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Warda et Julie, salopes du lycée – Chapitre 1

Warda et Julie, salopes du lycée - Chapitre 1



CHAPITRE I

SOUMISE AU PROF DE FRANCAIS

Eh ! Warda ! Réveille-toi !

Mes yeux souvrent doucement, mon regard piochant dans ce quil peut pour tenter de me situer. Visiblement, je suis dans une salle de cours, et la personne qui vient de me réveiller et qui plonge actuellement ses yeux dans les miens Cest Julie Ma douce Julie

Je vous sens un peu perdu, permettez-moi de nous présenter un peu. Pour ma part, jai 17 ans, et mon prénom est Warda. Comme vous laurez finement remarqué de par mon patronyme, je suis dorigine algérienne, une « beurette » comme on dit. Fort heureusement pour moi, mes parents ne sont pas très intégristes, ce qui me laisse le loisir de laisser mes longs cheveux bouclés à lair libre, encerclant à merveille mon visage de princesse orientale. La nature ne ma pas confié une forte poitrine, me laissant timidement la ranger dans un bonnet B, mais la plupart des garçons préfèrent me voir de dos. Mon fessier est, si jen crois leurs dires, « à faire bander le pape », et je sais le mettre en valeur. Il est petit, ferme et bombé. Petite, je le suis aussi : 1m65. Mais je reste également très mince, ce qui forme un total très attirant pour les mecs.

Julie, bien que très différente, reste très attirante dans lensemble. Cest une blonde, ses cheveux sont lisses, et elle est plutôt grande comparée à moi : 1m81. Elle doit cette différence de taille partiellement au fait quelle est âgée dun an de plus que moi. Du moins cest ce que jaime répéter pour me rassurer Ce qui est certain, en revanche, cest quelle détourne autant de regards que moi. Non pas pour ses fesses, comme moi, car les siennes sont moins fermes, mais plutôt pour ses traits de mannequin et son 95D généreux, quelle na pas peur dexposer partiellement au quotidien : les yeux de ses interlocuteurs allant constamment se perdre dans son décolleté.

Elle et moi sommes en couple depuis notre entrée au lycée, lan dernier. On sest dépucelées mutuellement peu après, et avons découvert une passion commune : le sexe. Que ce soit avec des filles ou des mecs. La majeure partie des élèves du lycée était au courant, certains dentre eux pouvant même en témoigner dexpérience personnelle. Mais bien entendu, aucune de nos familles nest au courant, la mienne étant islamique, je me devais de rester vierge le plus longtemps possible. Ne pas lêtre en sortant du lycée était pour mes parents impensable.

Cest donc Julie qui me réveille en plein cours de français. Je comprends alors pourquoi elle ma réveillé : le prof, monsieur Ferrand, est un raciste qui ne mapprécie déjà pas, inutile den rajouter : si il me surprenait à dormir pendant son cours Je cligne des yeux nerveusement, tentant de mextirper du sommeil.

— Eh bien ? Me fait Julie en me donnant un petit coup de coude. Tu me dis toi-même que tu veux rester assidue pour ne pas le provoquer, et tu tendors ?

— Oui Mais ça valait le coup Jai fait un rêve succulent

— Raconte ! Jétais dedans ?

— Oh oui

Je lui lance un sourire malicieux.

— Tu étais attachée !

— Oooh Et je parie que tu en as odieusement profité, sale petite garce

— Et comment Jétais en train de

Le retentissement de la sonnerie nous interromps, donnant le signal à tous les élèves de ranger leurs affaires. Enfin libre, la journée aura été longue, mais je vais enfin pouvoir me retrouver seule avec Julie. Du moins cest ce que je croyais Mais au moment de nous lever, monsieur Ferrand aboie en notre direction :

— Warda ! Reste un peu ici Jaimerais te parler un peu en privée.

Jéchange un regard ahurie avec Julie. Pourquoi diable souhait-il me voir ? Il ne ma pratiquement jamais adressé la parole de lannée, se contentant de lâcher ma copie sur mon bureau sans me regarder lorsquil rendait des devoirs corrigés Ce que jai toujours trouvé ça dommage, car je laimais bien moi Dune part, cétait un bon prof, ses cours étaient assez dynamiques, mais surtout, cétait un bon Homme. Plutôt jeune, même pas la trentaine, des cheveux bruns et une barbe courte lui donnant un petit air ténébreux Il me plaisait. Dommage quil ne mapprécie pas juste pour la couleur de ma peau.

Pourtant, voilà que soudainement, il voulait me voir. Julie eut le temps de me souffler « Je tattend à la sortie » avant de partir, me laissant à présent dans une salle vide, avec un prof raciste. Moi immobile et debout au centre, mon sac à mes pieds, Il marche entre les tables, cette fois en me fixant. Son regard est lourd, pesant, presque insoutenable à garder. Il prend enfin la parole :

— Je tai vu dormir avant la fin du cours Warda. Ta conduite en générale nest déjà pas exemplaire, mais ça, cest de lirrespect total Je vais devoir sévir.

Tout ce quil voulait était me mettre une observation ? Il navait pas besoin de me garder après le cours pour ça. Je le vois fermer lun des deux stores de la classe. De plus en plus étrange.

— Tu sais, jai parlé à certains de tes camarades. Ils sont assez loquaces à ton sujet.

Un frisson me parcourt léchine. Veut-il vraiment parler de mon tempérament de salope ? Si il était au courant jétais mal Un simple coup de fil à mes parents et ma vie seffondrerait. Tout en marchant le long du mur de la classe, il baisse le second store, laissant la lumière des néons la seule source lumineuse de la pièce. Il passe alors dans mon dos. Machinalement, je commence un mouvement pour me retourner, mais il minterrompt en plein milieu, aboyant dun ton sec :

– Ne te retourne pas ! Reste face au tableau. Garde ton regard bien devant.

Je mexécute, regardant en silence le tableau effacé depuis 5 minutes. Il fait de moins en moins de doute quil est en train de profiter de la petite jupe moulante que je porte actuellement pour se rincer lil Jen suis à la fois excité et intrigué. Je ne peux me retenir de mouiller lorsque quelquun qui me plait apprécie mon corps, mais javais toujours ressentit pour des garçons ou des filles de mon âge Jamais pour un homme approchant la trentaine.

— Retourne-toi.

Une fois encore, jobéis, réalisant alors quil est à moins dun mètre de moi. Sa taille me dépassant dune tête et sa silhouette musclée me font ressentir toute fragile et vulnérable à côté de lui.

— Je sais ce que tu es, Warda. Je sais que toi et Julie, vous êtes les deux salopes de lécole. Je sais même quune bonne moitié des garçons de la classe vous est déjà passé dessus. Je sais même que tes parents napprécieraient pas que leur chère fille soit dores et déjà défleurée Pas vrai ?

Il allie un sourire triomphant à sa révélation. Quant à moi, je suis au bord des larmes. Sans men rendre compte, je tombe à genoux, lair encore plus pitoyable devant lui.

— Pitié Je ferai tout ce que vous voudrez A quoi ça vous avancerait de le dire de toutes façons Pour vous ça ne change rien !

— Mais qui te parle de tout dire ? Jai dit que tes parents napprécieraient pas Cest tout Tu connais lusage du conditionnel quand même ?

— Vr Vraiment ? Vous ne direz rien ?

— Bien sûr que non ! Il y a juste une condition pour que je garde ma langue

— Laquelle ?

Il braqua soudainement son regard vers le bas, vers là où jétais, moi.

— Utilise la tienne. Suce-moi.

Quelques secondes de silence pur sécoulent, durant lesquelles aucun de nous ne fait le moindre mouvement. Jai bien entendu ?

— Je Je vous demande pardon ?

— Tu as parfaitement entendu petite chienne. Sors ma queue et suce-la.

— Je Je suis mineure…

— Justement, je vais adorer goûter à une jeune salope arabe. Sors ma queue.

Son ton avait changé du tout au tout. Le « petite chienne » et le « salope » étaient sortis de nulle part. Jai du mal à croire que cest en train darriver, et pourtant si. Je suis à genoux devant mon prof de français, sur le point de lui sucer la bite.

— Tu vas me défigurer longtemps comme ça ? Je tai dit de sortir ma queue !

Je nai visiblement pas le choix. Dune main tremblante, jouvre doucement sa braguette, pour laisser tomber son jean, laissant place à son caleçon blanc. La grosse bosse présente sur celui-ci mindique quil a vraiment profité du spectacle quand il était dans mon dos. Je quitte cette bosse des yeux pour regarder à nouveau son visage. Il a une expression étrange, mêlée de jubilation, de pouvoir et de sadisme. Je retire son caleçon, laissant apparaitre sa verge. Jen suis assez impressionnée, elle doit bien faire 18 cm ! Visiblement, je dois laisser transparaitre ma surprise sur mon visage, car mon prof rajoute :

— Quoi ? Ma bite te fait peur ? Met-la en bouche salope.

Je me lance enfin, attrapant la base de sa verge dune main, et embrassant son gland du bout des lèvres. Je sens un tressaillement de plaisir le parcourir quand ma bouche entre en contact avec son sexe, ce qui marrache un sourire pervers. Cest plus fort que moi, lorsque je sens quelquun apprécier ma bouche, je me dis quil est en mon pouvoir, et souris. Là encore, lui ne manque pas de le remarquer :

— Mais cest quelle aime ça, la cochonne !

Il attrape alors larrière de ma tête à deux mains, pour me tirer vers lui, enfonçant la moitié de sa verge dans ma bouche de force.

— Fini de jouer, puisque tu aimes ça, suce !

Aidée par les mouvements que me forcent à faire les mains toujours collées à ma tête, je remue doucement, laissant sa verge glisser dans ma bouche dans un mouvement de va-et-vient assez énergétique. Je sais my prendre avec ce genre de poses : à lintérieur, jécarte bien mes dents afin déviter tout contact avec je sais quils ont horreur de ça et je fais rouler ma langue autant que je peux autour de son gland. Visiblement, ma technique marche : il ferme les yeux pour mieux sentir lextase du moment, et soupire de façon très sensuelle. Il chuchote presque lorsquil me dit :

— Bonne petite salope Continue Ouuuh

Je me sers à présent de la main avec laquelle javais attrapé sa queue pour branler doucement la partie basse de sa queue, au même rythme que les mouvements de ma tête. Je le sens retirer ma main avec lune des siennes, quil vient ensuite coller à nouveau derrière ma tête. Il parle à nouveau, cette fois dun ton beaucoup plus haut :

— Cest le moment de prouver ta réputation de SALOPE !

Il crie presque ce dernier mot, quil prononce en même temps quil tire ma tête vers lui aussi fort quil le peut, rentrant son membre entièrement en moi, marrachant un terrible haut-le-cur, et collant ma bouche contre ses poils pubiens. Dans un mouvement de panique, je plaque mes mains sur mes cuisses pour pousser à mon tour, le faisant reculer de quelques pas et manquant de le faire trébucher. Je crache alors au sol, et, toujours à genoux, commence à tousser.

— Qui tas dit de te retirer ? Me crie-t-il, visiblement furax de mon réflexe.

Il pose une main sur chacune de mes joues, relevant mon crâne et me forçant à le regarder dans les yeux. Je fais la moue à lidée de recommencer ce geste.

— Tu veux que tes parents soient au courant ?

— Non

— Il va falloir faire un effort alors !

— Doucement

— Pardon ?

— Rentrez doucement Plus doucement, là je pourrais supporter

Javais un ton presque suppliant. Mais il semble quand même avoir une certaine pitié de moi : il caresse doucement ma joue, un sourire pervers en coin. Il pose son gland sur le bout de mes lèvres, commentant juste avant de rentrer :

— Je vais rentrer dans ta gorge Lentement, mais jusquau bout, et sans ralentir. Tu dois encaisser ça, sinon ta famille saura tout.

Et il exécute sa menace à la seconde où il termine ses mots. Je sens son membre raide et long glisser sous mes lèvres, puis sur ma langue. Il touche le haut de ma gorge, mais comme annoncé, ne ralentit pas et rentre dedans, marrachant un autre haut-le-cur, bien moins violent. Il doit forcer un peu pour gagner les derniers centimètres, ma gorge repoussant instinctivement le long corps étranger, mais fini tout de même par caller mes lèvres contre sa touffe, de nouveau. Mes yeux ne voient que le bas de son nombril, et ses testicules appuient sur mon menton. Lodeur que récupère mon nez collé contre son pubis couplé au long chibre callé dans ma gorge me donnent la nausée, mais je tiens bon, consciente de lenjeu.

— Ne bouge plus Ordonne-t-il dune voix tremblante en fermant les yeux. Il semble vraiment être au Nirvana à présent. Je ne peux bien sûr lui répondre, mais bouger nétait vraiment pas dans mes intentions.

Nous restons immobile ainsi un certain temps, peut-être plusieurs minutes. Les nausées se font de moins en moins fortes, ma gorge doit shabituer à la présence de sa verge en elle. Je respire doucement par le nez. Mes mains sont toujours sur mes cuisses, immobiles. Je nose faire le moindre mouvement. Jentends sa respiration nerveuse et de plus en plus haletante, les contractions de ma gorge sur sa queue semblent être une source dextase sans fin pour lui. Quel dommage que je ne puisse pas voir son expression du visage Le raciste quil est doit jubiler comme jamais davoir sa queue dans la gorge dune arabe.

Ma pire crainte est son orgasme approchant. Si il ne bouge pas et éjacule directement dans ma gorge, il ne ferait aucun doute que je vomirais ici, en plein milieu de la salle. Je lentend pousser des petits râles de plus en plus rapprochés. Je me remets à trembler : il ne bouge absolument pas Il na quand même pas réellement lintention de jouir au fond de moi ?

Heureusement non : il se retire brutalement, provoquant une dernière sensation de nausée en moi, mais me laissant libre à nouveau. Je sens une importante quantité de salive dans ma gorge, que mon corps me hurle de cracher, mais ça laisserait une trace trop importante dans la salle, et je me force à lavaler. Je me mets ensuite à tousser, un peu souriante. Jétais fière de moi davoir réussi une telle prouesse.

— Bon travail Warda Maintenant lève la tête, et garde la bouche bien ouverte.

Jobéis, ouvrant aussi grand que je pouvais. Il pose son gland sur le bord de mes lèvres et commence à se branler. Je me tiens prête à la suite qui semble à présent facile à prévoir. Elle semble même imminente, à voir comment ses grognements sintensifient.

— Surtout navale rien Garde tout dans ta bouuuu Ouuuh

Il pousse un râlement de satisfaction, suivi dun long jet de semence qui atterrit directement sur ma langue, me faisant légèrement reculer sous leffet de la surprise. Mais je reviens vite en position, prête à accueillir le deuxième jet, de la même intensité. Sen suivent trois autres, de moins en moins intense. Mon prof secoue ensuite sa verge, pour y obtenir une dernière goutte de sperme, quil fait tomber dans la petite marre blanche. Comme demandé, je navale rien, gardant la substance amère en bouche. Jai une pensée pour Julie Elle aurait aimé être à ma place. Elle a toujours adoré boire le plaisir des hommes, tandis que je préférais le sentir couler sur ma peau.

— Bien Bien Me complimente-t-il en reprenant son souffle. Navale pas Ne bouge pas.

Je le vois alors sortir son portable. Je ferme la bouche et lui fait non de la tête, nayant jamais laissé qui que ce soit prendre des images de moi exceptée Julie, bien entendu Mais il semble ne pas apprécier le geste :

— Eh bien ? Tu résistes ? Tu veux vraiment que ta famille sache tout on dirait De toute façon de quoi as-tu peur ? Que je te fasse chanter avec cette photo ? Je nai pas vraiment besoin de ça ! Sesclaffe-t-il.

Réalisant quil a raison, je relève ma tête et rouvre ma bouche. Il sempresse de faire plusieurs photos.

— Sourit ! Remontre la salope que tu es !

Au mot « salope », je souris instinctivement. Un grand point commun entre Julie et moi est que nous percevons ce mot comme un compliment. Une fois quil a finis de prendre ce quil voulait, il mannonce :

— Cest bon, avale tout.

Je ferme la bouche, serre les dents et déglutit douloureusement. Moi qui avais horreur du goût du sperme, jétais servie, mais je navais pas vraiment le choix. Jouvre ensuite de nouveau ma bouche, lui faisant constater que je navais pas triché. Il me caresse docilement les cheveux.

— Bon travail Warda On ne mavait pas menti à ton sujet. Relève-toi et assied-toi, tu as bien mérité de souffler un peu.

Je me relève et me retourne, tentant de me débarrasser du goût du sperme dans ma bouche. Je vais masseoir sur le bureau du professeur, qui est en train de remettre son pantalon. Une fois quil la fait, il vient sasseoir juste à côté de moi, collant ses fesses aux miennes, et me montrant son portable.

— Regarde la salope que tu es !

Il me montre les photos quil a faites. Jy vois une jeune beurette, dont on pourrait douter de sa majorité, qui est à genoux, regardant la caméra en levant la tête, la bouche grande ouverte, laissant entrevoir une flaque blanche à lintérieur. Elle sourit ; elle a carrément lair radieuse ! Il y a même une photo où elle fait un clin dil Jen aurais fait un sans men rendre compte ?

Je prends son appareil des mains, pour regarder les photos de plus près. De temps en temps, je zoom sur un détail, sur la marre au fond de ma bouche, ou sur lexpression de mes yeux. Je souris de plus belle en me voyant ainsi, heureuse, me comportant comme une trainée.

— Je garderai ces photos pour moi, précieusement. Cest pas tous les jours quon a une arabe mineure aussi cochonne sous la main !

Pensant à Julie qui adorerait voir ça, je demande timidement :

— Je peux en avoir une copie ?

Il reste silencieux un moment, pesant ma question, puis éclate de rire.

— Désolé, cest mon appareil, mes photos. Il baisse un peu la tête, prenant un regard plus sévère. Et cest mon sperme. Jen garde la propriété.

— Oh non, sil vous plait Je tourne un peu la tête et fais une légère moue, ayant lair à présent dune enfant qui réclame une glace à ses parents. Après ce que je vous ai fait, je lai bien mérité, non ?

Il hésite un peu, avant de prononcer le mot que jaime tant entendre :

— Salope

Je sors de la salle avec monsieur Ferrand, lui sen va aussitôt, comme si de rien nétait. Le couloir est presque vide, la seule personne sy trouvant étant ma chère Julie, qui mattendait depuis tout ce temps. Lorsquelle me voit sortir, elle se jette sur moi.

— Eh bien, tu en as mis du temps ! Avant que je puisse lui répondre quoi que ce soit, elle colle ses lèvres aux miennes pour membrasser furtivement, avant dajouter : il sest passé quoi ? Je lai entendu crier, te traiter de salope Quest-ce que vous avez Attend

Elle sest stoppée nette. Je comprends ce qui la fait soudainement hésiter : le goût de la verge de notre professeur doit encore être présent sur mes lèvres. Pour être certaine, elle moffre un second baiser, un peu plus long. Maintenant sûre de ce quelle vient de goûter, elle affiche un visage incrédule, attendant une explication.

— Tu ne mas pas laissé le temps de parler ! Ce type, dont tu mavais avoué fantasmer dessus, vient de me menacer de révéler ma vraie nature à mes parents. Je nai pas eu le choix Je viens de le sucer.

Elle colle une de ses mains sur ma jupe, entre mes cuisses, pour tenter de deviner la suite. Je lui révèle dans un sourire :

— Non non, il ne ma même pas déshabillé, il na profité que de ma bouche, et sest vidé dedans.

A ces mots, elle attrape ma tête pour la jeter contre la sienne, moffrant un baiser goulu et langoureux. Elle passe sa langue dans chaque paroi de mes joues, de mon palais, tentant de récupérer la moindre goutte du si précieux nectar à ses yeux. Jen profite moi aussi, un baiser de Julie nest jamais de trop.

Elle finit par rompre le lien, avalant ce quelle a pu récupérer et lâchant un « Ahhh » de satisfaction. Elle plonge son regard dans le mien, avant de dire :

— On va sortir dici, trouver un coin tranquille, et tu vas me raconter ça en détails Daccord ?

Jopine affirmativement de la tête, et nous partons vers lescalier côte à côte. A mi-chemin, elle me met une petite claque sur les fesses, me susurrant à loreille notre mot fétiche :

— Salope !

Un grand sourire se redresse sur mon visage.

— Moi aussi je taime.

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