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Une excitation inattendue ! – Chapitre 3

Une excitation inattendue ! - Chapitre 3



Les jours passaient, puis les semaines. Je discutais toujours avec ce gars que j’avais croisé sur internet. Ils continuait de me faire partager la relation particulière qu’il avait la chance d’avoir avec sa mère, et l’excitation du secret qui les faisait se rapprocher toujours un peu intimement et partager leurs désirs, leurs fantasmes. Tout ceci me donnait toujours plus envie d’avoir la même relation avec ma maman, ou en tout cas de passer au moins une fois du rêve à la réalité.

En plus de cette ami virtuel que je m’étais fait, il arrivait que je revois quelques fois ma mère en tenue sexy, et de plus en plus en journée. Un changement que je ne pouvais que remarquer et qui m’excitait. La raison en était qu’elle voyait un peu plus ses copines et que certaines venaient enfin le dimanche à la maison. Moi et mes frères faisions leur connaissance. Elles étaient très belles et sexy, mais je préférait mater discrètement ma maman, attiré que j’étais toujours de voir sous ses jupes.

Un matin, alors qu’elle s’était apprêtée pour la journée car deux de ses copines devaient venir déjeuner à la maison et passer tout l’après-midi entre filles, je pus enfin voir son string, blanc sous une mini-jupe plissée noire, après avoir vu le haut de ses bas.

— Wow ! Me disais-je à moi-même.

C’était une vision bandante.

La journée était belle. Nous étions en plein printemps. Elle pouvait bien se permettre de sortir aussi légèrement. A la fac, j’en voyais beaucoup en mini-jupe, en collants, bas, ou peau nue. Les copines étaient vêtues de-même. Et cela ne pouvait que m’exciter toujours autant. Et cela devait durer tout le long du déjeuner.

Le repas terminé, je me proposais pour faire la vaisselle, leur permettant de continuer à papoter. Ma proposition lança toute une discussion autour de moi et de mes frères, comme quoi nous étions des enfants rêvés, serviables comme tout. C’est surtout pour me faire penser à autre chose que je m’étais proposé et ainsi mettre fin à mon érection. Heureusement, j’étais en jean, ce qui permettait à ma troisième bras de ne pas être aussi perceptible que si j’avais été en jogging.

Une fois que j’avais fini mes tâches ménagères, je retournais dans ma chambre sans dire un mot. J’avais réussi à faire passer mon excitation au second plan, mais cela faisait monter la pression en moi. Je stressait comme jamais et il fallait que j’évacue tout ça. Je m’installait ainsi sur mon lit, l’ordinateur sur ma tablette chevauchant mes jambes. Je retrouvais le tchat sur lequel j’avais l’habitude d’aller de temps en temps.

Ma mère revint seule en toute fin d’après-midi toute guillerette. elle m’avait prévenu, aussi j’avais commencé à faire la popote dans la cuisine. Elle nous embrassa moi et mon petit frère avant de se mettre un peu à l’aise en ôtant ses talons. Nous nous mîmes à table peu après. A la fin du dîner, je faisais à nouveau la vaisselle tandis que ma mère m’assistait pour débarrasser la table et essuyer ce que je mettais dans l’égouttoir. Mon petit frère regardait la télé dans le salon en attendant d’aller se coucher. C’est d’ailleurs qu’il n’allait pas tarder à faire aux environs de 21h. Ma mère et moi avions entre-temps rejoint le salon pour regarder la fin des informations et le film qui allait suivre.

Un moment donné, elle se leva.

— Bon Antoine (c’était le nom de mon petit frère) ! On va ranger tout ça, et tu iras au lit, d’accord ?

— Oui maman !

Et ils se mirent à ranger. Rien d’inhabituel jusque-là, sauf que ma mère était toujours en mini-jupe à quatre pattes sous mes yeux, et je ne pouvais pas m’empêcher de mater ses cuisses et ses fesses que je devinais sous le tissus de sa jupe. Globalement, j’essayais de faire mine de les regarder tous les deux en train de ranger ce qui traînait par terre. Je ne disais rien, mais je n’en ratais pas une miette de ce qui s’offrais à moi. Alors je me demandais s’il n’y avait pas quelque chose de volontaire ou si cela était vraiment innocent de sa part d’être aussi aguicheuse. Il fallait que j’en ai le cur net. J’attendais qu’Antoine soit parti se coucher. Le film avait commencé. Nous étions assis côte à côte sur le canapé. Je préférais attendre un peu. Au bout d’une demi-heure, la première page de publicité interrompît le film quelques minutes. Il fallait en profiter.

— Maman !

— Oui mon chéri !

— Ça va te paraître bizarre ce dont je vais te parler, mais il faut que je te le le dise.

— Vas-y ! me dit-elle en me regardant.

— Il y a que depuis quelques temps j’ai remarqué que tu t’habillais plus sexy, en mini-jupe et tout.

— Et ça te choque ?

— Ben non, pas vraiment. Je trouve même ça très bien. Ça veut dire que tu t’amuse. Que tu es heureuse. Mais le truc c’est que quand tu te baisse, tu reste les fesses en l’air et du coup, ben on voit presque te fesses.

— Ah bon !

— Oui ! D’ailleurs ce matin, j’avais même vu ton string.

— Parce que tu regarde sous ma jupe maintenant ?

— Non, enfin, si, mais c’est un peu de mon âge. J’ai 19 ans maman. Je ne suis plus un enfant. Donc, mes yeux sont attirés par la moindre parcelle d’intimité féminine qui s’offre à mes yeux.

— Tu as raison, je n’ai pas fait assez attention à cela. Pour moi tu reste mon garçon.

A ces mots elle m’embrassa sur le front, comme elle l’a souvent fait depuis aussi longtemps que je m’en souvienne.

— Ça ne me dérange pas maman. Tu peux continuer.

Elle me prit alors dans ses bras. Nous restions ainsi tout le reste de la soirée, collés l’un à l’autre. Mais cette position, suite à la petite discussion que nous venions d’avoir, provoqua une érection. Le pire était que j’étais cette fois-ci en jogging que j’avais troqué contre le jean durant l’après-midi pour être plus à l’aise installé sur mon lit. Je ne sais pas si elle se doutais de quelque chose, mais elle ne disais rien. Même à la fin du film, quand il fallait aller se coucher, je bandais encore et cela devait se voir, amis elle ne dit rien quand nous nous sommes levés, qu’elle se rapprocha et m’embrassa sur la joue pour se souhaiter une bonne nuit.

Quelle soirée ! Pensais-je quand j’étais sous ma couette. Il fallait absolument que je me masturbe, sinon je n’allais pas pouvoir dormir. J’avais pourtant déjà joui dans l’après-midi, mais ça n’était pas la première fois que je me masturbais deux fois dans la journée. Ma mère dormais dans la chambre à côté.

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