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Marine et sa famille – Chapitre 1

Marine et sa famille - Chapitre 1



-1- Philippe et Nathalie

Philippe et Nathalie prennent le soleil sur des chaises longues. Ils sont au bord de leur piscine. Comme dhabitude ils sont nus. Leur jardin est bien clos et ils ne craignent pas dêtre vus par les voisins. Adepte du naturisme, ils profitent du beau temps qui a lair de sinstaller durablement. Un plongeon : Marine, aussi nue que ses parents, entame des longueurs. Philippe ne voit delle que ses fesses beige rosé. Malgré lui son sexe gonfle à la vision de ce cul qui crève la surface de leau. Cest que leur fille qui vient de fêter son seizième anniversaire a considérablement changé dapparence ces derniers mois.

Ladolescente nage maintenant sur le dos. Philippe a vue maintenant sur la poitrine et la touffe de poils qui voilent le pubis. Son sexe se redresse de plus en plus. Nathalie que le plongeon a réveillé, constate amusée lémoi de son époux.

— Cest Marine qui te fait fantasmer ?

Surpris par linterpellation il se retourne vers sa femme.

— Non Euh. Si. Un instant jimaginais que ce nétait pas ma fille que je voyais.

— Cest vrai que cest une belle plante qui possède ce quil faut là où il faut. Si je parlais comme un homme je dirais quelle est bandante !

— Tais-toi !

Philippe se lève et entoure ses hanches dune serviette pour cacher un sexe qui atteint des proportions flatteuses. Nathalie se moque de lui :

— Je ne te savais pas si pudique.

— Euh Je ne tiens pas à ce que Marine me voit dans cet état.

— Ce ne serait pas la première fois que cela lui arrive.

— Je sais mais inutile de mexhiber.

Il rentre au salon. De mauvaise humeur, il prend un livre et essaye de lire. Sans succès ! Au lieu des mots ce sont les seins, les fesses de sa fille qui dansent devant ses yeux. Il ne peut plus regarder Marine sans que des pensées lubriques traversent son esprit. Et ce nest pas la pratique du nudisme dans leur jardin qui arrange les choses ! Oh ce nest pas de succomber à linceste qui lui fait peur mais il nose pas en évoquer ne serait-ce que léventualité par crainte des réactions des deux femmes. Il garde secrète son attirance pour sa fille en espérant que celle-ci ne soupçonne rien

Nathalie a suivit son mari dun regard moqueur.

— Le pauvre, il nassume pas de nourrir envers sa fille des sentiments coupables.

Il donnerait presque lenvie de laider, de lui affirmer quil ny a rien danormal ! Mais que se passerait-il si Marine partageait ses désirs ? Succomberaient-ils linceste ? Et elle, que ferait-elle ? Nathalie secoue la tête : la question ne se pose pas, leur fille est si innocente

Innocente la jeune fille ne lest pas. Daccord elle est toujours vierge et elle ne court pas les garçons contrairement à ses copines qui font tout pour être remarquées, mais elle nignore rien de la sexualité, internet nest pas fait pour rien ! Elle nest simplement pas attirée par le sexe. Oh ce nest pas une oie blanche ! Elle sait comment se faire plaisir dans son lit mais pour linstant ces petites gâteries lui suffisent.

Ce soir elle a décidé de commencer lexposé quelle doit rendre dans trois semaines car elle naime pas attendre le dernier moment. Ses parents se moquent gentiment de son sérieux mais en réalité ils sont fiers de ses résultats scolaires.

— Puisque tu préfères travailler, tu peux monter dans ta chambre, dit Philippe. Ta mère et moi regardons la télévision au lit.

Marine souhaite bonsoir à ses parents par un baiser sur la joue. Elle se déshabille et enfile un long t-shirt, sa tenue de travail comme elle lappelle. Elle aime être à laise pour étudier

Une fois la porte refermé, Philippe enlace Nathalie par derrière. Elle le taquine :

— Je croyais que tu voulais regarder la télévision.

— Jai envie de toi et je nallais pas le claironner devant Marine.

Il lembrasse dans le cou et commence à déboutonner son corsage.

— Grand fou ! Il faut toujours en passer où tu veux !

Elle se retourne et lembrasse tout en sortant la chemise du pantalon. Ils ont tôt fait de se déshabiller mutuellement. Philippe la transporte sur le lit, se place entre ses cuisses écartées et pose la bouche sur le sexe rougit de désir.

— Ouiii !

Nathalie adore cette caresse. Philippe sefforce de la conduire à la jouissance en alternant les pénétrations linguale et digitales. Il est particulièrement satisfait de lentendre gémir doucement :

— Ouiii ! Mmmh ! Jaiiiime ! Encore Mmmh !

Il ne la libère que lorsque lorgasme la secoue. Il la regarde reprendre ses esprits heureux de lui avoir procuré cette jouissance.

— A moi maintenant ! sécrie-t-elle après une minute de repos.

Elle le fait asseoir sur le lit et sagenouille entre ses jambes. Elle sempare de la verge toute raide et la porte en bouche. Cest au tour de Philippe de gémir son plaisir

Au bout dune heure Marine cale sur un aspect de son exposé et décide dinterroger ses parents. La porte de la chambre est entrouverte. Avant dentrer elle jette un coup dil. Son père est assis sur le lit et sa mère à genoux entre ses jambes. Ils sont tous les deux nus. Cela ne la choque pas car tous trois pratiquent le naturisme dans leur jardin loin des regards indiscrets. Elle est juste étonnée quils se soient dévêtus pour regarder la télévision. Philippe les yeux fermés sourit aux anges et une main sur les cheveux de Nathalie, accompagne les mouvements de la tête. Marine devine que sa mère est en train de sucer le sexe de son père, de lui faire « un pompier » suivant lexpression utilisé par les garçons de sa classe. Jamais elle ne laurait cru capable dun tel comportement quelle croyait réservé aux actrices de films pornos. Elle a conscience quelle surprend ses parents dans un moment intime, quelle devrait les laisser mais narrive pas à détacher les yeux du spectacle.

Le chambranle sur lequel elle sappuie grince. Nathalie se redresse brusquement.

— Ah, cest toi ? Que veux-tu ?

La jeune fille ne répond pas. Elle est hypnotisée par le sexe de son père. Elle la déjà vu au repos et même en érection lors de leurs séances de nudisme. Elle se moquait quand, gêné, il tentait maladroitement de dérober à ses regards une verge dressée. Mais là, devant la hampe luisante de la salive de sa mère, elle réalise tout à coup la fonction principale de cette queue : entrer dans le corps des femmes et transmettre la vie. Comment une telle grosseur peut pénétrer ? Ça doit faire un mal horrible !

— As-tu besoin de quelque chose, insiste Nathalie ?

— Je Je

Les mots ne sortent pas. Elle remarque la direction des yeux de sa fille.

— Cest le sexe de ton père qui te fait peur ? Ce nest pas la première fois que tu le vois quand même.

Marine place ses mains devant pubis comme pour le protéger.

— Cest Cest si gros, balbutie-t-elle.

— Tu crains quun tel engin te fasse mal lorsque tu feras lamour plus tard ? Je tassure, il entre en nous sans difficultés et je te souhaite de rencontrer quelquun daussi bien monté !

Marine continue de fixer la verge mais son regard change. Ce nest plus le clin dil amusé devant une érection ni la réaction effrayée de tout à lheure, cest la vision dune femelle devant le symbole de la virilité. Nathalie devine que ce quelle craignait est entrain darriver : sa fille ne considère plus Philippe comme son père mais comme un objet de désir et quentre eux les relations vont changer. Elle se sent impuissante à changer le cours des choses. Tout au plus peut-elle essayer de les canaliser pour en garder le contrôle.

— Veux-tu toucher, propose-t-elle à Marine ?

Il ne sattendait pas à cela de la part de son épouse. Bien quil nait rien contre, au contraire, il émet une timide objection.

— Euh Tu crois que cest nécessaire ?

Bien timorée comme réfutation, sourit Nathalie ! Elle est sûre quil ne repoussera pas la caresse de sa fille.

— Il est temps à son âge quelle affronte la réalité autrement que par les cours déducation sexuelle. Approche Marine !

Philippe est partagé. Dun coté il trouve que sa femme exagère : une mère ne devrait pas pousser sa fille à manipuler le sexe de son père ! De lautre il anticipe le plaisir quil éprouvera lorsque les doigts de Marine toucheront ses parties intimes. Puisque son épouse le propose, il décide de laisser faire.

La jeune fille savance timidement. Lincongruité de linjonction de sa mère ne la frappe pas. Elle na dyeux que pour la tige vivante. Une expression gourmande traverse ses prunelles. Arrivée à proximité elle tend la main, hésite. Nathalie lencourage

— Naie pas peur ça ne mord pas !

La verge a perdu de sa raideur mais la retrouve dès que les doigts la frôlent.

— Prends-là en main Oui Tire sur la peau Vers le bas Encore ! Naie pas peur de décalotter le gland Là, cest bien.

La jeune fille suit à la lettre les conseils de sa mère. Dinstinct elle découvre les gestes de la masturbation. Le méat au bout du gland la fascine. Elle la appris en cours déducation sexuelle : cest de cette petite fente que sort la semence. Arrivera-t-elle à provoquer lémission ?

Nathalie prodigue ses instructions.

— Pas si vite ! Oui Prends ton temps Tu te débrouilles bien Tu fais plaisir à ton père, regarde sa figure !

Un sourire béat détend le visage de Philippe : se faire masturber par sa fille, le rêve ! Marine sapplique à faire coulisser la peau le long de la tige. Sa main peine à enserrer la hampe.

— Continue comme ça Oui Maintiens le rythme Là.

Philippe sent la conclusion proche.

— Plus Plus vite, supplie-t-il !

— Non, naccélère pas, réplique Nathalie !

Son intuition féminine incite Marine à suivre les recommandations de sa mère. Elle devine que le rythme modéré accroit la jouissance et poursuit la lente masturbation. Tout à coup une grimace de plaisir déforme les traits de Philippe.

— Aah ! Je Cest trop ! Aarrgghh !

Le sperme jaillit en longs filaments blancs qui sécrasent sur le t-shirt de sa fille.

— Tu peux aller plus vite maintenant Encore Ça suffit, arrête maintenant.

Marine libère la verge qui nest plus quune grosse limace. Nathalie essuie du doigt la semence sur le t-shirt et le porte à ses lèvres.

— Tu suce ça, sétonne sa fille ?

— Essaye, tu verras que ce nest pas si mauvais.

Marine refuse dun air dégoûté. Sa mère sourit, « ça lui passera » pense-t-elle !

— Que venais-tu nous demander ?

— Euh Je ne sais plus.

— Peux-tu nous laisser maintenant ?

— Euh Oui, oui !

Leur fille les embrasse et rejoint sa chambre. Elle range ses affaires, éteint son ordinateur et se couche. Sur son lit elle se remémore les événements. De toucher la verge de son père, la sentir gonfler et raidir dans sa main la empli dune émotion inconnue. Elle aimerait renouveler cette expérience mais ses parents ne seront peut être pas daccord. Son vagin, quun index curieux explore, est encore tout humide de la rosée quelle a senti sourdre pendant quelle tenait le sexe. Longle bute contre lhymen. Ça lui fait mal. Quest ce que cela sera lorsquune queue aussi grosse que celle quelle avait en main entrera ! Néanmoins pour la première fois cette éventualité ne lui fait pas peur, elle saura supporter la douleur ! Le doigt débusque le clitoris, elle sabîme dans sa caresse intime

Dans leur chambre Philippe morigène sa femme.

— Quest-ce qui tas pris !

— Nas-tu pas apprécié ? Ce nest pas limpression que tu donnais !

— Quand même ! Te rends-tu compte de ce quon a fait ? Avec notre fille !

— Où est le mal ? Prendre du plaisir est-ce si monstrueux ?

— Quand même linceste

— As-tu lintention de lui faire un gosse ?

— Non évidemment !

— Las-tu forcée ?

— Non ! Cest toi qui

— Jai simplement permis ce quelle avait envie de faire. Soit franc, naimerais-tu pas recommencer ?

— Euh Cela ne te fait rien que ma fille me mast Euh Caresse ?

— Pas du tout, à condition que je sois toujours présente ! Ça tembête ?

— Euh Non.

Au cours de la conversation le désir est revenu. Sa verge gonfle et se redresse. Nathalie sen empare.

— Cest la perspective de te faire caresser à nouveau par ta fille qui te fait bander ?

Elle frotte ses lèvres intimes avec le gland et le présente devant son vagin.

— Je taime chéri !

— Moi aussi !

Un coup de rein achève la pénétration

Le matin avant de se lever ils commentent les événements de la nuit. Philippe nest pas rassuré.

— Quand même ! Ne crois-tu pas que nous y sommes allés un peu fort hier soir ?

— Regrettes-tu ce que nous avons permis à Marine de faire ?

— Euh Non.

— Es-tu toujours daccord de recommencer à loccasion ?

— Euh Je ne sais pas.

— Mais tu aimerais ?

— Euh Oui.

— Alors cest décidé, nous initierons Marine aux caresses les week-ends.

— Que les week-ends ?

— Oui seulement les week-ends ! Il ne faut pas abuser des bonnes choses. Pour quelquun qui avait soi-disant des scrupules tu as vite changé davis ! Je propose de ne pas lui faire part de notre décision. Ce sera pour elle vendredi soir prochain une surprise.

— Tu crois ?

— Jen suis sûre.

Philippe ne répond pas et se lève.

Dans la cuisine quand Marine débarque, Nathalie prépare le petit-déjeuner comme sil ne sétait rien passé dextraordinaire. Marine nose parler la première et comme ses parents se taisent, elle les quitte pour rejoindre le lycée. Le soir ni Nathalie ni Philippe ne font allusion aux événements de la veille Ni les jours suivants jusquau week-end.

Le vendredi soir, au moment de se séparer pour la nuit Philippe lance un coup dil interrogateur à sa femme : est-elle toujours daccord pour faire venir leur fille ? Elle ferme les paupières en signe dacceptation.

— Marine ma chérie, quand tu seras déshabillée peux-tu nous rejoindre dans notre chambre ? dit-il

Elle regarde son père incrédule puis fonce se préparer. Quelques minutes après, en chemise de nuit, elle toque à la porte.

— Entre ma chérie.

Son père et sa mère lattendent entièrement nus, assis sur le lit.

— Viens à coté de nous.

Nathalie soulève la chemise.

— Nas-tu pas trop chaud ?

Sans attendre de réponse elle fait passer le tissu par-dessus la tête de sa fille.

— Tu te souviens comment faire plaisir à ton père, nest-ce pas ?

Non elle na oublié ! Marine est aux anges : cest bien à une répétition de ce qui sest passé lautre soir quils linvitent ! Elle avance la main jusquà toucher la verge. Ce nest pas le bâton triomphant de la dernière fois, juste une grosse limace.

— Nhésite pas, ça va sarranger, indique sa mère !

Effectivement dès que la jeune fille pose les doigts dessus la queue sallonge, enfle et se raidit. Elle entame la masturbation.

— Doucement chérie, doucement, tempère Nathalie  ! Nas-tu pas envie de lembrasser?

Philippe est étonné, son épouse qui propose à leur fille de pratiquer une fellation !

— Oh ! Mettre ça en bouche ?

— Ton père vient de prendre une douche rassure-toi. Je te montre.

Nathalie se penche sur le sexe qui disparait entre ses lèvres. Après quelques succions elle se redresse.

— A toi.

Marine prend sa place. Elle a vu faire sur internet. Elle approche la figure mais ne parvient pas à ouvrir assez la bouche.

— Je ny arrive pas.

— Un petit effort. Ouvre grand comme si tu bâillais.

Marine force ses mâchoires, le gland franchi le passage.

— Tu vois que tu peux.

Philippe étouffe un petit cri.

— Attention à tes dents ma chérie, prévient Nathalie. Cest fragile un homme !

La jeune fille pompe son père avec conviction. Il échange un coup dil avec sa femme. Elle lui sourit. Leurs mains se rencontrent sur le sexe de leur enfant qui frémit.

— Nes-tu pas bien avec nous ?

Pour toute réponse Marine sactive sur la verge pendant que des doigts investissent ses lèvres intimes. Personne ne dit mot, on ne perçoit que des gémissements étouffés. Tout à coup Philippe sécrie :

— Aaah ! Je Je pars !

La jeune fille a juste le temps de sortir la queue. Les jets de sperme arrosent sa figure. Quelques gouttes entrent dans la bouche. Elle fait une grimace. Sa mère se moque de sa réaction.

— Cest si mauvais que ça ?

— Euh Non.

— Tiens, essuie-toi.

Nathalie lui tend un mouchoir en papier.

— A mon tour de te faire jouir, annonce Philippe.

Il se place entre les cuisses de sa fille et embrasse son sexe. Sa langue et ses doigts font merveille car Marine se tord de plaisir. Tour à tour le clitoris, le vagin sont visités. Nathalie samuse avec un tétin quelle roule entre les doigts, embrasse les seins. Un orgasme foudroyant secoue Marine.

Elle git inerte sur le lit. Philippe la porte jusquà sa chambre. Ils la couchent et lembrassent avant quelle ne sombre dans un sommeil profond.

De retour dans leur chambre, Nathalie interroge mon mari.

— Alors, satisfait ?

— Est-ce quon fait bien ?

— Que crains-tu ? De la traumatiser ? Elle nen avait pas lair. Lui apprendre à jouir, cest notre rôle de parents.

— Jouir ? Jusquoù ? Ce nest pas à moi den faire une femme.

— Parce que cela ne te plairait pas ?

— Oh que si ! Mais je pense que cest à un garçon de sa génération de linitier, pas à moi ! Contentons nous de lui enseigner lart de la caresse.

— Si tu penses quelle sen satisfera

— Elle a le temps avant perdre son pucelage. Demain ce sera à mon tour de lui apprendre comment te faire jouir

A suivre

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