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Mes premiers congés payés – Chapitre 16

Mes premiers congés payés - Chapitre 16



Jeanine franchit la porte quand je sortais de la salle de bains, javais entouré ma taille de ma serviette de toilette, elle vint vers moi déposa un baiser sur mes lèvres et en même temps tenta de trouver mon sexe par-dessus la serviette, elle commença à me caresser en me disant « je suis désolé mon poussin, je ne me suis pas occupée de toi aujourdhui, mais promis je me rattraperais demain, je suppose que Brigitte est rentrée », je lui répondis que moi-même je venais de rentrer car javais fait pas mal de choses chez Fernand et Marianne et que Brigitte était effectivement sur la terrasse mais que je ne lavais pas encore vu, Jeanine me dit « bon je vais prendre une bonne douche moi aussi, et je prépare le dîner car lentrainement commence à 19h30 le mercredi, ce qui est bien avec cette saloperie de foot, cest que ce week-end nous serons seuls tous les deux, Brigitte part samedi matin, Bernard et ton cousin vendredi soir, on va se concocter un ptit week-end plaisir sans limite en attendant vas donc discuter avec ta cousine sur la terrasse, vous ne vous connaissez pas beaucoup, et je trouve que cest dommage », puis elle rentra dans la salle de bains alors que jenfilais un short et me rendais sur la terrasse.

Brigitte était à demie allongée sur la chaise longue, avec juste un body tellement court quil laissait son ventre nu et pour le bas elle portait un short tellement moulant quil dessinait parfaitement la fente de son sexe. Elle avait une jambe de chaque côté de la chaise longue ce qui permettait une vue dégagée de son entrejambe, lorsquelle me vit, elle tapota la partie libre de la chaise longue et me dit « viens tasseoir à côté de moi », je souris et massis dans un fauteuil à quelques mètres delle, elle fit la moue, mais quand je lui demandais comment sétait passé sa journée, elle retrouva le sourire et me dit « génial, surtout après les cours », faisant linnocent je lui dis « ah bon, tu tes baladée avec tes copines », elle éclata de rire « non, ça cest le week-end, le mercredi, quand il peut, cest le jour de Fernand et aujourdhui, il a été très entreprenant », je souris, jarrivais exactement là où je voulais et lui dis « ah bon, ben racontes moi si tu veux » et Brigitte commença à me raconter ce quil sétait passé dès la sortie du lycée.

« Ben comme dhab. il mattendait juste avant larrêt du car, je suis montée dans la voiture et je lui ai fait un bisou, il a démarré et à peine sortit du village, il a commencé à me caresser la cuisse, et à remonter jusquà ma culotte, sauf que là, il a pas été déçu, je lavais enlevé parce que je croyais que jallais prendre le car et je voulais exciter mon copain pour quil me branle pendant le trajet, je te dis pas sa tête quand sa main est arrivée sur ma moule, en plus jétais déjà excitée donc un peu humide, si tu vois ce que je veux dire » et elle marqua une petite pause pour voir ma réaction, je lui dis « ben tu es vraiment une garce, le pauvre Fernand, tu vas lui faire exploser le cur » pendant ce temps, Brigitte avait posé une de ses mains entre ses cuisses et commençait distraitement à se caresser le fente par-dessus son short, voyant que je la regardais faire, elle sourit et me dit « ça te plaît de me mater ? Tu veux pas me le faire plutôt ? » Je lui répondis que je lui avais déjà dit quil ny aurait rien entre nous et lui demandais de continuer à raconter,

« Quand nous sommes arrivés près du bois, il a pris le ptit chemin de dhabitude, moi je voyais la bosse qui déformait son pantalon, ce vieux salaud bandait et cétait plus gros que dhabitude, du coup je me suis mise à mouiller comme cest pas possible, puis il sest arrêté et comme on fait dhabitude, je me suis mise à genoux sur mon siège, jai sortit sa bite pour la sucer, je te jure, je lavais jamais vu dans cet état, je lai pris dans ma bouche et alors que dhabitude il se contente de me laisser faire, il a commencé à me caresser le minou, il a glissé un doigt tout le long et jétais tellement excité que ce salaud ma fait jouir rien quavec cette caresse, il en avait plein la main et jai vu après quil y en avait plein le siège aussi, puis il a glissé sa main pour venir me caresser les fesses, et là je te jure que je me suis acharnée sur sa bite, jamais il mavait fait ça, et il a continué, il a caressé ma raie avec son majeur et quand il est arrivé sur ma pastille, il est resté dessus et a tourné son doigt doucement, puis il a commencé à lenfoncer, je suis devenue complètement hystérique, je lui ai dit de me branler le fion, et jai repris ma pipe, comme je voyais quil ne venait pas, je lui ai demandé ce quil se passait et ce vieux salaud ma dit quil voulait quon sortent de la voiture, que je mappuie sur le capot pour quil remplace son doigt par sa queue. Rien que de lentendre me dire ça, alors quil me branlait toujours le fion, jai jouit à nouveau, je lui ai dit denlever son doigt, je suis sortit et je me suis appuyée des deux mains sur le capot avant quil ai eu le temps de sortir, comme il ne bougeait pas, je lui ai dit de venir me fourrer sa pine dans mon ptit trou, et là je peux te dire quil nétait jamais sortit aussi vite de sa voiture, il est venu derrière moi, a posé son gland sur mon ptit trou et ma enculé dun seul coup de reins ce vieux salaud, sans me demander si ça allait ou non, putain, il ma fait mal sur le coup, mais alors après quand il a commencé à bouger et à me limer, je te jure que cétait magique, la sienne est plus large que celle de mon copain et il ma bourré le cul à grands coups de reins, il ma carrément défoncé lanus, jai jouit deux fois avant quil se vide les couilles au fond de mon cul, et me remplisse avec son foutre ».

« attends jai chaud », et elle enleva son body pour mettre à lair et surtout sous mes yeux ses petits seins dont lauréole pointait dans ma direction, et je pus voir par la même occasion que son short était trempé entre ses cuisses, je lui fit remarquer « tu nas pas remis de culotte apparemment », elle sourit en me répondant « ben pourquoi faire, je suis à la maison et puis moins jen porte, mieux je me porte et puis je nai pas limpression que ça te dérange plus que ça », je naurais pas passé la journée que je venais de vivre, je pense quelle aurait finit par atteindre son objectif, elle mexcitait mais jétais vidé et cest à ce moment là Jeanine apparu sur la terrasse

« Brigitte, merde tu nes pas obligé de te foutre à poil quand même »

Brigitte : « Maman, je ne suis pas, à poils comme tu dis je nai enlevé que mon body parce que javais chaud mais jai toujours mon short, et puis on est à la maison, dans notre jardin, personne ne peut me voir » en disant cela elle déplaça sa main pour que Jeanine ne vit pas lauréole de plaisir qui décorait son short,

Jeanine : « et tu trouves normal de te mettre nue devant ton cousin, ça ne se fait pas »

Brigitte avec un grand sourire : « ça ne se fait pas de se mettre nu devant son cousin, ben pourquoi ? Regardes il est pas à côté de moi » et la je regardais Jeanine en souriant, elle devint rouge écarlate et répondit « ça suffit ça ne se fait pas et cest tout, alors va thabiller avant que ton père rentre et ne te mette une toise » puis elle rentra dans la maison en disant « je suis dans la cuisine ».

Brigitte posa ses mains sur les accoudoirs pour se relever, cuisses grandes ouvertes et la fente moulée par son short trempé, les seins qui pointaient en avant, elle était excitée au possible et jétais dans le même état, elle sapprocha de moi flatta la discrète déformation de mon short et me dit « tu viens me laver le cul, le dos cest bon jy arrive, je lui mis une petite tape sur la main et répondis « non, pas question ».

Puis je partais devant pour rejoindre Jeanine dans la cuisine, elle était devant lévier et murmurait « mais quelle salope, cest ma fille cest sur, mais son propre cousin, elle abuse », je vins me plaquer contre elle, elle sentit immédiatement contre ses fesses, ma queue en érection, elle se cambra pour bien la placer et mieux la sentir puis me dit « salaud, tu sais ce que ça me fait, je vais être tremper, vivement demain que tu me la mettes partout » en souriant je lui dis « ben ça va pas être possible puisquil ne faut pas se mettre nu devant son cousin et je te rappel quencore plus que ta fille en degré de parenté, tu es ma cousine la plus proche, et je me frottais à elle, elle gémit et dit « ça pour être proche on est proche, mais jai envie que tu te rapproches encore plus, et puis le truc des cousins cest pour Brigitte, elle a tellement chaud au cul depuis quelques temps que jai été obligé de demander au gynéco de lui donner la pilule et même de vérifier si elle était toujours vierge, mais je suis sur quelle ne va pas le rester longtemps à se conduire comme une salope », en souriant dans son dos et en passant mes mains sous ses bras pour capter ses gros seins et les titiller, je lui dis « telle mère, telle fille, elle tient de toi cest sur », Jeanine, « oui mais avec 30 ans de moins » tout en continuant à lui caresser la poitrine je lui glissais dans loreille « peut-être, mais cest toi que je préfère, cest toi qui me fait bander et ce sont tes désirs et tes souhaits auxquels je veux me plier », nous entendîmes la porte dentrée claquer et elle me dit doucement alors que je me décalais un peu delle, elle se tourna vers moi pour me dire « ptit salaud, tu vas voir demain, tu vas être à moi toute la journée et tu devras faire tout ce que je dirais », je la regardais, passais ma langue entre mes lèvres en signe de gourmandise et lui dit « mais ce sera avec un grand et réel plaisir Tata ». Sur ces mots Bernard entra dans la cuisine « salut, cest prêt, on part dans 1h alors magnes un peu ton gros cul, ma chérie »

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