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Une rencontre mystérieuse – Chapitre 1

Une rencontre mystérieuse - Chapitre 1



Il se faufilait à travers les arbres, le ventre au ras du sol, vers ce parfum qui l’enivrait et l’emplissait de curiosité.

Lorsqu’il s’approcha de la clairière, il la vit, nue, debout au centre. Elle le regardait et tendit une main amicale vers lui. Elle était blonde et ses yeux verts étaient plein de douceur. Elle possédait un corps svelte et de jolies formes harmonieuses. Un halo de lumière lentourait, tel un ange.

— Approche mon loup, je ne te veux aucun mal.

Alors, de ses pattes douces et soyeuses, il s’avança prudemment jusqu’à toucher les doigts délicats de son museau. Le contact leffraya et il bondit en arrière.

— Tu ne crains rien. Je suis venu t’offrir un cadeau.

Son regard se fondit dans les yeux étrangement bleus de l’animal.

— Aujourd’hui, je vais te faire découvrir l’amour humain. Mais pour cela, tu dois m’accorder ta confiance.

Alors, le loup s’approcha de la jeune femme qui lattirait inexorablement de sa voix calme, si pleine de promesses. Lorsqu’elle posa sa main sur le haut de sa tête, il sentit tout son corps s’allonger et il s’aperçut avec stupeur que ses poils tombaient formant un duvet moelleux sur le sol. Lorsqu’il baissa son regard sur ses pattes, il fut surpris de les voir changer en main. Et il se rendit compte que la transformation avait touché son corps tout entier.

Il poussa un grognement craintif mais il sentit aussitôt la main de lHumaine se poser sur son torse. C’était un contact chaud, doux, tendre. Il leva les yeux vers elle, l’interrogeant du regard. Elle lui sourit et il sentit les battements de son cur s’accélérer soudainement.

— Tu retrouveras ton apparence dès les premiers rayons du soleil. En attendant, laisse-toi guider et tu connaîtras des plaisirs que jamais tu n’oublieras.

Elle fit le tour de l’homme-loup, faisant glisser sa paume le long de son torse, son ventre, ses reins, tout en déposant de petits baisers sur ses épaules et sa nuque. Lorsqu’elle revint face à lui, elle se mit sur la pointe des pieds et déposa ses lèvres sur celles de l’homme-loup. Surpris par ce contact, il recula d’un pas mais elle s’approcha de nouveau et recommença son geste. Cette fois, il se laissa faire. En suivant son nouvel instinct d’homme, il l’embrassa et fit glisser sa langue à travers les lèvres de l’Humaine. Elle passa une main dans ses cheveux et il grogna de satisfaction. Il sentait sa peau douce sous ses mains et ses nouvelles sensations lui plaisaient. Elle s’écarta de lui, le souffle court.

— Laisse-moi te montrer comme il est bon d’être humain.

Elle déposa de légers baisers dans son cou, lui mordilla une oreille, puis l’autre, fit glisser ses mains sur son torse, titillant les pointes de ses mamelons. Puis, ses doigts délicats laissèrent place à sa bouche, à ses lèvres sensuelles qui le caressaient, à cette langue qui goûtait le moindre centimètre de sa peau.

Il sentit son sexe se dresser. Il connaissait cette sensation. Il léprouvait lorsque les femelles étaient en chaleur. Il avait même pu en monter quelques-unes, brièvement, sans être vu du chef de meute. Alors, il eu envie de prendre lHumaine, comme lorsquil s’accouplait avec les louves mais elle le devança, semblant lire dans ses pensées.

— Pas tout de suite mon loup, nous avons toute la nuit.

Et elle poursuivit son exploration, glissant ses mains le long de ses cuisses et déposant de légers baisers sur son ventre. Il sentit son sexe s’allonger encore plus et lui faire mal. Comme c’était dur d’attendre ! Il n’en avait pas l’habitude. Mais, c’était aussi tellement grisant, toutes ces sensations qui s’infiltraient en lui, augmentant la vitesse des battements de son cur et le faisaient frémir des pieds à la tête.

C’est alors qu’il sentit les lèvres de l’Humaine se poser sur l’intérieur de sa cuisse droite et glisser vers laine, lui faisant retenir son souffle. De sa main gauche, elle caressait du bout des doigts son autre cuisse et remonta sur son sexe, gonflé de désir brûlant pour elle. Elle le prit délicatement dans sa main et le décalotta complètement. Il grogna sous la caresse de la langue qui lapait délicieusement son gland, qu’elle glissa ensuite entre ses lèvres. Il ferma les yeux sous le coup du plaisir. Jamais encore il n’avait ressenti de telles vagues déferler en lui. Elle le tenait étroitement dans sa main, en faisant des va-et-vient, tout en le léchant goulûment. Puis, elle le prit entièrement dans sa bouche et il gémit lorsqu’il sentit son gland frapper le fond de sa gorge. Son désir montait en rafales à chaque aller-retour et il cru qu’il allait exploser lorsqu’elle lui caressa les deux boules amoureusement. Il ne voulait pas craquer. Elle lui avait dit d’être patient. Mais lorsqu’elle le prit entièrement dans sa bouche, qu’il sentit sa langue le caresser, son gland taper au fond de sa gorge, ses mains maintenant fermement ses fesses pour qu’il s’introduise encore plus en elle, toute sa détermination s’envola en fumée et des jets de sperme se déversèrent dans la gorge de l’Humaine, pendant qu’il criait sa jouissance en un rugissement bestial.

LHumaine se releva, un sourire aux lèvres et lui chuchota à l’oreille :

— Tu as aimé ?

Les yeux brillants de l’homme-loup répondirent pour lui.

— À présent, je vais te montrer comment me donner du plaisir.

Elle s’allongea sur le duvet fait de poils de loup et l’invita à la suivre. Docilement, il se coula à ses côtés et elle lui prit une main qu’elle déposa sur un sein.

— Caresse-moi du bout du doigt, du bas du sein jusqu’à la pointe, puis quand elle aura durci, fait la glissaer entre deux doigts en la roulant, lentement puis pince la, mais pas trop fort. Et ensuite, fais de même avec l’autre sein.

Il s’exécuta docilement, savourant la douceur de sa peau, observant sa poitrine monter et descendre au rythme de sa respiration qui s’accélérait au fur et à mesure des caresses quil lui prodiguait. Un gémissement passa à travers ses lèvres entrouvertes et il sut qu’il était un bon élève. Lorsqu’il eut terminé avec le premier sein, il s’attaqua au second avec plus d’assurance. Il aimait sentir le corps de l’Humaine se cambrer sous ses caresses et entendre les soupirs et les gémissements qu’elle laissait échapper.

Le souffle court, le corps en feu, elle fit glisser la main de l’homme-loup le long de son ventre et la déposa sur son sexe, gonflé de désir, mouillée de cyprine, par les caresses qu’il venait de lui offrir.

— Tu sens ce nectar ? C’est la preuve du désir que tu me donnes. À présent, laisse ta main explorer mon intimité. Donne libre cours à tes envies et tes instincts d’homme. Fais-moi vibrer.

Alors, il se surprit à caresser ce sexe inconnu dépourvu de toute pilosité et en découvrit petit à petit tous les secrets. Les grandes lèvres qu’il écarta pour découvrir les petites lèvres, et ce petit trou, chaud et humide dans lequel il glissa un doigt, poussé par la curiosité. Quel plaisir de sentir cette chaleur se refermer sur lui, tandis qu’il sentait palpiter l’intérieur de cette grotte si moelleuse. Il sentit sa verge reprendre vie et cela l’encouragea davantage dans ses investigations. Il inséra en second doigt dans l’antre mystérieux et d’instinct, entama un va-et-vient lent tout d’abord puis de plus en plus rapide. LHumaine se cambrait, gémissait, il la sentait se contracter sous ses doigts qui prenaient un rythme fou. Puis soudain, il perçu un long filet de liquide chaud glisser sur ses doigts et sa main alors qu’elle poussait un long cri rauque.

Il sortit lentement ses doigts de ses chaires si douces et soyeuses et découvrit, vers le haut du sexe, un petit bouton qui semblait provoquer des émotions fortes chez l’Humaine. En effet, dès qu’il le touchait, elle se trémoussait, se cambrait davantage et de légers « hum oui » s’échappait. À force de caresses, de tapotages, de pincements, il découvrit à quel point elle était sensible à ses caresses et il prit un immense plaisir à l’entendre crier de nouveau.

Sa nature de loup le poussa à lécher les doigts qu’il avait insinués en elle. Il en adora le goût et en voulu soudain plus. Il pencha la tête vers le sexe brûlant et trempé de l’Humaine et le lapa. C’était un parfum sucré qui lenivra immédiatement et il laissa sa langue se glisser sur ses lèvres, à travers elles, en elles, faisant gémir lHumaine de plus belle.

Toutes ces sensations nouvelles pour lui l’enchantaient et il prenait un réel plaisir à la dominer ainsi, en l’entendant gémir et crier sous ses caresses. Il sentait son sexe se durcir et grossir, lui faisant de nouveau mal. Il se demanda si elle le reprendrait dans sa bouche pour le laisser jouir à nouveau en elle.

Encore une fois, elle le surprit, comme si elle avait lu en lui.

— Viens en moi. Prends ton temps, pénètres moi lentement. Savoure chaque seconde avant de te laisser emporter.

Alors, elle plia ses jambes qu’elle colla à sa poitrine et d’une main douce et tendre, guida sa verge dure et droite à l’entrée de sa grotte humide. Lentement, il s’inséra en elle, s’extasiant sur ces sensations incroyables de ses chaires qui se refermaient sur son membre et l’enveloppaient, l’entraînant, le happant toujours plus profondément. Il se laissa emporter et entama alors des mouvements plus rapides. Il sentait le désir monter en elle jusqu’à ce qu’elle crie son plaisir.

Ces instincts de loup prirent le dessus et il voulut la retourner pour la prendre, comme il avait l’habitude de soumettre les femelles de sa meute. Mais elle le surprit une fois encore. De sa main tendre, elle sortit sa verge dure et tremblante et la plaça plus bas. Il émit un grognement de contentement lorsquil sinsinua lentement dans son petit trou. Il était si serré, à létroit. Cétait chaud, doux et après quelques allers-retours lents, il accéléra le mouvement. Il voyait le visage de lHumaine se déformer sous leffet du plaisir et à nouveau, il la senti jouir.

Elle l’obligea à s’allonger sur le dos et vint s’empaler sur lui et il put admirer la danse de ces seins qui battaient au rythme donné par ses hanches qui le soumettaient à un plaisir divin. Elle dansait sur lui, le faisant entrer et sortir de son intimité à une vitesse folle. Puis, il la sentit se crisper, se cambrer et son cri de jouissance résonna dans la clairière. Et lorsqu’il sentit le flot de cyprine couler le long de sa queue et glisser sur ces boules en feu, il se déversa en elle, rugissant de plaisir et de bien-être.

Elle s’allongea contre son torse et il se délecta de sentir son sexe se retrancher dans son abri de peau. Il entendit la respiration de l’Humaine se calmer puis devenir complètement régulière et il s’endormit à son tour.

À son réveil, elle avait disparu et il avait retrouvé son apparence de loup. Il rejoignit donc sa meute, le cur un peu lourd mais lesprit empli de doux souvenirs qu’il chérirait jusqu’à sa mort.

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