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Un weekend bien chargé à décharger… – Chapitre 4

Un weekend bien chargé à décharger... - Chapitre 4



Elles se sont placées devant le sofa, l’une contre l’autre, prenant un bon appui avec les bras et leurs culs un peu surélevés. Le spectacle était magnifique, les deux fesses noires jointes aux deux fesses blanches, comme des touches de piano. La rondelle black montrait encore des signes de son récent enculage et je pouvais voir qu’Aanja poussait fort pour préparer la sienne au même traitement. Je me suis installé derrière cette dernière, non sans leur avoir au passage flanqué une fessée à chacune. J’ai saisi les hanches blanches d’Aanja et j’ai planté ma bite dans son con. J’ai été assez surpris de la sentir assez étroite, un peu comme un fourreau. En général, j’adore, mais là j’ai immédiatement pensé que cela allait être difficile de tenir la distance avec ma bite serrée comme dans un écrin. Je me suis donc forcé à prendre une cadence plus lente, ce qui me permit aussi, de la main gauche, d’enfoncer 3 doigts dans la chatte de Belinda. J’ai mis ma main droite sur le sillon fessier d’Aanja et j’ai lentement introduit mon pouce dans son anus.

Là aussi, je l’ai sentie plus étroite que sa complice. Moins de pratique… ou meilleure musculation ?! L’avenir me le dirait…

J’ai quitté la foufoune blanche pour la chatte noire, inversant aussi les rôles pour mes doigts. Le pouce dans le cul de Belinda, trois doigts dans le con d’Aanja. J’ai pistonné sa chaude cramouille, plus large et plus humide, à bonne allure mais en faisant attention à ne pas arriver au point de non-retour. Elle gémissait sous mes coups de butoir et arquait son corps pour que je puisse la prendre plus profondément. J’ai à nouveau changé les rôles. Retour dans la chatte blanche, mais juste pour 2 petits allers-retours car très vite j’ai placé mon gland à l’entrée de son anus. Elle a dû penser que j’hésitais car, comme une supplique, en se retournant vers moi, elle a lancé "vas-y, bourre mon cul, fourre ta queue dans mon fion…". Je ne me suis pas fait prier et d’un mouvement doux mais continu j’ai écarté les lèvres de son anus pour doucement la pénétrer jusqu’à la garde. Je l’ai sentie trembler, son rectum semblait comme vivant ; il avait gobé mon dard, avalé ma queue qui semblait du coup avoir toujours été là ! J’ai entamé une petite séance de va-et-vient ponctuée de claques bien sonores sur son joli popotin.

Et à chaque coup de piston, à chaque fessée, elle me haranguait "bourre-moi le cul, laboure-moi, prends-moi la rondelle…" Mais j’essayais d’y aller mollo car j’étais au bord de cracher mon foutre dans ses entrailles.

Tout à ma besogne, j’avais à peine remarqué que Belinda s’était éloignée. Jusqu’au moment où j’ai senti une de ses mains sur mes fesses. L’instant d’après, la salope m’injectait deux doigts dans la pastille. Ce n’est pas que je sois contre… bien au contraire ! J’ai toujours adoré me faire défoncer la rondelle. Célibataire, j’avais une belle collection de vibros et de plugs anaux. Mon ex avait vite découvert que je me mettais un ou deux doigts dans la rosette quand elle me branlait ou me pompait le chicon. Et encore plus vite, elle avait découvert les effets que cela avait sur moi quand elle s’en occupait personnellement. Elle m’ordonnait souvent de me mettre à 4 pattes sur le lit pour m’enfoncer 3 doigts ou un gode dans le cul. Dans ce dernier cas, les mains libres, elle en profitait pour me malaxer les burnes et me traire la bite.

Néanmoins, cette fois-ci, j’étais pris par surprise et la garce, grâce aux confidences de mon ex, devait savoir ce que ce genre de traitement avait comme effet sur moi… J’ai juste eu le temps de sortir ma bite du cul dAanja pour éjaculer dessus une belle dose de chantilly. Tout en maintenant ses deux doigts dans ma rondelle, de l’autre main elle a récolté un peu de sperme pour le porter à sa bouche, puis elle a fait de même vers ma bouche et elle m’a embrassé, profondément, longuement. Après tout ce qui venait de se passer, ce baiser me semblait totalement incongru mais j’y ai répondu avec fougue. Elle s’est détachée de moi, a encore pris un peu de sperme sur les fesses d’Aanja, qui récupérait de son enculade, et s’en est tartiné la chatte avant de m’ordonner de venir la lécher. Je m’y suis appliqué, espérant un peu vainement qu’elle aurait encore un peu de pisse pour m’abreuver. Mais elle semblait à sec. J’ai pris le peu de sperme qui restait et j’ai pommadé le minou d’Aanja. Puis, je me suis couché et l’ai invitée à s’assoir sur mon visage pour un bon face-sitting.

Belinda est venue s’assoir sur ma bite, qui conservait une belle consistance, pour commencer à se caresser l’entrejambe. Je ne voyais pas grand-chose mais j’ai senti que les deux vicieuses se rejoignaient par-dessus mon corps pour s’embrasser. Nous avons terminé ainsi, jouissant une dernière fois de concert, épuisés mais heureux de cette fin d’après-midi salace à souhait…

Les deux coquines, épuisées, se sont vautrées sur le divan, un verre de vin et une cigarette en main. Elles n’avaient pas l’air très fraiches, ni l’une ni l’autre, mais elles souriaient comme deux complices qui en savaient plus long que moi. Et moi justement, je puais comme un bordel de campagne, et je sirotais une bonne bière que j’avais été chercher dans le frigo. Je regardais mes deux jeunes salopes, me demandant si elles avaient prévu autre chose, ce qui se cachait derrière tout ça, ne pouvant croire que seuls leurs désirs de femme seules sevrées de sexe les avaient poussées à cette partie de baise un peu hors normes. Belinda fut la première à rompre ce silence récupérateur "Bon, faut penser à manger et mon frigo est quasi vide… Et de toutes manières, j’ai autre chose à faire que cuisiner !". Cette phrase répondait en partie à mes interrogations… Aanja proposa de se faire livrer un truc rapide. J’ai alors suggéré une brasserie-écailler que je connaissais et qui livrait des plateaux de fruits de mer très frais et copieux.

J’ai ajouté "On les aura d’ici une petite heure et c’est moi qui régale. J’ai besoin d’huitres, minimum 24, et peut-être de quelques moules !". Le plan fut rapidement accepté et lancé : 4 douzaines d’huitres, des praires, des oursins, une douzaine de grosses crevettes, une douzaine de langoustines, une bouteille de champagne et une bouteille de picpoul. Puis, nous nous sommes dirigés vers la salle de bain pour un bon décrassage bien nécessaire. À trois, c’était plus qu’un bordel de campagne, c’était un vrai lupanar !

Notre douche fut étrangement calme, sauf quelques caresses et quelques bisous… mais longue et soigneuse. Mais bon, vu les quantités d’urine, de cyprine et de foutre échangées, ce n’était pas du luxe. Ensuite, les filles sont allées dans le salon pour faire un peu de rangement et moi dans la cuisine pour préparer un bon apéro en attendant les fruits de mer. Je ne portais rien comme d’habitude mais Aanja avait "revêtu" un tablier de cuisine et Belinda une serviette de bain que sa généreuse poitrine portait assez haut !

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