Histoires de sexe français Histoires de sexe noir

Patricia, la mère de mon meilleur ami – Chapitre 2

Patricia, la mère de mon meilleur ami - Chapitre 2



Ca fait presque un an que Marions et moi sommes mariés et à peine deux mois après lui avoir dit "oui", je trouvais le moyen de la tromper avec Patricia. Nous avions convenus notre rendez-vous en forêt un dimanche matin. Je sais que Marion n’aime pas beaucoup de balader dans ce genre d’endroit et encore moins le week-end, quand elle peut dormir, donc elle n’émettrait pas le souhait de me suivre. De plus, on pensait que se voir à l’extérieur serait moins risqué que chez elle car la présence de ma voiture dans son quartier où l’on me connaît bien risquait d’attirer l’attention, d’autant que son fils Serge était en manuvres en Bretagne. A peine réveillé, j’ai honoré ma femme, d’une part j’étais très excité à l’idée de revoir Patricia, d’autre part, peut-être inconsciemment pour ne pas que Marion ait des soupçons. Cette dernière dormait, me tournant le dos quand j’ai fait glisser sa culotte vers ses chevilles et que j’ai maintenu sa jambe en l’air avant d’entrer en elle. Sortie de son sommeil, elle grommela :

"- Qu’est-ce que tu fais ?

— Ca se voit non ?"

Répondis-je en la pénétrant vigoureusement. D’ailleurs elle ne mit pas longtemps à glousser. Elle s’allongea sur le dos, s’offrant toute à moi qui pus la chevaucher en missionnaire. Déjà bien réveillé, je baisais Marion comme si je n’avais pas touché une femme depuis des mois, mais dans ma tête mes pensées étaient pour Patricia que j’allais revoir dans moins d’une heure.

"- Continue bébé, t’es bon, mon amour !"

M’encourageait Marion qui se mit à jouir en même temps que je lui remplissais le ventre. Mon visage enfoncé dans le creux de son épaule, je lâchais un cri de délivrance. On s’embrassa et je quittai le lit conjugal, laissant Marion se rendormir heureuse de ce qu’elle venait de vivre. Je fis un brin de toilette avant de prendre la route pour retrouver ma maîtresse tant désirée que je n’avais plus vue depuis mon mariage.

Quand je suis arrivé sur le parking à l’entrée de la forêt, Patricia était déjà là. Elle descendit de son véhicule, vêtue d’un bleu de travail et de bottes en caoutchouc. Il n’y avait personne mis à part un vieux monsieur qui promenait son chien. On se contenta de se faire la bise comme de bons camarades. Patricia avait toujours ce sourire enjôleur et rien qu’à la voir, j’étais tout émoustillé et bandais déjà. C’était l’automne depuis quelques jours, mais il faisait bon, le ciel était nuageux et laissait présager qu’il risquait de pleuvoir. On s’engouffra dans la forêt et avons marché un bon moment, en discutant de tout et de rien. De temps en temps nous croisions un joggeur, des promeneurs, alors nous nous enfoncions encore un peu plus dans la nature, faisant mine de chercher des champignons. Elle me dit :

"- Tu m’as manqué Bastien. Depuis ce jour où on a couché ensemble, je rêve de recommencer."

C’est le genre de compliment qui fait vraiment plaisir à entendre. On quitta le chemin principal pour un sentier obstrué de fougères et de mauvaises herbes. Complètement isolés, comme seuls au monde, hors de vue du chemin principal, Patricia s’arrêta près d’un grand arbre. En me regardant, toujours le sourire aux lèvres, elle baissa la fermeture de son bleu, dévoilant un soutien-gorge et un string en dentelle rouges. J’étais fou. Je me suis approchée d’elle pour l’embrasser. Nos langues s’entremêlaient tandis que je pelotais son corps, et baissai le triangle de tissu pour caresser sa fente épilée. J’ai vite baissé mon survêtement. Je bandais comme un âne. Patricia me prit dans sa main et me branla un peu avant de sortir un pied d’une botte afin de pouvoir ouvrir en grand le compas de ses jambes. En appui sur une jambe, elle enroula la seconde autour d’une des mienne telle une liane autour d’un tronc. Je pus entrer en elle et la laisser coulisser le long de ma tige. Une de ses mains agrippait fermement ma nuque. Je léchais ses seins aux courbes rondes et aux tétons fermes, mes mains enserrées autour de sa taille. La belle bougeait son bassin de haut en bas, essayant de retenir ses cris. D’ailleurs on entendait que les bruits de la forêt. Elle lâcha prise et se tourna, prenant appui sur l’arbre, se cambrant vers l’avant et m’offrant sa croupe :

"- Fourre-moi Bastien, je suis en manque."

Ni une ni deux, je m’enfonçais dans son vagin et y allais franco, à grands coups. Sans se soucier si on l’entendait, Patricia poussait des "han !" chaque fois que j’entrais en elle. Une fine bruine s’est mise à tomber, mais nous avons continué à nous aimer, d’ailleurs je ne mis pas longtemps à jouir. Sentant l’explosion toute proche, je l’ai dit à ma partenaire qui s’accroupit devant moi et me branla énergiquement. J’ai tout lâché sur son doux visage. Patricia avala une grande partie de ma semence, laissant filtrer entre ses lèvres des filets de salive et de sperme qui dévalèrent son menton, sa gorge jusque sur ses seins. Elle s’essuya le menton du bout des doigts et les passa sur sa vulve comme elle l’avait fait la première fois où nous avions baisé. Le crachin avait cessé. Patricia rompit le silence :

"- J’ai pas joui moi."

Je l’ai plaquée contre l’arbre et à mon tour me suis accroupis à ses pieds. Elle posa une jambe sur mon épaule, me facilitant l’ouverture de sa fente que j’embrassais à pleine bouche. Les bras au-dessus de la tête, ses mains tenaient le tronc comme si elle y était attachée et s’abandonnait à mes caresses buccales. Quel délice cette minette au goût de cyprine. J’introduisis mon index dans sa vulve et remontais ma bouche sur son clitoris. Je me mis à aspirer son bouton tout en le titillant de la langue. Le plaisir conjugué du doigter à celui du cuni, fit crier Patricia de plaisir. Elle lâcha le tronc pour appuyer sur la tête afin que je ne cessa pas mon activité. Je sentais son corps se raidir, se contracter. Elle lâcha :

"- Ouiiiiii ! Haaaaaaaa !"

Cela dura de longues secondes. Elle relâcha la pression sur ma tête et je me suis relevé. On s’est embrassés longuement avant de nous rhabiller. Nous sommes revenus sur le chemin principal pour regagner nos voitures. Arrivés sur le parking, Patricia dit :

"- Tu m’appelles quand tu veux qu’on se revoit Bastien."

Puis elle me fit la bise en bonne amie. Il était 11 heures quand je suis rentré chez moi. Marion dormait encore. J’ai filé sous la douche, content de mon aventure.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire