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Mes premiers congés payés – Chapitre 51

Mes premiers congés payés - Chapitre 51



Arrivés sur le parking de la grande surface, Jeanine, me répéta ses ordres « alors noublies pas, tu fais tout ce que je te demande, pas un seul refus, sinon quand on rentre cest le martinet », nous sortîmes de la voiture et nous dirigeâmes vers le magasin, sur le parking, les hommes que nous croisions tournaient tous la tête pour me mater et dans le magasin ce fut pareil, Jeanine memmena au rayon des dessous féminin, puis nous fîmes les courses, évidemment ce que je craignais arriva, de loin je repérais Marianne et Fernand, Jeanine me dit « voyons si ton déguisement est efficace » et elle se dirigea droit sur eux, dun côté, je nen menais pas large et dun autre, mon sexe, emprisonné dans le string, commença à durcir, quand nous arrivâmes juste derrière Marianne et Fernand, Jeanine les apostropha « coucou, comment allez-vous ? »

Marianne et Fernand lui dirent bonjour puis Jeanine me présenta comme la fille dune de ses amies, Marianne regarda ma tenue, fit ne petite grimace et dit à Jeanine « les jeunes de maintenant shabillent nimporte comment, jamais je naurais permis à ma fille de sortir dans cette tenue », je rougis et en même temps me dis que le déguisement était bon, puisque Marianne ne me reconnaissait pas, et pendant que Jeanine et Marianne discutaient, Fernand à côté de qui jétais, se permis un geste déplacé, je sursautais, mais ne dis rien, Marianne et Jeanine ne pouvaient voir sa main qui me pelotait les fesses, mon sexe se déploya à taille maximum de sentir cette main sur mon cul. Quelques minutes après chacun repartit de son côté et Jeanine me demanda « alors, ce vieux cochon, ta peloté le cul ma ptite salope », je lui répondis par laffirmative, elle gloussa et dit « super donc le déguisement est bon, sinon il naurait pas fait ça, cest de Marianne dont javais un peu peur, mais apparemment, elle non plus na rien vu ».

Les courses finies nous allâmes à la caisse, et alors que je rangeais les courses, le vieux vigile du magasin, vint se mettre juste à la sortie de la caisse et me mata sans aucune discrétion, Jeanine paya et nous nous dirigeâmes vers la sortie, sur le parking, une femme engueula même son mari en lui disant « dis donc tu veux que je taide à mater cette petite salope » et devant tout le monde, le mari pris une claque, sa femme le laissa sur place et continua son chemin vers le magasin, alors que Jeanine, disait à lhomme « ben dites donc, pas marrante votre femme, mais je reconnais quelle na pas tout à fait tort, jaurais fait pareil avec mon mari, si je lavais surpris entrain de mater une fille de la même manière », puis après avoir mis les courses dans le coffre, nous montâmes en voiture et Jeanine regardant sa montre dit « 11h30, super le ciné doit être ouvert, on va retourner voir Caligula comme ça on verra si Cathy est là et si elle te reconnait », je pris la direction du cinéma et une fois sur place Jeanine me dit « quand on rentrera dans la salle, si il y a des hommes seuls, on ne se connait pas, tu en choisis un et tu vas tasseoir à côté de lui, tu vois je te laisse choix, par contre où tu ne las pas, cest que je veux que tu sois très salope et que tu suces à fond le mec que tu auras choisis », à cette demande, mon sexe recommença à se tendre et rapidement je fus à létroit dans le string.

Cathy nous reconnut tout de suite, elle dit à Jeanine « ma chérie, cest du super boulot que tu as fais, je ne lauras pas vu de près lautre jour, je naurais pas deviné que cette petite salope était un mec » Jeanine lui dit « merci pour le compliment, on va voir ça tout de suite, car je lui ai donné des instructions très précises, mais puisque tu es là, tu vas nous aider, je voudrais que tu la place à côté dun homme seul, au hasard, et que tu surveilles un peu ce quil va se passer », Cathy lui répondis « hum, très bonne idée ma chérie, merci de me laisser choisir, il ny a pas beaucoup de monde, mais ce ne sont que des vieux en semaine et pour ce film là, en général, ce sont des cochons refoulés, on va leur servir la truie qui va avec le film » et ma claquant les fesses elle me dit « passes devant petite salope, on va voir ce que tu sais faire ». Je la précédais, en marchant Cathy me dit « alors voilà ce que tu vas faire, pour linstant il y a trois hommes dans la salle, je vais temmener au premier et une fois que tu te seras occupé de lui, tu iras toute seule vers les autres » alors que nous passions devant la rangée où un des hommes était installé, elle me dit celui-ci sera le troisième et je veux quil tencule, tu te démerdes mais cest un ordre, pour les autres tu les pompes et tu avales tout leur sperme », les trois hommes étaient tous assis dans la rangée la plus à droite de la salle et tous était au fond de la rangée, contre le mur, lorsque nous passâmes devant le second, Cathy me dit « pour celui-là, ça devrait aller assez vite, si tu te débrouilles bien, continue à avancer petite pute, quand tu auras épongé les 3, normalement, un quatrième devrait être arrivé, il ne va pas tarder, pour celui-là, si il est seule tu fais ce quil te demande, et si il ne lest pas, tu toccupes de la personne qui sera avec lui, cest bien compris petite salope ? Ah bien sur, il est hors de question que quelquun saperçoive de ce que tu es vraiment ».

Je reconnais que jétais assez excité en arrivant près du premier homme dont je devais moccuper, je dis « oui », alors que je mavançais dans la rangée, je sentis une odeur très désagréable me piquer le nez, cela puait, la sueur et lurine, je regardais avec un peu plus dattention lhomme qui était assis à deux places de lendroit où je venais de stopper, le gros porc dans tous les sens du terme, adipeux et puant, au moment ou je le regardais il rabattit sur lui le pan de la gabardine quil portait, jeus juste le temps de voir que son sexe était sortit, je tentais de reculer en murmurant un « non », Cathy était juste derrière moi et mempêcha daller plus loin, une de ses mains tenant la lampe de poche, cest lautre quelle passa sous ma jupe pour me pincer méchamment les fesses, je retins le cri qui allait fusé de ma bouche car en même temps quelle me pinçait fortement, elle me dit à loreille « avances, et fais ce que je tai dit, sinon je te promet une correction que tu nest pas prête doublier, noublies pas tu es notre esclave, notre petite pute et tu obéis, rappel toi la taille des gods que jai chez moi et dis-toi que si tu nobéis pas, je te défonce le cul avec le plus gros » dompté, javançais et masseyais à côté de lhomme qui regardant Cathy lui dit « vous auriez pu la mettre ailleurs non », Cathy lui sourit et répondit « non, cest la fille dune amie, et elle naime pas être seule dans le noir, par contre elle va savoir vous remercier de lui tenir compagnie, soyez en sur », puis Cathy repartit, me laissant avec lhomme.

A peine étais-je assis que lhomme posa une main sur ma cuisse en disant « alors cest vrai, tu vas me remercier, ben moi jai une idée sur ce qui me ferais plaisir », et sa main commença à me palper la cuisse en remontant doucement, jétais partagé entre le désir de fuir et la punition promise par Cathy, ma décision fut vite prise, je saisis la main de lhomme et faisant un quart de tour vers lui, je la posais sur le dossier de mon strapontin, puis magenouillant sur ce dernier, je me penchais en avant vers son entre jambe, jécartais la gabardine et découvris quil avait déjà sortit sa queue, mes narines furent assaillis par une odeur nauséabonde durine et de sueur, je me penchais pour prendre dans ma bouche la petite bite qui pendait lamentablement, je crus que jallais vomir alors que lhomme disait « vas-y ma ptite salope, bouffe-moi le zob » et en même temps la main qui était sur le dossier de mon siège glissa logiquement sur mes fesses, qui dans la position que je venais de prendre étaient pratiquement à nue et surtout offertes.

Lhomme glissa un doigt dans la raie de mes fesses y cherchant mon ptit trou quil trouva très rapidement alors que je commençais à faire coulisser mes lèvres sur sa queue qui prenait petit à petit plus de vigueur. Offert comme je létais, mon anus, dans lequel Jeanine avait fourré le god deux heures plus tôt, était ouvert, et lhomme, en posant un doigt dessus, sen aperçut.

« dis donc petite pute, tu tes faites défoncer le cul, regarde-moi ça mon doigt rentre tout seul dedans tellement il est dilaté » et il enfonça, sans ménagement, son majeur dans louverture offerte, je my attendais, mais son gros doigt boudiné rentrant dans mon cul me fit mal et comme javais la bouche occupée, je gémis, ce gros porc cru que cétait de plaisir, et tout en commençant à me limer le cul avec son doigt, il me dit « tu aimes ça, hein salope, tu aimes te faire fourrer le cul, et ben je vais te faire plaisir, dès que je suis bien dur, je te la fourre au fond de trou à merde », et il accéléra les mouvements de son doigt.

La répugnance que je ressentais, était une chose, mais de sentir ce doigt me ramoner le fondement mexcitait, au bout de quelques minutes, alors que sa bite était en forme, il me dit « arrêtes salope, je vais tenculer » et là je refusais, je lui attrapais les couilles dune main et les malaxais tout en aspirant sa bite comme si je tirais sur une paille, il neut le temps que de gémir « non, arrêtes » et il explosa dans ma bouche, javalais son foutre et relâchais sa queue devenue toute molle, puis je bougeais de manière à sortir son doigt de mon cul et alors quil était encore sous le coup de sa jouissance, je me levais et rejoignais le second homme placé cinq rangées derrière nous.

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