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Mes servantes – Chapitre 7

Mes servantes - Chapitre 7



13:12, c’est ce que l’horloge indique. Je me rends dans ma chambre. La porte est entrouverte, signe qu’une personne y est rentrée. Je pénètre dans la sombre pièce.

« Personne ? Étrange… »

Cependant, je remarque une bosse dans ma couette. Je m’approche doucement et retire délicatement la couverture. La silhouette d’Aurora apparaît. Elle dort calmement et semble tranquille. Je la vois sourire.

« Rêve-t-elle ? J’aimerais bien savoir de quoi… »

– Aurora… Réveille-toi…!

— Mmm… Laissez-moi dormir…

— Aurora !

— Maître ?! Que se passe-t-il ?

— Alexa t’a donc prévenu ?

— Comment ça ?

— Tu n’es pas au courant ? Que fais-tu ici alors ?

Ma servante détourne le regard. Un silence gêné s’installe. Je pose ma main sur son épaule et me répète :

– Que fais-tu ici, Aurora ?!

Elle ne se retourne pas. Je m’impatiente et d’un grand geste, j’ôte entièrement l’édredon. Aurora crie de surprise. Ma servante est vêtue seulement d’une fine chemise et d’une culotte en dentelle rose. De plus, une de ses mains cache sa poitrine tandis que l’autre se situe au niveau de son vagin. Je devine naturellement ce qu’elle faisait. Mon membre se dresse. Je la place sur le dos et me positionne au-dessus d’elle. Aurora rougit en sentant mon pénis coller son nombril.

– Alors comme ça, on se masturbe dans le lit de son Maître ? Cela mérite à la fois punition et récompense.

— Qu’allez-vous faire ?

— D’un, je vais prendre ta virginité. De deux, tu me serviras d’expérience. Et de trois, nous allons tous deux passer un bon moment, qu’en dis-tu ?

— Bien, Maître.

— Tant mieux, dans ce cas, ne bouge plus.

J’approche ma langue du visage de ma partenaire. Je lèche la joue d’Aurora, qui gémit de surprise. Ma salive recouvre petit à petit la face gauche de la jeune fille. Cette dernière rougit de plus en plus. Le temps que la peau absorbe salivation, je m’attaque à son ventre. J’ouvre entièrement la chemise, puis je prends sa main gauche sur laquelle je crache.

– Lèche ta main et nettoie ton visage, seulement de cette main gauche.

Elle s’exécute pendant que, de ma langue lascive, je lui lape son ventre. Je fais des tours autour de son nombril, puis je descends lentement vers son bas-ventre. J’arrive enfin au niveau de son minou, déjà trempé et gonflé.

– Donne-moi ta main gauche !

— Oui Maître.

Aurora me tend sa main que je lèche de nouveau. Ensuite, je l’enfonce dans sa grotte bien humide avant d’y ressortir. Je commence doucement avec un doigt, puis deux, puis trois. À chaque passage, ma servante gémit. Après une bonne dizaine de minutes, je ne tiens plus en place. Je retire mon caleçon, déchire la culotte rose et me place devant l’entrée vaginale. Ma verge semble aussi gonflée que d’habitude. Je l’enfonce lentement, sous les cris surpris d’Aurora.

– C’est… Cest trop gros. Jamais il ne rentrera, Maître !

— Ne t’inquiète pas, le vagin d’une fille est bien plus extensible que tu ne le penses.

Je continue mon avancée et m’enfonce totalement en Aurora. Ma domestique crie alors subitement et je la sens trembler de plaisir. Elle se cambre, des larmes coulent et sa langue quitte sa bouche.

– Aurais-tu joui, Aurora ?

— Ah… ah Maître…

Elle semble satisfaite mais je ne le suis pas, de mon côté. Je débute alors de frénétiques va-et-vient. Aurora continue ses gémissements alors que je sens la sève monter. Après quelques minutes, je laisse tout sortir. Je me retire et crache mon jus en grognant sur le ventre et le visage d’Aurora. Les jets de sperme atteignent même ses yeux, yeux qui semblent vides et ternes. Je remarque alors que ma partenaire est extrêmement épuisée. Sa respiration est saccadée et irrégulière. Ses bras sont étendus tandis que son visage affiche une joie incommensurable.

– Ne gâche aucune goutte de ma semence et nettoie-toi seulement avec ta salive.

— Bi… bien, mon Maître.

Je me revêts de mes habits avant de quitter ma chambre. Lorsque j’ouvre la porte, je bute sur un obstacle. Alexa tombe à la renverse en criant de surprise. Elle semble m’avoir espionné, et s’est masturbée en même temps. Je souris avant de déclarer en chuchotant :

– J’imagine que tu n’as pas envoyé une autre te remplacer. Va dans ta salle de bain, j’arrive.

Alexa hoche la tête avant de se retirer, rouge de honte. Je n’avais pas encore envie de déféquer mais le fait qu’elle nous avait espionnés m’excite de nouveau. Je rentre à nouveau dans ma chambre chercher des accessoires. Aurora a entre-temps avalé tout le sperme. Elle me sourit avant de dire :

– Maître, votre semence est une chose dont je ne me lasserais jamais, appelez-moi dès que l’envie vous prend, je vous prie.

— Très bien, dans ce cas, petite récompense, viens me voir ce soir avant de te coucher, je t’attendrais.

Aurora arbore alors un immense sourire. Elle quitte ma chambre en laissant ses affaires, ce que trouve insolent mais…

« Je ne vais pas dire non à une culotte, certes déchirée, mais trempée…»

Je ramasse le bout de tissu, que je mets dans ma poche. Je me rends chez Alexa, qui m’attend dans la salle d’eau. Avant d’entrer, je me déshabille à nouveau, puis j’apporte mes petits outils : un bâillon, des cordes, deux ufs vibrants et du scotch. Ma belle blonde est assise sur le couvercle des toilettes. Je la prends par les cheveux, avant de la mettre à terre. Elle ne dit rien mais semble légèrement surprise de ma virulence. J’attache le bâillon, puis ses mains avec les cordes, ensuite ses cuisses aux mollets et enfin, je scotche les deux vibreurs au niveau des mamelons.

– Te voilà parfaite, Alexa.

Je l’installe sur le sanitaire avant d’admirer le résultat. J’en profite pour prendre quelques photos, sous le visage effaré de ma servante.

– Je les garderais pour moi, à moins que tu ne veuilles que je les montre à tes copines ?

Elle fait aussitôt non de la tête.

– Seulement si tu fais ce que je te dis. La dernière fois, tu m’as déçu. J’ose espérer que tu t’amélioreras. Depuis ce matin, tu n’as pas dû uriner, non ? Fais-le maintenant !

Je vois Alexa rougir et secouer de la tête. Elle veut parler mais le bâillon l’en empêche.

– On, il-ou-plaît, chest trop embahassant.

— Alexaaaa, es-tu sûre de contester mon ordre ?

Ma servante baisse alors les yeux, soumise. Je filme l’instant avec mon téléphone. Alexa se force tout en gémissant. Finalement, l’urine s’échappe et s’écoule dans la cuvette. Elle soupire à travers la boule de soulagement. Toujours attachée, je prends ses cheveux, lui retire le bâillon et insère ma verge dans sa bouche.

– Suce-moi et tu pourras boire mon sperme, Alexa.

Elle hoche de la tête et débute sa fellation. Sa langue parcourt ma hampe et s’agite autour d’elle. Je la sens lécher le gland, puis lécher le liquide préséminal. Au bout de trois minutes, j’éjacule dans la gorge d’Alexa. Celle-ci tousse, ce qui laisse s’échapper les coulées de sperme.

– ALEXA !

Elle me repousse et tente de s’expliquer :

– Maître… je, je ne voulais pas. Je vous le jure !

— Gâcher la semence de son Maître… Quel comportement indigne de sa servante… Alexa, sache que tu es punie pour ton erreur. D’un, peu importe où et quand, j’urinerai sur toi. Tu nettoieras alors tout ce qui sera taché par mon urine à l’exception de ton corps. De deux, je ne te ferais plus don de ma semence avant que je ne la décide autrement. Et de trois, tu auras l’humiliation de ne plus porter aucun vêtement dans ce manoir. Si je vois ne serait-ce qu’une culotte, chaussette ou soutien-gorge, tu subiras de lourdes conséquences. Compris ?

— Oui… Maître…

Sans la prévenir, je me place devant elle et urine sur sa poitrine. Le liquide coule le long de son ventre et tombe dans la cuvette déjà remplie partiellement de son urine. Je termine puis dis :

– N’oublie pas, tu n’as pas le droit de te laver.

Elle hoche, puis je quitte sa chambre après m’être rhabillé. Je me dirige vers la cuisine. L’horloge indique 16 h 49. Sophie y est déjà et semble s’entraîner sur une recette. Je la laisse puis je vais dans le salon. J’allume la télévision et me divertis devant un film. Pris de fatigue, je m’assoupis.

– Maître… Réveillez-vous !

— Mmm, qui est-ce ?

— C’est moi, Marine.

— Qu’y-a-t-il ?

— Le dîner est servi.

— J’arrive.

Je me lève, fatigué. Je me souviens avoir rêvé, mais impossible de m’en souvenir précisément. La table déjà nappée et dressée, tout le monde sauf Sophie et Alexa manquent à l’appel. Pour Sophie, c’est normal. Le lundi, c’est elle qui s’occupe des repas.

– Personne n’a vu Alexa ? Je l’ai cherchée partout mais impossible de la trouver. dit Sophie en arrivant depuis la cuisine.

Je ne réponds pas et continue mon repas. Soudain, une main se pose sur mon genou. J’aperçois Alexa, nue sous la table. Elle me fait signe de ne pas réagir. Elle défait alors ma braguette avait de prendre mon pénis en main.

« Veut-elle se faire pardonner ainsi ? C’est bien qu’elle soit entreprenante mais je ne compte pas la laisser faire ainsi, d’autant plus qu’elle n’a pas le droit d’avaler mon sperme… »

Je sais que personne ne la remarquera, aussi je décide de la laisser quelques instants. En effet, nous mangeons sur une grande table rectangulaire où je m’assois du côté de la largeur. Huit chaises bordent les longueurs où mes servantes s’assoient donc il est impossible de voir Alexa. Je me sens légèrement excité par la fellation que me procure ma belle blonde mais pas assez pour me faire jouir. Tandis que chacune mange son repas en discutant, j’interromps Alexa, lassé. Elle semble déçue de sa prestation, et se replonge dans l’ombre de la table. Je me rhabille correctement, me lève et déclare :

– Comme vous le savez, je vous ai demandé hier un petit quelque chose. Marine, apporte-moi donc ce que tes amies ont récolté.

Elle se lève, rouge de honte, et m’apporte une bouteille remplie à un quart. Elle semble triste et redoute les prochaines paroles. Je constate la quantité de cyprine avant de dire :

– Sachez avant toute chose, que je suis plutôt satisfait. Depuis quelques semaines, j’ai découvert à vos côtés les joies du sexe, et vous aussi. Je vous confie une mission. Que chacune me rapporte une bouteille telle que celle que j’ai dans les mains demain à minuit. Celle qui aura la bouteille la plus remplie aura une belle, et je dis bien belle, récompense. En revanche, celle qui en aura le moins produit sera punie, comme Alexa cet après-midi.

Je verse le contenu dans un verre à vin, avant de tout avaler d’une traite. Le goût s’est renforcé à cause du temps, mais il reste délicieux. Marine rougit et se cache le visage, partagée entre le sentiment d’honneur et de honte tandis que les messes basses sur Alexa se répandent. Je quitte la salle à manger avant de rentrer dans ma chambre. Il est plus de 21 heures, j’allume mon ordinateur pour consulter mes e-mails. D’ordinaire, je reçois des courriels publicitaires et parfois quelques mails de connaissances, ce qui est le cas ce soir. En effet, j’observe un nouveau message de M. Gordon, mon ancien tuteur de gestion de services et d’économie, que j’apprécie énormément. Le mail contient le texte suivant :

Bien le bonsoir Monsieur Julien,

En premier lieu, je vous souhaite mes meilleurs vux pour cette nouvelle année.

Comment vous portez-vous ? De mon côté, je vais extrêmement bien, d’autant plus que je dois vous annoncer une bonne nouvelle. En effet, j’ai été invité à la Conférence Internationale de l’Économie Mondiale en tant que l’un des représentants de la France.

Cependant, vous n’êtes pas sans savoir que je tiens le poste d’universitaire dans l’établissement de la ville de Montbourg. Aussi j’aimerais savoir si vous seriez capable de tenir mes cours, le temps d’une semaine. Je vous demande là seulement de présenter mes cours que je vous enverrai ultérieurement. Seriez-vous d’accord pour me remplacer momentanément ?

Je vous souhaite une bonne soirée.

Cordialement,

M. Gordon.

Sans même réfléchir plus que cela, j’accepte intérieurement. Je rédige rapidement ma réponse, puis j’envoie le courriel. Je me vêtis de mon pyjama et m’apprête à dormir, mais soudain, une personne toque à la porte :

– Maître, c’est Aurora. Puis-je entrer ?

— Oui, bien sûr.

Aurora entre, vêtue d’un pyjama rose pâle. Elle semble légèrement embarrassée mais aussi confiante. J’avais oublié qu’elle devait venir, aussi suis-je agréablement surpris de passer un petit moment avec ma servante aux cheveux roses. Je m’assois sur mon lit et fais signe à Aurora de venir. Elle s’approche en se dandinant, me séduisant lentement. Elle se place devant moi, se baisse un peu et m’affiche une magnifique vision. Sa chemisette, déboutonnée jusqu’au buste, me laisse voir son soutien-gorge en dentelle rose. Je lève ma main pour prendre ses longs cheveux que je sens. L’odeur de fleur qui s’y dégage me rend dingue. Je la prends par le bassin avant de me lever. Mon membre, déjà dressé, colle le ventre de ma servante. Elle le sent et dit :

– Je vous excite ?

— Oui, beaucoup. Laisse-moi te faire du bien…

Je baisse ma main droite vers son entrejambe. J’écarte son pantalon ainsi que sa culotte, aussi en dentelle rose. Je fourre deux doigts dans son minou, ce qui provoque un gémissement et un frisson. De son côté, Aurora sort mon pénis de mon pyjama. Elle le caresse et presse doucement ma tige. Je la sens faire des mouvements lents et fermes sur mon sexe. Je la sens également très excitée, traduite par la large quantité de cyprine sortant de son antre. Après deux minutes à se masturber mutuellement, je sens mon envie prendre le dessus. J’ouvre entièrement la chemisette, puis je baisse son pantalon. Ensuite, elle fait de même, mais je retire moi-même mon caleçon. Elle défait son soutien-gorge, puis descend sa culotte trempée. Elle me la jette, avant de déclarer :

– Je crois savoir que vous avez gardé mon ancienne culotte. En voilà une nouvelle !

— Je dois avouer que tes culottes sont les meilleures. Rose, en dentelle, et surtout imbibée de ta mouille. Je tâcherai d’en faire bon usage. Viens donc t’installer sur tu-sais-quoi.

— Bien, Maître.

Je m’assois sur mon lit, en écartant mes jambes. Aurora s’approche, se met dos à moi, et monte sur mon pénis. La verge s’enfonce d’un coup, provoquant un cri de plaisir. Elle commence à monter son bassin, puis le baisser et ainsi de suite. Mes cuisses claquent contre ses fesses, tout comme mes bourses contre son vagin.

– Ah… ah… oh oui… c’est bon Maître… plus profond…! Encore !

Aurora crie comme une folle, ce qui m’excite encore plus. Je commence moi aussi à donner du mouvement, ce qui rend la baise encore plus endiablée.

– Je… je JOUIS ! Aaaah !

Ma servante crie une dernière fois avant de tomber de fatigue. Je me retire, la pousse sur mon lit, et m’assois sur son ventre. Je pose ma main sur mon pénis, et me branle frénétiquement. Aurora souffle d’épuisement. Avec mon autre main, je caresse le visage de ma partenaire.

– Ça sort !

Je lâche cinq jets de sperme brûlants sur le visage et la poitrine de ma victime. Elle me sourit avant de lécher la semence proche de ses lèvres.

– Toujours… aussi bon… Maître…

Je lui rends son sourire mais elle s’endort. Je la porte, puis je sors de ma chambre. Je l’emmène chez elle et la couche délicatement. Je rentre chez moi puis je me brosse les dents avant de m’endormir dans mon lit paisiblement.

Un mouvement me réveille de mon sommeil. J’ouvre les yeux et vois Alexa dormant à mes côtés.

« Est-ce une provocation ou dois-je comprendre un message ? »

Alexa est face à moi et évidemment nue. Mon érection matinale n’arrange rien et mon pénis se gonfle de plus en plus. Je sais pertinemment qu’Alexa est punie mais je ne me retiens plus. Je caresse d’abord le visage de ma servante, puis ses cheveux. Cependant, je remarque la mauvaise odeur qu’elle dégage mais cela ne m’arrête pas. J’insère mon sexe dans le sien avant de grogner de plaisir. Alexa remue légèrement mais ne semble pas encore se réveiller. Je la tourne délicatement sur son dos et débute par une missionnaire. Mon pénis glisse parfaitement dans la caverne humide. Son vagin chaud me donne des frissons de plaisir que je manifeste par une accélération. Alexa se réveille alors enfin, sûrement à cause des mouvements brusques que je lui impose.

– Alexa… Ma chère servante, montre-toi digne de recevoir mon pénis en toi !

— Ah… ah Maître… votre sexe… jouissez en moi !

Je me baisse pour l’embrasser. Ma poitrine cogne la sienne dans un gémissement coquin. Je ne la ménage pas et accélère mes va-et-vient. Mon ventre claque et Alexa crie de plus en plus fort. Finalement, je jouis en elle avec un cri de plaisir. Je me couche sur elle, essoufflé et transpirant de sueur. Ma partenaire semble aussi fatiguée.

– Maître, vous avez joui en moi… votre sperme est en moi… ah…

— C’est vrai, mais tu n’as pas le droit de la boire. Mais je vais t’accorder tout de même un nettoyage. NATACHA !

— Oui, Maître, m’avez appelée ?

— Entre !

Natacha entre dans la chambre. Elle semble stupéfaite mais aussi excitée, à en juger son visage reflétant l’envie et la malice.

– Alexa, comme tu le sais, est punie. Une de ses contraintes l’empêche de goûter ma semence. Occupe-toi en.

— Bien, Maître.

Alexa rougit de gêne lorsque son amie vient pour lécher la semence débordant de son vagin. Je lui laisse la place sur le lit, puis je m’habille. J’observe tout de même la scène avec attention tout en photographiant la scène ; deux filles nues, l’une couchée et l’autre lapant le liquide blanchâtre dans le sexe de son amie.

– Alexa, ta punition sera levée dans quelques heures, mais tu viendras me rejoindre dans tes toilettes, tu sais pourquoi…

Elle blêmit avant de se forcer à sourire. Je me dirige alors vers sa chambre en laissant Natacha terminer. J’arrive dans les sanitaires puis Alexa me retrouve.

– Je te rassure ma jolie, tu n’auras pas à avaler mes rejets intestinaux, du moins pas aujourd’hui. Mais j’ai tout de même envie d’une Alexa buvant toute mon urine. Fais-moi plaisir de tout boire…

Je la prends par l’épaule avant de la baisser au niveau de mon pénis. Je me place dans sa bouche, puis j’urine intensément. Le liquide chaud coule le long de la gorge d’Alexa, qui l’avale minutieusement. Au bout d’une vingtaine de secondes, je m’arrête et la laisse tout avaler.

– Désormais, tu es de nouveau libre de tes droits. Mais n’oublie, si tu me déçois de nouveau, je sévirai.

-*gulp* Oui, mon Maître.

Je sors de sa chambre puis je reçois un message de la part… de Thulas !

« Comment a-t-elle eu mon numéro ? »

« Salut Julien ! Tu serais dispo cet aprèm ?

Oui pourquoi donc ?

Est-ce que tu pourrais éventuellement, venir me prendre ?

Dois-je en comprendre que tu désires mon pénis ?

Oui mais c’est pas comme ça que je l’avais formulé.

Peu importe comment… Si tu tiens à te faire prendre, je choisis le lieu et l’heure donc ?

Oui.

Dans ce cas, rendez-vous à deux heures à ton sex-shop, je t’emmènerais autre part.

Oki, a+ »

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