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Prise à mon propre jeu – Chapitre 1

Prise à mon propre jeu - Chapitre 1



Bonjour à tous, je vais commencer par me présenter. Je m’appelle Cindy, j’habite une petite commune tranquille dans le Finistère, en Bretagne. J’ai 22 ans et suis encore étudiante. Je pratique le running, le fitness et un peu de Zumba avec mes surs. Physiquement, je mesure 1 m 66 et pèse 52 kilos. J’ai les cheveux longs, blond foncé. Ma taille de poitrine est 85 C et je suis fine, je mets du 34 en pantalon. J’ai beaucoup de succès avec les mecs, mais suis en couple depuis trois ans avec un homme qui me comble de bonheur.

Pour gagner de l’argent, je travaille l’été dans une usine toute proche de chez mes parents depuis trois ans. Jusqu’ici, tout s’est bien passé malgré un travail peu passionnant. Il se trouve que cet été, pendant deux mois, je suis sur la même ligne qu’un mec de mon âge et qui travaille là en CDI. Il ne me plaît pas du tout physiquement et surtout je le trouve très lourd. Il me drague sans cesse, fait beaucoup de sous-entendus… les premiers jours sont interminables !

Après deux semaines à aller au travail à reculons, je décide de changer mon comportement afin que les journées passent plus vite. Fini la fille froide et insociable. Je me mets à jouer avec lui, à l’allumer, à le laisser espérer, ça anime mes journées de travail sans que je prenne le moindre risque.

Mais à force de passer mes journées avec lui, j’y prends goût. Au fil des semaines, je me mets même à le rejoindre après la journée sur un parking abandonné proche du boulot et monte dans sa voiture. On parle de tout et de rien pendant quelques minutes, de sa famille, de la mienne, de mon couple, de mes études, de son sport…

Un soir, alors que tout se passe comme d’habitude, je remarque qu’il a une grosse érection sous son pantalon … Voir cette bosse m’excite et je pars totalement en vrille !

Je mets ma main sur sa cuisse et je le caresse un peu. Je fais semblant de n’avoir rien remarqué, mais avoir son sexe dur tout proche me donne chaud. Il met à son tour sa main sur ma cuisse et me caresse. Je mouille, mais je ne veux rien laisser paraître, tentant désespérément de calmer ma pulsion.

Puis lorsqu’il déboutonne mon pantalon, baisse ma braguette, je ne bouge pas, aucune réaction. Il met rapidement sa main dans mon string, je me surprends à lever un peu mon bassin pour lui permettre de glisser ses doigts le long de mon sexe. Il joue un peu avec mes lèvres puis entre deux doigts dans mon vagin trempé, il me doigte quelques minutes. Je gémis doucement, m’accroche un peu au siège.

Puis il baisse son pantalon et son boxer, délivrant son sexe que j’estime de taille normale, disons quinze centimètres et d’une largeur correcte, bien quatre centimètres. Il baisse ensuite mon pantalon et mon string, me doigte à nouveau, deux doigts, puis trois. Il y va plus fort, mes gémissements se font plus expressifs. J’entends les bruits de mouille lorsqu’il ressort un peu ses doigts puis les entre à nouveau, je perds le contrôle.

Je gémis de plaisir et finis par baisser ma tête vers son sexe, je lèche son gland puis le prends un peu en bouche. Je fais ensuite de longs aller-retour le long de son sexe, je le reprends en bouche, je finis par en prendre la quasi-totalité malgré une position peu confortable pour lui montrer ce dont je suis capable de faire.

Après plusieurs minutes, il allonge mon siège et passe par-dessus le frein à main, le levier de vitesse, pour se retrouver sur le siège passager devant moi. Je prends quelques secondes son sexe entre mes mains puis le mets à l’entrée de mon vagin. Je suis toujours toute mouillée. Il rentre tendrement et me prend doucement en missionnaire.

Presque trop doucement à mon goût, d’ailleurs après cinq bonnes minutes, je le retourne et m’assois sur son sexe. Je fais quelques aller-retour doucement puis je change de rythme, je bouge mon bassin de haut en bas, rapidement, cela dure plusieurs minutes. Lui relève mon débardeur et mon soutif pour toucher mes seins, les prendre fort dans ses mains, avant de me retourner à nouveau.

Il me reprend un peu en missionnaire, toujours tendrement, mais plus rapidement. Puis assez vite, il me change de position, me met à 4 pattes sur le siège, sur les genoux, mais appuie sur mon dos, j’ai les bras et la tête contre le siège, et là, il me prend très sauvagement d’un coup. Il donne de gros coups rapides et surtout très forts. Je me retiens comme je peux de crier, je mange le siège pour ne pas que l’on puisse m’entendre. Je suis sur le point de jouir !

Je veux qu’il me fasse jouir, je lui parle, "continue, continue, oui, encore, vas-y, vas-y, oui, oui, oui, ouiiiii, hooooo, oui, hoooo" ! Mais il jouit un petit peu avant moi dans un râle très fort et je continue à bouger mes fesses contre son sexe une bonne minute encore, enfin je parviens à l’orgasme. Je suis essoufflée, trempée. Cela aura duré une bonne demi-heure en tout.

Je m’allonge complètement sur le ventre, il s’allonge sur moi… je souffle, je regrette déjà, il vient d’éjaculer en moi… mon collègue de travail qui ne me plaît pas du tout ! Je pensais lui dire d’éjaculer sur mes seins, sur mon visage, mais jamais je n’ai envisagé qu’il puisse éjaculer en moi. Deux ou trois minutes suffisent à me faire reprendre mes esprits. J’ouvris la porte, je me lève près de sa voiture, enfile rapidement mon string et mon pantalon.

Je le regarde, je suis perdue. Je le salue et m’empresse de monter dans ma voiture, garée à côté. Je rentre chez moi. Pendant que je conduis, je sens son sperme dans mon string, contre mes lèvres.

En arrivant chez mes parents, je file à la douche, je pleure, je me déçois. Je regrette tellement de m’être fait prendre à mon propre jeu… Les deux semaines suivantes, je ne lui adresse pas beaucoup la parole. Lui s’en fiche, il n’en espérait pas tant et a eu ce qu’il voulait.

Depuis, il s’est écoulé quatre ans et je n’ai pas fait de nouvel écart. J’ai croisé ce mec trois fois dans la rue, chaque fois, j’ai évité son regard et accéléré le pas pour éviter qu’il puisse être tenté de m’adresser la parole.

Il m’arrive tout de même de repenser de temps en temps à ce moment, à son sexe, au moment où je l’ai entendu jouir, je me revois continuer comme une folle de bouger mes fesses devant lui pour atteindre l’orgasme… je revois ma tête ensuite, lorsqu’il est allongé sur moi qui suis sur le ventre, une tête déçue, déçue de moi-même ; je revois aussi sa tête, ravi, il aurait même bien remis le couvert tant il a dû être surpris d’être parvenu à me prendre ainsi, comme une chienne, dans sa voiture.

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