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Un Noël inoubliable – Chapitre 2

Un Noël inoubliable - Chapitre 2



Ce soir-là, jétais bien au chaud dans mon lit lorsque jentendis mes parents regagner leur chambre en chuchotant. Un désir brûlant naissait dans mon ventre, tandis que jattendais patiemment le début de leurs ébats.

Ma chatte se liquéfia au souvenir de la proximité du corps de mon père contre le mien, de la caresse de nos langues, et de sa virilité dune raideur à toute épreuve contre mon ventre. Mon clito se dressait denvie dêtre caressé. Une émotion douce et brûlante mavait envahi davoir pu être à la place de ma mère, lespace dun court instant. Cela nétait pas prémédité, il ne sest dailleurs pas passé grand-chose : quelques baisers et des fantasmes échangés. Je sais que nous navions pas le droit de partager ces plaisirs charnels. Cependant, la raison nétait pas assez forte face à ce délicieux interdit.

La lumière de la chambre de mes parents séteignit subitement, plongeant la maison dans le noir le plus complet et me laissant seule avec mon désarroi. Il ne mavait pas promis quil la laisserait allumée. Ma mère préférait peut-être faire lamour dans le noir, pensai-je. Cela me paraissait tout de même impensable puisquil est bel homme. Il est sûrement plus beau encore lorsquil prend du plaisir.

La vision de son visage rougit et ses yeux brillants de désir me revinrent en mémoire. Je glissais mes mains sous ma chemise de nuit à cette évocation. Mes doigts rencontrèrent mes lèvres dégoulinantes. Je frottais doucement mon clito dressé. Une chaleur intense naissait dans mon ventre et se répandait dans mon corps tout entier. Mes tétons se dressèrent sous le fin tissu en coton de ma chemise de nuit. Je dessinais des cercles à un rythme effréné autour de mon clito. Mon plaisir était concentré sur celui-ci.

Des gémissements et des respirations fortes firent écho aux miens. Jai bien souvent imaginé mes parents faire lamour ensemble. Ma mère poussait souvent des cris étouffés pendant leurs ébats. Je les trouvais si beau tous les deux et leurs corps saccordaient harmonieusement. Un désir plus intense brûlait en moi, tandis que je partageais leur plaisir. Pour la première fois, je voulais sentir mon père venir entre mes cuisses, vibrer sous ses caresses et ses baisers.

Jentendis des râles graves et virils sélever jusquà moi. Appelé par ce plaisir, mon corps se tendit sur mes doigts. La chaleur sucrée de lextase memportait, me laissant gémissante et frémissante dans mon lit.

La maison redevint silencieuse, bercée par les battements de mon cur qui sapaisait. Des bruits dans la salle de bain et un robinet deau qui souvrit attirèrent mon attention. Cette pièce est proche de la chambre de mes parents. Ma sur ne se lève pratiquement jamais seule la nuit. Jen déduis donc quil sagissait de lun deux. Je sortis de mon lit et me dirigeais à pas de loup jusquà lentrée de ma chambre. Je mappuyai au chambranle de la porte et épiai.

La salle de bain souvrit et la silhouette de mon père se dessina dans la pauvre clarté qui filtrait par la fenêtre. Je me montrai alors dans le couloir. Il attrapa une serviette de toilette pendue derrière la porte et se drapa la taille. Celui-ci referma silencieusement la pièce et me rejoignit.

— Tu ne dors pas ? chuchota-t-il.

— Non, il y a trop de bruit, souris-je.

Mon cur battait si fort quil était impossible que mon père ne puisse pas lentendre. Je ne savais pas vraiment ce dont javais envie là, mais mon corps et mes lèvres le réclamaient.

— Tu nas pas mis la lumière

— Ta mère sest très vite endormie.

Surprise, je lai imaginé se donner du plaisir en solitaire, peut-être ai-je partagé ses fantasmes. Ma chatte encore humide libéra un long filet de mouille qui sécoula à lintérieur de mes cuisses. La main douce et chaude de mon père se posa sur la mienne. Je la pris et le guidai dans ma chambre sûre de moi, sûre de le vouloir.

— Tu me fais faire des bêtises, dit-il dune voix caressante.

— On peut juste discuter, proposai-je en allumant ma lampe de chevet.

— Tu nas pas une lumière plus faible plutôt.

Je me retournai vers lui. Mes yeux détaillèrent son visage et son torse entretenu. Sa peau imberbe semblait très douce. Sa serviette laissait apparaître ses hanches étroites.

— Ton regard de femme me dit que tu ne veux pas que discuter.

Le sien était tendre, sa voix douce et chaude coulait en moi comme du miel. Jallumais ma lampe de poche et éteignis lautre. Mon père sassit sur mon lit, sa serviette souvrit sur lune de ses jambes fléchies, libérant sa cuisse. Mes yeux glissèrent sur cette ouverture à la recherche de sa virilité, à défaut de ne pouvoir y glisser la main.

— Vicieuse ! sourit-il en me tirant jusquà lui.

Je massis à ses côtés, son bras enlaça ma taille et je posais ma main sur sa cuisse.

— Je tai écouté tout à lheure. Maman ne ta pas entendu ?

— Ni entendu ni senti. Un tremblement de terre ne la réveillerait pas, sourit-il. Je lai caressé, je me suis frotté contre elle, rien y a fait. Elle sest retournée et a continué de ronfler.

— Quest-ce que tu as fait alors ?

— Jai caressé ses fesses quelle avait tendues contre moi. Jai aussi caressé son clito, mais ta mère dormait si profondément quelle na pas mouillé. Jai voulu insérer un doigt dans son vagin, il était bien trop serré et trop sec pour que je puisse la pénétrer, et la position de ses jambes gênait laccès.

Je me suis branlé contre sa raie, en repensant à tes fantasmes de cet après-midi. Ton envie de moi, ton désir de me sucer Jai très peu débandé depuis ton aveu. A chaque fois que je te regardais, je ne pouvais mempêcher dimaginer ta jolie bouche me sucer.

Sa voix était devenue plus chaude et plus profonde encore, tandis quil passait aux aveux. Le désir quil transpirait était communicatif. Javais envie de me caresser en lécoutant me parler.

— Pendant que je me branlais, mon gland a glissé dans son anus. Jétais surpris, mais comme cétait bon jai continué. Son petit trou ma aspiré doucement.

— Tu lui as fait lamour-là ? demandai-je surprise.

— Oui, jaime beaucoup. Lanus de ta mère est très doux et bien serré. Là, il létait davantage parce quil nétait pas préparé. Je suis allé tout doucement, en pensant quelle se réveillerait, mais jai jouis avant. Elle va sûrement men vouloir en découvrant mon sperme dégouliner de son cul demain matin.

— Moi, je serais plutôt déçue de ne pas men rappeler ou de ne pas mêtre réveillée.

Mon père me sourit, ses yeux brillaient de désir, il avait envie de membrasser.

— Elle aime bien quand tu pénètres son anus ?

— Oui, je te montrerai quand je pourrai laisser la lumière allumée.

— Tu vas le faire alors ?

— Oui, je tai imaginé me regarder tout à lheure et jai trouvé ça super excitant. Et toi, quest-ce que tu as fait ?

— Je me suis caressée comme dhabitude.

— Tu dois être super belle quand tu jouis.

— Toi aussi.

Nos yeux brûlants du même désir étaient liés. Je caressais sa cuisse avec ma main. Javais envie de sentir sa peau nue contre la mienne.

La fine bretelle de ma chemise de nuit glissa de mon épaule dénudant mon sein.

— Oh le joli téton bien dur

Ses yeux regardèrent alors lautre, puis revinrent sur mon visage. Je fis glisser la seconde bretelle.

— Tu mas toujours compris au regard, sourit-il. Ils sont vraiment beaux. Je peux les embrasser ?

— Oui, Papa.

Je me cambrais en arrière, les tendant vers lui. Il me sourit et humecta sensuellement ses lèvres avant de membrasser passionnément.

Je le pressai contre moi. Lodeur et lincroyable douceur de sa peau mexcitaient. Mes mains caressaient son dos et son torse, tandis que je gémissais de désir. Les siennes caressaient mes cheveux, mes seins et mon ventre. Je les guidais lentement entre mes cuisses, où un feu brûlant me consumait toute entière.

— Tu vas trop vite, soupira-t-il entre mes lèvres.

— Jai envie, gémis-je en glissant ma main sous sa serviette. Et toi aussi.

Son sexe était bien dur et très épais dans ma main, assez long pour que je puisse bien la faire coulisser.

— Hummm comme elle est douce

— Elle ?

— Ta queue Jai envie de la sucer.

— Petite coquine.

Je portais mon autre main à ma chatte toute trempée. Cétait un océan entre mes jambes. La bouche de mon père embrassait tendrement mon cou, faisant frissonner ma peau. Je gémissais plus fort encore lorsque sa langue vint caresser et sucer mes tétons. Il saperçut alors que javais passé une main sous ma chemise de nuit.

— Eh bien, que se passe-t-il ici ? dit-il en relevant le tissu.

— Désolée, jai trop envie

— Humm oui, jentends une petite chatte qui miaule.

En effet, elle émettait des clapotis indécents. Ça mexcitait de le voir regarder mon intimité offerte et toute trempée. Je voulais sentir son sexe bien dur me combler.

Mon père prit la base de ma chemise de nuit et me lenleva doucement. Il dénoua sa serviette moffrant une magnifique vue.

— Humm comme elle est belle, dis-je en lastiquant plus rapidement. Tu mouilles aussi

Son gland était bien dessiné. Sa verge était droite et bien proportionnée, ne présentant aucun gonflement ni courbure. Je navais quune seule envie : la prendre en bouche et la sucer avec amour.

— Tu es super excitante !

— Merci.

Je lui pris doucement la serviette des mains et la plaçai sous mes fesses.

— Quest-ce que tu fais ?

— Je mouille trop, je ne veux pas salir les draps.

— Humm tu es une petite fontaine comme ta mère ? demanda-t-il en portant ses doigts à mon intimité.

Je gémis en sentant ma chatte les inonder et le plaisir prendre possession de mon corps.

— Je peux te caresser ?

— Oh oui Papa ! Continue, cest bon !

Ses doigts faisaient des petits cercles sur mon clito dressé. Cette délicieuse caresse me menait rapidement à lextase. Mon père maintenait fermement mon corps vibrant entre ses bras et étouffait mes cris dans un langoureux baiser. Ses doigts ont commencé à frotter vigoureusement mon clito de gauche à droite. Ma chatte coulait abondamment en petites giclées sur mes cuisses et mon pubis.

— Oh Papa, jai jamais mouillé comme ça !

— Humm ta petite chatte est gluante, glissante et appétissante ! Je vais te la manger !

Il souleva alors une de mes jambes et glissa sa tête entre mes cuisses.

— Tu as mouillé partout, dit-il en embrassant la naissance de mes petites lèvres.

La pointe de sa langue caressa lentrée de mon vagin, lendroit le plus sensible de mon corps. Celui-ci se tendit naturellement sur la bouche bienfaitrice de mon père. Je magrippai à ses cheveux et enfonçai ce délicieux muscle dans mon intimité. Il remua alors sa langue en moi. Une douce chaleur envahit mon corps qui se mit à trembler violemment sous la puissance du plaisir. Des cris incontrôlés franchissaient mes lèvres.

— Doucement, tu vas réveiller ta mère, mintima mon père en se dégageant de ma poigne.

— Désolée Je mouille beaucoup, dis-je embarrassée.

— Tu es bien juteuse, jadore !

— Cest vrai ?

Mon copain mavait léché juste une fois et il sétait vite arrêté, dégouté que je mouille autant.

— Tu aimes quand je jouis sur ta langue ? demandai-je en la regardant tournoyer doucement autour de mon clito.

— Humm oui, jadore

Relevée sur mes coudes, je le regardais faire avec fascination. Nos yeux se croisaient régulièrement. Une émotion forte et enivrante passait entre nous, une complicité nouvelle. Sa bouche se referma doucement autour de mes petites lèvres et sa langue sagita plus rapidement sur mon clito.

— Oh cest bon ça ! gémis-je en me rejetant en arrière.

Jattrapai mon oreiller pour étouffer mes cris. Je sentis les mains de mon père caresser doucement mon ventre et mes seins. Mon corps se tendait sur sa langue ravageuse qui moffrait des orgasmes à répétition. Jattrapai lune de ses mains et mêlai mes doigts aux siens, les serrant très fort. La seconde caressa lintérieur de ma cuisse et rencontra lentrée de mon vagin. Mon plaisir sintensifia considérablement, moffrant un gout de paradis. Mes cris redoublèrent lorsque la caresse de linquisiteur pénétra doucement mon intimité qui souvrait.

— Tu vas me casser le doigt tellement tu es serrée !

Mon vagin se contractait violemment sur cette phalange immobile. Mon corps tremblant se tendait sur lintruse. Le plaisir indicible qui me submergeait mobligeait à serrer plus fort loreiller contre mon visage pour étouffer mes hurlements. Je devinais que mon père me regardait comme il avait cessé ses caresses buccales. Le bout de son doigt sagitait doucement en moi. Je sentais mon intimité le sucer sous leffet de la jouissance.

— Oh ça doit-être bon de te faire lamour

Son doigt glissait lentement dans mes profondeurs en caressant mes parois. Cela mapportait déjà tant de plaisir que je nosai imaginer le bonheur de le sentir en moi. Ma gorge était sèche tellement je mégosillais. Je narrivais même plus à reprendre mon souffle.

— Arrête ! Laisse-moi respirer gémis-je.

Mon père retira alors son doigt. La puissance de lextase contracta mon intimité doù séchappaient des giclées de mouille. Mon corps paralysé se mit à convulser violemment. Mes hurlements étaient assourdissants. Je sentis la peau incroyablement douce de mon père glisser contre la mienne. Je le serrai instinctivement contre moi. Un cri étouffé franchit mes lèvres. Il posa sa main sur ma bouche pour mintimer le silence. Celui-ci se fit rapidement comme ma voix et ma conscience mabandonnaient. Mon père me serra plus fort mon corps agité contre lui. Son regard tendre dans le mien mapaisa lentement. La brûlure du plaisir ardent qui me consumait me quittait peu à peu, laissant la place à de longs frissons.

Mes membres se désengourdissaient, je pu enfin retrouver leur utilité. Je caressais le dos de mon père de la paume de ma main. Je tendis mes lèvres vers les siennes et lembrassais tendrement.

— Tu mas fait terriblement peur, chuchota-t-il.

Je découvris alors une terrible griffure rougie sur son cur.

— Quest-ce qui tes arrivé ?

— Cest toi, petite sauvageonne ! sourit-il.

Je restais perplexe, incapable de me rappeler à quel moment cela sest produit.

— Ne tinquiète pas, ce nest pas grave.

Mon père membrassa tendrement, je glissai ma main sur son ventre. Je gémis en rencontrant son sexe érigé, gonflé et mouillé. Je le pris dans mes doigts et le caressais vigoureusement.

— Doucement Je préfère les douces caresses.

Je lui lançai un regard surprit. Mon petit ami mavait habitué à manier le sien à une vitesse démentielle, jusquà en avoir des crampes au poignet.

Confortablement installée dans les bras de mon père, je regardais son sexe glisser doucement entre mes doigts. Il enveloppa ma main de la sienne et me fit imprimer un mouvement fluide de la base de son sexe jusquau sommet, englobant son gland. Cela me permettait de mieux en apprécier la forme et le relief des veines sur sa verge. Si glissant entre mes doigts que je pu facilement limaginer en moi. Je sentais ma chatte dégouliner encore et la chaleur du désir lécher mon corps. Sa main quitta la mienne pour caresser mes seins.

— Tu aimes ? demandais-je.

— Oh oui, soupira-t-il. Je vais bientôt jouir.

Je quittai doucement ses bras pour prendre son sexe doucement dans ma bouche. Je léchais son gland et le faisais glisser sur ma langue, en serrant mes lèvres autour. Je renouvelais lopération.

— Attends ma chérie, Papa va tapprendre sucer

Je plongeais mes yeux dans les siens pour suivre ses conseils.

— Aspire mon gland dans ta bouche, commença-t-il en caressant ma joue Ooh oui, comme ça Ouvre bien ta bouche pour ne pas me blesser avec tes dents. Laisse-le glisser profondément encore

Sa verge heurta doucement le fond de ma bouche me faisant hoqueter. La base était proche de mes lèvres. Jappréciais la douceur et les reliefs de son sexe sur ma langue. Ses mains caressaient doucement ma nuque et mes cheveux.

— Ouvre-moi ta gorge naies pas peur, je vais taider.

Jobéis et son gland, aidé par un lent mouvement de bassin, glissa entre mes lèvres. Son sexe pénétra entièrement ma bouche jusquà la garde. Il resta ainsi immobile quelques secondes, tandis que ma salive linondait abondamment.

— Oh ma chérie ! Ta bouche est délicieuse ! Cest comme ça que jaime être sucé

Je fis coulisser mes lèvres jusquà son gland.

— Fais des zig-zags avec ta langue quand tu me retires, me conseilla mon père.

Je le léchais et laspirai profondément dans ma bouche. Un tendre coup de rein et il me la pénétrait entièrement.

— Je veux voir tes beaux yeux quand tu me suces.

Je les plongeais dans les siens brillants de plaisir.

— Oh quest-ce que tu es belle ma princesse !

Lune de ses mains simmisça entre mes cuisses. Ses doigts rencontrèrent mon clito gonflé et le frottait vigoureusement.

— Humm comme elle est excitante cette petite fontaine !

Mes cris de plaisir étaient étouffés par les coulissements du sexe de mon père entre mes lèvres. Sa main sur ma nuque mintimait des mouvements plus rapides.

— Oh mon Dieu ! Pardonne-moi ma chérie, mais cest trop bon !

Mon corps vibrant sous leffet dun violent orgasme était paralysé, obligeant mon père à se donner du plaisir dans ma bouche. Moffrir ainsi intensifiait mon excitation. Mes yeux dans les siens, je le trouvais incroyablement beau.

Lorgasme passé, je repris les commandes de son plaisir. Ma bouche suçait et aspirait avidement son sexe. Cétait merveilleux de le sentir glisser sur ma langue et lentendre soupirer et gémir grâce à moi. Javais très envie de le faire jouir, mais je désirai aussi quil me pénètre.

— Oh oui ma chérie dévore-moi ! Je vais jouir pour toi !… Oh ! Oh ! Oooh

Il sest subitement retiré de mes lèvres pour se masturber. Jadmirais son sperme zébrer mes seins en longues giclées abondantes. Je caressais ses douces petites fesses, tandis que son corps vibrait intensément et quil gémissait de plaisir.

Il sallongea ensuite à mes côtés, le visage rougit, les yeux brillants, en me souriant.

— Tu pouvais jouir dans ma bouche

— Il y en a beaucoup trop, dit-il en étalant son sperme sur ma peau du bout des doigts. (Cette douce caresse me faisait frissonner.) Tu aimes quon te fasse ça ?

— Les premières fois jai trouvé ça dégoûtant, mais après je me suis habituée au goût.

— Je jouirai dans ta bouche le jour où tu en auras vraiment envie et non juste pour me faire plaisir, dit-il avant de membrasser tendrement.

— Cétait vraiment génial ce câlin, jai beaucoup aimé, chuchota-t-il entre mes lèvres.

— Moi aussi. Tu restes dormir avec moi ?

— Non, sinon je pourrais avoir envie de te faire lamour toute la nuit, sourit-il.

Je me mordis la lèvre comme un désir brûlant me fit mouiller abondamment.

— Humm, gémit-il en devinant cette envie. Une prochaine fois

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