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Maryse, débauche en Guadeloupe – Chapitre 5

Maryse, débauche en Guadeloupe - Chapitre 5



De retour à notre chambre, je me déshabillai, pris une douche et me couchai. Jeus du mal à mendormir, songeant à notre situation, de plus en plus compliquée et difficile. En effet, javais pu constater laddiction de ma femme à ces grosses bites noires qui lavaient ravagée, tant la chatte que le cul. Je commençai à me demander si elle serait capable de revenir à des tailles plus conventionnelles. Rien nétait moins sûr. Dailleurs, les différentes remarques quelle mavait distillées au cours de la journée morientais vers la continuation. Je prenais peur. Allait-elle rester ici, à se faire baiser par des noirs ? Allait-elle rentrer avec moi ? Dans un cas comme dans lautre, je savais que je ne pourrais pas lempêcher de sadonner à son nouveau vice, vice que javais bêtement encouragé. Javais, comme je lavais pensé précédemment, ouvert la boite de Pandore et je devais en assumer les conséquences. Je finis par mendormir, dun sommeil agité et perturbé. A plusieurs reprises, jémergeai, pour constater labsence de ma femme.

Enfin, je me levai à treize heures. Maryse nétait toujours pas revenue. Où était-elle ? Encore avec Chris ? Sans aucun doute. Résolu à en air le cur net, je pris une douche mhabillai et me pressai vers la villa. Tout était calme. Je ne vis personne. Seul, le string oublié de ma femme, trônait au milieu de la terrasse. Rien ne bougeait à lintérieur. Je restai là quelques instants, attendant un signe de vie. En vain.

Je me résolu à aller faire un tour en ville. Peut-être étaient-ils déjà levés et se promenaient, où prenaient un verre. Lors de ma promenade en ville, jeus limpression que tous ceux que je croisais étaient au courant de mon infortune et souriaient. Je cherchai en vain. En désespoir de cause, je louai une voiturette électrique et allai jusquà la plage. Sans résultat.

Au fur et à mesure que le temps passait, mon angoisse montait crescendo. A dix-neuf heures, lorsque je retournai vers la villa, pour la nième fois, je tremblais. Je devais avoir lair dun fou. Quavais-je fait ? Javais poussé ma femme dans les bras dun noir, rectification, de plusieurs noirs et elle avait disparu. Quen avait-il fait ?

Aux abords de la villa, je me cachai toujours au même endroit, épiant le moindre signe de vie. Enfin, la baie vitrée souvrit et Chris parut. Mais il nétait pas seul. Laccompagnait, un couple, black, de son âge. Lhomme était grand, athlétique, la femme était mince, petit seins, fessier cambré. Si lhomme portait chemisette et pantalon, la femme était vêtue dun top très court, sarrêtant au-dessous des seins, et dun short, si court et si serré que sa chatte marquait le tissu et, lorsquelle se retournait, on pouvait voir au moins un quart de ses fesses nues. Chris devisait avec eux :

 Vous êtes les premiers arrivés, comme toujours !

 Cest un reproche ? dit la jeune femme, en riant.

 Non, non Sarah ! Au contraire ! Cela me permet dadmirer ta plastique parfaite ! Toujours aussi jolie !

 Ne crois pas ten tirer avec une vile flatterie, Chris. Il va te falloir faire mieux !

 Naie crainte, chérie. Je vous ai concocté une surprise dont vous me direz des nouvelles !

 Quest-ce que cest ?

 Curieuse ! Si je te le dis, ce ne sera plus une surprise ! De plus, tout le monde nest pas là, et tu sais que je naime pas me répéter !

 Okay ! Jattendrai !

 Qui y aura-t-il ? Demanda lhomme, enlaçant sa compagne.

 Tom, Mika et Sonia, Barack et Martine, Rashan, Billy. Trois femmes, sept hommes.

 Plus la surprise ! renchérit Sarah, en souriant.

 Qui sait ! rétorqua Chris, en éclatant de rire. Tu verras bien !

Pour moi, caché dans mon bosquet, il ny avait plus aucun doute. Ma femme constituait la surprise. Je me sentis soulagé. Soulagé de la savoir ici, mais inquiet de la voir livrée à tous ces hommes, et peut-être, ces femmes, aussi. Pourtant, je bandais dans mon pantalon, dune érection incontrôlée, douloureuse. Je dus dégrafer ma braguette et sortir ma bite congestionnée.

Sur la terrasse, Chris demanda au jeune couple de se mettre à laise. Aussitôt, lui-même quitta ses vêtements, imité par le couple. Je connaissais déjà la plastique de Chris, aussi, me focalisais-je sur celles de ses invités, et plus particulièrement, sur la jeune femme. Elle quitta son haut, dévoilant de petits seins haut perchés, aux pointes turgescentes très longues, brunes, plus sombres que le reste de sa peau. Les deux tétons étaient ornés de barrettes scintillantes. Lorsquelle quitta son short, jeus la vision dune toison brune, frisée, bien taillée, dévoilant un espace entre le pubis et le sexe. Je pus voir que le capuchon du clitoris était percé, lui aussi, mais dun anneau. Entre ses cuisses, lespace libre dévoilait de grandes lèvres, longues, plus longues que celles de ma femme. Elle me fit penser à une liane.

Lhomme lui, était dun noir plus foncé que sa compagne. Des muscles puissants, sans être gros. Ce qui me frappa, ce fut la taille de sa queue. Il ne bandait pas, mais elle était encore plus longue que celle de Chris. Plus longue, mais pas plus grosse, semblant rendre quelques millimètres en largeur. Fasciné, je regardais ce couple, évoluer nu devant moi, sans aucune pudeur. Il est vrai quils ignoraient ma présence.

Dautres personnes arrivèrent et se mirent nues, elles aussi. Bientôt, tous furent là. Mon regard glissait sur les corps débène. Plus particulièrement, celui des femmes. Les deux autres femmes étaient plus dodues que celle qui sappelait Sarah. Lune delle, Martine, était même ronde, avec de gros seins, du cent D, à première vue, habillée en quarante-deux, quarante-quatre. Son mari, Mika nétait pas en reste, avec son ventre proéminent, ses cuisses fortes, son double menton. Ce couple détonnait, au milieu, de toutes ces personnes minces. Leur seul point commun était leur âge.

Enfin, Chris donna le signal de réjouissances. Je navais pas encore vu ma femme, mais ce ne devait être quune question de minutes.

 Mes amis, commença-t-il, profitez du buffet. Mangez, buvez, amusez-vous. Dans quelques instants, comme je vous lai promis, il y aura une surprise ! Je vous laisse un instant, le temps dapporter la surprise !

Et il quitta la terrasse, rentrant par la baie vitrée, disparaissant à lintérieur. Son absence dura cinq minutes. Lorsquil revint, avant de franchir la baie, il tira les rideaux, masquant la vitre. Je navais plus aucun doute. Ma femme allait apparaître dès quil ouvrirait les rideaux. Chris claqua des mains, attirant lattention de tous les convives, moi y compris. Tous les yeux se portèrent sur les rideaux tirés.

 Mes amis, déclara-t-il, je vous avais promis une surprise. Je tiens ma parole ! Veuillez accueillir celle qui va égayer notre soirée !

Dun geste théâtral, il tira les rideaux et ma femme apparut. Jeus quelques instants de flottement. Etait-ce bien elle ? Devant la baie, se tenait une femme blanche, juchée sur des escarpins à talons de dix-huit centimètres, entièrement recouverte dune cape noire. Elle a les yeux aveuglés par un masque noir. Ses cheveux étaient coiffés en queue de cheval.

Chris la prit par la main et la fit savancer quelque peu. Passant derrière elle, il dégrafa la cape et la laissa glisser à terre. Maryse, car cétait bien elle, apparut, les jambes gainées de bas noirs à jarretière rouge. Sur ses cuisses, des jarretières les tendaient, sans faux plis, fixées à une guêpière en cuir, noir et rouge. La taille serrée et rétrécie au maximum, elle semblait respirer difficilement. En haut, la guêpière sarrêtait sous les seins, sévasant afin de les soutenir et les mettre en valeur. Le haut de la guêpière ressemblait à un soutien-gorge dont on aurait retiré la toile des bonnets, laissant uniquement larmature. La base des seins était enserrée dans ce soutien-gorge et se gonflaient plus encore. Cest alors que je remarquai quelle avait les mains attachées dans le dos.

Tous les invités regardaient ma femme avec envie. Chris reprit la parole :

 Vous voyez, les amis, je ne vous avais pas menti. Cest une salope blanche. Elle aime la bite black. Nest-ce pas, petite pute ?

 Oui, mon chéri !

Je sursautai. Cétait la première fois que je lentendais appeler Chris mon chéri. Cela marquait une incontestable évolution de leur relation. Je ressentis un terrible coup au moral. Pourtant, je reportai mon regard sur les convives.

 Quest-ce que tu es ?

 Je suis une pouffe pour grosses bites blacks. Et aussi, pour chattes blacks.

 Mes amis, elle est à vous. Amusez-vous bien !

Quelle ne fut ma surprise de voir, après un moment de flottement, Martine sapprocher de ma femme. Doucement, elle flatta sa hanche, faisant coulisser ses doigts sur la peau fine. Maryse tressaillit, puis se cambra sous la caresse. La main glissa de la hanche au pubis glabre et de deux petites claques sèches, lui fit écarter les jambes. Deux doigts sinsinuèrent doucement dans sa chatte et leur propriétaire commença à les faire coulisser en elle. Maryse gémit et tendit le ventre, sempalant encore plus sur les doigts. Enfin, la black ressortit ses doigts luisants et les porta à la bouche de ma femme. Sans hésiter, celle-ci les suça goulûment.

 Alors, comme ça, la petite blanche aime les chattes noires, dit la femme.

 Oui madame, répondit Maryse.

 Tu en as déjà goûté ?

 Non, madame. Mais jaimerais beaucoup !

 Quest-ce que tu en sais ? Allez, mets-toi à genoux, petite pute !

Précautionneusement, ma femme sagenouilla. Lorsquelle fut à genoux, Martine approcha son ventre du visage de ma femme, sans la toucher. Elle lui lança :

 Prouve-le ! Lèche-moi la chatte ! Fais-moi jouir, salope !

Je vis alors ma femme avancer sa bouche, tirer la langue et commencer à lécher la chatte de la noire. Elle semblait vraiment y prendre du plaisir. La femme debout aussi, dailleurs, puisquelle commença à onduler du ventre.

Cest alors que son mari entra en scène. Il poussa sa femme à sassoir sur une chaise, cuisses écartées. Il obligea Maryse à reprendre son cunnilingus et lui fit écarter les cuisses. Il caressa un moment les lèvres de sa chatte puis lenfila dun seul coup. Sous lassaut, jentendis ma femme feuler, le nez dans la toison de la noire. A chaque coup de rein, lhomme envoyait le visage de ma femme sécraser contre le pubis de la femme, ce qui la faisait gémir. La saillie dura une dizaine de minutes, pendant lesquelles ma femme ne put émettre que des borborygmes incompréhensibles. Soudain, je vis les deux noirs se tendre et ils se mirent à jouir ensemble, lun dans la chatte et lautre, dans la bouche de Maryse. Complétement asservie, aveugle, elle se contenta de subir. Jétais sûr quelle navait pas joui, malgré le plaisir pris.

Aussitôt, le premier homme sorti, un autre le remplaça. Il fit avancer ma femme et appuyer son buste sur la chaise. Désormais, il ny avait plus de femme à lécher. Il enfila Maryse en une seule fois et se mit à la baiser à grands coups de reins. Il ne recherchait que son plaisir. Pourtant, jentendais ma femme gémir sous les coups de boutoir de lhomme. Cette fois-ci, lorsquil se répandit en elle, je la vis onduler des hanches, signe quelle allait jouir. Ce ne fut pas pour cette fois. Il semblait quils avaient décidé de la baiser sans lui permettre de jouir. Jen eus la certitude, lorsquelle dit :

 Faites-moi jouir, par pitié ! Baisez-moi ! Enculez-moi ! Mais laissez-moi jouir !

 Ta gueule, salope, répondit un homme, que je ne pus identifier. Tu nes quune pute, un vide-couilles. On se fout pas mal que tu jouisses !

Maryse se tut. Elle venait de se rendre compte de sa situation. Moi aussi, par la même occasion. La conversation reprit :

 Eh, Chris, pourquoi ten ferais pas une pute ? Je suis sûr quelle rapporterait !

 Cest pas le moment ! En ce moment, comme tu las dit, ce soir, elle nest quun vide-couilles, une broute-minou. Et puis, tu sais, jai pas lâme dun maquereau !

 Tinquiète, je connais quelquun que ça pourrait intéresser ! Si tu veux !

 Pour linstant, baisez-la, enculez-la. On verra plus tard.

En regardant ma femme, je vis quelle frissonnait. De plaisir, ou de peur ? Quelle pouvait bien être ses pensées depuis lénoncé de cette phrase. De mon côté, je redoutais quelle me quitte.

Je neus guère le temps de gamberger. Je vis un des hommes, la queue raide et luisante, sapprocher de ma femme. Il avait se passer un produit lubrifiant et je me doutais de ce quil allait faire. Il sagenouilla derrière elle, lui fit relever le cul et la pénétra dune seule poussée. Ma femme cria de douleur, mais ne chercha pas à échapper à la sodomie. Lhomme lui crocha les hanches et se mit à la besogner. A chaque coup de rein, le ventre de lhomme venait claquer sur les fesses de mon épouse, dont le crâne cognait contre le dossier de la chaise.

Maryse semblait subir cette violente sodomie, avec plus de résignation que de plaisir et jen fus triste pour elle. Pourtant, elle me trompait. Heureusement pour elle, cela ne dura pas trop longtemps et lhomme se déversa en elle, dun dernier coup de rein rageur. Malheureusement, un autre prit sa place et lencula avec la même vigueur.

Tous les hommes se succédèrent dans son cul, et, lorsque le dernier fut passé, ils labandonnèrent une nouvelle fois à son sort. De là où jétais dissimulé, je voyais son anus béant, qui laissait sécouler des filets de sperme blanc.

Enfin, la soirée prenait fin. Un couple sétait déjà rhabillé et avait pris congé. Cest alors quun des hommes, le premier qui lavait baisée, lança :

 Et si on la baisait à trois, cette pute !

 A trois ? Fit un autre.

 Ouais ! Elle a trois trous, si je ne mabuse !

 Ah daccord ! On y va ! Je prends la bouche !

 Moi, la chatte !

 Eh bien, fit le dernier, il ne me reste que le cul !

 Allez, salope, en position !

Il empoigna ma femme e la fit se redresser. Elle semblait épuisée et se laissa manipuler comme un pantin. Lhomme la plaça au-dessus de la queue que son copain tenait verticalement et la fit sempaler dessus. Ensuite, la faisant se pencher sur la poitrine de lhomme qui la baisait, il lencula sans vergogne. Le troisième homme vint présenter sa bite devant la bouche de Maryse. Devant son manque de réaction, il la saisit par les cheveux et enfourna sans ménagement son membre entre les lèvres.

 Ça y est ? On y est, tous les trois ? Fit-il.

 Ouais, répondirent en chur les deux autres.

 Alors, bonne bourre, les gars !

Et il commença à la baiser en bouche. Ma femme émettait des borborygmes, incapable de parler, avec un tel morceau dans la bouche. Dans ses autres orifices, les deux hommes avaient réussi à coordonner leurs mouvements.

Quel ne fut pas ma surprise, de voir les haches de ma femme onduler sous la pénétration. Elle aimait cela, la salope, et réagissait aux trois pénétrations. Je lentendais gémir, de plaisir, cette fois-ci, ce que ne tarda pas à constater celui quelle suçait delle-même, maintenant.

 Eh, les gars, elle aime cela, la salope. Elle me bouffe la queue, comme si sa vie en dépendait.

 Putain, quest-ce quelle bouge son cul sur ma queue, fit celui qui lenculait.

 Cest sûr, lança le troisième, elle en veut, cette pute !

 Alors, on va lui en donner, cria une des femmes, spectatrice jusquà présent, viens Sarah, on va les aider.

Elle sagenouilla à côté de ma femme, faisant signe à Sarah de faire de même de lautre côté. Aussitôt, elles semparèrent des seins de Maryse, et en titillèrent les pointes. Jentendais ma femme délires sous leffet des caresses et des queues qui la baisaient.

 Huuuuuu ! Arghhhhhh ! humphhhh !

Cétait les seuls mots intelligibles quelle proférait. Enfin, si lon pouvait appeler ça des mots. Bientôt, je la vis se crisper. Un orgasme violent, intense, la traversait, et, si elle navait été bloquée par les femmes et celui quelle suçait, nul doute, quelle serait écroulée.

Une fois la jouissance passée, elle resta immobile, anéantie. Les trois hommes ne tardèrent pas à se répandre en elle, puis à se dégager. Libérée, elle chuta en avant, cognant le sol du front, ne pouvant se rattraper, les mains toujours attachées dans le dos. Les hommes se relevèrent, la laissant ainsi, sur le ventre, cuisses écartées, chatte et cul béants et suintant le sperme quils y avaient déversé.

 Putain, quelle était bonne, la salope ! fit lun deux en se rhabillant, tes sûr que tu ne veux pas en faire une pute, Chris ?

 Je tai déjà dit que je navais pas lâme dun mac. De plus, je te rappelle quelle est mariée !

 Tu parles ! Avec un de ces gros cons de blancs. Avec une petite queue.

 Peut-être ! Mais cest à elle de choisir !

 Depuis quand les putes ont-elles le choix ?

 Tes chiant, lança une des femmes. Allez, on rentre. Tu viens ?

 Ok ! Jarrive !

Dix minutes plus tard, il ne restait que Chris sur la terrasse. Il vint vers Maryse, lui retira les menottes et laida à se redresser. Ma femme passa ses bras autour du cou de lhomme et dit doucement :

 Pas pas la pute, Chris ! Pas la pute !

 On en reparlera plus tard ! Pour linstant, une douche te fera le plus grand bien ! Tu as aimé cette partouze ?

 Ou oui ! Mais toi, tu ne mas pas baisée !

 Non ! Ce soir, tu étais le cadeau de mes amis ! Allez, viens ! A la douche !

Je le vis la soulever dans ses bras et la mener à lintérieur. Au fur et à mesure de leur progression, je voyais les lumières séteindre. Bientôt, il ne resta que celle qui devait être la chambre de Chris. La mort dans lâme, je me résolu à rejoindre mon hôtel. Nous partions dans trois jours et je ne savais rien de ce quavait décidé ma femme, quand à son avenir.

à suivre

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