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Mes premiers congés payés – Chapitre 35

Mes premiers congés payés - Chapitre 35



Je partis chercher Brigitte, quand jarrivais sur le parking du stade, le car venait darriver, ma cousine me sauta au cou en disant « tu mas manqué plein », alors quelle membrassait juste au coin des lèvres, je sentis sa petite langue mutine me caresser les lèvres, je la repoussais en disant « le week-end ne ta pas calmé, cest dommage » et faisant demi-tour je rejoignis la voiture.

Brigitte : « Ben je vais plus emmerder les gens dici très longtemps, je vais partir »

Moi : « comment ça partir ? Pour aller où ? Il faudrait peut-être que tes parents soient daccord »

Brigitte : « oh ils vont lêtre, ils vont avoir un coup de fil demain soir, lentraîneuse de léquipe adverse va les appeler »

Moi : « ah bon et pourquoi ? »

Brigitte : « tout simplement parce quelle que jintègre leur équipe de hand »

Moi en démarrant : « ah bon, racontes moi ça »

Brigitte : « jai fait un super match, et alors que jétais la dernière dans les vestiaires, jadore rester sous leau chaude et lentraîneur mengueule tout le temps, jétais entrain de messuyer quand une voix dans mon dos ma fait sursauter « salut, ça tombe bien que tu sois seule je voulais te voir, je suis Béatrice, lentraîneuse de léquipe de hand »

Brigitte : « salut, tu voulais me voir pourquoi ? »

Béatrice : « je voulais savoir si ça te dirait de venir jouer chez nous, donnes ta serviette je vais tessuyer le dos

Brigitte : « je me retournais et lui tendait la serviette, je ne lavais pas vraiment regardé pendant le match, elle est grande brune et toute fine avec des yeux verts splendides, le haut de son survêt était un peu ouvert et je pouvais voir une partie de sa poitrine, elle a, comme moi, de tout petits seins, par contre ce que jai vu cest que quand je me suis retournée pour lui donner ma serviette, ses tétons ont commencé à gonfler, je me suis déjà amusé avec une ou deux filles, mais là jétais vraiment troublée, elle ma dit de me retourner et a commencé à messuyer le dos, mais tellement doucement que cétait presque des caresses, mes tétons ont commencé à gonfler, je les sentais et ça me gênait un peu, puis elle ma demandé de lever les bras, en même temps je lui ai demandé comment jallais faire pour le lycée »

Béatrice : « nous avons un internat au lycée »

Brigitte : « je me suis retournés brusquement et lui ai dis quil était hors de question que jaille en internat, mais en me retournant elle a vu que mes tétons étaient tout gonflés, elle a commencé à passer la serviette sur ma poitrine en tournant doucement sur mes seins, les siens étaient tellement gonflés que jaurais pu les attraper à travers son survêt, puis la serviette a glisser, je suis sur quelle a fait exprès et elle a carrément commencer à me malaxer les seins et me répondant »

Béatrice : « ben il y aurait une autre solution, ce serait que je théberge si tu le souhaites bien sur et avec laccord de tes parents »

Moi : « ben elle a quelle âge ton entraîneuse ? »

Brigitte : « 35 ou 40 ans, je pense mais je men fous, elle a une langue à tête chercheuse et des doigts de fée parce quen même temps quelle disait ça, elle a attrapé mes tétons avec chacune de ses mains et a commencé à les pincer, jai gémis et je lui ai répondu que jétais daccord à conditions quelle messuie tout les jours quand je sortirais de la douche, elle a ôté ses mains et sest penchée pour les embrasser chacun leurs tour, puis les a mordiller, je ne tenais plus debout, javais les jambes qui tremblaient, je me suis reculé un peu, elle sest redressée surprise puis voyant que je mappuyais au mur, elle sest approché, sest accroupi et à commencer à embrasser ma fente, jétais trempée, elle la vu et elle a sortit sa langue pour messuyer puis elle sest relevée et ma dit »

Béatrice : « tous les jours et mêmes plusieurs fois par jour si tu veux, tu mas tout de suite plu quand je tai vu rentrer sur le terrain, ton ptit cul bouge tellement bien, mon appart nest pas grand et je nai quune seule chambre, donc nous serons obligés de dormir ensemble »

Brigitte : « jétais trop excitée pour réfléchir, jai pris la fermeture de son survêt et je lai descendu doucement, quand son blouson fut grand ouvert, jai écarté les pans et je me suis penchée pour embrasser ses tétons, jai joué avec en les aspirant, les mordillant pendant 5 minutes au moins et cest notre connard dentraîneur qui a foutu la merde en mappelant pour me dire que le car partait. Je lui ai donné le numéro de la maison et elle ma promis quelle appellerait dimanche soir, pour discuter avec mes parents et essayer de les convaincre. Nous nous sommes roulés une super pelle et jai couru jusquau car, tu comprends pourquoi je suis excitée maintenant et que jai envie de mamuser un peu » et disant cela elle posa sa main sur mon entrejambe quelle commença à masser et elle obtint très rapidement la réaction quelle voulait, je lui pris la main et lui dit « je tai dis non, garde-toi pour ton entraîneuse, elle a lair davoir un appétit aussi gros que le tien.

Lorsque nous arrivâmes à la maison, Albert et Germaine étaient partis et Jeanine nous attendait vautré dans un fauteuil sur la terrasse, elle se leva pour faire la bise à sa fille et lui dit : « bon tu sais quon sort, on va dîner chez Cathy, mon amie denfance qui ouvreuse au cinéma, alors toi tu fais ce que tu veux, si tu veux on te dépose en ville, tu as le temps dappeler tes copines pendant ce temps là, je vais me changer »

Brigitte : « maman, je voulais discuter avec toi, jai quelque chose dimportant à te demander »

Jeanine : « écoutes ma chérie, nous sommes déjà en retard, demain matin nous serons toutes les deux et on pourra discuter tranquillement »

Moi : « euh comment ça toutes les deux, je suis là moi »

Jeanine avec un grand sourire : « mais oui mon chaton tu es là, mais Michèle, la fille de Marianne et Fernand a appelé tout à lheure pour dire que son oncle tuait un cochon et que si on voulait, tu passais la chercher pour lemmener à la ferme car sa voiture est en panne et comme ça tu en prendras pour nous aussi, et tu prendras pour Marianne et Fernand aussi, ça te fera une ballade et puis cest toujours intéressant de voir tuer le cochon, cest un peu une fête »,

Brigitte la repris au vol : « tu lappelles chaton, lui, maintenant ? » et elle me regarda avec un grand sourire, Jeanine rougit et lui répondit « oh cest un ptit nom affectueux, comme quand je tappelle, ma puce, bon allez, je vais me changer, on discute demain matin » et elle fila précipitamment vers sa chambre, Brigitte appela des amies et se trouva rapidement une occupation pour la soirée.

Quand Jeanine sortit de sa chambre je restais bouche bée, elle était superbe et surtout très « bandante », une jupe noire fendue jusquà mi-cuisse, un chemisier blanc qui ne cachait pas la couleur de son soutien-gorge rouge vif car il était largement ouvert sur sa généreuse poitrine, des chaussures à talons aiguilles chaussaient ses pieds nus

Moi : « wow, tu es superbe tata, vraiment » et je rajoutais tout bas à son attention « on en mangerait », Jeanine rosit de plaisir, elle me mit une petite claque sur la joue et dit « gourmand, allez on y va », elle enfila la veste de son tailleur et nous quittâmes la maison.

Nous montâmes en voiture et partîmes en direction du village, je posais une main sur la cuisse nue la plus proche et remontait doucement vers son sexe que je trouvais nu, Jeanine pris ma main et la reposa sur le levier de vitesse en disant « non pas touche », un peu vexé je lui demandais comment elle avait connu Cathy.

Jeanine : « nous avons fait toute notre scolarité et nos études ensemble, nous étions très liées et les bruits couraient à lépoque que nous étions gouines, ce qui était faux et tu le sais mieux que personne, par contre un jour, alors que nous avions une quinzaine dannées, ses parents ont été obligés de sabsenter un we au mois de juin, et ils ne voulaient pas la laisser seule, alors ils ont demandé à mes parents si je pouvais passer le week-end chez eux avec Cathy, il fût décidé que le vendredi matin je partirais avec mes affaires et que jirais directement chez eux retrouver Cathy après les cours car elle quittait une heure plus tôt. Jétais super contente, dautant que tu vas voir leur maison est super, elle est à la sortie du village, une grande maison entourée dun très haut mur avec un portail plein immense, ce qui fait quon ne voit rien du tout, et quelle est super tranquille chez elle. Quand jarrivais après les cours, je poussais le portail, Cathy mavait dit quelle le laisserait ouvert et de le claquer une fois rentrée, ce que je fis, puis je me dirigeais vers la maison et je frappais à la porte dentrée, pas de réponse, jai fait le tour de la maison et jarrivais sur la grande terrasse qui était derrière, jentendis un petit gémissement, je mavançais doucement et vis Cathy allongée sur une chaise-longue, les yeux fermés, elle ne portait quune culotte et une de ses mains était entrain de sactiver dedans, je mapprochais doucement et une fois à côté delle je criais « bouh », elle sursauta et retira sa main de sa culotte, quand elle me reconnut elle me dit « putain, tes conne, tu mas fait une de ces peur », je lui dis que javais vu ce quelle était entrain de faire, elle me dit « et alors, tu le fais jamais toi ? » je lui répondis que si, puis elle sest levée et a ramassé un livre que je navais pas vu, et elle me dit « jétais entrain de lire ça et ça ma excité, du coup je me suis caressé, cest un roman de Sade, tu sais le marquis, un sacré cochon celui-là, jte jure, hé bien dedans, il y a deux filles qui se font un cunnilingus » je lui coupais la parole pour lui demander ce que voulait dire ce mot, elle mexpliqua que les filles se léchaient le sexe jusqu’à jouir, je lui répondis « beurk cest dégueu » elle sourit un peu gênée et me dit quelle trouvait aussi.

Je lui demandais si je pouvais aller prendre une douche car le dernier cours était de léducation physique et que javais pas mal transpiré, Cathy me dit de faire comme chez moi, je filais dans la salle de bain, me déshabillais et me jetais sous la douche. Lorsque jeus finis, je tirais le rideau pris la serviette que javais préparé et messuyais, puis je me retournais pour sortir de on sac des affaires propres, et là, plus de sac, jappelais Cathy, pas de réponse, je menroulais dans la serviette et partais à la recherche de mon amie, je la trouvais installée dans sa chaise longue, mais là plus de culotte, complètement nue, et entrain de se caresser le clitoris, je lui demandais pourquoi elle avait pris mon sac, elle a rigolé, sest levée et est venue vers moi, dun geste sec et par surprise, elle attrapa la serviette et tira dessus, je me retrouvais aussi nue quelle, je lui demandais de me la rendre, elle a rigolé et ma répondu que ce nétait pas la première fois quon se retrouvaient nues toutes les deux et me rappela quon avait même été plus loin que ça, effectivement nous avions déjà joué toutes les deux à touche pipi et on sétaient même caressées mutuellement.

Cathy me dit « jai envie dessayer quelque chose » je lui demandais quoi et elle me répondit « le cunni machin avec la langue »,

Jeanine : « tu es barge je tai dis que je trouvais ça dégueu et tu mas dis que toi aussi »,

Cathy : « ben je tai menti, ça ma excité et jaimerais essayer, je ne te demande pas de le faire, laisse-moi seulement te le faire ».

Cathy venait dattraper un de mes tétons et le pinçait doucement, je sentis que mon corps me trahissait, mes tétons étaient entrain de gonfler et Cathy sen ai aperçu, bien, sur, elle sest penchée et en a pris un dans sa bouche pour le mordiller, je fondis complètement, madossais au volet en bois qui était derrière moi et la laissais faire, je sentis que je commençais à mouiller rapidement sous laction de sa langue, et comme elle sen doutait, sans lâcher mon téton, elle a mis une main entre mes cuisses et a tout de suite trouvé mon clito qui était entrain de gonfler de plaisir, elle commença à le caresser puis elle glissa un doigt dans ma chatte et commença à me branler, javais les jambes qui tremblaient, quand elle sen aperçut, elle me pris par la main et me fit asseoir sur la chaise longue, appuya sur mes épaules pour que je mallonge et alors que mes jambes étaient grandes ouvertes, une de chaque côté de la chaise longue, elle sagenouilla et posa sa bouche sur ma fente.

Je crus que jallais mourir quand elle la fit passer sur toute ma fente, puis elle picora mon clito de petits coups de langue avant de lattraper entre ses lèvres et de laspirer, je jouis instantanément, je navais jamais ressenti quelque chose daussi fort, je demandais à Cathy darrêter, mais au contraire elle attrapa mon clito entre ses dents et commença à le mordiller tout en passant sa langue sur le bout quelle tenait, et en quelques minutes elle me fit jouir à nouveau, je hurlais de plaisir, et fermais les yeux pour profiter de cet instant, je sentis que Cathy descendait doucement le dossier et je me retrouvais allonger.

Il me fallut quelques minutes pour reprendre mon souffle et quand je rouvris les yeux, Cathy était juste au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de la chaise longue et surtout sa fente grande ouverte au-dessus de ma bouche, quand elle vit que jouvrais les yeux elle me fit un grand sourire et descendit doucement jusquà effleure ma bouche avec ses grandes lèvres, je navais quà sortir la langue, et je lai fait, je lui ai donné autant de plaisir quelle men avait donné, et nous avons passé le week-end à nous dévorer mutuellement la chatte et à nous faire jouir. Cathy disposait dune autorité naturelle et elle a fait de moi ce quelle voulait pour te dire la vérité, cest elle qui ma dépucelé avec une bougie, je navais jamais raconté ça à personne, cest pour ça que jai menti à Germaine cet après-midi aussi, je ne sais pas ce quil va se passer ce soir, mais jespère quelle va me dévorer comme au bon vieux temps.

Stop, cest là, rentre dans la cour.

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