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Astrid et Julia – Chapitre 17

Astrid et Julia - Chapitre 17



C’est le moment que choisit maître Hubert pour revenir. Je lui fais part de leur réponse. Il est satisfait.

Auparavant, j’aimerais bien tester leur petite chatte, j’ai besoin de me libérer. Mettez-vous à genoux côte à côte !

Il enfile sa bite dans le con d’Astrid, puis dans celui de Julia. A la vue de leur anus dilaté, il ne peut s’empêcher de venir les tester. Mais finalement, pour finir, il choisit d’éjaculer dans la bouche de la mère qui avale sans rechigner.

Serein, maître Hubert peut passer à la suite du programme. Dix hommes édentés, en guenilles, font leur entrée dans la salle, parmi eux, un nain déformé et un géant de près de deux mètres vingt. Deux sont jeunes, les autres ont certainement plus de soixante ans. Une odeur nauséabonde a envahi la salle. Il est manifeste que la douche n’a pas été leur fort depuis longtemps. Je regarde les yeux effarés de mes compagnes, debout côte à côte. Elles viennent de réaliser que ces monstres vont leur faire l’amour et que leur exigence va être sans limites devant l’aubaine qui leur est accordée.

Les hommes regardent avec envie ces deux femelles mises à leur disposition. Elles sont belles, même si après les précédentes séances, elles ne sont pas à leur avantage.

Maître Hubert lance un ordre aux gueux présents : « Déshabillez-vous complètement que vos esclaves puissent vous admirer ! dit-il d’un air ironique ». Il rappelle qu’il les a fait tester pour être sûr qu’ils n’aient pas de MST.

Les hommes s’exécutent. Leurs bites sont déjà dressées tellement le désir les habite. Seul un petit vieux exhibe un macaroni ridicule, tout fripé. Mais l’attention de mes femmes se porte avec horreur sur le sexe du gnome. Il est hors norme pour un personnage de cette taille, bien plus grand et plus gros que celui du géant. Son gland, difforme, ressemble au chapeau d’un champignon dont le diamètre est deux fois plus gros que le corps caverneux de son vit. Quant à la longueur, elle n’a rien à rivaliser avec celle d’un cheval !

Qui veut commencer ? lâche maître Hubert.

Moi, Moi ! répond le nain qui se branle frénétiquement en attendant.

Toi et le géant vous attendez parce que vous allez trop les élargir et les autres ne sentiront plus rien. Vous les prendrez autant que vous voulez en finale. Les autres, vous allez commencer par vous faire sucer. Esclaves à vous !

Julia commence par le premier. Il émane de lui une odeur âcre de pisse fermentée et de sueur. Elle le suce avec application malgré la nausée qui lui monte à la gorge. Le clodo est aux anges. Il appuie sur sa tête pour qu’elle le prenne bien bouche. Astrid n’est pas mieux lotie, mais celui dont elle s’occupe l’oblige rapidement à descendre plus bas pour qu’elle lui lèche le cul. On tombe alors dans l’ignominie. Il pue réellement la merde. Elle veut cesser, mais c’était sans compter sur la surveillance de maître Hubert qui la cravache deux fois pour l’obliger à continuer. Il la pousse même à bien faire pénétrer sa langue dans son anus. Les autres ne seront pas en reste et vont avoir les mêmes exigences avec elle et avec Julia.

C’est ainsi que pendant de longues minutes, elles vont devoir ainsi satisfaire les huit hommes présents, le géant et le nain étant exclus pour l’instant.

Le feu vert est alors donné pour une tournante. Enculées, baisées, leur bouche n’est pas épargnée elles seront forcées de les embrasser alors que leur haleine est innommable – doublement pénétrées, elles vont subir leur assaut de longues minutes. Heureusement, ils sont vieux et après deux éjaculations, ils ne remettront pas le couvert.

Malheureusement, ce n’est pas fini pour elles, le géant et le nain attendent impatients. Ils ont eu le temps de cogiter entre eux. Ils sont jeunes, donc résistants et surtout endurants. Ce qu’ils veulent c’est uniquement les défoncer et les avilir. Dans un premier temps, ils se mettent sur le dos et leur demandent de se mettre en position de soixante-neuf. Ils exigent qu’elles viennent leur lécher les couilles et nettoient leur cul comme elles ont fait pour les autres. Eux-mêmes leur lèchent la minette et leur trou de balle. Ce sont des experts du broute-minou, car ils les font jouir alors qu’elles ne s’y attendaient pas. Ils trouvent qu’elles ont bon goût malgré le fait que leur con respectif soit rempli de foutre accumulé depuis des heures. Ils décident donc d’inverser. Celui qui avait la fille prend la mère et vice-versa. Une fois encore, au grand dam de mes femmes, ils les font jouir à nouveau. C’est un instant de répit pour elles, mais de courte durée.

Le gnome, occupé pour l’instant avec Julia, la fait se retourner et s’asseoir sur ses jambes au ras de ses couilles. Il la penche vers lui et la force à l’embrasser. Comme les autres, il pue de la gueule. Elle ferme les yeux, car il est hideux. Elle s’aperçoit alors avec horreur que son sexe est si long qu’il vient se loger naturellement entre ses deux seins et que le champignon de son gland dépasse pour lui toucher le menton. Il s’adresse alors à elle :

Pourquoi tu fermes les yeux espèce de salope ? Tu ne peux pas supporter ma laideur ? Pourtant il va falloir t’y faire parce que je vais te baiser longtemps. C’est toi que je préfère. Mon copain, c’est ta mère à qui il veut faire du bien. Moi, je n’aime pas les vieilles, j’aime la jeunesse. Des petites chattes comme la tienne j’en rêve chaque nuit. Mais c’est un bien inaccessible pour moi. Heureusement, maître Hubert est là et il aime bien m’utiliser pour dresser comme toi des chiennes qui me méprisent. Ouvre les yeux salope, ou je t’en colle une ! Regarde ma bite comme elle est grosse. Tu vas voir comment elle va distendre tes chairs vaginales et perforer ton fion. Tu vas jouir au-delà d’un seuil que tu ne croyais pas pouvoir atteindre. Allez, embrasse là pour la récompenser d’avance.

Julia s’exécute pendant que sa mère est prise dans les bras du géant qui l’empale sans aucune précaution. Elle hurle tant l’intromission vaginale est rude. Heureusement, elle est entraînée, car son mandrin est énorme. Elle s’accroche à son cou. Il la fait alors monter et descendre sur sa queue jusqu’à l’instant ultime où ses couilles touchent son périnée. La mécanique est en marche. Elle ne s’arrêtera plus avant longtemps. Astrid ne fait que jouir. C’est une machine à baiser qui la défonce.

Julia peut juste lécher le sexe du gnome, sa bouche est trop petite pour l’absorber. Il appuie sur sa tête, mais elle ne peut pas. Il s’énerve un peu, mais au final n’insiste pas. Elle le branle entre ses seins. Il apprécie, mais ça ne fait qu’accentuer la dureté de l’engin.

Il la soulève alors et amène sa chatte au contact de son gland. Ses lèvres intimes sont écartées. Il tente une pénétration, mais Julia n’est pas réceptive. Le Barbell qui orne son clito se frotte sur le champignon. Elle se surprend à éprouver du désir. Il continue ses mouvements en douceur. On dirait qu’il prend soin d’elle. Elle mouille maintenant abondamment. Ses chairs s’écartent. L’intromission commence. De longues minutes se passent, la moitié du sexe du nain est en elle. Il la prend par les hanches et entame de lents aller et retour. Elle le guide pour éviter d’avoir mal. Il s’enfonce de plus en plus jusqu’à, enfin, atteindre le col de son utérus. Son gland palpite. Elle jouit immédiatement.

Se déclenche alors une sarabande infernale. Il va faire en sorte qu’elle se baise de plus en plus vite et de plus en plus fort. Il tire sur les anneaux de ses seins pour l’amener à l’embrasser à pleine bouche. Sans se dégager d’elle, il la prendra en cuillère, puis en levrette, en missionnaire. Julia devient une machine à jouir tant le nain sait y faire. Cela fait plus d’une heure qu’il la travaille ainsi sans quitter sa chatte. Il ne s’épuise pas, elle si… Il lui dit alors :

Je t’avais promis que tu ne serais pas prête d’oublier ce moment. Toutes les femmes qui sont passées dans mes mains le reconnaissent. Et toi ?

Oui, répond Julia dans un souffle, vous m’avez tuée.

C’est bien ! Alors je veux ma récompense.

Votre récompense ?

Oui, il est temps, pour finir, que je t’encule. Il n’y a que comme ça que je peux prendre mon pied.

Mais vous allez détruire mon anus, vous êtes trop gros ! Je ne veux pas !

Maître Hubert, je crois que cette demoiselle a besoin du fouet. Elle refuse que je la sodomise.

Non, non pas le fouet, vous pouvez me prendre le cul.

C’est mieux comme ça. Allez, mets-toi à genoux et écarte bien les fesses. Tu vois, je suis gentil, je vais mettre du lubrifiant.

Il s’enduit abondamment le sexe, puis les doigts qu’il fait pénétrer lentement dans le fion de Julia. Ses sphincters s’habituent, il peut introduire la main. Il présente alors son gland et entame une lente poussée. Ça passe, le champignon est dans son ampoule rectale. Pour faciliter la tâche du nain, Julia pousse comme pour aller aux toilettes. Au fur et à mesure de son avancée, il lubrifie sa colonne de chair. Une fois bien au fond, il lui dit :

Prépare-toi, je vais te défoncer le fion. Tu vas souffrir, mais ça ne durera pas longtemps.

Commence alors la destruction systématique du cul de Julia. Elle hurle à chaque nouvel enfoncement de la bête monstrueuse qui, dans une ultime poussée, crache son venin abondant dans ses entrailles.

Elle est morte de fatigue et s’écroule au sol. Sa mère a subi le même sort, mais son bourreau n’a pas été aussi indulgent. Il lui a craqué l’anus et la chatte alternativement sans aucune précaution ni aucun lubrifiant. Elle est dans un état semi-comateux. Son corps est brisé par les douleurs multiples qui l’assaillent.

Il est cinq heures du matin, ça fait plus de huit heures que mes femmes subissent des assauts et des sévices hors du commun. Elles sont méconnaissables, couvertes de foutre, leur corps est zébré par les coups de fouet reçus, elles puent. Je récupère leurs robes et le majordome m’aide à les ramener à ma voiture où nous les installons sur le siège arrière. Elles s’endorment immédiatement, recrues de fatigue.

Je dis au revoir à notre hôte et le remercie pour son aide. Il me dit qu’il est ma disposition si j’ai d’autres femelles à dresser.

Arrivés à la maison, je porte l’une après l’autre mes femmes dans la grande douche à l’italienne. Pendant plus d’une heure, je vais les laver doucement et tendrement – elles n’ont pas la force de le faire les astiquer pour effacer les traces de leur nuit éprouvante, leur faire un lavement pour les purifier. Je passe ensuite une crème cicatrisante sur leurs plaies. Elles ne prononcent pas une parole. Elles sont trop fatiguées.

Après les avoir essuyées, je les traîne quasiment vers le lit où je les allonge. Je me couche entre elles. Dans un mouvement instinctif, elles se pelotonnent contre moi, tendrement. Julia pose sa menotte sur mon sexe en pleine érection, la main de sa mère vient la rejoindre. Elles vont alors me branler de concert jusqu’à extraire mon jus de couilles qui met peu de temps à s’échapper vu mon état d’excitation et la douceur de leurs gestes.

Nous nous endormons alors d’un profond sommeil réparateur.

Je me réveille alors qu’il fait jour. Je regarde le réveil, il est dix-sept heures. Mes femmes dorment toutes les deux en chien de fusil. Leur sommeil est paisible. Qui pourrait penser qu’elles ont subi de rudes épreuves les heures précédentes. Elles sont belles comme ça, leur visage détendu, sans défense. On peut voir néanmoins les séquelles de leur soirée : leur anus encore boursouflé et à moitié ouvert, les striures qui couvrent leur corps, les rougeurs sur leurs fesses.

De les voir ainsi, ça me donne la trique. Quelle belle preuve d’amour elles m’ont donnée. Accepter de se faire avilir ainsi c’est sublime de leur part. Comme j’aimerais que nous puissions vivre ensemble tous les trois et pouvoir nous réveiller chaque matin dans le même lit. Je pourrai le faire avec Julia comme un couple ordinaire, mais je ne veux pas faire de peine à Astrid, car je l’aime tout autant.

Tout à mes pensées, je ne m’étais pas rendu compte qu’Astrid avait ouvert les yeux. Elle se retourne sur le dos, me vois éveillé et me dis :

Prends-moi mon chéri, j’ai envie de toi.

Tu es sûre ? Tu ne veux pas reposer ton corps meurtri ?

Non, prends ma chatte uniquement, ça va aller.

Je me penche sur elle, embrasse tendrement ses lèvres et je descends vers son puits d’amour. Je la lèche lentement, son corps frémit. Je débusque son bouton que je suçote. Elle pousse de petits cris.

Viens, je t’en supplie, fais-moi l’amour. Ne me baise pas… j’ai besoin de douceur.

Je me mets alors sur elle et dirige mon sexe vers son antre brûlant. Elle m’accepte sans problème. Elle mouille au maximum. Je la serre dans mes bras elle a un peu mal suite aux coups de fouet et elle le manifeste quand je touche un point sensible. Nos lèvres se rejoignent dans un baiser fougueux. C’est sans heurt que je la mène au plaisir et que je finis en elle.

Merci, mon chéri, j’en avais besoin après cette nuit. Je t’aime.

Je me lève pour faire un brin de toilette. Quand je reviens, la mère et la fille sont dans les bras l’une de l’autre. Elles se parlent, je les écoute discrètement :

Oh, ma petite maman, comme tu as souffert. Le grand black avait un sexe énorme et il n’a pas arrêté de te défoncer la chatte et le cul à la vitesse d’un marteau piqueur.

Oui, mais toi, vu ta jeunesse, tu as été la reine des clodos. Se faire une petite minette c’était un rêve inespéré pour eux. Pour le nain, tu as été sa préférée. Je suis sûre qu’il est tombé amoureux de toi. Il t’a épargnée malgré la taille hors-norme de son sexe.

Tu sais qu’il m’a fait jouir plusieurs fois, j’ai honte. Tu te rends contre, j’ai eu du plaisir avec un monstre !

Tu n’as pas à t’en vouloir, moi aussi j’ai eu de somptueux orgasmes avec le grand noir. Il était tellement endurant que je n’en pouvais plus, j’avais hâte que ça s’arrête.

Oui, mais ils étaient tous laids, ils puaient et ils avaient des haleines de chacals. C’est anormal que l’on puisse avoir de la jouissance avec de tels repoussoirs.

Je crois surtout qu’on voulait se transcender auprès d’Hervé pour lui montrer ce que l’on pouvait faire pour lui. Je crois qu’après cette soirée, je suis encore plus amoureuse de lui. Il vient de me faire l’amour et je ne me suis jamais sentie aussi bien.

Vous venez de faire l’amour ? Oh comme je t’envie. Rien qu’à cette pensée, ma petite chatounette est déjà ruisselante. Moi aussi je suis folle de lui. Jamais je n’aurais cru qu’un homme puisse me faire autant d’effet.

Rien qu’à ces paroles, je bande à nouveau. Je m’avance vers elles et je dis à Julia :

Viens dans mes bras mon tendre amour. Sens comme je te désire moi aussi. Je vais te faire jouir comme ta mère, doucement, sans violence.

Je la serre fortement. Elle peut alors apprécier la dureté de mon vit contre son ventre. Je me baisse légèrement et je m’introduis dans son puits d’amour sans aucune difficulté. Quelques aller et retour, un jet de cyprine jaillit de son sexe, et nous montons tous les deux au septième ciel, en pleine harmonie sexuelle.

Comme tu es doux mon chéri. Tu m’as fait vraiment du bien. Tu ne nous en veux pas d’avoir eu du plaisir avec ces monstres ?

Non parce que moi aussi, je suis fou de vous deux.

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