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Valérie : l'insoupçonnée – Chapitre 12

Une soirée trop arrosée - Chapitre 1



Durant le week-end, je profite d’une sortie en VTT pour aller repérer quelques endroits à la campagne où l’emmener. Je cherche un coin ombragé, discret mais facile et rapide d’accès. Pas simple. Je parcours une bonne vingtaine de kilomètres en long et en large. Je trouve finalement mon bonheur sur le versant nord du coteau où nous nous étions embrassés pour la première fois. Une petite aire parfaite, à l’écart d’un chemin sans issue, un replat herbeux adossé à un petit surplomb sur lequel nous pourrons nous asseoir comme dans une chaise longue. Qui plus est, sur le coup des midis, la zone sera protégée du soleil par un thuya.

Le mardi, à midi, les battements de mon cur accélèrent lorsque Valérie entre dans la voiture. Jupe de tailleur grise et moulante, débardeur rose, lunettes de soleil, talons hauts, je fonds. Comme d’habitude, nous faisons quelques centaines de mètres avant de nous embrasser.

— Tu m’as manqué.

— Et toi donc Tu es magnifique. Tu avais un meeting ce matin pour mettre cette jolie jupe ?

— Non, non. Il y a un bon moment que je ne l’avais pas mise mais je me suis souvenue qu’elle me faisait de jolies fesses.

— J’ai hâte de voir ça.

Valérie rit et je redémarre pour rapidement atteindre l’endroit prévu. Je me gare au bord de la route et Valérie dit :

— Encore un de tes coins secrets !

— Il me semble que ça te plait, non ?

— Oh oui, évidemment. D’ailleurs, on devrait les renommer.

Elle descend de la voiture et en fait le tour pour me rejoindre de l’autre côté. Nouveau baiser, plus long, plus intense. Je la fais reculer, elle se tourne. Ses fesses sont vraiment fabuleuses. Elle rougit quand je le lui dis. Je prends une couverture dans le coffre de la voiture et nous marchons une petite minute jusqu’au nouvel emplacement.

— Ne me dis rien, je suis sûre que c’est là !

Valérie est également charmée par cette place. Je déroule la couverture et Valérie prend immédiatement place, en mode "transat". J’enlève mes chaussures et m’assied à côté d’elle. Sans attendre, elle vient à califourchon sur moi et m’embrasse avec passion. Sa jupe remonte au-dessus de ses fesses et j’aperçois la dentelle de son string rose. Valérie déboutonne ma chemise, descend, fait de même avec mon pantalon. Elle sort ma bite et me suce. C’est divin, sublime.

Valérie se lève, enlève rapidement tous ses vêtements et vient s’asseoir sur moi, glissant immédiatement mon sexe tendu à l’intérieur du sien. Elle va-et-vient avec vivacité en gémissant :

— Mmmh C’est bon, c’est tellement bon !

Elle a un bel orgasme et je l’invite à se tourner. Elle se lève et revient s’empaler sur ma verge, mais dos à moi. Après quelques allers-retours où je mate son cul comme hypnotisé, je l’attire pour qu’elle s’allonge sur moi. Je caresse son clitoris tandis qu’elle ondule doucement. Elle m’embrasse.

— Je ne peux plus me passer de toi. Tu me donnes confiance, tu me redonnes goût au sexe, tu illumines mon esprit, tu souffles le bonheur sur ma vie.

Elle jouit une seconde fois juste après avoir prononcé ces mots. Elle glisse à côté et se met à quatre pattes. Cette position, ses fesses sublimes, une parfaite invitation. Derrière elle, j’introduis ma bite dans sa vulve humide et entame de vifs va-et-vients. Je ne résiste pas longtemps à cette surexcitante levrette et jouis en elle.

Quelques minutes plus tard, nous sommes assis à l’ombre et mangeons nos salades. Valérie n’a remis que son soutien-gorge et son string roses et je porte un boxer bleu marine. Elle dit :

— Je pense qu’on devrait appeler cette endroit "Première fois", parce que c’est la première fois qu’on le fait dehors.

— Mouais Ça pourrait porter à confusion.

Valérie réfléchit.

— Effectivement. Alors comme c’est un endroit vraiment idéal, que penses-tu de "Paradis" ?

— C’est vrai que c’est un petit coin de paradis. Ça me va très bien. Et pour les autres ?

Nouvelle réflexion.

— Pour le banc de notre premier rendez-vous, je dirais "Retrouvailles".

— Je valide aussi.

— Et pour celui qui se trouve sur le coteau

— Que penses-tu de "Désirs", au pluriel ?

— Oh, c’est parfait, le mot parfait.

Un petit smack confirme nos choix et nous n’utiliserons désormais que ces termes pour désigner ces lieux. Nous finissons nos salades et Valérie dit :

— Oh, il faut que je te gronde.

— Ah bon, pourquoi ?

— Tu as de la chance que ça soit moi qui fasse les lessives à la maison. Il y avait une grosse trace de sperme sur mon pantalon noir, celui que je portais vendredi.

J’éclate de rire.

— Voilà donc où il est allé !

— Mais tu as fait comment pour ne pas le voir ?

— J’étais le nez dans ton string rouge, debout et j’ai éjaculé sans regarder !

— Ça t’excite tant que ça ?

— Ça m’a rendu fou.

— Depuis notre nuit, je pense beaucoup à toi et je peux te dire que mes strings quotidiens portent les traces de mes pensées.

— Comme le rouge ?

— Oh, bien pire. Avec la chaleur, ils ne sont beaux à voir. Encore moins à sentir.

Elle rit, je l’embrasse. Malicieuse, elle ajoute :

— Mais si tu veux, je t’en garde un

— Non, je le prendrai moi-même.

Valérie sourit, m’embrasse et passe la main dans mon boxer. Je bande. Elle se penche et me suce quelques instants.

Plus tard, c’est à mon tour de donner dans la caresse buccale. Couchée sur le dos, Valérie jouit deux fois avant de se tourner sur le côté. M’ouvrant le passage pour son anus, je la gratifie d’un long anulingus qui la comble de plaisir. Remontant derrière elle, je la pénètre ensuite en cuillères. Tendres, passionnés et doux, nous ondulons de concert et c’est bien plus tard que je jouis en elle.

Il est déjà tard et nous nous rhabillons. Un dernier baiser passionné avant de partir et je la dépose devant son travail. J’arrive au mien à 14h30. Mon boss me regarde, je m’excuse et me met au boulot. Le mail de Valérie ne tarde pas : elle a du temps vendredi à midi. Comment dire non ?

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