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Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie – Chapitre 5

Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie - Chapitre 5



— Pssst Emilie, ma puce chérie Emilie jolie

 Je fus réveillée par Rémi qui me secouait. D’après la luminosité, il était environ 5 heures, pas encore le moment de se lever Je marmonnais :

 – Huuuumpf quoi

 – Ma puce, réveille-toi, il faut qu’on discute pendant que les deux autres dorment toujours.

 – Huuum Moui, de quoi ?

 Rémi me caressait doucement les seins. Hummm. Pas convenu, ça

 – Tu te souviens, hier soir ?

 La remarque acheva de me réveiller. Merde. Oui. La sodomie. Oh non. Ce que disait Fred. Même lui, qui avait l’habitude, avait mal la veille.

 – Oui.

 Je me collai à lui. Son érection matinale se cala naturellement entre mes fesses. Rémi haleta. J’avais l’impression d’être un peu collante entre les jambes ; je me demandai brièvement si Rémi n’avait pas profité de mon sommeil pour se faire plaisir contre moi : il bandait lorsque je m’étais endormie.

 – Ecoute Emilie, tu as l’habitude ?

 – De quoi ?

 – La sodo.

 – Non, pas trop Mathias n’est pas fan J’aurais bien aimé, mais ça fait un an qu’il refuse systématiquement, va savoir pourquoi

 – Alors ça risque de faire très mal. S’il y a du réseau ce soir, il faudrait que tu sois prête.

 – Et comment ?…

 – Si tu veux, on peut voir ça tous les deux

 Je repensai à ce que j’avais entendu. « Putain ta queue est large, ça fait mal, je te jure » « Elle, je vais la baiser comme je te baise maintenant » « Je vais la lui mettre comme ça ! Elle va la prendre bien profond ».

 – Je je ne sais pas tu pourrais m’aider ?…

 – Oui ma puce, je peux t’aider.

 Il entamait de légers mouvements du bassin contre moi, mouvements que j’accompagnais involontairement.

 – Euh alors oui, s’il te plait Juste pour m’expliquer à quoi m’attendre, hein, vraiment, juste m’expliquer

 Il baissa délicatement ma culotte, en sentant son pénis contre moi je réalisai qu’il s’était déjà débarrassé de son boxer, avant mon réveil. Et, effectivement, ma culotte était souillée : il avait joui dessus pendant la nuit voire ce matin. Ce constat aurait dû m’énerver, pas m’exciter

 – Il faut que j’ai la bite bien dure pour t’expliquer ça, suce-moi un peu, ma puce.

 Je pris dans ma bouche son pénis déjà en partie en érection et le suçais quelques minutes, consciencieusement, sur toute la longueur, jusqu’à ce qu’il me fasse arrêter.

 – Bon parfait alors, je te montre ce qui va se passer Je ne sais pas dans quelle position Fred compte te prendre (mentalement, je rectifiai : me sodomiser. M’enculer. Me déchirer le cul), mais si c’est la même que celle avec Thomas hier soir il a parlé de fesses serrées, de poids du corps, de jambes autour. Je pense que Thomas était allongé sur le ventre (Rémi baissa ma culotte jusqu’aux genoux et me tourna doucement sur le ventre), avec Fred au-dessus, allongé sur Thomas de tout son poids, les jambes le long de celles de Thomas, les lui maintenant serrées. Comme ça.

 Il s’allongea sur moi, dans cette position. Son pénis, bien bandé, vint à nouveau se positionner dans ma raie. Il haleta légèrement et fit coulisser son sexe entre mes fesses.

 – Alors tu vois l’idée maintenant c’est d’arriver à te lubrifier, sans qu’il s’en rende compte.

 – Et comment je fais ?

 – Pour ça, il faut que tu arrives à être un peu excitée, et que tu prennes de ta cyprine dans ta chatte. Regarde, passe ta main par en-dessous, comme ça (il saisit ma main droite, l’accompagne sous mon ventre, jusqu’à mon sexe). Et il faut que tu trouves une pensée qui t’excites pour (il réalisa alors que je mouillais déjà. Forcément, en sentant son pénis bandé frotter contre moi) Hum, oui, comme ça Et maintenant, tu fais des va-et-vient, par en-dessous, entre ta chatte et ton anus, pour le lubrifier. Vas-y. Si Fred est assez excité et il le sera, ma puce, quand il verra ton cul magnifique il ne fera pas attention.

 Je commençai à faire comme me le disait Rémi. Hum, pas facile, il fallait abaisser fortement mon épaule pour bien passer ma main entre mes jambes par devant et atteindre mon anus derrière.

 – Bien Bien ma puce, comme ça, voilà tu peux même te mettre un doigt dans le cul, pour lubrifier un peu l’intérieur.

 Je suivis scrupuleusement ses conseils. Hum. Pas désagréable, cette préparation Ma respiration accéléra un peu.

 – Oui c’est bien comme ça Maintenant tu imagines qu’il positionne son gland sur ton anus

 – Rémi C’est juste une explication, on a dit, hein, pas une démonstration ?…

 – T’en fais pas (il positionna son pénis sur mon anus lubrifié). Je t’explique juste.

 Il poussa légèrement. Mon anus s’écarta un peu, sans le laisser entrer.

 – Donc maintenant tu imagines qu’il pousse plus fort, et qu’il te pénètre. Dans tous les cas, ça va faire mal, il faudra que tu te détendes au maximum. Si de ton côté tu « pousses », ça ouvrira ton anus et ça aidera.

 Je me détendis et je « poussai ». Effectivement, je sentis le gland de Rémi s’avancer, jusqu’à la moitié, sur le point de glisser en moi. Finalement j’avais presque envie qu’il me le mette, mais je n’osais pas le lui dire. Il resta un moment comme ça, semblant lui aussi hésiter, comme je me taisais.

 – Ca va, comme explication, ma puce ? Tu ne veux pas approfondir ?

 Je contractai involontairement les fesses.

 – Euh, non, ça ira, merci Rémi

 Il soupira, se retira en restant allongé sur moi et plaça son pénis entre mes fesses, se masturbant doucement contre moi et m’embrassant les épaules.

 – Emilie, ma douce puce, il faudrait quand même qu’on voie autre chose pour te préparer à ce soir.

 – Quoi donc ?

 – Quand Fred te sodomisera, ce sera brutal (Rémi accélérait son mouvement masturbatoire entre mes fesses). Il faudrait que tu sois habituée à ce genre de poussée, de pénétration brusque. Si tu savais à quoi t’attendre, tu aurais moins mal.

 –

 – Juste pour t’aider à anticiper.

 – Euh, et tu proposes quoi, du coup ?

 Il essuya rapidement son gland, se recula un peu, toujours allongé sur moi et acheva d’ôter ma culotte. Il plaça ses jambes entre les miennes, me souleva légèrement les hanches et se positionna entre mes jambes.

 – Le mieux est que je te montre, ma puce

 Il haletait en plaçant son pénis entre mes jambes légèrement écartées.

 – Ma puce ?

 Je ne savais plus ce que je voulais. J’avais envie qu’il me laisse tranquille, pour me reposer un peu en attendant l’épreuve qui m’attendait le soir, mais la présence de son sexe m’excitait. Je ne répondis rien.

 – Ma puce 

 Il mit son gland à l’entrée de mon sexe, attendit encore une dizaine de secondes, puis s’enfila d’un coup brusque dans ma chatte.

 – Aaaaah Ah c’est fort, Rémi, c’est fort

 Rémi restait ancré en moi, son pénis très dur au fond de mon sexe.

 – Oui ma puce, un bon coup de bite, bien au fond C’est comme ça qu’il te sodomisera, en y allant d’un grand coup, pour s’enfiler entièrement en toi. Ca va comme ça ?

 – Oui (je haletais légèrement) Mais c’était rapide, Rémi

 – Hum, alors il faudrait recommencer, pour bien prendre la mesure de la poussée, pour que tu comprennes bien.

 –   Je Je ne sais pas Peut-être.

 Il se retira, lentement ; je restai immobile sous lui. Je contractai involontairement mon corps et mon vagin à la perspective d’une nouvelle pénétration, au moment où sa queue coulissait hors de moi. Il haleta et je me mordis les lèvres pour ne pas gémir. Puis il me fourra à nouveau, brusquement, presque violemment, avec un puissant ahanement.

 – Aaaaaah oui, c’est bon comme ça, tu comprends mieux Emilie, ma puce chérie ?

 Il pesait sur moi de tout son corps, j’essayais de relever mes fesses pour me dégager un peu, mais il me plaquait entièrement sur le sol. Il haleta :

 – Ma puce Je ne suis pas sûr que deux fois suffisent

 – Je ne sais pas Je ne sais plus, Rémi, Rémi 

 – Il vaut mieux que je continue à te montrer, non ? Tu veux bien ? 

 D’une main et de ses jambes, il m’écarte d’avantage les cuisses. Il retire alors son bassin, m’arrachant un gémissement que je n’arrive pas à réfréner, me repénètre. Je halète. « Oh, c’est mieux comme ça, ma puce, je continue, je continue à te montrer. » Retrait, gémissement, pénétration brutale, halètement rauque de sa part, nouveau gémissement de mon côté. 

 Il reste planté en moi, je perds finalement le contrôle. « Oui, comme ça, tu m’expliques tellement bien Rémi ! » Retrait lent, pénétration violente. Nous haletons et gémissons ensemble.

 – Oh, Rémi, ce n’était pas la même poussée, la même intensité

 – Désolé ma puce, je refais ça mieux ?…

 – Si ça ne te dérange pas, encore

 Il se retire. Me pénètre. Encore. Retrait. Pénétration. Oui, encore. Encore. Encore. Je craque et le supplie de continuer, de me baiser fort, de me fourrer loin.

 – Vas-y Rémi, vas-y, bien en profondeur, oh montre-moi

 Il n’écoute plus et me pilonne la chatte en pesant de tout son poids, plaquant mes épaules au sol. Il balbutie juste « T’es bonne, ma puce, tu comprends vite, t’es bonne, t’es trop bonne. » Je ne peux plus parler, juste gémir le moins fort possible. Il finit par jouir longuement en murmurant « c’est comme ça que je rêve de t’enculer, depuis longtemps » Le sentir gicler en moi et me dire ça me fait jouir à mon tour, en étouffant mes cris.

 Nous restâmes un bon moment dans cette position. Rémi finit par rouler sur le côté et me serrer dans ses bras. Je serrai les jambes pour empêcher le foutre de dégouliner sur les duvets.

 – Si ce soir ça se passe comme ça, pense à bien respirer, profondément. Une expiration à chaque fois qu’il entre en toi : au moment de l’expiration, le corps se détend.

 – Je Merci Rémi Mais on avait dit qu’on le ferait plus, que c’était pas bien

 – Chut, ma puce, chut… Ce n’est pas une situation normale. Le seul truc pas bien ici, c’est ce que ces deux connards te font, pas ce qu’on fait, nous, pour que tu tiennes le coup.

 Nous passons l’heure suivante à nous embrasser, nous caresser doucement, nous masturber mutuellement sans aller jusqu’à l’orgasme. Je le prends même un peu dans la bouche, à moitié bandé, le léchant et le suçant doucement : j’aime vraiment retrouver ce vieux souvenir du lycée un goût du passé c’est rassurant Au moins, avec la tente, pas de risque que les autres nous voient.

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 Le jour complètement levé, nous nous préparâmes tous les quatre. Toujours la même routine, jusqu’au départ.

 Journée. Rando. L’étape entre Usciolu et Prati était assez technique : une ligne de crête à suivre, rendue délicate par la pluie de la veille. La concentration nécessaire me faisait un peu oublier tout le reste. Je me centrai sur la randonnée, profitant du paysage changeant.

 Soir. Nous arrivons au refuge de Prati, tout en pierres, dans une plaine. Nous installons les tentes (le temps est meilleur que la veille, mais cela semble naturel, en voyant les tentes des Allemands déjà prêtes. Et il fait plus froid, nous sommes à 1800m d’altitude).

 Repas. Allemands. Regard au téléphone : Fred avait raison, il y a du réseau

 Les Allemands vont se coucher. J’essaie de suivre le mouvement, Fred me retient en m’attrapant amicalement par les épaules.

 – Hey, les berlinois, on va faire une petite balade tous les quatre avant de dormir ! Ca vous dit ? 

 Bien sûr, ils refusent. Merde. Tous les quatre. On en avait discuté avec Rémi : il pourrait expliquer, en gros, la situation aux Allemands pendant que je partais avec Fred et Thomas, pour que les autres l’aide à maîtriser nos deux salauds et récupèrent le téléphone. Raté. Les Allemands nous font de grands saluts quand nous partons et me font des clins d’yeux appuyés. Allez savoir pourquoi.

 Fred me prit par la taille, accélérant le pas.

 – Allez, il faut marcher un peu pour atteindre un coin tranquille, on accélère, on accélère !

 Il nous faisait presque courir. Nous commencions à être vraiment loin, on ne voyait plus les lumières du refuge : nous étions bien éloignés, dans un accident de terrain, hors de portée de vue et de voix.

 Fred ne perdait pas de temps.

 – Vire le bas et allonge-toi sur le ventre. Thomas, tu t’assures que Rémi ne fait rien d’idiot.

 Je remarquai alors que Thomas avait pris une cordelette dans sa poche. Rémi recula.

 – Pas question.

 – Ecoute, mon vieux, si tu n’y mets pas du tien c’est Emilie jolie qui va en pâtir Là on compte juste lui faire ce qu’on a envie, mais si tu fais le vilain on va surtout lui faire mal

 Rémi blêmit et laisse Thomas lui attacher les mains. Avec le reste de la corde, il l’attache à un gros bloc. Je suis allongée à quelques mètres de lui, à demi nue, les jambes serrées. Depuis quelques minutes je me concentre sur la nuit dernière et le matin, et je passe discrètement une main sous moi en repensant à Rémi qui me pénètre. Fred ne fait pas attention, il vérifie que Thomas a bien attaché Rémi. Je m’enfonce à plusieurs reprises un doigt dans l’anus, le lubrifiant autant que possible.

 Fred arrive finalement vers moi. 

 – Alors tu t’es crue sauvée, hier, par le manque de réseau Franchement, ce n’est pas très mature de ta part. Tu devrais bien comprendre que ça m’a frustré. Que tu vas prendre doublement, ce soir, du coup. Pour hier et aujourd’hui. Alors que si, spontanément, tu m’avais dit un truc gentil, du genre « Il n’y a pas de réseau mais je sais bien que tu as les photos et la vidéo, alors tu peux venir me faire ce que Thomas m’a fait, c’est normal c’est ton tour », en écartant tes jolies jambes, ça aurait été beaucoup plus soft

 Je commençai à respirer profondément et continuai ma discrète lubrification dans la semi-obscurité.

 – Maintenant, tu vas prendre cher.

 Il s’allongea sur moi, enserrant mes jambes des siennes, sa frontale éclairant mes fesses. Une autre lumière, bleutée, me fit deviner un écran de téléphone : il filmait en même temps. Il avait manifestement baissé son pantalon jusqu’aux genoux ; sa queue était déjà en pleine érection. Il m’écarta les fesses et plaça son gland sur mon anus, puis resserra mes fesses.

 – Prête, Emilie jolie ? Et alleeeez !!

 Il poussa violemment. Je hurlai : malgré la lubrification, c’était douloureux. Il n’avait pas réussi à entrer en moi, seulement une partie de son gland. Il rit, se retira et recommença. Nouveau cri de ma part. Retrait. Poussée violente (ça m’évoquait la façon dont Rémi m’avait baisée ce matin, je ne pus m’empêcher de ramener ma main entre mes jambes). Retrait. Poussée. Je criai. Après plusieurs essais, il finit par entrer. Son gland était vraiment énorme, je sentais le début de sa queue derrière continuer à me dilater l’anus, mais moins : son gland était plus gros. La suite serait peut-être moins douloureuse, une fois qu’il aurait fini de m’enfiler. Il arrêta de compresser mes fesses, la douleur s’atténua un peu.

 – Putain t’es trop bonne, vraiment étroite du cul, je vais adorer te défoncer, petite pétasse

 D’une main il plaqua mes épaules au sol et commença la sodomie. Je gémissais. C’était un peu moins douloureux que je ne le pensais, mais tout de même Il y allait sans douceur. L’application des conseils de Rémi (pousser, respirer), aidait beaucoup. Mais je feignais de souffrir davantage, pour que Fred y croie et n’essaie pas de me faire mal.

 – Fred, j’ai mal, je suis trop serrée, ta queue est trop grosse.

 Il ricana.

 – Oui, il parait On me l’a dit très récemment, figure-toi. Pas un problème, je passerai le temps qu’il faut à t’élargir le cul, ma belle

 Il s’activait maintenant vigoureusement en moi, me sodomisant sans précipitation mais avec force, m’enfilant à chaque mouvement toute sa queue, avant de la ressortir lentement (il devait apprécier cette sensation, je l’entendais gémir lors du retrait) jusqu’à ce que seul le gland reste, pour me la fourrer à nouveau, plus vite. A chaque insertion, je criais faiblement, et à nouveau lorsqu’il se retirait. En sentant sa queue coulisser dans mon cul, je ne pouvais m’empêcher de penser à Rémi et de l’imaginer au-dessus à la place de Fred : il baisait ma chatte de la même manière ce matin. Je cessai de crier et me surpris à gémir non plus de douleur mais de plaisir.

 Il s’en rendit compte et finit par accélérer le mouvement.

 – Je savais bien que ça te plairait Petite salope Je te force le cul et toi tu en redemandes

 C’est alors que Thomas intervint.

 – Eh Fred, tu crois qu’il y en aurait un peu pour moi ?

 – Ta gueule, bordel, je me concentre pour lui limer le cul et filmer en même temps, viens pas m’emmerder

 – Allez, si tu me laisses passer en-dessous

 Je n’étais pas en position de décider quoi que ce soit. Je vis Rémi essayer furieusement de se détacher, en vain.

 Fred grommela et arrêta de me sodomiser. Il m’attrapa la taille et me souleva, permettant à Thomas de passer en-dessous. Ce dernier en profita pour mordiller mes seins au passage et lança :

 – On le fait comme avec l’Australienne qui était complètement bourrée, tu te souviens ?…

 Fred rit à nouveau.

 – Ah ouais, tu n’y vas pas de main morte, toi Je pensais pas à ça Du coup elle aussi on va la bourrer à notre façon

 – Moi aussi, j’ai envie de son petit trou

 Je ne comprenais pas. Il voulait me sodomiser, lui aussi ? Il fallait simplement attendre que Fred ait fini ? Je pensais avec soulagement que sa queue était fine, je la sentirais à peine

 Mais Fred ne se retira pas. Par contre, je sentis Thomas, par en-dessous, positionner sa queue contre celle de Fred, immobile. Oh non. Non. J’essayai de me débattre, en protestant et en criant. Thomas me bâillonna de la main. Fred brandit son téléphone devant mon visage. Trois barres de réseau. Qualité H+ : les images partiraient sans problème, la vidéo aussi. D’une main, il ouvrit la galerie des images : j’eus un aperçu de la vingtaine de photos qu’ils avaient prises. Et il lança la vidéo qu’il avait commencé à tourner pendant ma sodomie. Ce n’était pas la partie où je protestais, mais par contre on entendait bien mes gémissements et même de petits cris de plaisir qui m’avaient échappé ; on reconnaissait ma tête, tournée sur le côté.

 – Qu’est-ce que tu disais, petite pute ? « non » ? Non à quoi ? « Non Fred, sois gentil, n’envoie pas à Mathias et Lilou les vidéos où je gémis de plaisir sous ta queue et celle de Thomas, je ne veux pas qu’il sache que je suis une vraie pute, je préfère que tu me défonces gentiment avec Thomas » ? C’est ça ?…

 –

 – Hein ? J’ai pas entendu

 – Je C’est ça Ne les envoie pas

 – Tu préfères quoi ? Je veux l’entendre, t’entendre dire que tu es une pute qui aime ça, allez, un peu d’enthousiasme

 Il tourna le téléphone vers moi : la vidéo avait repris.

 – Je je veux que tu m’encules avec Thomas, parce que je suis une petite pute, j’aime les queues qui défoncent mon cul.

 – Parfait Allez Thomas, viens, on est bien, là

 Le gland de Thomas arriva à l’entrée de mon anus. Il avait pris son lubrifiant et en avait enduit sa queue. Il poussa, tout entra facilement, mais la douleur revint, brutale. Il grogna, je hurlai.

 – Aaaah, Fred, tu l’as trop écartée, j’ai même pas eu à forcer ! C’est de l’arnaque

 – Toujours à râler Tu l’as entendue, non ? Elle t’a bien senti arriver dans son cul, crois-moi.

 Je gémissais.

 – S’il vous plait, s’il vous plait, s’il vous plait J’ai mal

 – S’il nous plait ? S’il nous plait, nous n’enverrons pas les photos Si tu te laisses bien faire

 Ils commencèrent alors à s’activer tous les deux, en alternance, me sodomisant à tour de rôle alors que l’autre restait immobile en moi, avec des cris rauques. Je criai, à chaque mouvement, hurlant lorsque c’était Fred qui m’enfilait : sa queue, énorme, me dilatait à l’extrême. Thomas ne devait pas être déçu.

 – Aaah elle est bonne, la double sodomie, trop fort C’est dingue qu’elle arrive à nous prendre tous les deux ! Fred, je vais jouir

 – Alors tu te retires, tu as déjà giclé dans sa bouche l’autre jour, je garde son cul.

 Thomas, obéissant, se retira et jouit aussi vite, son sperme giclant entre mes cuisses. Il se retira d’en-dessous de moi ; Fred lui tendit son téléphone pour qu’il continue de filmer et s’activa de plus belle dans mon trou élargi par la double pénétration. La douleur s’atténuait. Je me concentrai pour imaginer à nouveau Rémi. Le poids de Fred écrasait, à chaque pénétration, mon bassin au sol, déclenchant une étrange sensation éloignée de toute douleur lorsque je sentais mon clitoris compressé.

 – Ah c’est bon, même comme ça quand tu es moins étroite, c’est trop bon de t’enculer J’adore ton cul ma belle, il est fait pour les grosses queues

 Je continuais à gémir, machinalement, et à balbutier :

 – S’il te plait, s’il te plait, s’il te plait

 – S’il me plait, quoi ma petite pute ? Dis-moi quelque chose qui me fasse bien plaisir (il haletait) et je viendrai plus vite

 – S’il te plait

 – Allez, fais un petit effort et je finis, promis

 – S’il te plait

 – Sinon, je peux encore tenir un bon quart d’heure dans ton cul, et quand ce sera fini te mettre quelques doigts pour continuer à t’entendre gémir et supplier. J’adore tes gémissements. Allez, je veux que tu me dises des choses gentilles !

 Je voulais qu’il jouisse au plus vite.

 – S’il te plait Je J’aime ta queue dans mon cul

 – Voilà, comme ça, continue (il haletait plus fort)

 – J’aime que tu me défonces, tu es énorme, tu m’encules bien, je suis ta pute et j’aime ta queue dans mon cul (mes cris entrecoupaient mes mots : il me pilonnait désormais sauvagement), mon cul tellement tellement étroit, tu tu me défonces complètement

 – Parfait comme ça, parfait, parfait, hummm

 Encore quelques aller-retour et il me plaqua contre lui en criant, éjacula dans mon cul, en quatre ou cinq fois, en restant bien planté au fond. Je sentais les pulsations de sa queue : elle était déjà très large, mais en lâchant le foutre elle me distendait encore plus, ce qui me fit longuement gémir, mon sexe se contractant involontairement dans un bref orgasme : je pensais très fort à Rémi. La chaleur du sperme se déversa en moi, je la sentis bien plus que lors d’une pénétration vaginale. Il se retira dans un bruit mouillé et finit sur mes fesses.

 Je l’entendis s’essuyer, m’essuyer alors que je restai étendue, inerte, sur le ventre, en geignant doucement. Il me dit de me relever et de remettre mon pantalon, ce que je fis avec difficulté en serrant fortement les fesses pour empêcher le sperme toujours en moi de tout souiller. Thomas détacha Rémi, qui lui envoya son poing dans le ventre. Fred m’attrapa par les épaules et me plaqua contre lui en me tordant le bras.

 – Eh, tout doux, tout doux, on ne fait pas de mal par ici sinon il y aura des dégâts

 Je fis un « non » de la tête à Rémi.

  Nous rentrâmes en silence, il n’y avait que Thomas pour grommeler de temps à autre qu’il allait casser la figure à Rémi.

 Nous rejoignîmes nos tentes. Avant d’entrer, j’enlevai mon pantalon, m’accroupis et tâchai de me détendre, pour expulser au maximum le sperme de Fred.

  ¨"°ºº°"¨¨"°ºº°"¨ Je finis par entrer dans la tente et me blottis très vite contre Rémi. Il saisit des mouchoirs, les mouilla avec un peu d’eau et entreprit de m’essuyer l’anus, délicatement, tout en m’embrassant.

 – Tu sais, j’ai en partie fait semblant d’avoir mal Avec tout ce que tu m’avais expliqué, ça a été moins douloureux que je ne le croyais, même la double pénétration, d’autant que Thomas avait mis du lubrifiant Ca a été plus dur quand Fred s’est excité sur mon cul déjà trop distendu, c’est vrai. Mais je suis prête à aller jusqu’au bout

 Il me serra contre lui sans rien dire, se contentant de m’embrasser doucement. Je réalisai alors qu’il pleurait. Je tâchai d’essuyer ses larmes et cherchai un moyen de l’apaiser. Je me positionnais, comme les autres soirs, dos à lui. Je baissai son boxer et ma culotte, puis lui chuchotai de se caler contre moi. Le contact de sa queue, curieusement humide (comme s’il avait joui récemment, mais ce n’était pas possible, n’est-ce pas ? il n’aurait pas pris plaisir à me voir sodomisée ?), m’apaisa. Il passa une main entre mes jambes et commença à masser mon clitoris.

 -Tu veux ? Pour te détendre un peu ?

 Je murmurai mon assentiment, en pensant que ça le détendrait lui aussi. Il me masturba doucement, sa queue frottant en rythme entre mes fesses et durcissant rapidement.

 – Pardon ma puce, c’est involontaire, c’est d’être contre toi

 – Pas de problème Rémi, tu peux continuer

 Il m’embrassa dans le cou en continuant ses gestes doux. Je commençais à somnoler lorsque je le sentis écarter mes cuisses et glisser entre elles son pénis désormais en érection, frottant sa hampe contre les lèvres de mon sexe. Il haletait en mordillant et léchant mon cou, je restais inerte contre lui, trop fatiguée pour réagir d’une manière ou l’autre. Il finit par pousser son gland en moi, de sa main qui me masturbait toujours, lorsque je sombrai totalement dans le sommeil.

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