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Mélanie, étudiante à Bordeaux – Chapitre 17

Mélanie, étudiante à Bordeaux - Chapitre 17



Hélas, au même moment Freddy réclama du vin ; Mélanie le servit et linstant passa, le charme était rompu. Sandrine se sentit inexplicablement déçue, mais nosa pas prendre la parole. Elle réalisa quelle avait soif et tendit son verre : elle navait plus de champagne.

Cest un Pessac-Léognan Malartic-Lagravière 2010, claironna Lenoir, une pure merveille, choisi par mon fils Thomas !

Sandrine opina ; même si elle ne connaissait rien en oenologie, elle savait reconnaître un bon vin, et celui-ci était délectable. Le dessert, un ananas bouteille frais flambé au vieux rhum Clément, était tout aussi savoureux. Mais Sandrine voyait arriver le moment quelle craignait et désirait tout à la fois, celui où son sort serait scellé. Lenoir sentit sa nervosité et se lança après avoir humé son café.

Messieurs, je vous laisse 32 pour la nuit. Disposez de sa bouche et de son cul à volonté, son vagin est clos et réservé à son maître. Je vais, quant à moi, moccuper de ma nouvelle petite pute. Je pense quelle sera docile. Je vais dabord lui tanner le cul, vingt coups de ceinture pour lattendrir, puis je passerai à la cravache pour mon plaisir. Tu as quelque chose à dire, petite pute ? Je te vois te tortiller…

Non, Monsieur… réponditelle dans un souffle, dune voix étranglée.

Alors cest parfait. Ensuite, je te défoncerai le cul. Tu te souviendras de cette première nuit.

Freddy et Don séclipsèrent vers la cave en poussant et guidant Mélanie qui avançait à petits pas, laissant Lenoir et Sandrine ensemble. Il la toisa un instant, lintimidant de son regard impérieux et glacial. Elle frétilla sur sa chaise soudain particulièrement inconfortable, consciente du plug qui vrillait ses reins.

Tu montes dans ma chambre, au fond du couloir. Tu te déshabilles et tu te places dos à la porte, jambes écartées et mains croisées sur la nuque. Bien cambrée ; et tu attends.

Bien Monsieur.

Tu sais que je ne vais pas être tendre avec toi ?

Oui Monsieur.

Et tu as peur ?

Oui, Monsieur. Et en même temps…

Oui ?

Je… Je vous fais confiance, Monsieur.

Bien. Je serai brutal, tu souffriras pour mon plaisir. Tu ne me décevras pas, petite pute.

Non Monsieur.

Il lui fit signe et elle détala, grimpant lescalier quatre à quatre. Lenoir attendit quelle disparaisse et descendit lescalier de la cave. Mélanie avait été libérée de ses chaînes, de lécarteur et de la cagoule ; à genoux, elle se faisait sodomiser par Don pendant que Freddy usait de sa bouche comme dun sexe, le pilonnant sans retenue.

Cambrée, les mains sur les hanches de Freddy, la jeune femme gémissait sans discontinuer sous les assauts puissants des deux hommes. Ils échangèrent rapidement leur position et Freddy senfonça dune poussée dans lanus béant quil entreprit de défoncer à son tour, pendant que Mélanie gobait difficilement les grosses couilles lisses du Black.

Satisfait de voir ses deux amis profiter pleinement de 32, il remonta lescalier et gagna sa chambre. Sandrine était en position, il la vit distinctement frémir de la tête aux pieds quand elle lentendit entrer dans la pièce. Il lobserva un long moment en silence, la laissant se détendre un peu.

Écarte plus les jambes, on dirait une pucelle. Alors que tu es une pute, nest-ce pas ?

Oui Monsieur.

Alors dis-le !

Je suis une pute, Monsieur, parvint-elle à dire dune voix chevrotante.

En prononçant ces mots, elle avait envie de pleurer, mais en même temps elle était fière davoir réussi à les dire.

Tu as un corps magnifique. Tu as quarante ans ou guère plus et une fille qui a… Quel âge ?

Presque vingt-trois, Monsieur. Je lai eue très jeune.

Tu étais mère à dix-huit ans, alors.

Oui Monsieur. Trop jeune. Nous nous sommes mariés pour respecter les convenances, mais mon mari ma quittée très vite. Oh…

Lenoir remuait le plug, le retirant un peu pour lenfoncer bien à fond. Sandrine gémit, la respiration oppressée, mais ne bougea pas dun pouce.

Cest bien, petite pute. Tu as envie de ma queue dans ton cul ?

Oui… Oui Monsieur…

Il claqua violemment un fesse du revers de la main et Sandrine ne put retenir un cri.

Tu as déjà été battue ?

Non Monsieur.

Alors ne bouge pas, je vais te donner tes vingt coups de ceinture sur les fesses. Ta punition. Si tu veux que jarrête, tu choisis un mot. Ce sera ton mot de sécurité. Allez, choisis…

… Euh… Ananas ?

Eh bien, pourquoi pas ? Si tu dis ananas, jarrête tout.

Et vous serez déçu, supputa Sandrine.

Oui. Et tu repartiras chez toi sans être allée au bout de tes rêves.

Sandrine ne répondit pas, ce nétait pas nécessaire. Elle ne savait pas pourquoi mais elle avait envie de plaire à cet homme. Il limpressionnait par sa carrure imposante et son visage dur, il la captivait aussi. Quelque chose naissait entre eux et elle nallait pas abandonner pour quelques claques sur le cul. Elle retint de justesse un cri en serrant les dents, une douleur intense traversait son corps en provenance de ses fesses. Sans prévenir, il avait abattu la ceinture sèchement. Les larmes aux yeux, la petite blonde peina à rester en position, de grosses perles roulant déjà sur ses joues.

Voilà déjà un coup. Comment tu as supporté ?

Ça fait mal, Monsieur, je ne pensais pas à ce point.

Tu vas supporter les dix-neuf autres ?

Oui, jen suis sûre… Monsieur.

Tu as failli oublier. Un coup de plus.

Si elle trouva la sentence injuste, Sandrine eut la présence desprit de nen rien montrer. Elle serra juste les dents pour endurer les coups suivants. À la fin, elle pleurait à chaudes larmes mais navait pas prononcé son mot de sécurité ; ses fesses étaient en feu, mais pas en sang, Lenoir y avait veillé. Il la prit dans ses bras et but ses larmes avant de lembrasser fougueusement.

Sandrine répondit spontanément à son baiser. Son corps nattendait que dêtre possédé, son ventre ruisselait et sa poitrine était douloureusement gonflée.

Tu as souvent été sodomisée, petite pute ? Par ton patron et dautres hommes ?

Oui Monsieur. Dire que jai aimé, par contre…

Et tu te sens prête, pour moi ? Je te préviens, je nai pas une petite bite…

Oui, vous pouvez disposer de moi comme vous le souhaitez.

Jai un baume apaisant pour tes fesses. Tu le veux tout de suite ?

Plus tard, Monsieur. Mais cest vous qui décidez.

Il sourit, satisfait, puis se déshabilla sans se presser, rangeant ses vêtements sur une chaise. Mais quand il se retourna vers Sandrine qui lattendait toujours au centre de la chambre, elle écarquilla les yeux en apercevant sa queue dressée, de loin la plus imposante et redoutable quelle ait jamais vue.

Je tavais prévenue, je suis bien monté, ce nétait pas de la forfanterie.

En effet, Monsieur. Je peux…

Elle sagenouilla devant lui sans attendre de réponse, mais leva les yeux pour quêter son assentiment. Comme il ne répondait pas, elle saisit le fût de chair et décalotta le gland, grosse prune mauve gonflée à bloc. Elle passa le bout de la langue sur le méat, heureuse de sentir frémir et durcir la lourde colonne. Puis elle avança et enveloppa le gland de ses lèvres chaudes, laspirant dans la moiteur de sa cavité buccale.

Il poussa un petit gémissement quand elle commença à pomper, les joues creusées par leffort. Satisfaite, elle leva les yeux pour les souder dans les siens, ses prunelles bleues pétillaient de plaisir ; il caressa ses cheveux et plongea les doigts dans leur luxuriance, la tirant à lui pour lui faire absorber une plus grande longueur de sa bite.

Je ne sais pas si tu sais faire des gorges profondes, mais tu dois apprendre, cest sûr…

Pour toute réponse, Sandrine sinclina un peu plus et déglutit, Lenoir sentit sa verge passer la luette ; en quelques secondes les lèvres de la jolie blonde plongeaient dans les poils de son pubis. Elle lui fit alors un clin dil tout en mordillant la base épaisse de sa verge. Jamais elle navait avalé un engin si long, mais en fin de compte la technique était la même, pensa-t-elle, ravie.

Poussant un grognement, il se vida directement dans sa gorge de bonnes rasades de semence, Sandrine ne bougeant pas dun millimètre pendant tout la temps que son sexe tressautait, distendant sa mâchoire au maximum. Le visage légèrement cyanosé par le manque doxygène, Sandrine recula et aspira une longue goulée dair pur avant de gober à nouveau le gland luisant et de le nettoyer soigneusement de toute trace de sperme.

Elle constata avec étonnement et plaisir que le puissant glaive navait presque rien perdu de sa rigidité, et il se dressait à nouveau dans toute sa splendeur, prêt à la pourfendre sans tarder. Elle en mourait denvie, son entrejambe ruisselait, quimporte si Lenoir choisissait un autre orifice. Sur un signe, elle se redressa, les bras le long du corps pour soffrir au regard concupiscent du superbe mâle devant elle.

Alors, tu as envie ? Tu es prête ?

Oui Monsieur. Prenez-moi comme vous le souhaitez, je vous appartiens.

Prends garde à ces paroles, petite pute. Je saurai men souvenir.

Sandrine frissonna mais ne répondit pas. Elle navait rien à retirer, pas un mot. Elle avait lintime conviction quelle lui appartenait désormais, corps et âme. Inexplicablement, elle savait au fond de son cur quelle avait trouvé celui quelle cherchait depuis toujours, désespérant de jamais le rencontrer. Elle avait quarante ans passés, lui en avait cinquante-quatre, mais lécart dâge ne leffrayait pas.

Ce qui la terrorisait, cétait quil puisse la rejeter, la renvoyer à sa vie morne et sans saveur. Lui préférer cette fille, cette esclave : 32.

Ce soir-là, il la posséda par tous ses orifices, parfois tendrement, parfois brutalement.

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