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Marion ; une veuve, une maman – Chapitre 5

Marion ; une veuve, une maman - Chapitre 5



Etroitement enlacés, mère et fils sapprochèrent du lit.

En sautillant maladroitement sur elle-même, Marion se déchaussa en saidant de ses pieds.

Elle envoya valser ses ballerines en cuir verni et se laissa lourdement tomber sur son lit.

— Jai trop bu mon chéri, je suis foutue, murmura-t-elle, le visage enfoui dans le traversin.

Mathieu recula, la jaugea dun regard satisfait ; elle reposait sur le ventre, bras et jambes en croix, terrassée.

— Il y a un flacon dhuile essentielle dans larmoire de la salle de bain va le chercher, sil te plait, linvita-t-elle dune voix pâteuse.

Elle prit appui sur un coude, tâtonna de lautre main pour allumer la lampe de chevet sur la table de nuit.

— Eteins la lumière du plafonnier, mon poussin, elle me donne la migraine, limplora-t-elle en se couvrant les yeux dune main.

Mathieu transpirait, son cur battait la chamade ; ce quil était en train de vivre avec sa mère était incroyable, lui paraissait irréel.

De son côté, Marion faisait face à un dilemme.

Pouvait-elle se permettre de franchir le pas, commettre lirréparable il ne demandait que ça, après tout – ou devait-elle reprendre ses esprits avant daller trop loin ?

Elle avait encore la possibilité sinon le devoir de faire marche arrière, mais elle était en état débriété avancé, et elle avait la tête qui tournait

Quand il revint de la salle de bain, Mathieu se figea sur le seuil de la chambre ; il laissa échapper la fiole quil tenait dans la main, hébété.

Sa mère gisait sur le lit, et elle avait retiré ses vêtements éparpillés en boule sur la descente de lit – à lexception de sa culotte et du soutien-gorge.

La lueur pâle de la lampe de chevet soulignait, dans la pénombre, les contours prononcés de son corps inerte.

— Tu as trouvé le flacon, mon cur, murmura-t-elle.

— Oui maman, je lai, répondit-il la gorge sèche.

— Approche, mon chéri, assied-toi sur le lit verse quelques gouttes dans tes mains.

— Voilà, cest fait et après ?

— Masse-moi les épaules, mais doucement, pour que lhuile pénètre bien…

Mathieu posa ses paumes sur le dos nu, et un délicieux frisson lui parcouru léchine.

Il marqua un temps darrêt, puis frictionna les omoplates.

Ses mains étaient trop grasses ; il aurait préféré que son premier contact avec lépiderme de sa mère se passe sans adjuvant, plus naturellement.

Mais il navait jamais lopportunité de la toucher, et avec sa permission par dessus le marché, alors il nallait pas se plaindre.

Il suivit ses indications, fit ce quelle demandait, massa longuement les épaules, la nuque et le haut du dos.

— Ton soutien-gorge me gène, maman, il faudrait bafouilla-t-il en tirant sur les sangles.

— Tu ny arriveras pas, mon chéri, laisse-moi faire, le coupa-t-elle, avant de joindre le geste à la parole.

Une fois dégrafé, elle le tira de sous elle par la bretelle, pour sen débarrasser.

Il déposa un peu dhuile sur le dos, la massa dun mouvement circulaire, de la nuque jusquau creux des reins.

Il répéta lopération, devint plus confiant aux passages suivants.

Marion était sensible à cette répétition de gestes bienveillants, elle sabandonnait de plus en plus, ronronnait de plaisir sous les mains expertes de son fils.

Elle laissait, de temps en temps, échapper de petits cris conquis qui enchantaient Mathieu.

Rassuré, il poursuivit, fit preuve dun savoir-faire qui étonna et combla Marion.

— Mais tu sais que tu es très doué, mon cur Un vrai petit kiné, le flatta-t-elle.

Le cur gonflé dorgueil, il devint plus entreprenant.

Il lenserra par la taille pour lui enduire dhuile les flancs, fit remonter ses mains par les côtés, jusquà la naissance des seins.

— Je peux masseoir sur toi, maman ? Je suis très mal installé, se plaignit-il.

— Mais bien sûr, mon chéri, lencouragea-t-elle.

Il sassit sur elle à califourchon, en haut des cuisses, sous le pli des fesses, et se mit aussitôt à mouvoir subrepticement son bassin en lui massant les reins, afin que son sexe épouse le derrière de sa mère.

Il ne lui avait grimpé dessus que dans cette intention, le prétexte du massage innocent nétait plus de mise ; il ne voulait pas lui dissimuler son érection, au contraire, il faisait tout pour lui montrer quil bandait pour elle.

Marion se doutait bien que ce moment arriverait.

Elle ne pouvait pas inviter son fils dans sa chambre, sur son lit, se foutre presque à poil devant lui, et prétendre le contraire, jouer les étonnées.

Pourtant, elle ne sattendait pas à ce quil se montre si entreprenant, quil prenne linitiative aussi vite. Elle était surprise par sa détermination.

Il avait encore son pantalon, mais ça ne lempêchait pas pour autant de sentir sa gosse érection sur ses fesses, dure comme du bois.

Dire quelle le prenait pour un enfant !

Il avait daprès ce quelle en jugeait – une queue plus grosse que celle de tous ses amants passés.

A cette perspective, elle eut la chair de poule et fut prise de vertiges.

Elle le laissa sexciter sans se rebiffer, curieuse de voir jusquoù il irait avant quelle ny mette le holà

La façon avec laquelle sa mère sabandonnait à ses prérogatives donnait des ailes à Mathieu. Il interprétait sa passivité comme une approbation, et il en profita.

Plus il insistait plus elle creusait les reins, soulevait le cul, comme pour lui faire comprendre quil pouvait y aller, quelle était dans le train avec lui. Rendu fou par cette complicité inattendue, Mathieu ne se contrôlait plus ; il envoya ses mains sous le buste, en tâtonnant.

Marion poussa un petit cri de stupeur, mais se souleva aussitôt pour lui livrer le passage.

Il attrapa les gros nichons à pleines mains : ses mamelons étaient durs et gonflés – elle était excitée, elle aussi !

Il lui manipula la poitrine avec avidité, incapable de se rassasier du volume, de la consistance moelleuse de ses seins.

Elle se laissait faire. Sa nature de femelle soumise avait repris le dessus.

Au bord de léjaculation, il sarrêta de jouer avec les nichons.

Il fit descendre ses mains, tira sur lélastique de sa culotte pour la rabattre sur les cuisses.

Sous ses yeux écarquillés le cul superbe, les belles fesses blanches de sa mère linvitaient.

Fébrilement, avec des gestes impatients, il se débarrassa de son pantalon, baissa son slip.

Il attrapa sa queue dune main, la guida, lenferma au milieu de la raie des fesses, callée dans la chair, prisonnière.

— Non, Mathieu, pas ça Oh non, il ne faut pas, limplora-t-elle en se contractant sous la poussée, épouvantée à lidée quil puisse fourrer son bâton de chair dans son vagin ou pire encore, excité comme il était !

Mais Marion se méprenait sur les intentions de son fils : en bon ado ayant de la sexualité une expérience limitée, il voulait seulement se servir de son cul pour continuer à se branler, mais à même la peau cette fois, sans leurs vêtements qui le gênaient, afin de décupler les sensations.

Et voilà quen remuant autant, en crispant les fesses, elle ne faisait quaccentuer les délicieuses contractions quelle exerçait sur son sexe.

Cen fut trop pour Mathieu qui éjacula sur elle.

Haletant, en sueur, le ventre baignant dans son propre foutre, il se laissa peser de tout son long sur le corps de sa mère qui venait de lui donner tant de plaisir.

Ce corps qui la porté

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