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Un soir au Pressing – Chapitre 1

Un soir au Pressing - Chapitre 1



Le pressing, enfin ! j’ entrai au sec et je me frottai les pieds sur le paillasson en laissant mon sac s’abattre lourdement sur le sol. Instantanément, je frissonnai de tout mon corps. La chaleur environnante fit ressortir le froid emprisonné dans mes vêtements, et j’en avait trop emmagasiné, la fraîcheur refusait de disparaître.

je m’aperçut soudain que je n’était pas seul dans la pièce. Un peu plus loin sur la gauche, une fille s’occupait d’une machine, me tournant le dos. je me dirigeai vers la droite, choisit une machine au hasard, y vidait mon sac. je tremblait toujours de froid et, la seconde fois que je croisai la fille du regard, je me sentit irrésistiblement attiré. Ses longs cheveux bruns ondulés formaient un rayon de soleil dans ce paysage gris et fade. Elle me tournait toujours le dos.

Je m’approcha d’elle, lentement. Elle portait une robe qui descendait sous ses genoux, et même de dos on devinait une poitrine assez généreuse de l’autre côté de son corps. La fille ne réagissait pas à mon approche. Quand je l’eu rejoint, je plaquai instinctivement mes mains sur ses fesses .

Elle sursauta, prise par surprise, et ne bougea plus.

Dans ce sursaut, je prit conscience du corps féminin sous mes doigts. Les fesses plates étaient entourées de formes généreuses, disposées aux plaisirs charnels. Son attente semblait indiquer qu’elle attendait de voir ce que je savait faire de mes mains avant de choisir si elle se laisserait aller ou me repousserait.

je naviguai sur toute la surface de ses fesses, s’imprégnant de la topographie des lieux.

Et pourquoi pas, après tout. Cela faisait un moment que je n’avais pas glissé ma queue dans une chatte douillette. je remontai vers les hanches, que j’effleurai. je passais la main sous son pull et chatouilla le nombril par dessus la robe.

Les fesses que je venais de parcourir reculèrent et vinrent frôler la bosse à travers mon jean. Mon sexe se réveilla furieusement, s’enflammant dans mon slip. Le contact était prometteur de délices lascifs. je montais m’occuper des seins ; je ne fus pas long à passer sous la robe, et découvrit un élégant soutien-gorge à colombages, surélevé d’une dentelle qui entourait des formes opulentes.

Le corps commença à onduler sous mes caresses. La fille mit les bras en arrière et me caressa les cuisses, puis les fesses. je me collait à elle et ses vêtements humidifièrent instantanément la robe et le pull. je me serait cru en pleine mer, en train de caresser une sirène.

Ces seins là ne devaient pas avoir beaucoup de concurrent dans le coin ; ils valaient la peine qu’on les parcourt longtemps, juste pour être sûr de me rappeler pareille chaîne de montagnes une fois qu’elle aurait disparu de votre vue.

ma compagne me frottait le pubis des fesses, manifestant de plus en plus clairement la présence de ses reins cambrés. Elle m’offrait à son désir et je ne manquai pas d’en profiter.

Lâchant un sein mais refusant d’abandonner le second – je soulevais le bas de la robe, caressa une jambe puis une fesse. Finalement, je m’accroupit en oubliant les seins ; ce cul plat cachait une autre merveille de lingerie écarlate, qui mettait les hanches très en valeur. je léchais les contours de la culotte, flattant la croupe au passage.

Les jambes s’écartèrent un peu plus sous mes caresses. Baissant par à coups la culotte, je dévoilais une chatte timide et bien entretenue ; les lèvres étaient renflées et agréables au toucher.

Ma langue y déclencha des sécrétions goûteuses ; apparemment, le minou n’attendait plus qu’un compagnon de jeu. je me redressais et pénétrais la chatte avec délicatesse. Le fille eut un grognement de plaisir, que j’approuvais volontiers. je commençais par ne pas m’aventurer trop loin, afin de m’assurer que l’endroit convenait à mon dard.

Celui-ci semblait très bien s’entendre avec la propriétaire des lieux maintenant que les présentations étaient faites, je pénétrais plus avant, entraîné par la chaleur intense qui régnait à l’intérieur.

Bientôt, je m’y trouvais si bien que je serrais la fille par les hanches et m’avança à mouvements lents et profonds. Le ventre que je visitais était d’une chaleur irrésistible au c?ur de cette nuit froide. Ma queue se mouvait dans une antre bien pourvue et confortable ; après la traversée des grandes eaux, rien ne pouvait être plus agréable.

je poursuivit ma visite de la caverne, ma partenaire debout devant moi, appuyée à la machine. Elle soupirait de satisfaction.

Après un temps, j’ eut envie de changer de position, mais je ne voulais pas trahir note anonymat respectif ; l’idée de l’effraction sexuelle nocturne me plaisait assez.

Je posais ses mains sous ses cuisses et la souleva de terre. je pus ainsi précipiter le corps charnu sur ma queue. L’effort fatiguait mes bras mais cela ne faisait qu’émoustiller mon dard, aussi je me forçais mentalement à prolonger le mouvement. L’eau qui me couvrait devint brûlante. Le corps qui remontait était une promesse, la descente une source d’infinis délices, et le fait que je contrôlais entièrement le mouvement me faisait perdre la tête.

A la fin, elle avait serré les chevilles autour de mon bassin et mes bras faillirent lâcher tant je ne voulait pas arrêter la pénétration. Dans un suprême effort, je réussit à la soulever plus haut et la déposa à genoux sur la machine. Et lui fit coller les fesses sur ses talons, alors je pus rentrer à nouveau, les bras noués aux siens.

Elle se pencha complètement en avant, allongeant son corps sur mes cuisses, et je me retrouvais à pénétrer une croupe proéminente, je pus observer tout son saoul les fesses joliment dessinées, le cul d’une fille qui surveillait sa ligne et mettait ses hanches en valeur. je la pénétrais ainsi à l’horizontale un long moment, comme si elle était un prolongement de ma queue, et quand elle redressait la tête sous l’assaut d’une vague de plaisir, j’avais envie de la baiser encore des heures.

Si bien ancré en elle que je refusais d’en sortir ne serait ce qu’une seconde, je la tirais en arrière, l’empalant complètement sur mon pieu étendu. je la fis reculer, déplier les jambes jusqu’au sol en l’empêchant de se redressée jusqu’à ce qu’elle se retrouve en levrette, le buste allongé sur la machine.

je sortis furtivement de sa chatte et plongea dans l’anus. Celui-ci était resserré mais il se dilata presque aussitôt. La fille poussa un cri. je tâchais de progresser encore dans ce territoire plus hostile, ma queue me brûlait et je me plaquais contre les jambes élancées pour pousser encore plus loin.

Elle ne semblait pas trouver ça moins agréable que moi. Ses cris se faisaient plus rapprochés, plus fort, et elle haletait abondamment. Quand mes mains s’égarèrent de nouveau sur ses seins, elle redressa la tête et rejeta un bras en arrière pour me saisir le cou, comme j’était penché au-dessus d’elle. je poursuivis mes explorations de plus en plus profondément dans le gouffre brûlant.

Le four qui enserrait ma queue promettait que je n’aurait plus froid, plus de souffrance, plus rien d’autre que plaisir, volupté et chaudes tanières accueillantes pour chaque partie de mon corps ; je me refusais à laisser échapper la chaleur quand l’éjaculation vint.

je ralentis le mouvement et l’arrêta complètement. je saisis les seins à pleines mains, respira l’odeur de ses cheveux une dernière fois. Puis je m’aperçut que son linge avait fini de tourner. je lâchais ma compagne, retournais à ma machine et récupéra mes vêtements.

je pris la direction de la sortie.

Me tournait elle toujours le dos ou s’était-elle retournée ? je pariais qu’elle s’était contentée de remettre ses vêtements en place, face à la machine.

En tout cas, je n’avait pas l’intention de tenter un regard, même pour vérifier, et je disparus dans la nuit ; la pluie avait cessé.

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