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Une si tendre maman – Chapitre 1

Une si tendre maman - Chapitre 1



Nathalie est moi sommes très proches , Nathalie est ma maman, 18 ans nous sépare, elle est incontestablement ma meilleure amie. Nous commencions à nous perdre progressivement de vue, comme cela arrive souvent lorsqu’on rentre dans la vie active. Elle en province et moi à Paris. Nous restons en contact par téléphone mais la vie nous sépare et nous ne nous voyions plus qu’en de rares occasions.

Pour la Toussain nous décidons de passer le week-end ensemble comme au bon vieux temps. Elle est malheureuse, le moral au plus bas à la suite de sa dernière aventure amoureuse. Une rupture qui laisse des traces. Abandonnée par mon père, dès ma naissance, maman papillonne de mec en compagnon sans jamais se poser.

Nathalie vient me chercher à la gare et le simple fait de nous retrouver nous fait déjà le plus grand bien. Nous avons envie de rire, de bouger, de danser, bref d’oublier un peu la monotonie quotidienne.

Quand je suis amoureux, ma mère est souvent la première et même la seule à le savoir. Depuis toujours c’est ma confidente. Alors, quel bonheur de se retrouver !

L’amitié maternelle a quelque chose d’étrange, elle nous rend plus serein et même parfois plus en paix avec nous, même sans savoir pourquoi.

Entre plusieurs éclats de rire, je lui avoue ma vie un peu triste . Je n’ai pas de copine depuis de longs mois,quant à maman, elle sort une nouvelle fois d’une aventure sans lendemain.

C’est légèrement éméchés que nous partons au restaurant, nos retrouvailles nous ouvrent l’appétit..

Musique forte, odeurs épicées, lumière colorée. C’est là sans doute que les choses ont commencé sans le savoir. Le garçon qui nous sert est très craquant. Trop, peut-être. En tout cas, Nathalie craque instantanément. L’alcool aidant, elle ne dissimule en rien son attirance. Dialogue provocateur pendant qu’il prend notre commande, elle le mange du regard. Lui semble amusé mais reste pro, c’est la course dans le restaurant. Il est bondé, et les serveurs et serveuses courent dans tous les sens. À chaque passage de notre beau serveur, Nathalie ne peut s’empêcher de le regarder et de lui lancer un petit mot. Elle le drague ouvertement. Mais, malgré les efforts répétés de Nathalie, il reste de marbre tout en restant vraiment sympa.

Et nous sommes rentrés, un peu fatiguées mais heureux

Nous plongeons dans canapé moelleux. La télé distille un navet. Je baille

Soudain, la voix de maman,

« Tu sais, ça y est, j’ai trop envie. »

« Comment ça ? »

« J’ai envie d’un mec, tout de suite ! En fait, c’est pas que j’ai envie, c’est que j’ai besoin d’un mec ! »

Je souris bêtement, fataliste et ne sachant pas trop quoi dire :

« Eh oui ! C’est toujours quand on a besoin des mecs qu’ils ne sont pas là ! »

Elle a fermé les yeux et je devine où sont parties ses pensées, son imagination , je ne vois pas tout se suite sa main qui se promenne sur ses jambes.

« Dis-moi. Je peux te poser une question, une question que tu vas trouver bizarre ? »

« Dis toujours ! »

« Ça t’arrive de te. toucher. Je veux dire quand tu te sens trop seul, de te laisser aller à. »

Et elle ne finit pas sa phrase.

Je marque un temps d’arrêt. Car, même si nous nous étions souvent confié nos sentiments, nous n’avions jamais parlé ensemble de ces choses.

Je connaissais bien la réponse et elle me faisait honte. Oui, bien sûr. Même si je n’aimais pas y penser, je m’étais souvent caressé tout seul dans mon lit, les pensées figées sur une femme, Maman. Mais comment l’avouer ? Il se passa de nombreuses secondes de silence. Mais visiblement elle attendait ma réponse :

« Ben, oui. mais. »

Elle m’interrompit tout de suite :

« Attends, pas de mais. Moi ça m’arrive souvent et je dois dire que parfois j’y prends beaucoup de plaisir, je pense même à toi, ça me fait du bien de te le dire, ça me soulage même. »

« C’est pas facile pour moi d’en parler. J’ai pas trop l’habitude. Mais. euh, non, pas de ’mais’ ! d’accord ! dis-je en souriant. Ça m’arrive. de temps en temps. En fait, c’est par période mais ça ne me satisfait jamais vraiment. »

« J’ai envie qu’on me fasse l’amour ! .Tu te touches en pensant à moi? »

Les yeux toujours fermés, elle prit une position plus confortable et plus allongée. Il n’y avait plus de doute sur ses gestes. Sa main caressait tout doucement le bas de son ventre. Son autre bras soutenait sa tête sur le dossier.

« Oh, tant pis. pardonne-moi. »

Elle remonte la main jusqu’à hauteur de son nombril puis la fait glisser à l’intérieur de son jean’s. Elle reprend alors le même mouvement mais cette fois-ci à l’intérieur de son pantalon.

Je ne sais pas quoi faire. Je voudrais en faire autant. Ses yeux sont toujours fermés, après tout je ne risques rien. Alors, à mon tour, je quittes ma position assise sur le côté. Je n’ai presque plus peur mais je commençe à trembler. J’ai dû machinalement déboutonner le haut de mon pantalon pour pouvoir faire passer ma main,

Nathalie commence à respirer plus profondément, bouche ouverte. Elle dit des mots pas toujours compréhensibles mais je comprends vite qu’elle s’imagine en train de faire l’amour dans les bras du garçon du restaurant. Puis, tout en gardant une main dans son jeans, elle redresse la tête et détache deux boutons de son chemiser pour glisser son autre main sur sa poitrine. Je ne la quitte pas du regard car j’ai quand même un peu peur, et je guette, prêt à retirer ma main si elle me regarde. Mais elle n’en fait rien. Cette fois-ci, nous sommes partis.

Soudain, elle se redresse, se leve, retire son jeans puis se rallonge sur le canapé. Sa main replonge dans sa culotte. En reprenant son souffle, elle ouvre enfin les yeux et les tourne vers moi, avec un très léger sourire qui refléte à la fois de la culpabilité et du bonheur. Je suis submergé d’une émotion indéfinissable. J’ai honte mais je suis aussi ravi de céder à mon désir. Maman constate que je l’accompagne dans sa recherche du plaisir, alors son sourire s’élargit et elle me dit :

« Oh, si tu savais comme j’aime ça ! »

Franchement rassurée par mon attitude, elle descend sa culotte le long de ses jambes et du pied la jette négligemment par terre. Elle écarte les cuisses et reprend son manège. Son impudeur reste éclatante, elle dévoile et offre la partie la plus intime de son corps sans aucun embarras.

La main aux ongles rouges,dessine avec ses de petits cercles sur son sexe. Ses lèvres sont bien apparentes et l’humidité les fait briller. Cela me fait vraiment drôle d’être là en train de me branler à côté de ma mere et de la regarder en chemise mais sans culotte, les jambes nues, se masturber. Ses doigts continuent à tracer des cercles, mais de temps en temps elle c plonge son majeur dans son vagin. De mon côté, je continue mon geste.

Après un moment, elle se met à genoux sur le canapé, ôte son chemisier à la manière d’un pull, sans le déboutonner . Elle porte un soutien-gorge de dentelle blanche, mais dérangé par les caresses un téton dépasse un peu du balconnet. La langue rose tente de lapper le frippon…

Sans attendre, elle se tourne me présente son dos et relève ses cheveux avec ses mains :

« S’il te plaît, dégrafe-moi. J’ai horreur de le faire moi-même, dit-elle d’une voix douce mais décidée. »

Je mets un genou sur le canapé et lui dégrafe le soutien-gorge. Machinalement, je fais glisser les bretelles sur ses bras. Je ne l’ai jamais vu nue et je ne peux m’empêcher de regarder son corps, son dos, ses fesses, une furieuse envie de peloter cette salope.

Nathalie reprend

« À ton tour ! »

Elle se met face à moi, je sens sa bonne odeur de cyprine sur ses doigts,

Elle ôte mes chaussures, mes chaussettes, mon pantalon. Je me mets debout alors qu’elle reste assise, elle n’a aucune difficulté à dégager ma pine durcie. Je suis complètement nu devant elle.

Ses seins sont ronds et joliment dessinés. Ma queue dressée effleure les tétons, laissant une trace humide. Elle me demande de m’étendre, ce que je fais. Allongé sur le ventre et elle se positionne à cheval sur mes cuisses et entreprend un massage comme dans les instituts. Ses mains partent du haut de mes cuisses, remontent fermement jusque sur mes épaules, puis redescendent. Chacune de ses caresses sur mes fesses et mon dos me transporte d’allégresse et de bien-être. Jamais ne n’aurais imaginé que nous pourrions nous faire autant de bien un jour tous les deux. Et jamais ne j’aurais imaginé non plus ce qui allait arriver par la suite.

D’un geste de la main, elle m’invite à me retourner tout en restant allongé. Toujours installée sur mes cuisses ,elle reprend son massage, cette fois-ci en explorant mon ventre. Ses mains sont tellement douces. Elle prend soin en partant de mes cuisses de parcourir mes poils et de caresser mes testicules. Elle descendit ensuite du canapé pour se mettre à genoux par terre. Elle continue le massage sur les jambes en remontant mon genou pour le plier. Elle me frictionne la plante des pieds, provoquant une sensation merveilleuse.

C’est alors que tout bascule.

.Elle fait avec ses lèvres et sa langue ce qu’elle n’a pas osé avec ses mains. Elle prend ma queue en bouche et la suce tendrement, me lèche les couilles puis dépose des baisers le long de mes jambes. Arrivée près de mes hanches, elle écarte mes cuisses avec précaution et déposa un nouveau baiser cette fois-ci sur mes couilles qu’elle aspire doucement, ce qui me fait tressaillir, traversé de vibrations. Je prends conscience alors que nous n’allons pas nous contenter de nous masturber conjointement mais que nous allons vraiment faire l’amour tous les deux.

Maman continue l’exploration de mon corps, embrasse mon nombril, mon ventre. Elle s’attarde sur mes tétons pour les lécher, les mordiller et les baisouiller. Ses lèvres atteignent mon cou puis ma joue en se rapprochant tout doucement de ma bouche. Nos lèvres se joignent longuement. C’est la première fois que j’embrasse ma mère. Combien de temps a duré ce baiser.? Sans doute longtemps. Petit à petit, nos bouches se sont ouvertes et nos langues se sont mêlées, de plus en plus profondément…

Toujours avec des gestes sûr et sans rien dire, Nathalie,remonte sur le canapé et se met à quatre pattes au-dessus de moi, avec sa tête entre mes cuisses alors que son sexe tamponne mon visage. Ses cheveux s’étalent sur mes cuisses, elle englouti mon sexe. Avec beaucoup de difficulté pour garder mes sens, je pose mes mains sur ses hanches et fixe du regard son sexe offert et humide. Ma bouche se pose sur son clito turgescent comme pour le manger. Mon visage, mon nez, mon menton sont vite barbouillés de son liquide. Ne pouvant plus me contrôler, je repose ma tête sur le canapé en fermant les yeux mais non sans poser ma main sur sa chatte pendant qu’elle m’aspire à pleine bouche. Tout en introduisant deux doigts dans son sexe, je ne peux retenir un cri, puis un deuxième, puis d’autres encore. Elle sent que je suis au au bord de l’orgasme, alors elle s’interrompt pour faire durer encore un peu le plaisir. Elle change de sens et s’allonge sur moi. Sa bouche est maculée. En souriant, je lui essuye les lèvres avec ma main. Elle m’embrasse goulûment et je sens mon odeur dans sa bouche. Tandis que sa main coulisse autour de ma bitte, je ne peux contenir ni même atténuer mes cris de jouissance. Le plaisir suprême est long et, contrairement à mes habitudes, très bruyant. Il me faut plusieurs minutes pour reprendre mes esprits. Et comprendre le bonheur d’avoir une si belle maman.

C’est mon tour de m’occuper d’elle. J’imite ses gestes presque au millimètre, car j’imagine qu’elle m’a emmené là où sa propre sensibilité érotique la guide. Pour la première fois, je touche un con humide en pensant à son plaisir, et ce con est celui de ma mère, j’ai le visage et les mains barbouillés d’un liquide féminin, et j’entends une femme jouir à pleine voix de mes caresses.

La nuit sera féérique, nous nous sommes endormis l’une contre l’autre d’un profond sommeil, repus d’amour et de plaisir. Le lendemain, nous étions bien, aucune gêne ni honte.

Lorsque nous nous retrouvons et qu’il n’y a pas trop de regards autour de nous, nous nous disons bonjour en échangeant un tendre baiser sur la bouche. Furtivement je glisse un doigt dans sa culotte. Je crois que cette expérience m’a permis de me libérer complètement;.

La tête entre les cuisse de Nathalie, je l’écoute souvent me raconter ses aventures, elle rêve de faire un trio avec ma copine. Et, à la manière dont elle décrit l’intensité de ses jouissances, je l’envie toujours.

Mais cela est une autre histoire. J’espère l’écrire un jour.

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