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Mélanie, étudiante à Bordeaux – Chapitre 15

Mélanie, étudiante à Bordeaux - Chapitre 15



Le samedi matin, Lenoir déposa Mélanie rue Francis Garnier devant Décibel, le garage Yamaha Motos. La jeune femme se décida très vite pour un scooter présent dans le magasin, un X-Max 250 gris métal et noir ; elle choisit un casque assorti, des gants et un blouson gris et rose on est fille ou on ne lest pas -. Puis elle regagna la maison de son beau-père après un crochet rue Bonie pour passer devant lENM.

Maniable, léger et facile à garer, ce scooter était idéal pour une ville comme Bordeaux. Mélanie avait le permis moto depuis plus dun an mais navait pas le droit de conduire la Triumph Daytona 675 de Thomas car elle navait quun permis A2. Aussi son scooter la comblait particulièrement. Ce malgré ses fesses à vifs qui lançaient terriblement au contact de la selle.

Lenoir ne la toucha pas de la journée, la laissant seule une bonne partie de laprès-midi, avec pour mission de faire le ménage. Mélanie sactiva donc à passer laspirateur puis la serpillière dans toutes les pièces, tellement quà la fin elle était épuisée et en sueur, bien quelle travaillât nue. Elle finissait de se doucher quand Lenoir est revenu, peu après 18 heures.

Il agita sous le nez de la jolie blonde un sac noir qui paraissait assez lourd.

Voici ta tenue. Je lavais choisie il y a quelques jours en prévision de ton arrivée, mais tout na été livré quaujourdhui.

Sous les yeux curieux et inquiets de la jeune femme, il déposa un à un les articles sur la table du salon, en commentant au fur et à mesure.

Collier de contrainte, cagoule, écarteur buccal réglable, lunettes fumées, quatre bracelets, les chaînes en acier, le gode et sa ceinture de fixation, de nouveaux anneaux pour tes mamelons… Tout y est. Je vais pouvoir téquiper. Mais auparavant, noue tes cheveux en chignon.

Il fixa tout dabord les quatre bracelets, des articles en cuir noir et acier larges et lourds fermés par des cadenas. Puis il lubrifia le gode, un engin long mais surtout particulièrement épais, qui perturbait Mélanie. La suite lui donna raison ; malgré la souplesse de son anus souvent sollicité, lintromission savéra éprouvante. Enfin ses muscles lâchèrent et le massif sextoy senfonça dans les intestins distendus. Mélanie ne put retenir un gros soupir, mais elle resta stoïque et endura en silence.

Un large ceinturon en cuir noir étrangla ensuite la taille de Mélanie, là encore Lenoir le sécurisa avec un cadenas. Deux sangles descendaient à lavant, encerclant le pubis et le tatouage « esclave 32 », passaient dans le jonc du gros cadenas condamnant laccès vaginal, et se rejoignaient dans le dos. Bien sûr, un autre cadenas les fixa au ceinturon. Ainsi, le gode ne pouvait plus être expulsé, seule sa large base plate dépassant un peu.

Voilà pour ça. Tu le trouves comment, ce gode ?

Un peu épais, mais parfait, Monsieur. Idéal pour dilater le cul de votre petite salope.

Tu mériterais une punition, pour te montrer sarcastique.

Comme il vous plaira, Monsieur.

Jen aviserai les invités, on verra si tu fais autant la maligne. Le collier, maintenant.

Mélanie pesta intérieurement, elle navait pas envie de servir de punching-ball public. Lenoir installa ensuite le collier, le bouclant avec un cadenas de plus, avant de lui faire enfiler la cagoule, un modèle en cuir noir qui recouvrait toute la tête de Mélanie, là encore un énième cadenas se fermait sur la nuque. Seuls restaient visibles les yeux et la bouche.

Pour tes nichons, jai prévu des anneaux dacier, ce sera plus tendance que les trucs en or que tu portes.

Il remplaça donc les deux anneaux puis recula pour examiner son oeuvre. Satisfait, il prit lécarteur buccal, un appareil dacier comportant des molettes de réglages de chaque côté. Mélanie ouvrit la bouche sans attendre dordre et il inséra les demi-cercles dans la bouche entre lèvres et dents. Puis il écarta, dabord à la main, puis avec les molettes, jusquà provoquer des gémissements plaintifs chez sa cobaye.

Oui, je sais, mais je pense que tu peux ouvrir encore un peu… Je veux voir ta luette à trois mètres…

Mélanie saffolait car ses mâchoires se retrouvaient douloureusement écartées, elle salivait de plus en plus et ne pouvait plus avaler convenablement.

Tu vas te baver sur les nichons toute la soirée, cest parfait, petite pute. Allez, les lunettes… Ce sont des lunettes de motard vintage, tu as de la chance…

En effet, une sangle réglable les retenait solidement en place ; les verres fumés verts assombrirent dun coup la vision de la jeune femme. Il ne restait plus à Lenoir quà fixer les deux courtes chaînes, à peine trente centimètres pour celle entre les chevilles, lautre un peu plus longue entre les poignets mais reliée à la ceinture.

Parfait, tu es parfaite. Nue, enchaînée, mystérieuse.

Mélanie déglutissait de plus en plus vite, en proie à une gêne croissante. Elle gémit, tenta darticuler une plainte, mais Lenoir claqua ses seins dun revers de main, aller-retour, et elle se le tint pour dit.

Je ne veux pas que tu te plaignes ; pour ça aussi tu seras punie. Les invités vont arriver et je leur demanderai de te juger puis de te punir.

Sur lordre de son beau-père, la jeune femme alla dans le séjour à tout petits pas, la chaîne entre ses cheville ne permettait pas plus. Il lui incombait de dresser la table, servir les plats préparés par un traiteur, remplir les verres de vins sélectionnés par Lenoir, être à la disposition des convives.

La table mise, Mélanie était revenue dans la cuisine et attendait, à genoux dans un coin, les mains posées à plat sur les cuisses. Bien cambrée, elle avait appuyé le front contre le mur en essayant de faire abstraction de la honte qui lenvahissait à lidée dêtre exposée devant des inconnus. Quatre assiettes, trois invités plus monsieur Lenoir, quatre regards concupiscents, méprisants sur son corps, sur ses fesses marquées, sur ses gros seins.

Depuis laugmentation mammaire quatre ans plus tôt, sa poitrine était devenue et restée plus quimposante, contrastant avec la finesse de sa taille. Mais Thomas en raffolait et adorait se perdre entre ses globes moelleux. Mélanie fut tirée de ses pensée par la sonnerie du carillon. Les invités étaient arrivés.

Elle soupira en reconnaissant aussitôt le timbre de Freddy Sirocco, puis une voix féminine la fit frémir dhorreur, une voix quelle reconnaîtrait entre mille : sa mère faisait partie des convives !

Elle se rappela quelle lavait elle-même invitée au restaurant avec monsieur Lenoir lété dernier. Mais ce repas, à linitiative de Thomas, avait été froid et presque lugubre tellement sa mère était restée renfermée et glaciale avec elle.

Ma chère Sandrine, je suis heureux que tu sois venue. Ta chambre est prête, je monte ton bagage pendant que Freddy te fait les honneurs de ma modeste demeure.

Merci, Arnaud, mais je ne sais pas si je vais arriver à vous tutoyer, vous mimpressionnez trop.

Mademoiselle, Arnaud, bonsoir, lance une autre voix que Mélanie pensa connaître.

Don ! Sandrine, je te présente Don Minga ; il est moitié Français, moitié Ivoirien, et moitié Américain, pour faire bonne mesure. Il est acteur à Hollywood.

Bonsoir monsieur ; je suis désolée mais je ne crois pas vous connaître. Vous avez joué dans quel film ?

Des films pour adultes, ma jolie. Je tournerais avec plaisir avec toi. Tu as un corps parfait : petite, menue, blonde et un visage de collégienne !

Je viens davoir quarante ans, vous savez. Je crois avoir passé lâge pour tourner dans ce genre de films.

Mélanie se rappelait à présent de Don, un des quatre hardeurs qui lavaient défoncée sans pitié quelques années plus tôt. Elle le croyait Américain, et le voilà qui parlait français avec sa mère… Ils approchaient de la cuisine en badinant gaiment.

Détrompe-toi, ma toute belle. Ce qui compte, cest davoir un corps entretenu, une chatte épilée, des seins fermes. Et dêtre ouverte desprit et dailleurs, davoir tous tes orifices accueillants. Tiens, qui est cette minette ?

Oh ! sexclama Sandrine en apercevant Mélanie agenouillée. Mais… Que fait cette femme ici ? Monsieur Lenoir ! appela-t-elle.

Il entra dans la cuisine à son tour et désigna Mélanie.

Cest 32, mon esclave. Allez, debout, 32. Et vite, si tu ne veux pas que je tanne ton cul une nouvelle fois.

Sandrine semblait sur le point de partir en courant, et il sempressa dexpliquer :

32 est mon esclave, mais cest purement consenti. Si elle souhaite partir et renoncer à son rôle, il lui suffit de le dire. Nest-ce pas, 32 ?

Mélanie hocha la tête pour approuver, mortifiée de se retrouver nue et harnachée devant sa mère. À labri derrière ses verres fumés, elle en profita pour examiner cette dernière. Sandrine ne faisait pas son âge ; svelte et délicate, elle portait une petite robe noire qui soulignait la finesse de sa taille, et dévoilait ses attaches fines et ses cuisses fuselées. Pour lheure, son visage exprimait la stupéfaction en découvrant 32. Ses yeux bleus sagrandissaient de surprise en découvrant létendue de la soumission manifestée par la jolie esclave devant elle.

Tu veux que je te libère ? demanda Lenoir à 32.

La jeune femme secoua la tête négativement, effrayée à la pensée quil enlève son masque et que son identité soit dévoilée. Voyant cela, sa mère sapprocha delle ; malgré ses escarpins à talons hauts, elle était un peu plus petite que Mélanie pieds nus.

Si tu veux, tu peux toucher ses nichons, intervint Lenoir. Tu peux même les tordre, 32 aime ça ! Tu vois ?

Il montra lexemple en empoignant le mamelon gauche quil pinça en tournant les doigts dun demi-tour, arrachant un râle de douleur à sa soumise. Un sourire rêveur aux lèvres, Sandrine planta ses ongles au vernis noir dans laréole droite et tourna progressivement ; Mélanie hoqueta et gémit, ses yeux se brouillèrent de larmes. Quand sa mère recula, le bout de sein était gonflé et des demi-cercles rouges les ornaient.

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