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Vacances… – Chapitre 6

Yasmina - Chapitre 1



Je regarde mes petits enfants s’ébattre dans la piscine, les trois grands car le lendemain de la fête d’anniversaire de Clémence, le dernier est parti dans un camp d’adolescents. Les hommes, eux, sont retournés en ville pour travailler et ne reviendront que les week-ends. J’ai fait ériger une palissade qui nous isole des voisins. Je n’ai plus à gronder et c’est sans maillot que les enfants se baignent Une joie pour les yeux

Catherine s’installe à coté de moi.

— Ils sont mignons, n’est-ce pas ? déclare-t-elle.

— Qu’attends-tu pour les imiter ?

— Oh ! Tu voudrais que je me baigne toute nue ?

— Puisque tu émets toi-même la suggestion, pourquoi pas ?

— Oh ! Non ! Jamais je n’oserai

Je devine l’envie de ma fille derrière ses dénégations. Je ne lui donne pas une semaine pour se baigner sans maillot elle aussi ! Nous regardons les enfants s’asperger. De voir Annie et Clémence nues excite mes testostérones. Sans l’examiner, je sais que la bosse de mon short se développe. Tout à coup je sens une caresse furtive sur mon sexe tendu.

— Mais c’est qu’il banderait ! s’amuse Catherine.

— Je ne peux rien te cacher.

— C’est d’admirer tes petites-filles à poil qui te donne cette vigueur ?

— Et alors ? Quel mal y a-t-il ?

— C’est vrai qu’elles sont jolies

Je devine l’amatrice de caresses féminines. La main de Catherine glisse sous mon short et remonte doucement vers l’aine.

— Tu m’as bien laissé tomber l’autre jour à la fête de Clémence.

— Je me réservais pour faire bonne figure quand mon tour viendrait avec l’héroïne de la soirée.

— D’accord mais après ?

— Euh Je n’étais plus opérationnel Je n’ai plus vingt ans !

Les doigts atteignent mon sexe et s’amusent à en faire le tour. Je me garde de l’interrompre.

— Tu m’as pas dit Ta petite-fille, elle fait bien l’amour ?

Lors de la fête, elle m’a vu baiser Clémence et est peut-être courant pour Annie et moi, alors je ne sais pas de laquelle elle parle. Je tergiverse.

— Euh Que veux-tu dire ?

— Ne me dis pas que tu as oublié que tu as baisé ma nièce lors de la soirée de son anniversaire !

— Pas du tout Elle est encore jeune

— Ce n’est pas une réponse ça !

— Ben si, c’est ma réponse ! Elle fera bien l’amour Plus tard. Quand même ce fut un intense moment et un grand plaisir pour nous deux mais je crois qu’elle a préféré son père.

— Ah ?

— Oui. Elle fantasmait dessus depuis longtemps. La réalisation de son rêve a été une bonne surprise pour elle.

— Elle t’a dit tout ça ? Pendant que tu la baisais ?

— Et d’autre chose encore.

La caresse s’est transformée en véritable masturbation. Je ne dis mot et laisse faire ma fille.

— Ne vous gênez pas !

Carole, ma belle-fille s’assied à coté de nous. Nous ne l’avions pas entendu arriver.

— Depuis quand es-tu là à nous observer ?

— Assez longtemps pour savoir que Catherine caresse la queue de son père et que celui-ci ne fait rien pour l’empêcher de perpétrer ces saletés.

— Ce ne sont pas des saletés ! Continue, toi ! intime-je à ma fille qui avait arrêté la masturbation dès l’irruption de Carole.

Catherine hésite puis reprend ma verge sous le short. Je ne résiste pas l’envie de provoquer ma bru.

— N’est-ce pas normal qu’une fille fasse plaisir à son père ? Qui a-t-il de mal à ça ?

— Ce genre de plaisir n’est pas moral, ni approuvé par la bonne société, déclare doctement ma belle-fille.

— Tu as quelque chose à dire toi qui laisse ton mari faire l’amour à sa fille ! rétorque Catherine. Et toi-même, l’autre jour ce n’était pas la première fois que tu baisais avec ton fils ! Ne nie pas, il nous l’a avoué lui-même.

— Euh Je baise peut être avec Marco mais toujours en présence de mon mari, moi.

Ma fille hausse les épaules. Cela ne vaut pas la peine d’entamer une controverse. Tout à coup je sens une autre main sous le short. Carole se joint à Catherine ! Celle-ci surprise regarde sa belle-sur. Elles échangent un sourire. Tout va bien ! Je ferme les yeux. Une main caresse la tige de mon sexe, une autre soupèse les bourses. Je ne dis rien et les laisse faire. La masturbation devient de plus en plus insistante. J’ai de la peine à me retenir.

— Si vous continuez comme ça, je ne pourrai pas me contrôler.

Ma fille a saisi le message. Elle farfouille dans le short et empoigne la verge à pleine main sous le regard intéressé de Carole. Je me laisse aller dans les doigts qui entourent ma queue.

— Aarrgghh !

Ma fille s’essuie au short.

— Voilà, voilà, voilà ! dit-elle en remballant mon attirail et mettant le vêtement en place.

— Ça y est ? Monsieur est calmé ? Pouvons-nous discuter tranquillement ? se moque ma belle-fille.

— Que Que voulais-tu nous demander ?

— L’autre soir lors de la réunion en famille

— A la fête de Clémence ? Ce n’était pas bien ? J’ai vu que tu ne t’étais pas bien amusée.

— C’est pas de ça que je voulais parler. Quand je suis sorti de la salle tu t’empressais auprès de Clémence. Tu as fais l’amour à ma fille, n’est ce pas ?

— C’était son dix-huitième anniversaire non ? Mais j’ai laissé François et Marco passer les premiers.

— Cela n’excuse rien. Je n’ai pas voulu faire d’esclandre pendant la fête mais cela ne m’a pas plu, pas du tout !

Je pense que Carole avait trop envie de monter dans une chambre pour baiser avec son fils et que le sort de sa fille lui importait peu à ce moment là, mais je ne le dis pas !

— Pardonne-moi, elle était si jolie et Euh Si bandante. Et elle était d’accord je te signale !

— Clémence est une gentille fille qui n’aime pas faire de la peine. Ce qui est fait est fait, je ne reviendrai pas dessus. C’est pour l’avenir que je parle. Dorénavant évite de te trouver seul avec elle, enfin seul pour Euh Tu me comprends

— Pour la baiser, n’aie pas peur des mots.

— Tu as raison. Ne la baise plus sinon

— Sinon ?

— Sinon tu auras affaire à moi !

— Que m’offres-tu en échange ?

— Oh !

— Oui ! Tu me demandes de ne plus faire l’amour à ma petite-fille, c’est un gros sacrifice, ça. Qu’offres-tu en contrepartie ?

Catherine suit la conversation intéressée, je pense que cela lui fait plaisir de voir sa belle-sur mis sur le grill. Après un moment de réflexion, Carole se décide.

— Moi !

— Tu t’offres ? Toi ?

— Oui, moi ! Ça ne devrait pas te gêner ! J’ai bien remarqué cet hiver quand tu venais si souvent chez nous que tu me tournais autour.

— Ainsi à condition de laisser Clémence tranquille j’ai la permission d’en user comme je veux avec toi ?

— Euh Dans les limites du raisonnable, oui.

— C’est tentant, mais permets-moi de demander l’avis de ma fille, elle a priorité. Qu’en penses-tu Catherine ? Dois-je accepter l’offre de Carole ?

Celle-ci semble émerger d’un rêve :

— Euh Elle a raison. Ce n’est pas bien que tu fricotes avec des jeunettes. Tu risques d’y laisser ta santé. Si tu as des besoins Euh Comment dire Euh Sexuels, c’est ça, sexuels, je suis là pour ça.

— NOUS sommes là pour ça, corrige Carole, insistant sur le « nous ».

Ben ça ! Si je m’attendais Catherine qui me lâche et épouse les lubies de sa belle-sur !

— Si j’ai bien compris, vous êtes du même avis toutes les deux. Vous me demandez de laisser mes petites-filles en paix et comme vous ne voulez pas ma mort, vous vous offrez en compensation.

— Tu as bien compris.

— Je ne saurais mieux dire, approuve ma bru.

— Une telle décision ne peut pas se prendre à la légère. Laissez-moi y réfléchir.

— D’accord, mais fais vite, déclare ma fille. Nous Enfin moi, je n’attendrai pas la Saint Glinglin.

Sur ce, elle nous quitte pour s’enfermer chez elle.

— Réfléchis bien à ce que nous t’avons dit. La proposition ne tiendra pas longtemps, déclare ma belle-fille en se levant à son tour. Je vais ranger la maison. Ce soir j’espère que tu auras pris la bonne décision.

Elle me plante là. C’est un véritable ultimatum qu’elles m’ont lancé : soit j’obtempère et je suis assuré d’avoir ma dose de sexe pour toutes les vacances, soit c’est la guerre ! J’ose espérer que Carole ne m’aurait pas fait cette proposition si je lui étais indifférent Quand même, renoncer à Annie et Clémence, c’est dur Les enfants s’amusent, ignorants de mes problèmes. Qu’ils sont beaux ! Surtout qu’elles sont jolies ! Un gros soupir s’échappe de ma poitrine

Le soir après le repas pris en commun, je parviens à isoler ma fille.

— C’est d’accord !

— Quoi ?

— J’accepte votre proposition, vous me laisserez pas tomber n’est-ce pas ?

— Tu acceptes nos conditions ?

— Oui !

— Toutes nos conditions ?

— Oui te dis-je. Sous réserve que vous respectiez vos engagements.

— Cela va sans dire. Carole !

— Oui ?

— Papa accepte notre proposition.

— Ah bon ? Tant mieux, il ne le regrettera pas.

— Qu’est ce que Papy ne regrettera pas ? interroge Annie.

— Rien, réplique sa mère, c’est une histoire entre ton grand-père et nous.

— Bon ça va, ça va ! Je ne m’en mêle pas.

— C’est très bien comme ça.

— Puisque c’est ainsi me permets-tu de retourner dans ma chambre ?

— Euh

— Moi, je te donne la permission. Ta mère sera d’accord, déclare Carole.

— Maman, je peux aller avec elle ? demande Clémence.

— Oui, nous pouvons aller avec elle ? insiste Marco. On rentrera pas trop tard.

Pas besoin d’être grand clerc pour deviner ce qu’il a derrière la tête. C’est au tour de Carole d’hésiter.

— Euh

— Moi je vous la donne la permission, déclarai-je.

— Merci Papy ! claironnent fièrement mes petits-enfants.

Ils s’enfuient nous laissant seuls. Carole n’est pas satisfaite. Je tente de la calmer.

— Que veux-tu qu’il leur arrive ? La maison de Catherine n’est pas éloignée.

— Mais Les laisser sans surveillance

— Ils sont adultes, pas depuis longtemps, je te le concède mais c’est un fait. Que crains-tu ? Qu’ils baisent ensemble ? La belle affaire ! Ce ne sera ni la première ni la dernière fois.

— Quand même

— Fais comme Catherine, elle en a pris son parti.

Je sens ma bru perturbée. Un peu de sexe ne sera pas de trop pour la rasséréner. J’embrasse d’abord ma fille sur les lèvres puis Carole. Je déboutonne le chemisier, aidé en cela par Catherine qui dégrafe le soutien-gorge. Nous suçons chacun un sein. La jupe suit le même chemin ainsi que le mini slip. Je déguste la liqueur qui sourde des lèvres intimes pendant que Catherine monopolise la bouche. Carole ne résiste pas à la montée de la jouissance.

— Aaaah ! Vous Vous êtes des démons ! déclare-t-elle pendant que ma fille et moi la regardons se remettre de ses émotions.

— N’est-ce pas que cela fait du bien ? demande Catherine

Nous dégustons chacun un petit gâteau arrosé de Cognac. Carole ne pense pas à se rhabiller et c’est toute nu qu’elle fait le service. Elle est adorable comme ça. Ma verge n’a pas eu son content et se manifeste par un gonflement du pantalon qui ne passe pas inaperçu.

— Oh ! Papa ! Quelles mauvaises pensées tu as ? s’amuse ma fille.

— Euh J’espérais Euh

— Qu’espérais-tu ? demande-t-elle.

— Quel service voudrais-tu que nous fassions ? insiste Carole.

— Ben Euh Vous aviez promis En compensation

— Bon d’accord, on va s’occuper de toi, dit Carole.

Elle tire sur le pantalon et le slip libérant la verge qui se redresse fièrement.

— Oh ! C’est qu’il en avait drôlement envie !

Ni une ni deux, elle ouvre la bouche et enfourne le gland sous le regard amusé de ma fille. Je tente une objection :

— Euh Ce n’est pas là que

— Qu’as-tu à dire ? Ça ne te plait pas ?

— Oh si ! Mais c’est toi Enfin vous. Que je désire.

— Tu entends Catherine ? Monsieur veut nous baiser. Qu’en penses-tu ?

En réponse ma fille ôte sa robe. Elle est nue dessous comme je l’avais remarqué. Elle s’approche et m’enjambe. Le gland trouve tout de suite sa place dans sa chatte. Carole n’est pas contente.

— Et moi ? Qu’est ce que je fais ?

— Aaah ! répond Catherine toute à son plaisir. Tu Aah ! Tu auras ton tour Aah ! Après.

Quelques coups de queue suffisent à l’amener à la jouissance.

— Mmmmhh !

Ma bru la bouscule et prend sa place sur mes genoux. J’essaye de retenir l’éjaculation, mais je n’y parviens pas.

— Aarrgghh !

Carole n’est pas contente, je l’ai frustré de son plaisir. Je m’excuse :

— Je suis vieux Aies pitié de moi

— Bon, bon Je comprends Pour cette fois.

Je reprends mon souffle.

— Si vous voulez que cela marche entre nous il va falloir que vous vous entendiez. Deux à la fois c’est beaucoup pour moi.

Elles se regardent, puis Catherine sourit.

— Tu as raison Papa. Dorénavant c’est le matin que je te rendrai visite. Carole aura pour elle tout l’après-midi ou la soirée. Ça te va comme ça ?

— Ce n’est pas à moi qu’il faut le demander mais à ta belle-sur.

— Moi, je suis d’accord, affirme Carole. A condition bien entendu que tu laisses Clémence tranquille.

— Et Annie, ajoute ma fille.

Je les serre contre moi.

— Bien entendu Vous êtes mes deux chéries.

Ainsi fut fait. Catherine illumine mes matins et Carole s’empresse auprès de moi le soir. Je suis un père et un beau-père comblé. Les week-ends, lorsque les hommes sont là, le programme change car les femmes se consacrent à leur mari. Je profite de ce repos forcé pour recharger mes batteries mises à mal durant la semaine. Fidèle à la parole donnée, je n’ai pas touché mes petites-filles laissant Marco s’en occuper, ce dont il s’acquitte avec enthousiasme. Annie et Clémence ont bien émis quelques objections mais rien n’y a fait.

— Tu nous laisses tomber Papy, se plaignent-elles.

— Que voulez-vous, les jeunes avec les jeunes.

J’ajoute in-petto : « Cet automne quand je ne me sentirai plus lié par ma promesse, je viendrai vous surprendre en ville, et là, je compte bien me rattraper ! »

Ce furent parmi les meilleures vacances que j’ai passées

Fin

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