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Papa, moi… et mon fils – Chapitre 1

Délire sexuel de Gaïa et son chien Pool - Chapitre 1



Voici une histoire sur les gays à la demande d’un lecteur qui aime bien mes récits et qui m’a demandé si je pouvais aussi bien écrire des parties sexes entre mecs et en famille. A vous de voir…

Papa, moi et mon fils.

Chapitre 1 : Souvenir de vacances avec mon père

Je regarde mon fils qui sort de la douche tous nu et je me revois à son âge car il me ressemble beaucoup. Cheveux bruns et yeux bleus comme moi. Un peu maigre mais tout en muscles, il est beau et je me demande s’il a une petite amie, voir un petit ami, car il est assez discret sur ce sujet et je le connais que depuis peu car sa mère a disparue dès qu’elle a été enceinte. Elle a fini, a sa majorité, par lui dire qui était son père et il a débarqué chez moi il n’y a qu’une semaine.

Tout comme lui je ne parlais jamais de mes relations amoureuses et pour cause ! J’étais plus attiré par les hommes que par les filles. Avec un pote du lycée on s’est touché mutuellement et même sucé la queue à tour de rôle mais mon premier amant fut un homme plus âgé que moi. Mon père, Yann !

Mes parents sont divorcés et je suis parti en vacances avec mon père. Il a loué en bordure de plage un studio dans un gite avec une chambre et une banquette lit dans le salon.

Il me dit qu’il va prendre une douche avant d’aller dîner.

Du coin de l’il je regarde mon père se déshabiller en face de moi.

Je dois reconnaitre que mon père a un beau corps et je pensais qu’il allait garder son boxer pour aller dans la salle de bain, mais je me trompais.

Papa s’est levé et il a retiré son slip. Devant mes yeux j’avais une grosse bite qui pendait entre ses cuisses et moi qui croyais avoir une belle queue, j’étais loin de celle de mon père. Elle doit être énorme quand il bande !

J’ai essayé de ne montrer aucune expression alors que mon père se tournait vers la salle de bain et fermait la porte derrière lui.

Je n’arrivais pas à oublier son sexe. Cette vision m’avait un peu excité d’autant qu’il avait deux grosses couilles suspendues sous sa bite qui avaient l’air délicieuses. Quelle taille pouvait bien atteindre sa queue lorsqu’il bandait ?

Lorsqu’il sort de la douche, j’ai encore l’image du sexe de mon père dans ma tête, ses cheveux sont en désordre et il est complètement nu. Sa queue est à demi bandée et une goutte de sperme scintille sur le bout de son gland.

Dans mon pantalon ma bite s’agite un peu lorsqu’il me dit.

Ah, ça fait du bien ! A toi maintenant.

En regardant son gland brillant je lui dis.

On dirait bien que tu t’es amusé, papa.

Un peu dans l’espoir de le prendre au dépourvu et peut-être, de l’embarrasser un peu.

Papa baisse ses yeux sur sa queue, la saisit et la remonte en tirant sur son prépuce pour bien décalotter son gland.

Oh… je vois…

De son autre main il essuie le sperme avec un doigt avant de laisser son pénis retomber sur ses couilles et ça les frappe lourdement. Il retourne dans la salle de bain, essuie son doigt sur la serviette qu’il avait laissée tomber sur le sol et revenant vers moi il me dit.

La place est libre.

Papa me regarde lorsque que je commence à me déshabiller. Juste en slip, je me demande si je vais l’enlever devant lui, comme il l’a fait avec moi, mais il va voir que j’ai un sexe plus petit que le sien.

Alors fiston… montre-moi si tu as aussi une belle bite comme ton père.

Papa !

Quoi, t’es choqué ? Rassure-toi, je ne suis pas gay. Enfin… presque pas. Juste un peu bi-sexuel. Je veux juste voir… si tu as hérité de ton père.

Avant que je puisse dire quoi que ce soit, il s’approche de moi et il tire mon slip à mes pieds.

Merde ! Pas le pot ! Tu n’as pas été gâté par la nature autant que moi. Mais sans être aussi grosse, tu dois avoir quand même une belle queue quand tu bandes.

Papa attrapa sa bite d’une main et la secoue un peu.

Regarde, fils. Qu’est-ce que tu en penses ?

Papa commence à se branler et le gros morceau de viande entre ses jambes se gonfle et s’allonge jusqu’à devenir complètement dur.

J’en ai plein les yeux ! Elle ne doit pas être loin de 20 cm de long et d’une belle grosseur.

En voyant sa queue s’allonger, je suis encore plus excité que la vue du sperme qui brillait sur son gland au moment où il est sorti de la salle de bain. Contre ma volonté, ma propre bite s’allonge aussi sous le regard un peu narquois de mon père.

Je ne dis rien mais mon sexe est maintenant en érection et papa voit bien que c’est la vue de sa grosse bite qui me fait bander.

Toujours souriant mais avec un air pervers il me dit.

Approche fiston. Touche-moi ça.

Quoi !

Viens toucher mon sexe, je sens que tu en as envie. Vient prendre la belle queue de papa dans ta main.

Il prend ma main, la pose sur sa grosse bite dressée devant son ventre, et mon pouce frotte son gros gland tout doux, lisse et rougeâtre,

Sa queue se contracte sous ma main qui l’enserre et une petite quantité de liquide sort de son méat. Je passe mon doigt le long de son gland jusqu’à sa fente et touche son pré sperme. Je retire ma main et entraîne un fil brillant de pré sperme qui s’étire et se brise sur mon doigt.

Goûte-le, m’ordonne mon père.

Je lève mes yeux vers les siens et je vois dans son regard cette expression qui n’implique aucun refus.

Je baisse mes yeux et sans protester, je fais ce qu’il m’ordonne. Je déplace lentement ma main vers ma bouche et je tire ma langue. Je touche ma langue avec mon doigt et je lèche le liquide que j’ai ramassé sur son gland. Je retrouve cette saveur douce, un peu salée, que j’ai déjà goûté avec mon pote vicieux, et j’aime ça.

Papa prend mon autre main et la tire vers son sexe. Je le regarde de nouveau dans les yeux et j’ai l’impression de voir un prédateur qui fixe sa proie.

Papa place ma main sur sa queue et enroule mes doigts autour. C’est tout juste si je peux en faire le tour. Il a vraiment une grosse bite mon père. La hampe est très dure et chaude.

Je commence à bouger doucement ma main de haut en bas de sa bite, et je le branle doucement. Il soupire et ferme un peu les yeux.

Huumm, c’est bien mon fils… plus vite.

Je le branle plus rapidement et son prépuce se déplace de haut en bas sur son gland tout lisse chaque coup de pompe de ma main.

Ma bite n’a jamais été aussi bandé et dure et je sens que du pré sperme s’écoule de mon gland tout comme sur le sien.

Papa ouvre ses yeux et regarde sa queue que j’ai en main. Une belle goutte brille au bout de sa bite et lorsqu’il me regarde je sais ce qu’il veut. J’arrête de le branler et je lâche son sexe lorsqu’il pose ses mains sur mes épaules en exerçant une pression pour me mettre à genoux.

Son regard me dit vas-y fiston, suce papa.

Je suis tellement excité devant sa queue qui bouge a

quelques centimètres de mon visage qu’il n’a pas besoin de parler, j’ai envie de le faire.

Sous cet angle, sa queue est encore plus grosse que vue d’en haut. J’attrape son pénis et celui-ci se contracte une fois de plus, libérant encore plus de liquide de son méat et ça risque de goutter sur le sol.

Je me penche en avant, je tends ma langue et je récupère le pré sperme avant qu’il se perde en tombant par terre et ma langue entre en contact avec son gland.

Papa soupire et je recommence à le branler en décalottant bien son prépuce à chaque fois.

Gobe mon gland. M’ordonne-t-il d’une voix basse.

Je place mes lèvres sur le bout de sa queue et je l’embrasse doucement. Papa soupire et avec ma langue j’effleure la pointe de son gland décalotté et sa bite sursaute frappant mon nez. Je souris, je prends une profonde respiration et décide de passer à l’étape suivante.

J’ouvre ma bouche pour enrouler son gland de mes lèvres.

Oooohh, ouiiiii, gémit papa. Tu l’aimes la bite à ton père, n’est-ce pas ?

Oui, je l’aime son gros pénis. J’oublie même que c’est la bite de papa que je vais sucer. C’est gros dans ma bouche, c’est doux et chaud et je la caresse avec ma langue.

Va plus loin, fils.

Me dit papa en appuyant sur ma nuque.

J’ouvre ma bouche plus largement pour accueillir sa grosse bite alors qu’il commence à pousser ma tête pour la forcer à entrer.

Mon Dieu ! Il a vraiment une grosse et longue bite ! Elle remplit déjà ma bouche et il en reste à l’extérieur. Son gland est presque dans ma gorge et il continue de pousser ma tête. Je commence à étouffer alors qu’il essaye de mettre entièrement son énorme bite dans ma bouche. Je vais manquer d’air !

Il se rend vite compte que je prends dans ma bouche tout ce que je peux et il change de tactique pour la baise.

Il prend ma tête dans ses mains et il me baise la bouche en frappant le fond de ma gorge à chaque poussée. De cette façon, je peux reprendre une bouffée d’air à chaque fois qu’il retire sa grosse queue. Ça me fait mal à chaque fois qu’il s’enfonce dans ma gorge mais il me tient la tête fermement et je suis obligé de me laisser faire. De la bave coule sur mon menton et j’essaye toujours de caresser sa queue avec ma langue, de la sucer, mais c’est difficile car il me baise rudement ma bouche.

J’ai déjà goûté mon propre sperme et celui de mon pote, mais cette fois si c’est le sperme de mon père que je risque d’avaler. La semence de mon géniteur !

Pendant qu’il s’excite dans ma bouche, je sens que je suis en train de jouir car du sperme sort de mon gland et il coule sur le tapis en dessous de moi, alors que je n’ai même pas touché ma bite.

Je m’habitue a sa grosse bite veineuse qui glisse entre mes lèvres, à son gland qui s’enfonçait dans ma gorge quand finalement, je sens ses va-et-vient deviennent plus irréguliers. Papa gémit plus fort et sa bite devient encore plus grosse. Son gland se gonfle et se durcit. Papa ne va pas tarder à jouir !

Je vais bientôt jouir, fiston. Tu sais ce que ça implique ?

La bouche pleine je ne peux rien dire et je croise son regard.

Tu vas être une bonne petite salope et avaler mon sperme.

Sa respiration devient haletante, il gémit.

Aaaahhhhh, ouiiiii… déguste le bon sperme à papa, fiston.

Son gland repose sur ma langue et sa première giclée va directement dans ma gorge pour finir dans mon ventre. Sa deuxième salve est beaucoup moins puissante et une partie de son sperme atterri sur ma langue. Son jus est chaud et amer mais je tremble d’excitation.

6 jets de sperme plus tard, la bite de mon père se calme alors qu’elle sursautait pendant sa jouissance. J’ai tout avalé au fur et à mesure et je commence à sortir sa queue de sa bouche.

NON ! Laisse là encore dans ta bouche ! N’en perds pas une goutte !

Je reprends sa queue un peu moins dure dans ma bouche et lentement, je la tête comme un bébé pour en faire sortir les dernières gouttes jusqu’à ce qu’elle se ramollisse.

Finalement, il la sort de ma bouche et il tire le prépuce sur le gland de sa délicieuse bite. Avec un sourire pervers il frappe mes joues et ma bouche avec son sexe humide.

C’est une des meilleures pipes qu’on m’a faites. Tu as du potentiel fiston.

Et papa, sans rien dire de plus, va dans la salle de bain me laissant à genoux et à mes réflexions.

Je viens de découvrir que mon père a une énorme bite, il m’a forcé à la sucer, j’ai avalé son sperme ! J’ai aimé ça au point de jouir sans me toucher et c’est le premier jour de nos vacances ensemble.

Je me demande ce que les deux prochaines semaines nous réservent mais je sens que je vais adorer

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