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Marie, la decouverte 1 – Chapitre 3

Marie, la decouverte 1 - Chapitre 3



Après cette soirée où Marie me révéla son goût pour la soumission et les jeux DS, je décidais de modifier du tout au tout notre vie de couple. J’avais été depuis qu’on se connaissait un doux amant mais puisque elle voulait un maître j’allais être celui-là.

Le lendemain matin, tout à son euphorie suite à notre soirée torride, elle descendit après sa douche de la chambre vêtue d’une robe moulante bleue qui mettait en valeur ses formes et sa silhouette et dont la couleur de mariait avec la couleur de ses yeux. Pour vous la décrire, 1m70, 60kg, 90C, cheveux longs roux, elle avait gardé un corps juvénile malgré ces 45 ans et vêtue ainsi elle était bandante.

Elle fit un tour sur elle-même au bas des escaliers me demandant toute souriante si elle me plaisait. Cette robe était vraiment moulante et on distinguait aisément les marques de son string et de son balconnet. Je m’approchais d’elle et la pris par la taille et l’embrassa à pleine bouche pendant que ma main Glissait jusqu’à l’ourlet de sa robe. Glissant celle-ci entre ses cuisses, je remontais le tissu jusqu’à découvrir son string. Elle les écarta un peu plus pour pouvoir me laisser accès à sa chatte. Ma main caressait son clito au travers de la dentelle; son bassin commença à onduler sous la caresse. J’arrêtais alors mon baiser pour lui murmurer: "tu te rappelles ce que tu m’as dit hier?" Et commençait à lui déposer des baisers dans le cou. Elle murmura le souffle court ". Oui tu es mon maître." Je passais alors ma main dans son string et faisait glisser un doigt dans sa fente trempée stimulant son clitoris. "Et?" Répondis-je. "Je veux être ta chienne ta salope, fais de moi ce que tu veux…continues mon amour, fais-moi jouir." dit-elle.

Jarrêtais alors mes caresses et lui dis : " fermes tes yeux, restes immobile et mes tes mains sur la tête si tu veux que je te fasse jouir. Ne dis rien et ne bouges plus ma salope."

J’allais alors à la cuisine chercher une paire de ciseaux et revenait vers elle. Je repris mon baiser et posait les ciseaux sur sa cuisse.

Lorsqu’ils la touchèrent, elle frissonna mais ne dit rien. Je remontais lentement vers son pubis et son ventre au fur et à mesure de creusait sous l’effet de la peur et de l’excitation procurée par l’effet du métal froid sur sa peau. Arrivé à la couture reliant l’élastique et la dentelle de son string le clic sec des ciseaux coupant l’élastique la fit réagir. "Mais tu es fou? Qu’c’est ce que tu fais?" Coupant le côté opposé je lui répondis: "Je fais ce que je veux et aujourd’hui je te veux nue sous ta robe." Le string tomba. "Mais ça va se voir," continua-t-elle. Toujours munie des ciseaux, ma main montait maintenant sous le tissu de la robe. "Tu as dit que tu étais ma salope, alors je te veux habillée comme une salope…répondis-je. J’arrivais à son balconnet qui subit le même sort que son string. Coupé entre les deux seins et aux bretelles je n’eus aucun mal à lui retirer tout en lui caressant sa chatte de mon autre main. Deux de mes doigts y clapotaient tant elle mouillait. Je lui dis alors au creux de l’oreille que dorénavant elle ne mettrait plus de dessous sauf ceux que je lui demanderais ce à quoi elle répondit entre deux soupirs un oui Maître qui me fit bander à avoir mal.

J’insérais un troisième doigt dans sa chatte et la branlait rapidement lui demandant de me dire qui elle était. Elle hurla alors qu’elle était ma salope, ma chienne mon vide couille avant de succomber à son orgasme.

Lui mettant les mains sur ces frêles épaules, je la mis à genou et lui demandait d’ouvrir mon pantalon et de me sucer. Elle sortit mon sexe raide et brillant de mon pantalon et commença d’abord par lécher mon gland en me regardant dans les yeux comme une professionnelle puis elle écarta les lèvres et doucement les fit coulisser le long de la hampe en l’aspirant puis recula lentement la tête jusqu’à n’avoir en bouche que le gland sur lequel elle faisait rouler sa langue et recommença la même manuvre en accélérant et en allant toujours plus profond pendant 5 minutes. N’en pouvant plus mon plaisir éclata en longs jets dans sa gorge, gourmandise qu’elle avala avec délectation jusqu’à la dernière goutte.

Notre appétit sexuel repus il était temps de partir travailler. Elle jeta un regard vers le miroir du salon et put constater comme moi que sa robe en stretch épousait son corps à merveille. On voyait très bien le dessin de ses pointes de seins et l’absence de string.

"Tu veux vraiment que je parte travailler comme ça ?" Dit-elle avant de se remettre une touche de rouge à lèvres.

"Oui je sais que tu vas aimer t’exhiber comme une salope car j’ai déjà vu comme tu aimais attirer l’attention des hommes. Je t’appellerai dans la journée pour savoir comment ça se passe." Répondis-je.

Nous partîmes donc chacun vers notre travail.

Durant la journée, je lui envoyais des SMS pour savoir comment se passait sa journée aux quels ses réponses furent de plus en plus chaudes.

Elle n’avait pas beaucoup de clients dans son entreprise de gardiennage en cette saison si ce n’est des clients âgés venant prendre leur camping-car et des personnes venant louer des box de garde meuble. Elle partageait un grand bureau avec son patron qui était son père. Vers midi je l’appelais pour savoir comment s’était passé sa matinée.

Elle me raconta qu’au départ elle ressentait plus de peur et de honte d’être surprise que d’excitation. Ensuite un de ses vieux clients resta plus longtemps que d’habitude à discuter avec elle et même si il était très vieux ses regards appuyés la flattèrent naturellement. Elle prenait goût au jeu. Puis deux forains cherchant un box à louer pour stocker leur marchandise passèrent. Eux étaient plus jeunes et portaient des regards vicieux sur sa poitrine tout en la branchant et sa honte fit place peu à peu à l’excitation au point que ses tétons qui pointaient et furent de plus en plus apparents sous sa robe et un boule commençait à se former dans son ventre et lorsqu’elle leur fit visiter un box le fait de sentir leur regard sur ces fesses ne fit qu’augmenter la chaleur qui envahissait sa chatte. Son corps avait maintenant besoin de sexe; le moindre frottement de sa robe sur ses seins, le moindre brin d’air chatouillant sa chatte la faisait frissonner, si bien que dès qu’ils furent partis et qu’elle fut seul, elle ne résista pas à glisser la main entre ses cuisses, tirant sur le tissu de sa robe elle atteignit sa fente déjà humide et remonta jusqu’à atteindre son clitoris qu’elle Massa en repensant au regard vicieux des jeunes forains puis le massa jusqu’à obtenir un orgasme qui le soulageant un peu.

Son récit me procura une belle érection et je lui promis de la baiser comme une chienne à mon retour du travail. Le reste de la journée fut long car visiblement son excitation montait crescendo car n’ayant pas de clients elle sennuyait et m’envoya de nombreux SMS m’indiquant à quel point ma queue lui manquait. Seule au bureau elle m’envoya même des photos prises par sa webcam dont une en train de sucer deux doigt avec le commentaire "ta bite me manques.." et une assise dans son fauteuil de bureau une jambe sur l’accoudoir, jupe relevé un doigt dans sa chatte avec pour légende " rentres vite j’en veux plus..". Autant vous dire que j’avais hâte que cette journée finisse.

Je suis rentré ce soir-là un peu après elle, quand je pénétrais dans notre salon, elle s’affairait dans la cuisine et vint de suite de jeter dans mes bras. Nos bouches scellées dans un baiser torride, elle frottait son bassin sur la bosse formée par ma bite raide trop à l’étroit dans mon pantalon. Ayant remonté sa robe avec ma main sur ces fesses pendant notre baiser je les caressais et commençait à la glisser entre leur deux globes.

Atteignant sa fente déjà trempée, j’utilisais sa mouille pour humidifier son anus que je passais.

Je savais sa réticence aux caresses de ce côté-là car elle avait eu une mauvaise expérience de la sodomie avec son ex-mari mais je comptais bien maintenant lui montrer qu’en maître je règnerais maintenant sur elle. Quand je sentis que son petit trou était assez humide j’y insérais une phalange et fit des cercles avec pour l’assouplir. Elle essaya de protester mais vu que je l’embrassais à pleine bouche à part des "hummm…hummm…" Impossible pour elle de dire stop. Je continuais donc à pousser sur mon majeur pour envahir plus profondément son cul et à doucement faire des allers-retours dans celui-ci pour l’habituer à cet intrus que ses plaintes cessèrent pour devenir gémissements.

Elle prit alors l’initiative de déboutonner mon pantalon pour atteindre le fruit de ses désirs et une fois mon sexe libéré commença à le branler.

Mettant fin à notre baiser, j’attrapais alors le bas de sa robe et le remontait par-dessus sa tête lui laissant les bras prisonniers, les seins à l’air. "Maintenant, " lui dis-je, "je vais te baiser comme une chienne." Je la tournais la poussais ventre sur la table de la salle à manger et lui donnait un violente claque sur les fesses. Elle cria, mais ne chercha pas à fuir. Une autre claque vint accentuer la rougeur de ses fesses, cette fois-ci accueillie par un gémissement. Arrivé à la quatrième, son cul était cramoisi et son bassin ondulait de plaisir, je la saisis alors par les hanches et la pénétrait d’un trait. Elle poussa un cri de délivrance en sentant mon chibre heurter le fonds de sa matrice, je la pris alors comme un bûcheron à grands coups de rein sur un rythme lent, à chaque poussée son corps sursautait tellement j’y allais fort et en même temps je la traitais de salope et de chienne. Elle hurlait " Ouiiiii, traite moi comme ta salope…Bourre moi plus fort….Oui comme ça, comme une chienne…" Enfin, dans un dernier cri atteignit un orgasme comme je ne lavais jamais vue en avoir.

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