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Offerte à mon photographe et son Patron – Chapitre 2

Offerte à mon photographe et son Patron - Chapitre 2



Un peu plus tard, arrivait un homme distingué, style grande bourgeoisie, vieille France dirait mon père. Quand il me voit, ses yeux pétillent comme des feux clignotants. Il me baise la main, et s’assoit en face de moi. Très vite, il m’explique ce que veut monsieur André. Il m’explique comment on va procéder pour faire semblant. Je dis halte, c’est clair que je ne veux pas de trucage, je veux sentir, connaitre, vivre. Si ce n’est pas que pour moi, c’est aussi pour mon bonhomme maigrichon. Mon tout beau me prend la main, on vient de signer un pacte, tous les deux. Le distingué monsieur s’incline, debout en face de moi. Pourtant, en pro, monsieur André insiste pour y aller de manière progressive. On fixe des règles, comme quoi, pour commencer, tout s’arrête au premier sang. Et on est go. La main dans la main, on grimpe tout là-haut. Une fois dans la tour, c’est le paradis.

— « Vous savez, cette tour date du 16ième. Dans l’ensemble rien n’a changé. Le donjon est tout en haut. Alors, André m’a dit que vous aviez joui avec la cire ? »

— « Et comment, je n’ai jamais pris mon pied comme ça. Il n’a pas oublié de vous dire qu’il m’avait fessé avec sa ceinture. »

— « Non, pour tout vous dire, il m’a tout raconté. Il n’en revient pas que vous ayez aimé comme ça, à jouir de la sorte. »

— « Ben moi non plus, vous savez. Je suis la première à être sur le cul. Wow, c’est ça un donjon ? »

— « Et oui, comme à l’époque de l’inquisition, enfin, presque. On n’est plus à cette époque de sauvage. C’est là que je fais souffrir, que je dresse et que je fais jouir aussi.

— « Je vois qu’André y a son matos. »

— « Bien sûr, vous le voyez porter plus de 100 kilos de matériel sur le dos et le monter à chaque fois ? »

Je le pris dans mes bras, lui roulais une pelle d’enfer. En sachant que monsieur André voulait encore faire des photos, j’avais gardé mon corset sous mon pull. J’étais nue, monsieur Jean m’attachais face à une croix en bois. J’avais le grand frisson, comme sur un grand huit. Il claqua mes fesses, le mmmh qui sortit de ma bouche sembla lui plaire. André était près, moi aussi, un peu apeurée, je ne le cache pas. Monsieur Jean m’explique ce qu’il va me faire et je l’arrête immédiatement en lui demandant de me faire la surprise. Sur mes yeux, photos oblige, il me met une demi-cagoule, elle ne recouvre que le haut de mon visage. Derrière moi, le bruit d’un flash se fait entendre. Mon André se dit prêt, on est go.

Monsieur Jean me caresse le dos, sa main est douce, très douce même. Cela ne dure pas, les lanières d’un martinet lacèrent mon cul et les autres suivent à une vitesse presque excessive. Je le supplie de ralentir, je veux profiter un max de mon supplice. La bouche de mon bourreau se pose sur le mienne. En fin connaisseur, il va prendre son temps. Alors il espace les coups de martinet et je m’en délecte. Pourtant, il frappe fort. Enfin, il me retourne, je peux voir mon dos, mon cul dans un miroir, tout est rouge. Maintenant, c’est le côté face de mon corps qui va déguster. Solidement fixée à cette croix, je vois mon André poser une caméra. Monsieur Jean me remet ma demi-cagoule et rouler jeunesse. Ma poitrine est la première à faire les frais de ce martinet. Il ne fait pas réellement mal, mais c’est l’effet que cela procure. Dans ma tête, c’est le cinéma qui se fait dans cette partie de mon anatomie qui fait le reste. Et je jouis, jouis encore et encore. Il avait dit y aller crescendo, il tient ses promesses. Mon sexe ne bave dans tous les sens du terme, je mouille et il chauffe sous les lanières de ce martinet.

— On passe une vitesse de plus, la cravache. Dix coups par seins. Après, ce sera les pinces.

André photographie à tour de bras, sa caméra me filme. Je suis aux anges, mon corps brule d’un incendie qui ne s’est pas éteint depuis cette nuit. La cravache, c’est autre chose, les coups sont plus espacés, mais la douleur plus longue à s’estomper. De mes pieds à mes épaules, mes aisselles, tout y passent. J’avoue sans honte que je jouis en souffrant le martyre sur ma croix. Si mon père avait pu me faire jouir de la même manière, je ne lui en aurais pas autant voulu. Mais je m’épuise, le manque de sommeil, mes orgasmes à répétition. Les pinces commencent à mordre ma peau. C’est plus douloureux que je ne le pensais. Je n’y tiens plus et dis le mot magique et tout s’arrête. J’explique que j’ai présumé de mes forces, que je suis vidée. Là, monsieur Jean m’explique que c’est aussi le but du SM. Plus on épuise le soumis, plus il souffre. Sauf que là, j’en peux plus, je dis halte. Mon André me délivre après avoir arrêté la caméra. Il me retire ma cagoule, il m’embrasse tendrement. Monsieur Jean y va aussi de son baiser. C’est que lui aussi il embrasse bien. De retour chez moi, après une très longue douche avec André, il est là, sur mon canapé, il me baise et il me baise bien.

Mon maigrichon me parle chiffre, j’avoue que je ne suis plus en état de me faire une idée. Et à force de parler de chiffre, je m’endors dans le creux des bras de mon nouvel amant. Celui-là, je vais tout faire pour me le garder. Même si pour ça, je dois baiser avec d’autres ou me faire torturer. Mais ça, je crois bien le lui avoir dit dans mon demi-sommeil.

Quand mon réveil me sort de mes rêve, je n’ai qu’une envie, l’envoyer apprendre à voler par la fenêtre. Mon biquet d’amour roupille toujours près de moi. Je le couvre et file prendre une longue douche. Une tartine, un café et me voilà en chemin. Bah, c’est à peine à trois minutes à pied. Une fois dans ma superette, c’est parti pour une journée de jérémiade des clients, de la copine qui s’est fait paquée, du gérant qui a pas baiser ou mal baiser sa maîtresse à défaut de sa femme etc. etc. En gros, si vous ne l’avez pas remarqué, je suis le confessionnal de cette boutique. La mise en place terminée, on se boit un café et voilà, c’est partie pour les longues litanies et ça me gonfle.

— « Bon, les filles, je vous raconte mon weekend. Pour une fois dans ma vie, j’ai fait des folies de mon corps. Je me suis fait mettre comme jamais. Enculée, fessée, baisée et fouettée pincée, putain, je ne vous dit pas comment j’ai pris mon pied. Ok, ça vous va comme ça. Le pire de tout, c’est qu’il se peut qu’un de ces quatre matins, je vous en apporte la preuve sur papier, mes petits loups. Bon, c’est l’heure, ils doivent déjà faire la queue ces petits vieux. »

— « Mademoiselle, je ne sais pas ce qu’il vous a pris, mais je vous prierais de surveiller votre langage. »

— « T’es jamais sorti de ta coquille toi ! Faut sortir, écouter parler le peuple, pas les bourges. Ici, c’est un quartier populaire, on y parle comac. Et si ça te gonfle mon biquet, ben je te fiche mon billet que si je bossais dans ton quartier huppé, je parlerais comme toi, mon chou. »

— « Mademoiselle, je ne tolère pas ce ton avec moi ! »

— « Le tien non plus, il ne plait à personne ici. Si t’écoutais les clients, mecs ou meufs, tu pigerais. Mais t’es le cul vissé sur ta chaise, derrière ta vitre sans teint à te branler le nud en imaginant nous baiser. Oh, encore une chose, tu diras à mademoiselle de la Roche dans le cul qu’elle arrête d’appeler toute les dix minutes pour parler à choupinet. Sinon, je peux encore lui donner ton numéro perso. Elle en penserait quoi ta bourgeoise ? »

— « Jeje vais vous faire virer. »

— « Et tu leur diras quoi. Que je t’ai dit la vérité sur ton compte ? Mais bordel, ouvre tes mirettes. Regarde qui vient faire ses courses, bougre de crétin. Ne sois pas aveugle à ce point. »

— « Mademoiselle, on vous demande à la caisse. »

— « Bon, tu m’excuse, j’ai du taf, je ne me branle pas la quéquette toute la journée moi. »

— « Bravo ma grande, c’est bien fait pour sa tronche. »

— « Ah, vous voyez, monsieur le gérant le bien-pensant? »

À ma caisse, putain ce que je me sens bien. Je respire un bon coup, affiche mon plus beau sourire etmerde, André !

— « Salut ma beauté fatale, tu termines à quelle heure ? »

— « Heu 1 heure pourquoi ? «

— « Ordre supérieur, on signe en fin de journée et chez moi. Mais avant, je veux qu’on vide toutes les boutiques de fringues et de pompes pour toi, ma grande. »

— « Dites, Môsieur le gérant. Puis-je vous présenter monsieur le photographe, celui-là même qui me fit, excusez le terme, prendre mon pied de grosse vache que je suis, petit con ! Aline, tu peux me remplacer. J’ai encore deux mots à dire à cet asticot qui me les gonfle menu. »

Dans son bureau, je lui refais son CV de A à Z. Je ne tourne pas autour du pot, en gros, je lui souffle dans les bronches tout ce que j’ai sur le cur depuis4 ans. En sortant, je me sens légère comme une plume. Devant mes collègues, mon biquet d’amour m’embrasse à pleine bouche et me claque durement mon gros cul. Un sourire narquois et bye la compagnie, je vais commencer une nouvelle vie de salope à fouetter et à mettre.

Dans sa voiture, il m’emmène faire les boutiques. Pas seulement les plus haut de gamme, non, aussi les sexshop. Il me veut salope, il m’aura salope et sans concession. La vache, il dépense que pour moi, trois mois de mon salaire de caissière, une heure de pan-pan cucul. Il veut tout voir, tout me faire essayer. Si cela ne lui plait pas, il a cette petite badine à la main et mon cul pour passer ses nerfs amoureusement. Dans certaines boutiques cossues, on frise plusieurs fois le scandale. Je suis à fond dans le délire d’André. En toute fin de journée, nous arrivons à son studio, des sacs à ne plus savoir où les mettre. C’est en haut, sous le toit vitré qu’il me couche, me fait l’Amour comme un dieu, m’envoie au septième ciel. Puis, il m’habille de la plus belle robe que je n’avais jamais vue. Devant lui, il me semble que je deviens sa Mona Lisa, sa miss univers. J’en ai les larmes aux yeux de le voir si tendre, si doux avec moi. Son baiser sur mon sexe me met en ébullition, je ne me reconnais plus. J’ai insulté mon patron, lui ai dit ses quatre vérités et là, je suis toute chose, comme un bébé entre les mains de cet homme. En bas, monsieur Jean est là, distingué, beau du haut de sa cinquantaine. Derrière lui deux hommes en costard cravate sur mesure.

— « Ma belle, monsieur Jean a quelque chose à te dire. » Me dit mon photographe.

— « Mademoiselle, c’est moi le boss des journaux. Hier, avec André, nous vous avons un peu menti. Je m’en excuse. Mais je devais vous connaitre après ce que m’avait raconté André. C’est de loin mon meilleur photographe de charme. Mais vous, vous êtes devenue notre égérie en quelques heures. De plus, dans cette robe, vous n’en êtes que plus belle encore. alors, je vous donne ce contrat, il vous lie à André et à mon entreprise pour un an. Il est renouvelable sans limite dans le temps. J’espère me faire pardonner en vous offrant ce que vous portez, ce qu’il a, à ma demande et la sienne, acheté pour vous. Croyez bien que je le comprends quand il dit vous aimer. Je serais comme lui à sa place. »

« Jeje ne sais pas que vous répondre après tout ça. »

— « Juste une chose, ne changer rien de votre personnalité. André m’a raconté la mise en boite du gérant de votre superette. J’avoue que je me suis beaucoup amusé à l’écouter. »

— « Écoutez, depuis deux jours, j’ai un mec qui m’aime, me baise, me fait mal et qui me fait jouir. D’habitude, je suis la bonne copine, celle qui tient le chandelier. En plus, il y a vous et votre donjon. Pour un peu, vous auriez pu me violer que j’en aurais été d’accord. Tout ça, je ne le refuse pas, je serais bien conne, avouez-le, seulement, si je pouvais, comment vous le dire »

— « Quoi, prendre du recul, retarder votre décision ? »

— « Non, je signe, là, tout de suite. Maisnon, avec vos deux corbeaux, j’y arrive pas. »

— « Sortez-vous deux ! »

— « Merci. Hier, vous avez fait de moi une autre femme. Avant-hier, jamais je n’aurais pur dire à ce connard de gérant ses quatre vérités bien en face. Il va me virer, la belle affaire. Non, c’est à propos de ce qui s’est passée ici et dans votre tour, dans ce donjon. »

— « Quoi, vous ne »

— « Non, c’est justement le contraire que je veux. Si André est d’accord. J’aimerais que fassiez de moi cette salope qui vous manque dans vos canards. Mais je veux que ce soit André et vous, monsieur qui vous vous chargiez de mon éducation. »

— « Alors là, ma beauté, tutu me scie en deux, la vache, préviens-moi la prochaine fois. » m’avoue mon maigrichon.

— « Désolée, mon biquet d’amour. Mais tu m’as fait voir mon côté chienne. Etje me sentais bien dans cette peau de salope, de chienne. Je veux connaitre la soumission seulement si c’est vous deux. Que vous me filmiez, me photographiez ne me gêne plus. J’ai plus de famille, alors au diable les préjugés. Si vous voulez que les films soient distribués dans les boutiques de cul, je ne vois rien qui s’y oppose. Je t’aime André, je vous aime monsieur mon bourreau. C’est assez clair comme ça ? j’ai trente et quelques piges. J’ai rencontré un mec sec à moudre mais qui cache bien son jeu. En vous, j’ai trouvé celui qui m’fait découvrir l’autre facette de moi. »

— Ma Brigitte, permettez que je vous tutoie ? » Me demande Monsieur Jean

— Oui, monsieur, avant que je ne signe, j’aimerais que l’on ajoute un paragraphe très court. J’aimerais qu’il stipule que je suis une soumise sous contrat. Cela vous donnera pas mal de droit sur moi. Surtout si vous établissez les règles de nos jeux, de ma servitude. Voilà, maintenant, si vous voulez bien ajouter ces quelques lignes, cela me ferait plaisir. Enfin si monsieur André le veut. Désormais, je mets ma vie entre ses mains. »

— « Merde de merde. Jeje ne sais pas que te répondre. Jamais une femme aussi belle et pulpeuse que toi ne m’avait fait un tel effet. » M’avoue Monsieur Jean.

Je m’asseyais sur ce banc qui m’avait connaitre le bonheur de me sentir soumise, prisonnière. Je regardais monsieur Jean qui me regardait. Monsieur André me fixait, perplexe. Puis, monsieur Jean s’est assis, il a sortis une plume Mont-Blanc et écrit ce paragraphe en le lisant à voix haute, il me donnait ce contrait et le signais après l’avoir soigneusement relu. Je n’ajoutais qu’une chose : Propriété de monsieur André, photographe de charme de son état. Ma signature suivait, juste en dessous de mon nom en entier. Je tendais le papier, monsieur Jean s’est penché sur moi pour m’embrasser tendrement.

— « Jamais un homme ne reçut plus belle offrande que vous. André, vous avez là un trésor inestimable, prenez en soin. Quand à toi, Brigitte, je te promets de te faire découvrir d’autres plaisirs tout aussi jouissif que ceux déjà vécu. Désormais, il serait de bon ton que vous nous appeliez toujours monsieur. »

— « Je le fais déjà monsieur Jean ou Maître Jean. C’est selon votre convenance. »

— « Monsieur ira très bien. » Qu’il me répond tout sourire

— « Merci monsieur Jean, je vous suis très reconnaissante pour ce que vous faites pour moi. »

— « Oh mais je ne le fais pas que pour vous. Pour ma boite, c’est elle qui nous fait vivre, ne l’oublie jamais, soumise Brigitte. »

Soumise Brigitte, voilà que cela sonnait bien à mes oreilles. Je décochais mon plus beau sourire à ce quinquagénaire. Il m’embrassa à nouveau, caressant mon sexe déjà très mouillé. Il prit congé peu après. Pour un peu, je lui taillais une pipe !

Monsieur André me mit au repos, je portais encore les marques de mes sévices de samedi et dimanche. Mais cela ne l’empêchait pas de me baiser comme un dieu. Jour après jour, je vidais mon logement, remettais les clefs. Je reçus ma lettre de congé pour insubordination. Je suis allé la déchiré devant mon crétin de gérant en lui laissant des photos de moi, de celle qui va lui vider ses couilles de mal-baiser. Ce faisant, j’écrivais une longue lettre de plusieurs pages à la direction pour signaler ce gérant aussi con qu’incompétent. Après une rapide enquête, je reçus une lettre recommandée de la direction qui me proposait de me réengager. Je ne pris pas la peine de répondre. Avec monsieur André, je commençais mon éducation. Ma première leçon fut d’être attachée, la tête en bas. Monsieur Alain m’obligea de lécher une femme pendant qu’il me fessait de sa ceinture de cuir en nous prenant en photo. Deux heures durant je fus fouettée, recouverte de pinces qu’il retirait en tirant dessus. J’ai jouis, oui jouis à en mourir. En deux heures, il eut raison de mes forces. C’est cette femme, mince, au galbe plus que parfait qui me conduit dans le lit, sous le toit. Elle se coucha près de moi et m’aima une grande partie de la nuit sans que je ne puisse la faire jouir, à bout de force.

Jour après jour, semaine après semaine, je devenais soumise et même plus que ça. Esclave de mes désirs, de mes fantasmes. Monsieur Jean me fit connaitre le frisson du bondage. Monsieur André, le plaisir de jouir en laisse et en public. Mais un matin, il me fit cadeau d’une chose qui me rendit plus heureuse que la terre entière. Mes photos imprimées dans un recueil à mon nom. Monsieur Jean avait jugé utile, après huit mois d’une soumission sans faille d’éditer un livre en mon honneur de chienne soumise. C’est ne portant qu’un corset noir, des bottes à talon haut et un long manteau de cuir noir brillant et ouvert que j’allais le remettre à mes anciennes collègues. Devant elle, monsieur Jean, me fit mettre à quatre pattes et me fouetta mon cul de chienne à coup de cravache. Devant tous mes collègues du matin, je pris mon pied. Mon seul regret fut que cet imbécile de gérant ne soit pas présent. Je sortis de la superette à quatre patte jusqu’à la voiture. Monsieur André ouvrit le coffre, je m’engouffrais dans ma cage, heureuse comme tout.

Depuis, je suis l’égérie de quelques journaux fétichiste. Monsieur André et monsieur Jean m’exhibe dans des clubs SM. On me donne en pâture, on me baise, on me viole, que du bonheur pour une ancienne caissière. Je vis ma vie pleinement, sans aucun regret. Il n’y a pas un seul journal fétichiste dans le monde qui ne sort pas une fois dans l’année avec plusieurs de mes photos. Avec mes Maîtres, nous voyageons beaucoup. Du japon en Afrique du sud en passant par la Russie, je découvre le monde à travers ma soumission. Oui, je suis heureuse qu’on me fasse mal puisque j’en jouis sans comme une mesure. Je vous quitte pour me consacré à mes Maîtres désormais. Monsieur André et monsieur Jean ont décidé de passer à la vitesse supérieure, me faire anneler entièrement et raser mon crâne. Putain de dieu, je sens que ja vais encore prendre mon pied de putain.

Un tout gros merci à mon Chris. La salope te baise tes pieds avec déférence !

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