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Pensionnat – Chapitre 1

Pensionnat - Chapitre 1



J’avais postulé pour prendre la direction d’un pensionnat de jeunes filles en province. Un vieux château, un parc, la campagne autour, une dizaine de classe de seconde première terminale de filles et une équipe d’enseignants mixte.

La surveillante générale, la "surgé" m’avais paru un peu étrange lors de mon tour de présentation, elle m’avait plus ou moins tâté les couilles en attendant l’ouverture de la cantine, j’avais mis ça sur le compte de la maladresse… je m’étais trompé.

j’avais le bureau à coté du sien et une vendredi soir, je rangeais mes affaires quand j’entendis couiner de l’autre coté de la porte. Intrigué je m’approchais et entendai couiner de plus belle… la porte n’étais pas fermée à clé, je l’ouvrais…

Une fille était à poil, allongée sur un banc, sur le dos, les pieds par terre, sandales vernies chaussettes blanches, la jupe plissée bleu marine remontée sur le nombril, et se fourrageait de deux doigts dans sa mousse touffue, frénétiquement. Au bout de son corsage blanc d’uniforme trop petit pour ses seins serrés, sa tête disparaissait entre les cuisses de la surgé.

Cette dernière était à poils, debout, les pieds bien écartés dans ses chaussures à talon, et chevauchait en s’agitant la figure de la fille; La surgé était tourné vers les pieds de la fille et j’étais moi aussi dans l’axe du banc; j’avais donc, la chatte de la fille, les doigts dedans, une belle brune bien moussue au premier plan, puis la grosse chatte de la Pompadour (La surgé avait l’habitude de prendre des grands airs) qui se frottait sur la fille qui avait la gueule trempée, de la mouille de la surgé et de sa bave.

La Pompadour se paluchait salement les nichons en se pinçant les bouts entre pouces et index…

C’est elle qui couinait de plaisir!

La surgé lui disait:

Broute moi la chatte, salope, comme tu faisais à ta copine!

Broute moi la chatte et fourre moi ta langue dans le cul! Cochonne!

Lave moi le cul je te dis, je vais t’apprendre à cirer de la cramouille, connasse!

Elle était à fond Pompadour, elle ne m’avait même pas vu entrer!

Suce moi le cul pétasse ou je te dénonce!

Elle se tirait sur ses seins en tournant les tétons nerveusement.

Fouine moi le cul je te dis, que je sente ta langue!

Mieux que ça! plus fort!

Tu veux que je prévienne tes parents?

La fille répondait comme elle pouvait, avec des poils plein la gueule:

Pas ça, pas ça, je vous en supplie, ne dîtes rien!

Alors continues à me brouter le fion pétasse, je vais t’apprendre à tailler le gazon, sale chaudasse!

moi je commençais aussi à avoir chaud dans le slip!

Je peux participer à la leçon demandais je?

Ha, Monsieur le directeur, je vous attendais me dit la Pompadour!

Cette garce bouffe la chatte de sa copine en cachette et me prend pour une quiche!

J’ai les photos sur mon bureau!

En m’approchant, en effet, une belle photo la montrait la langue dans la chatte blonde d’une autre…

Je lui apprend les bonnes manières!

T’arrête pas chiennasse, continue de me manger le con!

J’avais pas trop envie de rester à rien faire, j’ai sorti ma bite;

Ça, c’est la bite du dirlo ma petite, elle n’est pas pour toi!

Je me suis mis aux pieds du banc.

La Pompadour, du coup s’est penchée en avant, a commencé à me pomper la bite, en continuant à se faire brouter les trous par la fille en question.

Elle savait y faire la Surgé, j’avais une trique d’enfer! Elle suçait, pompait, léchait et tortillait du cul en même temps!

Quelques minutes à m’astiquer comme ça, j’en pouvais plus!

J’ai envie de fourrer lui ai-je dit!

Je ne peux pas bouger, la petite est trop bonne à me bouffer comme ça!

Mettez moi votre bite derrière!

Bonne organisatrice la Pompadour!

J’ai fait le tour et lui ai perforé le con d’un seul coup! Faut dire qu’elle ruisselait la Pompadour, je lui ai remonté la bite jusqu’à l’estomac!

La petite était un peu coincée la dessous!

Toi, ne bouge pas ai-je dit, et lèche moi les couilles!

Ça va te changer un peu de la crâme de la surgé, sinon j’appelle tes parents!

Je prenais le pli.

Et la gamine de bien me baver sur les couilles comme si elle collait des enveloppes!

Je ramonais la surgé grave, j’avais le bite en béton et lui forais la chatte jusqu’à la glotte, elle en tremblait sur ses talons! La langue de la petite me chatouillait les valoches.

Putain que c’est bon de décalaminer une bonne chatte! Avouais je

À force de fourrailler de la sorte j’avais la purée qui débordait!

Je vais tout gicler dans le con, personne ne bouge!

La Pompadour se tortillait de plus belle:

Au fond le foutre, au fond le foutre!

Je lui balançais tout dans la crâme tandis que la petit garce continuait de sucer.

Des longues giclées bien épaisses!

J’avais l’impression de lui en mettre des litres, ça coulait chaud sur mes couilles, ça débordait salement!

Il y en avait partout, je n’avais pas vidangé depuis longtemps!

Toute la jute était collée dans la grosse chatte touffue de la surgé, ça faisait des gros paquets gluants, la fente suintait du blanc d’oeuf de mes couilles, et pendant ce temps, l’autre passait avec sa langue d’un trou à un autre, d’une touffe à l’autre… elle ne voulait rien perdre!

La Pompadour a pris tout son temps pour que la petite pute ne manque pas une goutte de toute la jute qui bavait de sa fente jusqu’au cul encollé.

Lèche moi encore je veux être sèche quant t’auras fini!

Pendant ce temps là, je m’occupais avec ses gros nibards qu’elle avait abandonné!

C’est vrai qu’elle couinait facile dès que le lui malaxais ses grosses pêches sans douceur!

Tu vas aussi me nettoyer la bite, que je ne salope pas mes affaires! ai-je dit à la petite garce.

Elle adorait ça mine de rien, et à la manière dont elle tournait la langue sur ma queue et avalait le jus, c’était pas sa première pine! Les couilles, les poils, elle aspirait partout consciencieuse, appliquée!

Une fois la bite lustrée et la chatte de la Pompadour désengluée, je me suis rhabillé:

La petite, dont je voyais enfin le visage était très jolie, brunette, genre colombienne, du foutre et de jus de moule plein la gueule…

Je viens d’arriver dans ce pensionnat… mais je sais déjà qu’on va bien s’entendre tous les 4!

Tous les 4 répéta la garce?

Oui, dès lundi, t’es convoquée avec ta copine! Je vais m’occuper de vous!

C’est sûr dirent elle en choeur avec un grand sourire!

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