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voisine enceinte – Chapitre 5

voisine enceinte - Chapitre 5



La semaine qui suivit fut éprouvante. Jétais en période dexamen et je narrivais pas à me concentrer sur mes études. Sans cesse les souvenirs de ce samedi me revenaient en mémoire et pourtant, je devais réussir mes tests. Alors, je me promis dattendre 3 semaines afin de pouvoir travailler sereinement. Quand arriva le 1er samedi, je cru devenir fou, entre cette envie irrésistible de retourner la voir et celle de travailler mes cours. Plus dune fois je me revis avec la main sur la poignée de la porte, près à sortir mais je tins bon. En fait, ce qui me faisais tenir, cest ce bout de tissus noir que javais ramené et sur lequel je me branlais régulièrement. Je nattendais même pas quil soit sec pour recommencer, le passant juste sous leau le soir pour quil soit présentable le lendemain matin. La 2ème semaine passa, par contre, plus facilement, plongé dans le bain comme on dit (jeu de mot).

Le samedi matin de cette 2nde semaine, je me reposais car javais veillé tard sur un sujet essentiel quand on sonna à ma porte. 9h du matin. Qui cela pouvait il être ? Jallais ouvrir en caleçon, encore ensommeillé. Il ny a que mes copains qui soient venus chez moi. Cela ne pouvait donc être que lun deux.

-« salut ! Quest que » N. était devant la porte. Elle affichait un grand sourire. Elle portait une robe unie de couleur bleue qui sarrêtait au dessus des genoux, avec 3 boutons au niveau du buste dont le dernier nétait pas fermé. Son ventre arrondi, avait semble til pris du volume.

-« ah ! Bonjour quest ce que je peux faire pour toi ? » Dis je en essayant de me dissimuler derrière la porte du mieux que je pouvais.

-« je peux entrer ? »

-« euh oui ! bien sur ! Mais excuse moi pour la tenue, tu viens de me réveiller » Je la laissa entrer. « et pour le foutoir, car je suis en plein examen. » en effet, le sol était jonché de livres et feuilles dispersées.

-« excuse moi, je ne pensais pas… je peux repasser si tu veux. »

-«non !non ! maintenant que tu es là rentre je ten prie ». Je refermai la porte derrière elle. « Je vais nous faire un café si tu veux bien. » En disant cela, je remettais en hâte mon bermuda et lui libérais la chaise de mon bureau. « Installe toi. » je filais vers la cuisine.

-« merci » me dit elle simplement. Je préparai une cafetière et la mis à couler.

-« voilà ! Cest bientôt près. Que me vaut ta visite ? » En disant cela, je mit un tee shirt.

-« oh ! Maintenant que tu sais comment cest chez moi… » En disant cela, elle semblais insister sur le fin de la phrase comme si elle voulais en signifier plus que ce que cela voulait dire. « que je voulais voir chez toi. »

-« oh ! bien tu vois, un étudiant; une chambre détudiant. »

-« oui ! En effet ! » Elle narrêtait pas de tournicoter sur mon fauteuil. Elle était assise jambes écartées, les mains sur son ventre. En tournant de droite à gauche et de gauche à droite.

Nonchalamment, jallai masseoir sur le lit. Elle semblait regarder mon intérieur. Et moi, je lui regardais sous sa robe. Mon intérieur était mal éclairé contrairement à son appart. et je fis mine de poser ma tête sur ma main à ½ allongé pour mieux voir. Ses cuisses toujours écartées elle continuait ses mouvements de rotation. Mes yeux commençant à shabituer, je commençais à voir de mieux en mieux. Il me semblait distinguer une culotte blanche. Mais en regardant des livres par terre, elle se releva pour en prendre un. Raté. Je neus pas le temps den voir plus.

-« tu lis ça toi ? » me dit elle en rigolant.

-« oui ! Et je te rassure, je ny comprends parfois rien du tout. »

-« quand on lit le titre, on comprend parfaitement. »

-« le café doit être prêt » dis je en me levant. Je préparai 2 tasses. « Tiens ! ».

« Écoute. Pour ce qui sest passé la dernière fois, je te le répète. Je suis désolé. Je naurai pas du agir comme je lai fait. »

-« cest dommage pourtant » me répondit elle. « Javais apprécié »

-« vraiment ? »

-« en fait, si je suis venu, cest pour 2 choses. »

-« ah bon ? »

-« la première, je viens récupérer ce que tu mas emprunté. »

-« heu… quoi donc ? »

-« ne fais pas linnocent, tu le sais très bien. Il se trouve que cest lune des préférées de mon mari et quil risque de sapercevoir de son absence. »Elle me disait cela en me regardant droit dans les yeux avec son petit sourire malicieux.

-« ah ! Heu cest queça va être difficile »lui dis je en repensant à ce que javais fait avec avant de mendormir.

-« je ne partirais pas dici sans elle.» bref net et imparable.

-« bon benne men veux pas, mais elle nest pas présentable. » ce disant, je partit la rechercher sous les draps du lit et après quelques seconde de recherche :

-« tiens ! La voilà ! » Je lui tendais le morceau de tissus roulé en boule. « Fais attention » Je neus pas le temps de finir ma phrase quelle lavait déjà saisie.

-« mais !… quest ce que » Elle lavait saisie du mauvais coté. « Quest ce que » Elle essayait de louvrir. Ces doigt y parvinrent mais furent maculer de mon jus qui navais pas eu le temps de sécher du fait quelle était roulé en boule. « Mais cest dégoûtant !»

Elle me regardait interloqué en la tenant à bout de bras. « Tu tes. Branlé avec ? » Elle avait maintenant les doigts imprégné. « Et plus dune fois visiblement ? »

-« ben oui en repensant a tout ce quon a fait, ça maidait à tenir pendant mes révisions »

-« ah ça !pour réviser tas réviser. Tu as quelque chose pour la transporter ? » Elle la tenait par une des ficelle et une goutte de mon sperme tomba par terre.

-« attends ! » je partis chercher un essuie-tout et lui apporta. « Tiens ! » elle la posa dessus, puis sur le bureau.

-« tu nes quun porc » me lança t elle avec son sourire qui me montrait quelle étais plus amusé de la situation que fâché.

-« oui je sais. Je suis impardonnable. Mais avec ce qui sest passé lautre jour, cétait tellement intense. Je narrêtais pas dy repenser. Mais je ne voulais pas te causer de problème. »

-« cest la deuxième raison de ma venu » Elle avait reprit un ton semi sérieux et sétait redressée. Aïe ! Quallait elle mannoncer ?quil fallait oublié ce qui sétait passé ? Quelle ne voulait plus entendre parler de moi ? Jimaginais le pire.

-« tu te rappelle ce que tu mas dit dans la baignoire ? « Pour me faire pardonné, je ferais tout ce que tu veux ». Et bien, ce que je veux cest » elle fit une pause en me regardant fixement dans les yeux et en se rapprochant de moi « cest que lon se voit toutes les semaines ». Elle dit cela en baissant la voix comme si elle mavait annoncé une bêtise quelle aurait faite. Elle baissa également les yeux en me prenant une main « à vrai dire, ce fut intense pour moi aussi. Nouveau et intense. A telle point que la semaine dernière je tai attendue toute la matinée et que comme toi, jai du me masturber sauvagement pour me calmer. Mais ce que je veux, cest une bite » Elle avait prononcer ce mot en me redressant son regard et en plongeant ses yeux dans les miens. « Je ne veux plus de mes mains, je veux ton sexe au plus profond de moi. Je veux que chaque semaine qui me reste avant daccoucher, tu viennes me prendre et me combler comme la dernière fois. » Elle se jeta sur moi et membrassa fougueusement. Sa langue força ma bouche et sinsinua pour retrouver la mienne. Je la sentais nerveuse et tendue. Alors je la prix dans mes bras du mieux que je pouvais en fonction de son état et lui rendit son baiser en entrelaçant nos langues. Cette réponse que je lui apportais semblait la soulagé. Elle se décrispa et ses mouvements de langues ralentirent. Elle lâcha alors ma main et menlaça également. Sa tête finit par reposer contre mon épaule. « Oh si tu savais » Me dit elle, « ce que jai pensé, imaginé en ne te voyant pas la semaine dernière »

-« cest bon, te voilà rassuré maintenant ? » Lui dis je doucement. Je lui avais pris sa tête entre mes deux mains pour quelle me regarde. Elle me fit oui de la tête. Alors je lembrassais de nouveau et posa mes mains sur ses hanches. Ce baisé fut ce coup ci un baisé plus langoureux, avec plus de sentiments que le premier, brutal et impétueux.

Mes mains commencèrent à se promener sur son corps. Principalement sur son ventre que je parcourais dans tous les sens. Sa respiration changea comme pour montrer quelle était prête et quelle nattendait que ça. Javais devant moi une femme qui soffrait totalement. Par petits mouvements de la main, je lui relevai la robe pour pouvoir lui caresser sa peau nue. Le contact de ma main la fit tressaillir .je passai quelque temps comme ça avec mes caresses sur son ventre puis mes mains remontèrent. Je senti le contact de son soutien gorge et voulut lui malaxer ses seins a travers mais quel ne fut pas ma surprise en arrivant à lui caresser directement sa poitrine. Elle portait en fait un redresse seins et je pouvais donc à loisir lui peloter ses tétons qui pointaient déjà très dur. Mais sa robe me gênait dans mes mouvements. Je pris donc linitiative de la lui ôter. Et oh ! Deuxième surprise. Je pus la contempler dans lensemble blanc que javais repéré dans son tiroir de commode. C’est-à-dire, quelle portait une culotte ouverte en son milieu et sa longueur.

-« tu es divine lui lançais je en mécartant un peu. » Ses tétons sombres contrastaient avec la blancheur de son linge, et on arrivait à voir sa touffe noire a travers son tissu intime.

-« je savais que je te ferai de leffet » me dit elle en prenant la pause avec un large sourire. « Jai remarqué quelque chamboulement dans un de mes tiroirs »

-« oui bon ! Ça va hein ! »Lui répondis je en lui rendant son sourire. Mes mains repartirent à la conquête de ses seins. Leurs pointes sombres pointaient fièrement vers moi avec ce vêtement. Ils ne semblaient attendre quune seule chose : quon soccupe deux. Et cest ce que je fis du mieux que je le pus. Je me baissa et commençai à les lui sucer de la bouche pendant que mes mains sattaquaient à ses fesses. Elle de son coté, ne restait pas inactive. Elle sempressa de menlever mon bermuda et mon tee-shirt et comme la dernière fois, nous nous retrouvâmes en sous vêtements. Je repris ma succion de ces seins pendant quelle caressait mon sexe à travers mon caleçon. Il me semblait quon pouvait faire sortir un liquide de ses seins quand on étais en ceinte et mappliquais à essayer de trouver la solution pour y arriver. Pendant ce temps, sa main sétait infiltré et caressait maintenant directement mon sexe. Ses gestes étaient moins maladroits que la dernière fois et elle finit par me le tendre au maximum.

Par contre, rien à faire de mon coté. Rien ne sortait de ses tétons et je ne pus lui soutirer rien dautre que des soupirs de volupté. Également comme la dernière fois, elle saccroupit devant moi. Elle me baissa le caleçon et recommença ses caresses, son visage à quelques centimètres de mon sexe. Je pouvais sentir le souffle chaud de sa respiration sur le gland de ma verge. Je fermai les yeux pour me concentrer sur ses caresses. Rien à dire, ses gestes étaient précis et adroit. Rien à voir avec la dernière fois. Mon sexe semblait tendu à son maximum quand je la sentis se rapprocher pour me lengloutir tout entier dans sa bouche. Je ne pus retenir un cri de plaisir. Cétait tellement bon, de sentir ce gouffre chaud autour de mon sexe. Jen lâchais un deuxième quand elle commença à jouer avec sa langue. Elle la tournait tout autour au début puis sattardait avec, à la base de mon prépuce, avant de replonger pour lengloutir tout entier en resserrant sa bouche et me le caresser avec ses dents. Jétais au paradis. A chaque fois quelle replongeait, elle me faisait lâcher un cri de bonheur. Je tins cependant plus longtemps que la fois davant. Peut être que mes masturbations nocturnes avaient fait que je pouvais mieux résister au plaisir. Mais son application à la tâche était telle, que je ne tins plus très longtemps.

-« arrête ! Cest trop bon » lui dis je » elle continua cependant. Et plaça ses mains sur mes fesses.

-« oh. Je viens cest trop bon » Elle me maintenait dans sa bouche et narrêtait pas de replonger encore et encore. Je ne tins plus et lâchai mon sperme par saccades. Comme la dernière fois, elle ne recula pas et au contraire, elle enserrait mon sexe avec sa langue, mobligeant à décharger au fonde de sa gorge. Cétait une sensation phénoménale qui me parut séterniser. Quand jeus finis de me vider, elle retira sa bouche en continuant denserrer mon sexe afin de ne pas en perdre une goutte jusqu’à lextrémité. Puis elle me regarda elle entrouvrit la bouche pour me montrer mon foutre quelle déglutit en 2 ou 3 fois. Elle se remis debout et membrassa à nouveau. Quand nos langues se mêlèrent, elle me déposa un reste dans ma bouche quelle samusa à faire tournoyer en le mélangeant à nos salives. Cétait la 1ère fois que je gouttais comme ça a mon sperme et ce n’était pas mauvais. De sa main gauche, elle me branlait délicatement mon sexe, peut être pour lui faire garder sa vigueur.

-« hummm merci » lui dis je, « cétait divin. »

-« merci à toi. Jadore ça me répondit elle ».

Je la poussai alors délicatement vers le lit sur lequel elle vint sasseoir.

-« à mon tour. ». Elle se laissa doucement tomber en arrière, son bassin au bord du lit. Ce que je vis me redonna de laplomb immédiatement. Son jus avait commencé à couler le long de ses jambes. Sûr quelle devait se masturber pendant quelle me pompait. Les bouts de tissus de chaque coté de ses lèvres était trempé. Jentrepris un nettoyage en règle, commençant par lintérieur des jambes, avant de remonter sur sa culotte puis son antre intime. Elle avait commencé à gémir sous mes coups de langues et sursauta quand jarrivai à son clito. Ce coup ci, pour éviter les désagréments de la dernière fois, je plaçai mes mains sur lintérieur de ses cuisses que je maintenais ainsi grand ouvert. Je fis de long va et vient avec la langue sur son sillon en finissant toujours plus longuement sur son petit bout de chair. À chaque fois, elle tressaillait quand je lattaquais. Jentrepris de faire comme elle, je laspirais en lui collant ma langue dessus. Ses soupirs accélérés se changèrent en gémissement de plus en plus fort. Ses mains vinrent coller ma tête sur son sexe. Comme elle également, je la mordillais légèrement le long de ce que je pouvais aspirer. Ses gémissements se transformèrent en cris de jouissance. Ses main plaquèrent ma tête empêchant tout mouvements supplémentaire et je ne pouvais plus que jouer avec la langue sur son clito ce qui semblait la faire chavirer. Puis elle lâcha son cri de jouissance extrême, caractérisé par une crispation totale de tous ses membres. Je faillit dailleurs étouffé tellement elle me plaquait la tête contre son sexe. Enfin elle se relâcha et je pus respirer de nouveau convenablement. Bizarrement, elle navait pas eu ses soubresauts quelle avait habituellement.

-« ah mon dieu ! Que cest bon. » Soupira t elle. Je vins me placer à coté delle sur le lit. Je posai machinalement ma main sur son ventre rebondit. Elle vint poses les siennes dessus et nous restâmes ainsi à reprendre notre respiration. « hummm. Cétait bon mais il me faut plus que ça. » Elle se redressa et une de ses mains se posa sur mon sexe qui avait repris de sa vigueur. « Alors, à ce que je vois, monsieur est de nouveau daplomb ? »

-« avec ce que tu moffre, je vois mal comment on pourrais te résister. » sa main avait entamé un lent mouvement de vas et vient qui ne me laissait pas insensible. Je lembrassai sur la bouche et tandis que nos langues samusaient de nouveau, je me mis à lui caresser son sexe de ma main libre. Nous nous masturbâmes ainsi quelques instants. Puis je sentis sa respiration saccélérer. Il était temps de passer aux choses sérieuses.

A suivre

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