraiment beau ! Tu as un cul superbe, maman ! Oh maman… tu es si belle »

Il regarde mon cul et j’ai les lèvres sèches. Penchée en avant, je place mes deux mains au-dessus de la cheminée et je me cambre pour faire ressortir mon cul. Mon slip commence à se mouiller et je me demande si mon fils peut voir cette humidité.

— Maman… tu peux enleverta jupe

Doux Jésus… c’est extrêmement dangereux, nous ne somme pas seuls dans la maison.

— Oooh bébé, si… ton père descend… ou ta sur

Il ne répond rien et continu de fixer mon cul les yeux écarquiller. Je regarde vers le haut de l’escalier et je me décide à retirer ma jupe que je laisse tomber à mes pieds.

— Maman, ton chemisier s’il te plait.

Que se passerait-il si nous sommes surpris dans cette posture ? Que se passerait-il si ma fille me voit comme ça, en culotte et soutien-gorge ou peut-être même complètement nue ? Je respire difficilement à cette pensée, ma fille me regardant nue, à mes seins… à mon cul devant ses yeuxet je suis de plus en plus chaude.

Sans m’en rendre compte j’ai déboutonné mon chemisier et me voila en slip et sous tif devant Eric.

Je replace mes mains sur le haut de cheminée et j’écarte mes jambes:

— Tu veux prendre des photos chéri ?

Et voila je redeviens une salope et j’assume, car passant la main derrière mes fesses, je les écarte et fais disparaitre le tissu de mon slip entre elles.

— Uuuhhmmm… Comment tu trouve ta mère comme ça ? Dis-je en gémissant comme une chatte en chaleur.

Je sais qu’il voit la peau plus sombre autour de mon trou du cul et vicieusement je lève ma jambe pour poser mon pied sur une chaise à coté.

Je suis tellement en extension que mon slip couvre à peine mes deux trous!

Je suis bien passée de mère à salope. Et j’adorec’est sale mais si excitant de faire çà, dans ma maison, avec mon mari juste à l’étage… me montrer à mon fils, c’est interdit par la moral puritaine mais c’est si bonje suis en chaleur.

— Maman je crois que tu peux faire sauter le soutien-gorge…Je veux voir tes seins.

Je vois bien qu’il me teste pour voir jusquoù j’irais. Il veut me voir nue complètement nue. Ma chatte coule, je le sens. Je souris légèrement et me redressant je fais sauter l’attache de mon soutient gorge libérant mes seins comprimés.

Je laisse le soutien-gorge tomber au sol et je reste immobile, face à la cheminée avec mes mamelons durs, absorbant la chaleur de mon corps. Je l’entends se lever et maintenant je suis impatiente de savoir ce qu’il va faire.

Je sens son corps juste derrière moi et ses mains se posent sur mes hanches. Je frissonne à ce contact. Ses mains sont si froide et ma peau si chaude.

Elles se réchauffent et il les passe sur mon ventre pour les monter sous mes seins et les prendre en soucoupe et presser mes tétons entre ses doigts.

— Huuuummmm

— Putain, maman, tes seins

Je sens son souffle dans ma nuque

Il serre si fort mes mamelons que je pleure sous la douleur.

J’aime sentir sa poigne ferme sur mes seins. Il redescend ses mains vers le bas, jusqu’à ma culotte, ses doigts accrochés sur les bords. Je tremble dans l’attente qu’il me la retire.

— Dis-moi ce que tu veux Maman d’amour… dit-moi ce que tu as envie de me faire chuchote-t-il dans mon oreille et en mordillant le globe.

Il me manipule ? Ou il joue ? Je devrais arrêter là, mais j’hésite et c’est trop tard.

Ses doigts qui courent sur les bords de mon slip me rendent folle de désir. Je jette un coup d’il vers l’escalier et en gémissant:

— Prend ma culotte… enlève là…

Ses lèvres touchent mon épaule et il m’embrasse en sortant sa langue qui court sur ma peau.

— T’es bien sûre, maman ? Tu veux vraiment que je retire ton slip ? En principe les mamans ne font pas çà Seulement les mamans salopes le font.

Mon Dieu j’en peux plus. Tout mon corps est en ébullition par cette attente.

— Chéri… maintenant je suis ta salope de maman. Alors, s’il te plait enlève mon slip.

Ses doigts accrochent mon slip et doucement il descend le dernier rempart de mon intimité sur mes hanches et mes cuisses. Je sens qu’il s’agenouille derrière moi, Dieuson visage est à hauteur de mon cul, mon cul nu. Il tire mon slip sur mes chevilles et je lève mes pieds.

Je reste là tremblante, totalement nue, avec mes mains toujours au-dessus du manteau de cheminé. Ses mains prennent mes fesses et il les pétries en les écartant pour son plus grand plaisir. Ooooooh, maismon trou du cul… il regarde mon trou du cul. Oh non, et si il me dit qu’il m’a vu me masturber il… que j’ai enfoncé mes doigts dans ce trou et que je me suis fais jouir ? Oh Jésus, là, mon fils, pourrait dire que je suis une vraie salope.

Il me retourne face à lui. Complètement nue je regarde mon fils à genoux en face de moi. Il regarde ma chatte, ma chatte rasée. Toujours à genoux il tend la main et attrape mon cul pour me tire à lui. Me tenant fermement avec ses mains, il met son nez près de mon clito. Il respire fortement, il hume et sens ma moiteur.

J’écarte instinctivement les jambes en attente de ce qui va forcément suivre.

Il tire sa langue et lèche les lèvres de ma chatte en les repoussant sur les bords pour enfuir sa langue dans ma fente détrempée.

Je gémie en fermant la bouche pou ne pas réveiller ma fille ou mon mari.

— Uuuuhhhhmmmm… Je gémi.

Que sa la langue est douce dans ma chatte. Elle va et vient, tourne autour, tapote le haut ou se cache un petit bouton qui voudrais lui dire bonjour.

J’écarte le plus possible mes cuisses en soulevant l’une d’elle en posant un pied sur la chaise.

Mon fils est enfoui entre mes cuisses entrain de me bouffer la chatte à la recherche de mon orgasme.

— Oh fils de Pute… manger moi… oh ouiiiii mange moi…ohhhhhhhhh

D’une main, je me maintiens et de l’autre je presse un de mes seins en tirant et roulant le téton tout dur. Mon cul est en feu ! Et ce n’est pas la chaleur de la braise de la cheminé.

Ma chatte est parcourue de crispations et je suis au bord de l’orgasme. Mon petit salaud de fils le sens bien car il entoure mon clito de ses lèvres et sa langue frotte le bout.

— OOoohhhhh OuiiiiiiiiiiSalaaauuuudd je jouiiiissssss !

Je jouis comme une dingue du sexe que je suis, debout devant la cheminée, dans notre salle de séjour avec mon mari et ma fille qui pourraient descendre l’escalier à tout moment. Je n’arrête pas de gémir sous cette jouissance que mon fils me donne. J’ai essayé de résister mais cela mais impossible. Je suis une vraie chienne lubrique avec la bouche de mon fils qui lape mes jus intimes.

Mes spasmes durent longtemps, mais, finalement quand je me calme et je réalise que mon fils continu d’aimer ma chatte. Il boit mon jus qui coule dans sa bouche. Je passe avec la tendresse d’une mère non d’une femme satisfaite mes doigts dans ses cheveux. C’est un beau et grand garçon maintenant, il mange tout seul il mange sa maman.

— Ooh, mon bébé tu aime ta maman la chatte de maman ?

Il la lâche une seconde :

— Maman, tu as la plus délicieuse des chattes et je pourrais te bouffer toute la nuit !

Et il retourne à sa dégustation en collant sa dans mon trou qui n’arrête pas de couler. Je suis entièrement ouverte et j’aime ce qu’il me fait.

— Maman ne bouge pas !

Il attrape son appareil qu’il avait surement préparé au cas où et commence à prendre des photos de moi… nue… cuisses ouvertes et chatte béante.

Mon Dieu, je dois l’arrêter ! Je ne suis pas une star de pornos… c’est trop dangereux…Je suis sa maman. Que se passerait-il si les photos tombent entre de mauvaises mains, que se passerait-il s’ils les mettent sur Internet ?

— Non Eric, mon bébé s’il te plaît… arrête… plus aucunes photos… s’il te plait.

C’est avec difficulté que je réussi à mettre mon pied par terre mais il a déjà pris des photos de moi, ma chatte ouverte et dégoulinante de cyprine. Mais je dois arrêter de laisser libre cours à ma lubricité.

Je quitte la cheminée pour aller vers le canapé avec mes hanches qui se balancent malgré ma volonté.

Clic-clac, clic-clac, clic-clac

Il ne m’écoute pas et prend photos sur photos.

Je suis assise sur le canapé, mes genoux serrés, dos droit, mains sur mes genoux. Il prend mes gros seins gonflés avec leurs tétons érigés et bien durs.

Et je ne dis rien ! Je suis d’accord sur ce qu’il fait ! Même si je me retrouve sur internet ?

Salope…mon Dieu…J’aime ce mot. Je vois mes genoux s’écarter indépendamment de ma volonté. Ils vivent leur propre vie.

Ca n’a pas échappé à mon fils qui tombe à genoux devant moi et clic clac, une de plus et en gros plan !

Je sais ce qu’il faut que je fasse pour l’arrêter.

— Eric viens ici,

En lui faisant signe avec mon index replié.

Il se lève, obéissant, comme un petit enfant. Il s’approcha de moi, l’appareil photos à ses côtés. Assise tout droite sur le bord du canapé j’attrape ses fesses fermes et tire pour mettre ses jambes près de mon visage.

Si il faut faire çà pour qu’il arrête de prendre des photosAinsi soit-il

Je tire sur son pantalon d’intérieur et comme ce petit salopard n’a pas mis de slip je prends sa grosse queue bandée en plein visage.

J’attrape la base de celle-ci et après quelques caresses je le regarde avec les yeux d’une innocente jeune fille.

— Que veux-tu que maman fasse à la grosse bite de son petit garçon ?

— OOOhhhh, maman… suce-moi comme la dernière fois.

C’est tout ce que j’attendais. J’ouvre la bouche et j’enfourne sa grosse saucisse dans le four de ma bouche.

Je la triture, la déguste, je l’enfonce le plus loin possible à la limite de l’étouffement, je mords en pressant ses grosses boules qui pendent à la recherche de cette vibration précurseur de sa jouissance.

Ma chatte remonte en température rien qu’en pansant à ce que je fais et dans l’attente de son jus épais et chaud. J’assimile en même temps que j’aime le sexe, particulièrement le sien, et que je suis restée frustrée pendant des années à ne pas vouloir accepter que le sexe est un besoin indispensable à mon équilibre mental.

Certains dirons que je suis une sacrée salope, et incestueuse en plus, mais je m’en fou complètement en cet instant si merveilleux

Il me prend la tête et c’est lui qui baise ma bouche maintenant. Il l’utilise pour son plaisir. Je le laisse faire en passant ma langue sur ce pieu qui va et vient. Il a levé une jambe et posé un pied sur le canapé et je sens ses couilles frapper mon menton quand il baise ma bouche.

Mon fils essaye de ne pas faire trop de bruit mais je l’entends grogner dans mettre le plus possible dans ma bouche et ma gorge. Il retire sa queue pleine de salive et me caresse le visage avec. Je lèche à chaque passage sur ma bouche et il reprend ma tête pour me forcer à reprendre sa bite jusqu’aux couilles.

Je suis tombée du canapé et comme une professionnelle je lui taille une pipe. Je suis son esclave, esclave de sa superbe bite si dure et si chaude. Je l’adore !

— Maman ! Je vais jouir !

— Huuuummmm… Attend mon chéri tu ne veux pas plutôt me baiserbaiser ta maman

Et je suce seulement son gros gland en levant les yeux pou voir l’extase et le désir sur son visage.

— MamanOOOhhhh, ouiiiiij’en ai envieAAaahhhh de te baiser ! Ouiiiii s’il te plait

Maintenant c’est lui qui implore, qui quémande… maintenant, j’ai repris le contrôle.

— Tu veux me baiser… tu veux baiser ta mère… Huuummm çà ne se fait pas ! C’est défendu ! Et en plus, ici ! Sur le canapé avec le reste de la famille qui dort à l’étage ?

Encore une fois, il m’attrape par mes cheveux et force sa bite dans ma gorge pour me baiser la bouche et me regardant :

— Te baiser ! Oui…Je veux baiser ta chatte comme je baise ta bouche et tout de suite !

Mon Dieu je suis sa mère, mais il m’utilise comme une chienne… une prostituée à peu de frais. Doux Jésus, chaque fois que je pense à ce qu’il pourrait me faire je suis prête à jouir, Il me lâche et je rampe vers le haut du canapé, avec mon cul en l’air en écartant largement mes jambes, donnant l’accès à mon fils pour mebaiserpour baiser sa maman. Je tourne la tête pour le regarder.

— Ouiiiiibébé, baise-moi ! Enfonce ta bite dans la chatte de maman ! Remplit mon trou à bites de ta grosse queue et baise ta maman !

Il se positionne derrière moi et écarte mes lèvres trempée par mon jus. Je sens son gland à l’entrée de ma chatte, mais il ne bouge pas. A-t-il peur ? A-t-il des doutes ? Je pense à ce qu’il va faire. Oh Dieu… c’est… c’est tellement immoral… si dégoutant… et interdit. Mon propre fils va me baiser…

Je recule pour enfoncer un peu sa bite dans ma chatte. Oooh, pourquoi j’ai fait çà ? Je sens la tête de sa bite à l’intérieur de mon trou, et elle écarte mes chairs. Oh non…Je ne dois pas faire cela… c’est mon fils.

Ma tête dit "non…non" c’est une bataille interne car mon corps dit "Oui, viens". Je tourne de nouveau ma tête pour voir qu’il me regarde le regard fiévreux et plein de désir.

Je n’en peux plus il me faut sa bite en moi. Je pousse mes fesses vers lui et plus de la moitié de sa longue bite de mon fils est à l’intérieur de ma chatte en feu, ouverte pour lui.

— AAAAAHHHhhhh… Ouiiiiiiiiii

Je me retire un peu et je repousse. Peut-être que je vais juste me faire baiser par le bout de sa bite juste un peu un petit peu En poussant un peu plus j’apprécie cette pénétration, ce beau et gros sexe qui envahi mon vagin en le dilatant.

Je suis tellement prise pas cette sensation brulante dans ma chatte, que lorsque je sens mon cul rebondir contre son ventre je réalise Oh mon Dieu… non… pas toute sa bite ! Je retourne la tête pour le voir me baiser et faire aller et venir toute sa longue queue dans ma chatte.

Je n’ai rien fait pour l’empêcher ! Au contraire c’est moi qui me suis jeté sur son sexe et qui me le suis enfoncé jusqu’au bout !

Je me suis donné à mon fils comme une chienne en chaleur et il baise ma chatte. Il se l’enfonce à fond et la retire ne laissant que son gros gland entre mes lèvres et il recommence. J’entends gémir c’est lui ou moi ? je ne sais plus! Je suis dans mon monde érotique et incestueux, je plane dans le ciel de la luxure. Il prend mon cul et pistonne ma chatte de plus en plus vite et de plus en plus fort.

Mon fils me baise et j’adore ! Son épaisse bite pénètre dans ma chatte… et Oooh elle va si loin et ses couilles frappent contre mon clito, et il me fait jouir.

— AAaahhhh… ohhhhhhhhh… muuummmmm…

Je jouis et ma chatte se referme par des spasmes successifs sur sa grosse queue comme si elle voulait l’avaler et ne jamais la perdre. Et je n’arrête pas de gémir la bouche fermée pendant toute ma jouissance.

Il augmente sa vitesse de pénétration et sens qu’il n’est pas loin de jouir. Je ne veux pas qu’il jouisse en moi comme çà. Je veux le voir quand il balancera son foutre dans le vagin de sa mère. Je veux être salope jusqu’au bout!

Je me déplace pour éjecter sa bite hors de ma chatte.

— Whaou, bébé! Assied toi là !

Il a l’air un peu déçu, pense-t-il que çà s’arrête là ?

— A moi de me baiser sur ta bite. Non de Dieu qu’elle est grosse!

Dis-je en la regardant et la prenant en main

Elle est recouverte de mon jus est ce qu’il est bon ? Sans réfléchir je me penche entre ses jambes et je mets la bite de mon fils dans ma bouche. Oh Dieu quel goût… je goute ma chatte et j’aime alors je suce sa bite de haut en bas avec cette excitation perverse en sachant que j’avale mon jus intime.

C’est la première fois que j’avale autant de jus de femme et en plus c’est le miens! Ce jus que mon fils sait si bien faire couler. Je deviens une salope perverse et je m’en fout complètement.

Je sens les mains de mon fils sur mes cheveux, me tirant vers le haut.

— Maman, s’il te plaît… ça suffit… baise-moi maintenant.

Dit-il tellement désireux de revenir dans ma chatte.

Il a raison, ma chatte veut être remplie à nouveau par son énorme sexe. Je me positionne juste au-dessus de sa queue vibrante et, la tenant fermement, je la guide dans mon trou encore bien ouvert. Elle glisse avec aisance tellement je mouille et lubrifie sa bite dans ma descente.

Il saisi mes seins qui ballotent devant ses yeux, les masse et les suce. Agrippant le haut du canapé je monte et je descend sur son pieu en m’enfonçant plus profondément à chaque coup! Oh Dieu, c’est fou ce sentiment d’être la putain de son fils ! Sa chienne !

Moi je suis de nouveau prête à jouir. Je regarde mon fils en extase qui joue avec mes seins. Pas encore… lui il n’est pas prêt. Je me retire et je suis de nouveau entre ses jambes pour sucer sa bite humide. Je veux retarder ma jouissance ou je veux encore goûter à ma chatte ?

Je suis en pleine confusion car je ne me doutais pas que cela serait si chaud… ou si bon ! Je reprends sa bite dans ma bouche pour lui faire une pipe d’enfer et boire mon jus de chatte sur elle. Je me régale ! Est-ce que toutes les femmes ont aussi bon gout ? Le jus de la chatte de ma fille est-il aussi bon ?

Mon Dieu ! Comment puis-je imaginer une telle chose ! La chatte de ma fille sur ma bouche ! Non ! Impossible ! Je ne peux pas… mais cela a tellement bon goût !

Je me relève et je réintroduis sa bite de cheval dans ma chatte ruisselante et brulante. Je me démène tellement sur cette queue que mes seins rebondissent dans tous les sens et ma chatte me brule carrément.

— Maman ! Je vaisjouiiiirrrrrrrrr ! Ouiiiiiiiiii!!

Il gémit tellement fort que j’ai peur qu’il réveille mon mari ou ma fille… oh Jésus ma fille… quelle goût elle a ? A-t-elle déjà gouté au jus d’une fille ? Est ce qu’elle aime ? Que se passerait-il si elle goutait au mien ?

Oh non…Quel genre de salope suis-je en passe de devenir ? Je ne l’aurais jamais…Je ne pourrais jamais faire cela à ma fille. Je chasse ses pensées plus que perverses et regarde mon fils.

— OUII bébé… Jouis dans la chatte de maman…Oh Dieu oui… je sens ton sperme qui m’arrose l’utérus putain qu’est ce que tu me met ! Et làje jouis avec lui, avec mon fils qui vide ses couilles dans le vagin de sa mère. Tous les deux, en gémissant pas trop fort, nous laissons nos spasmes de jouissance s’estomper doucement.

Tout d’un coup il se raidit et je mets tout mon poids sur sa bite enfouie profondément à l’intérieur de moi. Et miracle de la jeunesse, il gicle encore son foutre à l’intérieur de ma chatte. Je suis remplie de sperme et nos jus se mélangent à l’intérieur de mon corps.

C’est comme si j’étais dans un autre monde, j’attrape son cou et je l’embrasse fougueusement, ma langue cherchant toute les partie de sa bouche et je suis de nouveau en jouissance, en extase sur sa bite.

Je sens ma sueur courir vers le bas de mon dos, dans la fente de mon cul et mouiller mon trou du cul.

Whaoo ! Mon fils m’a fait jouir plusieurs fois comme jamais çà ne met arrivé. Je me retire doucement et ma chatte rejette son trop plein qui coule sur mes cuisses.

A genoux par terre je regarde sa bite à demi bandée, tellement humide… mousseuse…splendide, qui me nargue et m’invite. Oh Dieu que je suis une faible femme et une mauvaise mère !

Je me penche en me mettant sur son coté et je reprends cette chose qui vient de me faire connaitre la jouissance absolue. Encore une fois, je deviens une chienne qui suce te lèche la bite de son fils mais cette fois elle est couverte d’un mélange de sperme et de cyprine.

— Maman, je dois te demander quelque chose

Oh il peut me demander quoi que ce soit. Il a maintenant tous les droits et je vais sucer sa bite jusqu’à ce qu’il m’envoie son sperme dans ma bouche.

— Oui bébé.

Je réponds entre deux coups de langue après une gorge profonde.

Il pose ses mains sur mon cul et me dit ;

— Heuuu, tu sais l’agence pour modèles de Pub que je voulais qu’aurélie passe voir

Il est de nouveau raide et je l’enfonce profondément pour sentir le plus de cette chair si dure et si chaude. Je recule ;

— Oui, Oui…Je me souviens…

— Bien…je leur ai montré quelques-unes de tes photos… seulement ceux dans le bikini !

Malgré sa bite dans ma bouche, là, je fais tilt ! Que vient-il de dire?

Dans le même temps je sens sa main qui glisse et ses doigts se posent sur mon trou du cul. Oh Dieu Éros… que va-t-il faire ? La seule pensée que mon fils joue avec mon trou du cul renflamme ma chatte et ma tête.

Ah, oui les photos… Eric… pourquoi… Pourquoi tu as fais ça !

Je pose la question mais je ne lâche pas ma proie sous ma langue tout en le regardant avec inquiétude.

— Maman, tu es si belle, tu as un corps magnifique, et tu es probablement la plus chaude… heu, la femme la plus belle du pays… J’ai juste pensé que… que peut-être d’autres gens devrait le voir.

Comment réagirje l’aime et je suis folle de sa bite ! Que je remets dans ma bouche bien profondément.

— Tu aurais pût me demander avant

Le petit salaudil frotte ses doigts sur mon trou du cul. Ooh, je dois le garder serré et bien fermé. Il ne doit pas savoir que j’adore me tripoté le cul. Il glissé son doigt sur ma chatte humide et encore dégoulinante, le mouille et le repose sur ma rosette pour la graisser de mon jus.

— Je sais maman, mais… eux ils ont beaucoup aimé ils ont adoré les photos de toi.

A ce moment, je sens son doigt qui appui sur le milieu de ma rosette qui s’ouvre sans mon autorisation et son doigt glisse dedans.

Oooh, mon Dieucomment puis-je laisser mon fils me doigter le cul ? Mais là encore c’est la salope qui pense car je m’attendais à cela, c’est pour cette raison que je me suis assise dans cette position… avec mon cul vers le haut. Apres tout, je lui ai dis qu’il pouvait tout me fairealors je ne vais pas m’offusquer pour un doigt dans le cul !

Je lève les yeux vers lui. Il me regarde, jugeant ma réaction, essayant de voir si j’allais l’arrêter de violer mon cul. Doux Jésus, s’il savait… il ne sait pas que j’aime en avoir plein dans cul ! Je suis une putain de putain la putain de mon fils.

Il fait aller son doigt dans mon conduit anal. Il baise mon cul de son doigt.

— Et qu’ont-ils dit quand tu m’as montrée presque nue ?

J’aspire son gland et il pousse sa bite dans ma bouche et je commence à le sucer tout en le branlant d’une main.

— MamanOooohhhh, maman ! Oooohhhh ils aimeraient bien prendre des photos de toi. C’est des professionnels et ils devraient faire de superbe photos avec une meuf comme toi.

Je sens un autre doigt se poser sur ma corolle. Pas question!!! Il ne va pas en mettre un de plus ! Pas mon fils!!!

— Eric, je ne peux pas, c’est trop dangereux. Nos rapports doivent rester secrets.

Oh le saligaud !! Son doigt pousse un peu sur mon anneau anal… qui s’ouvre un peu plus et … lentement… peu à peu… jusqu’à ce que… voila ! J’ai deux des doigts de mon fils dans mon trou du cul. Oh mon Dieu… un peu de douleur… non, aucune douleur… plus comme de l’inconfort.

Je suis quand même un peu tendue car mon trou du cul est fouillé comme jamais je l’ai fait moi-même.

— Maman dit oui. Je leurs ai dis que tu seras probablement d’accord. C’est juste des photos d’une superbe femme en mini bikini.

Je ne l’écoute presque pas car je suis polarisé sur mon trou du cul qui commence à apprécier les doigts qui le fouille et qui vont et viennent lui procurant des sensations inédites. Tellement fortes que je suis prête pour un nouvel orgasme.

— Eric…AAAAAHHHhhhh… Noooonnnnn… Uuuuhhhhmmmm…Je ne peux pas…Oh mon Dieu… Si ton père nous surprenait OOOhhhh, ouiiiii… ce serait la fin de mon mariage.

Je me remets néanmoins à sucer la bite de mon fils pour le faire jouir. Tout à coup il retire ses doigts… oh ! Quel sentiment de vide…Je veux ses doigts!

— Ericnons’il te plaît remets-les dans mon cul

Je lui dis cela comme une mendiante affamée qui fait la mendicité.

— Alors dis-moi que tu es d’accord pour aller te faire prendre en photos.

J’ai tant besoin de jouir et envie de sperme que,

— Ok…Oh Bébé, Ok…Je le ferai, mais juste en bikini… mais s’il te plaît remet tes doigts.

Il glisse ses deux doigts humides dans mon cul. Ils sont rentrés avec facilité, mon trou du cul entrouvert les attendait.

Ooh que c’est bon ! J’adore cette sensation différente de celle que j’ai quand il fouille ma chatte. Et en plus, le fait de savoir que c’est mon fils qui me fait ça, je crois que ça amplifie mon excitation malsaine. Je colle bien mon cul sur ses doigts et je lui suce frénétiquement sa bite ! Il me rend folle quand il les enfonce le plus loin qu’il peut et qu’il les retire pour recommencer et m’éperonner ainsi mon trou du cul en feu.

Je l’entends gémir et je sens qu’il s’apprête à jouir. Je comprime la base de son nud et je suce et aspire son gland. Sa bite gonfle dans ma main et je desserre mes doigts. Un geyser de sperme jailli de sa bite et rempli ma bouche assoiffée pendant que je mon corps est secoué par un violant orgasme.

Après ce feu d’artifice de spasmes dans nos corps respectifs je me suis effondré sur le canapé et ses doigts ont glissé hors de mon cul. Je regardé l’horloge 1 heure du mat ! Mon Dieu, on vient de baiser pendant plus de deux heures !

Je me lève et ramasse mes vêtements.

— Eric, il est grand temps de se coucher, avant que nous soyons pris en flagrant délit d’inceste. Ne tentons pas le diable !

Nous faire prendre ? Un sentiment de culpabilité passe dans ma tête J’ai fait tellement de choses ce soir… dont certaines assez sales et interdites. Mais ce sentiment est vite chassé par la salope qui est en moi et qui me dit "Tu as encore beaucoup de chose à découvrir et surement encore plus dégueulasse que ce soir mais encore plus excitante"

Pourquoi ces pensées obscènes quand je passe devant la porte de la chambre de ma fille ?

A suivre

Phantome

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