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Une dette d'honneur chèrement payée – Chapitre 2

Une dette d'honneur chèrement payée - Chapitre 2



Une dette d’honneur chèrement payée (2)

ANTOINE.

Après ce qui s’était passé samedi dernier (lire le premier épisode),Serge a naturellement pensé que son mariage en avait pris un sacré coup dans l’aile ! Et bien non ! Sophie a bien fait la gueule durant tout le dimanche et il se voyait déjà ouvrir le canapé du salon, certain que le lit conjugal où il s’était déroulé tant de choses, lui serait interdit à jamais.

— Chéri, tu viens te coucher ? A-t-il entendu alors que, seul dans son coin, il essayait de s’intéresser au film vu et revu du dimanche soir.

Incrédule, Serge a éteint le poste et est allé rejoindre Sophie.

Elle l’attendait, assise sur le lit, entièrement nue.

— Il risqua un "tu n’es plus fachée" timide.

— Fachée ? Pourquoi le serai-je ?

— C’est que J’avais cru

— C’est que, mon chère et tendre époux, tu es un imbécile.

— Sophie !

— Oui Monsieur ! Un imbécile. J’ai deux choses à te dire. Ouvre bien tes oreilles, je ne le dirai pas deux fois.

— Je t’écoute !

— Et d’un : fini, nada, terminé le poker, même en jouant des allumettes.

— C’est d’accord ! Ce jeu est terriblement dangereux !

— Deusio : Greg, Toine Chris et Jeannot sont désormais nos invités permanent. Tu entends ? Permanent. Ce qui signifie qu’ils peuvent se pointer seul, à deux, à quatre, à midi, à minuit, quand ils le veulent. Ce qu’ils désirent, on le fait. N’importe quoi, avec moi, avec toi, sans toi, sans moi, avec nous deux, on le fait !

— Tu es sûre ?

— Absolument ! Et si cela ne te convient pas, il faudra alors sérieusement envisager une séparation. Tu as des questions ?

— Euh non ! Je ne crois pas !

— Bien, alors viens te coucher et baise-moi !

Serge ne s’est pas fait prier. En fait, il s’en sortait vachement bien ! Plus de dette, sa femme toujours aux petits soins et ses copains, ex-copains, redevenus ses copains. Sans compter une "initiation" qui, au prime abord, pouvait paraître traumatisante et qui, tout compte fait, lui avait ouvert des horizons nouveaux !

Il passe une bonne partie de la nuit dans sa femme en changeant d’orifice à volonté sachant ce qu’il savait désormais de ses goûts portés sur la diversité des positions du kama-sutra.

La semaine s’est déroulée en douceur. Amour tous les soirs. Sophie m’aimait toujours !

Un peu après le dîner, vendredi, il devait être entre 21 h et 21h30, Antoine s’est pointé.

— Je ne vous dérange pas ? Nous demanda-t-il avant de prendre place dans le canapé du salon.

Le regard appuyé de Sophie lui fit se rappeler leurs accords.

— Bien sûr que non Toine. Tu peux venir quand tu veux. Tu seras toujours bien accueilli !

Sophie hocha la tête discrètement pour lui faire comprendre sa satisfaction.

— C’est sympa ! Je me demandais si, après enfin vous voyez ce dont je veux parler

— Des cinq heures et quelques de baise et la petite séance "spéciale trou du cul" pour Serge, c’est bien de ça dont il est question ? Évoqua, mine de rien, Sophie.

Antoine faillit se relever. Elle lui fit signe de ne pas bouger.

— Du calme, mon vieux ! Je plaisante ! Tu sais que je n’aie jamais pris mon pied autant que ce samedi dernier ! Putain, j’en rêve la nuit !

— Et toi Serge.

— Ça va ! C’était une découverte qui ne manquait pas d’intêrets !

— Alors, on est toujours copain ?

— Bien sûr, idiot !

Sophie s’approche de lui jusqu’à se qu’ils soient à se toucher, poitrine contre poitrine et, d’un air plus que langoureux, lui demande :

— Tu restes dormir ce soir ?

— Je ne voudrai pas déranger.

— Alors, tu restes, c’est un ordre ! Que bois-tu ? Un whisky, je crois.

— Il est un peu tard mais va pour un whiwky !

Sophie a sorti trois verres et nous avons descendu la moitié de la bouteille avant d’aller nous coucher.

Nu sur le lit, je me branle doucement en attendant mes partenaires du soir. Sophie, saute sur le lit tel un chat, nue elle aussi, et vient m’embrasser.

Antoine debout au pied du lit paraît mal à l’aise.

— Et bien, vieux ! Tu viens ou on commence sans toi !

Sophie s’est arrêtée de m’embrasser. Elle regarde Toine d’un air amusé.

— Je ne savais pas que tu étais timide. En tout cas, samedi, ça ne se voyais guère.

— Samedi, c’était une partouze. Répond Antoine. Ce soir, c’est plus intime. C’est un peu comme si on était en couple.

— En trio, alors ! Aije aussitôt rectifié.

— Oui, en trio, mais c’est encore pire !

— Arrête de te poser des questions existentialistes, fous-toi à poil et amène ta queue. J’ai une faim de bite, tu ne peux pas savoir ! Dit Sophie en riant.

Avec un petit sourire et un haussement d’épaules, Toine s’est déshabillé entièrement.

Regardez un peu ce petit coquin ! Il bande comme un jeune puceau devant la statue de la Vénus de Milo !

— Attends un peu ! Tu vas voir voir ton cul ! Fit Antoine, en sautant tout debout sur le lit soudain excité.

— J’aime autant vous prévenir, les garçons, ce soir j’ai des idées un peu folles dans ma tête. Vous avez intêret à vous accrocher ! Pour commencer, toi, Toine, viens t’asseoir en face de Serge, écarte tes jambes et avance pour que vos sexe soient accolés.

Antoine s’exécuta sans bien comprendre où elle voulait en venir. Sophie recréa ce que Napoléon avait détruit. Les deux obélisque de Louksor, dressés côte à côte !

— Parfait ! Voici le plus bel esquimaux que j’ai jamais sucé !  Elle les embouche tous les deux et s’en régale un bon moment. Antoine et moi, en appui sur les bras n’avons rien d’autre à faire qu’à se regarder. Une discution ultra sensorielle s’établit entre nous. Nous seuls en connaissons la teneur.

Sophie se redresse.

— Si vous voulez bien tenir vos queues l’une contre l’autre. Demande Sophie en se positionnant entre les deux garçons.

Antoine, docilement, met sa main à la base de nos deux bites en les maintenant verticalement. Tous les deux venions de comprendre ce que cette petite dévergondée avait en tête. Et nous n’avions pas tord !

Sophie, accroupie, guidant d’une main les deux pieux dressés, pose sa chatte dessus. Dans un râle illustant bien l’indescriptible bonheur qu’elle ressent à cet instant, elle s’empale d’un coup faisant disparaître l’intégralité des sexes conjointement complices de cette pénétration forcée. Assise sur nos couilles, elle roule ses fesses d’avant en arrière pour augmenter encore, si c’est possible, la merveilleuse sensation d’être ainsi doublement prise, possédée au-delà de ce qu’elle n’a jamais ressenti.

Pour moi et visiblement également pour Toine, c’est l’extase absolue. La pression exercée, tant par les parois du vagin de Sophie que par la présence de son membre serré, emprisonné à côté du mien, nous emmène vers l’orgasme bien plus vite que nous ne l’aurions souhaité. Nous jouissons presque en même temps. Nos spermes mêlés s’écoulent sur nos testicules à chacun des mouvements de Sophie qui continue inlassablement de se donner du plaisir en roulant son bassin dans tous les sens.

Et puis c’est son tour. Une plainte grandissante, s’emplifiant de secondes en secondes lui envahit la gorge. Il a fallu qu’elle l’expulse et c’est dans un cri sauvage qu’elle se met à jouir.

Je ne l’avais jamais entendu beugler de cette manière !

Semie inconsciente, elle se laisse retomber en arrière, totalement anéantie, hors d’halène, la poitrine bondissante, le coeur complètement affolé.

C’est un spactacle unique, merveilleux, émouvant.

Nous restons à la regarder reprendre lentement ses esprits sans même profiter du point de vue dénué de toute pudeur que Sophie nous offre inconsciement. Son vagin refoule par sacades notre sperme qui n’a pas pu s’échapper avant.

Dix bonnes minutes passèrent avant que je décide de poser un pied à terre.

— Je vais chercher quelque chose pour nous redonner des forces en attentant que nous refassions le plein. Dis-je, en m’adressant principalement à Antoine, vautré sur l’oreiller, toujours incapable de mouvoir ne serait-ce que le petit doigt.

— Amène à boire aussi, Chéri ! Souffla Sophie, restée sur les dos, les cuisses largement ouvertes, les bras en croix.

— J’en avais bien l’intension !

— Putain ! Le pied que j’ai pris ! Eut encore la force de dire la jeune femme avant de laisser retomber sa tête sur les draps.

Serge remonte un peu plus tard portant un plateau chargé de denrées diverses et variées glanées dans le frigo. Coincée sous son bras, la dernière bouteille de whisky écossais, souvenir de leur voyage de noce.

— On dirait que ça va mieux tous les deux ! A table ! J’ai les crocs, pas vous ?

En un rien de temps nous avons engloui presque tout ce que j’avais apporté.

— Tu aurais pu prendre des verres pendant que tu y étais ! rouspéta Sophie.

— Et je les mettaient où, tes verres ? Enfilés sur ma queue !

— Idiot ! Il aurait fallu que tu bandes pour ça et, je ne voudrais pas dire mais là, c’est pas top !

— Attends que j’assimile tout ça et tu vas voir si c’est pas top ! Ai-je répondu en me frottant le ventre.

La bouteille passe donc de bouche en bouche et se vide de moitié avant que tout soit dévoré.

Antoine rote grossièrement.

— Oh la vache ! Ça fait du bien ! Excusez-moi quand même !

On rigole et j’en fais tout autant.

— Bande de crados ! Objecte Sophie. Vous n’êtes vraiment pas sortable !

— Toi, si t’es pas sage, tu vas voir !

— Paroles, paroles ! Chantonne-t-elle.

Je l’ai attrapée par un bras et attirée brutalement vers moi ce qui la fit s’étaler en traves du lit au grand dam du plateau et de la bouteille qu’Antoine sauva in extrémis.

— Eh ! N’allez pas gâcher de la bibine de cette qualité !

Il la posa sur le sol avec le plateau vide.

— On peut remettre ça les garçons. Vous vous sentez en forme ?

— Un peu, ma vieille ! Approche ton cul !

— Et bien justement ! C’est ça que je veux maintenant. Tout à l’heure, je vous ai eu tous les deux dans le con. Je vous veux maintenant dans le cul !

— Tous les deux ? Interrogea Antoine, surpris.

— Tu crois que ça ne va pas entrer ?

— J’ai pas dit ça ! Juste que j’ai pas encore essayé ce genre de truc !

— Moi je l’ai déjà fait ! M’empressais-je de dire, pas peu fier d’avoir, pour une fois, un petit avantage sur mon camarade. Il faut juste prendre le temps de lui ouvrir l’anus comme il faut et lubrifier un max. Après, tu rentres tout ce que tu veux !

— Si tu le dis !

— Serge Chéri, tu veux bien aller chercher le gel dans la salle de bain ? Merci.

Quand je suis revenu avec un tube tout neuf de gel à l’eau spécialement adapté aux "pénétrations délicates" comme précisé sur l’étiquette, Sophie était à quatre pattes, me tournant le dos.

Antoine, lui-même dans une position similaire, léchait avidement le petit trou de ma femme.

— Putain, Toine ! C’est une langue de chien que t’as, ma parole ! Tu me fais mouiller, tu sais. Braille Sophie.

— Tiens ! Arrête de lui détremper le cul et sers-toi de ça pour l’ouvrir. Vas-y doucement, hein !

— Mais oui, t’inquiette !

— Excuse-moi ! Juste que je me souviens de la manière dont vous m’avez enculé, tous les quatre. J’aurais bien aimé un minimum de préparation avant d’accueillir la bite de Greg.

— Elle était grosse hein, mon Chéri ! T’as dû la sentir passer !

— On peut dire ça comme ça oui !

Toine rendre maintenant deux doigts sans effort. Un troisième passe aussi après quelques aller et venu et quelques rotations du poignet.

— Tu sais, Serge ! Encore un peu et je lui rendre toute ma main !

— Oui ! Et bien alors arrête là ! Si tu l’ouvres de trop, nous n’allons plus rien sentir !

— T’as raison ! C’est bon quand ça serre un peu !

— Mon chou, tu préfère en levrette ou sur le dos. Lui ai-je demandé, grand seigneur.

— Les deux mon capitaine ! Commençez par la levrette, je suis déjà en position.

— Toine, tu passes dessus ? Ai-je proposé.

— Si tu veux.

Il se lève alors et, les jambes semies fléchies, avance au-dessus du postérieur de Sophie.

— Vas-y ! Enfile-toi ! Je te suis.

Toine, s’aide de sa main et positionne son gland sur l’orifice encore béant.

C’est une formalité d’y entrer toute sa bite jusqu’au couilles.

Sophie gémit à peine.

Je m’avance à mon tour et je pointe le bout de mon sexe, juste à côté de le hampe enfoncée des trois quart de mon copain.

— Sors un peu et quand tu rentres je vais entrer aussi.

La manoeuvre et la bonne et les deux queues sont désormais bien au chaud dans le cul de Sophie.

Cette fois, à l’introduction de la deuxème verge, elle a émis un petit cri, de douleur peut être.

— Oh, putain ! Je vous sens, les mecs. Bougez un peu pour voir.

Pas facile si on est pas rôdé à ce genre de pratique. Me me fait éjecter mais je m’empresse de regagner ma place.

— En même temps Toine, sinon, c’est le bordel.

On a fini par se synchoniser.

— C’est bon les garçons ! Continuez ! Exposez-moi le cul ! J’adore !

Dans un parfait ensemble, nous pilonnons avec vigueur le trou du cul de Sophie qui nous encourage par des cris ou des grossièretés à faire rougir le pire sadique.

C’est Toine qui s’est trouvé rejeté sans trop savoir pourquoi. Sophie en a profité pour réclamer la deuxième option.

Je me sors et me couche sur le dos en attirant ma chérie sur moi. Je la maintient en lui saisissant les seins.

La pénétrer n’est pas compliqué, la "porte" est ouverte à deux battants !

Antoine, dans une position semblable "au missionnaire" s’est approché  mais ça ne va pas comme il veut.

Il souleve les jambes de Sophie.

— Tiens-lui sinon je n’y arriverai pas.

J’ai lâché ses jolis petits nichons pour lui attraper les cannes.

Exposée de la sorte, Sophie s’offre à Toine sans difficulté.

Histoire d’en profiter un peu, il s’enfile d’un coup sec dans sa chatte, l’a lime quelques secondes puis s’applique à me rejoindre dans le petit trou désormais aisément accessible.

Là encore, Sophie salue la pénétration d’Antoine par un petit cri suivi par d’autres plus forts, plus passionnés, plus incontrolés. L’orgasme surgit, sans prévenir. Long, puissant, intense.

Surexcités par ses hurlements on se met à la ravager comme des sauvages jusqu’à ce qu’on explose à notre tour.

Nos trois corps se sont avachis mollement sur le lit. Toine failli même en tomber. Sophie qui avait roulé sur le ventre pour me soulager de son poids tente, tant bien que mal, de trouver un peu d’air.

Quant à moi, innondé de foutre sur mon bas ventre, j’attends, les bras en croix, que mon coeur veuille bien retrouver un rythme acceptable.

Sophie rampe jusqu’à l’interrupteur sur le côté de la tête de lit et plonge la chambre dans le noir.

Serge rêvait. C’était merveilleux. Il ne savait ni où, ni quand ni qui mais ce que son rêve lui faisait resentir était pur bonheur. A tel point qu’il s’en est réveillé !

Sophie, hier soir,n’avait pas pris le temps de tirer les rideaux, bien trop pressée de commencer une nuit de folie avec ces deux mâle en rut. Un gros quartier de lune diffusait sa clartée froide sur une partie du lit.

Elle s’était blottie contre moi. Sa lente respiration indique qu’elle dort à points fermés. Rien d’étonnant après la soirée que nous avions fait passer !

Ce que j’ai pris pour un rêve n’en est pas un. Antoine, à genoux entre mes cuisses me suçe avec lenteur, avalant ma queue presque bandée jusqu’où il en est capable puis remonte doucement, très doucement sur le gland. Il me caresse avec sa langue puis recommençe sa lente descente vers mes couilles en engoutissant ma queue jusqu’au plus profond de sa gorge.

Toine se rend compte que je suis réveillé. Il libére un instant mon membre luisant de salive pour me faire signe de ne pas faire de bruit en désignant Sophie du menton puis reprend sa fellation avec le même rythme longoureux.

Je ferme les yeux et me laisse faire. C’est trop bon !

Sophie se retourne soudain en marmonant quelque chose que je ne comprends pas.

Profitant de l’espace que Sophie vient d’abandonner, je murmure :

— Viens sur moi ! Non pas comme ça ! Tourne-toi !

Antoine comprend mon désir. En prenant mille précautions pour ne pas agiter le matelas il s’inverse et recule sur les genoux jusqu’à ce qu’il soit en position pour que je puisse lui prendre sa queue. Il en fait autant et nous  débutons un 69, s’interdisant de faire le moindre bruit de suçion ou de plaisir.

Cette situation m’excite bien au-delà de ce que j’aurais pu croire.

Ma femme, nue, couchée à cinquante centimètres de moi, avec une fesse que fait luire la lune et Antoine, couché sur moi en train de me tailler une pipe, lui même en faisant tout autant, tout cela me semblait complètement irréel.

Mes mains caressent ses fesses. Je suis surpris qu’elles soient si douces, presque autant que celle de Sophie. Par contre, elles sont plus fermes. Sans m’en rendre compte ou attiré inconsciemment par son petit trou, je commence à le caresser aussi, j’insiste, j’y prends du plaisir et tout naturellement, je le pénètre d’une phalange.

Antoine ne dit rien, ne réagit même pas. Je progresse en enfonçant mon doigt plus loin. Rien, pas même un soupir. Et si j’en mettais deux ?

Cetts fois, Antoine me fait savoir en me suçant d’une manière plus énergique que je lui fais quelque chose qui lui fait du bien. C’est en tout cas ce qu’il me plaît de croire.

Mes doigts entrent facilement sans que mon camarade réagisse négativement à cette intrusion. J’ai tendu le cou, abandonnant la verge pendante et réussi a atteindre l’orifice avec ma langue.

Antoine gémit au contact chaud et doux de ma bouche. J’ai peur qu’il finisse par réveiller Sophie.

— Arrête et lève-toi ! Fait pas de bruit !

J’ai dit cela tellement doucement que je doute d’Antoine m’ait entendu.

Si ! Antoine se laissa glisser hors du lit comme un serpent. Je l’imite aussitôt.

— Sors ! Va dans la salle de bain. Lui soufflais-je dans l’oreille.

Nous sommes sortis de la chambre sur la pointe des pieds en longeant le couloir dans le noir jusqu’à la salle de bain.

J’ai refermé la porte sans faire de bruit et seulement après abaissé l’interrupteur faisant jaillir la lumière crue du néon..

— Tu veux me prendre hein, c’est ça ?

— Exactement ! J’en meurs d’envie depuis hier soir, lui ai-je répondu.

— Et bien, figure-toi que moi aussi j’en meurs d’envie.

— De m’enculer ?

— Non ! Que ce soit toi qui m’encule. Rectifia Antoine.

— T’aimes ça ?

— Je ne sais pas !

— Comment ça, tu ne sais pas ?

— Je l’ai jamais fait !

— Jamais ?

— Non ! Mais j’en ai très envie. Samedi, quand je t’entendais couiner, je voyais bien que tu prenais un pied pas possible. Ça m’a donné l’envie d’essayer.

— Alors, c’est pour ça que t’es venu ce soir ?

— Oui ! Je crois bien que oui.

— Ok, mec ! Pour ma part, tu es le premier. Maintenant, un cul, c’est un cul. A y regarder de plus près, je ne vois guère de différence avec celui de Sophie, je parle du trou, et seulement du trou !

— Vas-y molo quand même !

— Dans le deuxième tiroir, prends le tube blanc et rose et donne-le-moi.

Antoine tendit le gel et j’en fit couler une noix sur deux doigts .

— Pose tes mains sur le rebord de la baignoire et écarte bien tes jambes.

L’orifice récement titillé par mes soins était encore souple et presque ouvert. Je n’ai pas eu de mal à y glisser mes deux doigts et enduire le conduit profondément. J’ai recommençé l’opération mais cette fois en me bornant à enduire généreusement l’anus et ses abords immédiats.

— Tu es prêt ? Détends-toi, ! Tu vas voir, ce n’est que du bonheur.

— Ça ne fait pas  mal ?

Avec ce que je viens de te glisser dans le cul, tu ne vas même pas te rendre compte que je suis dedans. Après, c’est une autre histoire mais c’est là que tu vas prendre ton pied.

Je me suis redonné un peu de vigueur en me branlant deux minutes tout en gardant un doigt dans l’anus d’Antoine.

Suffisament raide à mon goût, j’ai positionné son gland sur le petit trou qui ne méritait plus tout à fait cette appellation.

— Pousse ! Lui ai-je demandé.

Sa pastille s’est bordé d’un rose profond.

Et on a poussè tous les deux ! Antoine pour mieux accueillir son hôte, moi pour pénétrer mon copain.

Ma tige s’enfonçe de moitié. Antoine pousse un cri rauque contenu avec peine.

La porte s’ouvrir juste à ce moment là !!!

— J’en étais sûre ! Quand j’ai vu que vous n’étiez plus dans le lit, j’ai deviné que vous n’aviez pas besoin de moi pour faire vos petites affaires ! Ça va la bourre ?

— On commence tout juste. Antoine est vierge du cul. Il a fallu que je le prépare un peu.

— Mon petit Toine, comme ça, tu ne t’es jamais fait enculer ? Tu vas voir, c’est génial. Bon, je vous laisse. En vérité, je m’étais levée pour aller pisser. Si ça ne vous ennuie pas mais continuez, vous ne me dérangez pas.

Sophie s’est assise sur la lunette des WC et s’est soulagée tout en nous regardant faire.

J’ai reprit mes va et vient précautionneux en attendant de sentir Antoine détendu.

— T’es serré mon salaud, mais j’adore ! Tu dois vachement me sentir, non ?

— Un peu mec que je te sens ! Avec ta longue bite, je m’attend d’un moment à l’autre à l’avoir dans la gorge !

— Arrête de déconner et concentre-toi.

J’ai intensifié mon pilonnage en tenant fermement Antoine par les épaules tandis que Sophie s’éclipsait discrètement.

— Je vais me recoucher les gars. Amusez-vous bien. Murmura-t-elle en refermant doucement la porte.

Désormais, je peux le sodomiser sans crainte de lui faire mal. Je sors, rentre, resors, re rentre. L’anus de Toine est dilaté. Il reste grand ouvert et je s’amuse bien, surtout qu’à chaque fois que je plonge ma queue dans le gouffre béant, Antoine pousse un cri d’extase qui m’excite au plus haut point.

Soudain Antoine change de ton. Il ne crie plus, il hurle. Il jouit et gicle sur la faillance de la baignoire. Il n’en fallait pas plus pour que je jouisse à mon tour et emplisse les boyaux de Toine d’une grosse dose de sperme.

Hors d’haleine on se pose les fesses sur le rebord de la baignoire.

— Alors ? Ça t’a plu ?

— T’as pas idée ! Au début, pour être honnête, pas trop. Cette impression bizarre dans le ventre qui te remonte progressivement dans la poitrine, ça me faisait plutôt flipper. Mais, ou bien je m’y suis habitué ou alors elle a disparue et alors, je n’aie plus eu d’attention que pour ta verge qui me fouillait les trippes. Au passage elle affolait ma prostate et l’envie de jouir s’intallait doucement jusqu’à ce que je ne puisse plus la contenir. Là, mec ! Hirochima, l’éruption du Stromboli, tout ce que tu veux, du moment que ça explose. J’ai encore ton feu dans mon ventre !

— Eh bien ! Je n’aurai pas cru que j’étais capable de te faire autant de bien ! On recommence quand tu veux. Pour moi aussi ça a été super !

Antoine, du regard, me montre les petites flaques nacrées qui miroitent sur le carelage gris foncé.

Laisse tomber ! On nettoiera demain. Viens ! Allons nous coucher, je suis crevé !

(à suivre)

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